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La LNH à Québec?


mtlurb

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C'est comique à quel point les questions sondages dans les médias ne veulent rien dire et ne représente que leur public. Plusieurs médias posaient la même question sur leur ondes cette semaine. ëtes vous pour ou contre que le gouvernement investit dans les infrastructure sportives.

 

TVA:

Public cible: Cols bleus, payeur de taxes, classe moyenne et moins, pour la plupart en banlieue, 100% francophone

34% oui, 66% non

 

RDS:

Public: Sportifs en manque de hockey.

70% oui, 30% non

 

98,5fm

Public: Chialeux de nature

38% oui, 57% non, 5% indifférent

 

 

Pis le public de radio-Canada, c'est pas là? Je crois que ça doit être de l'ordre de 10% oui et 90% NON!!:goodvibes:

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moi aussi je paye mes dettes, mais je me bati aussi des actifs. il y a une difference, quand meme, entre emprunter pour se payer un voyage et emprunter pour... s'acheter une maison!

 

Oui mais ceci n'est pas un maison, c'est un arena d'hockey pour une ville qui n'a pas d'equipe pour y utiliser :rotfl:

 

At least I can count on Maxime Bernier :D

http://www.maximebernier.com/2010/09/ma-position-sur-le-projet-de-nouvel-amphitheatre-a-quebec/

Ma position sur le projet de nouvel amphithéâtre à Québec

 

 

10-septembre-2010 · 163 commentaires

 

Depuis deux jours, j’ai reçu de nombreuses demandes pour clarifier ma position sur le projet de nouvel amphithéâtre de Québec qui serait financé à 100% par les gouvernements. J’ai exprimé hier mes principales réserves dans une entrevue à une station de radio en Beauce (le quotidien Le Soleil résume mes propos dans un article ce matin).

 

Comme plusieurs me l’ont fait remarquer, je ne peux pas faire régulièrement des discours à travers le pays où je parle de responsabilité individuelle et de la part des gouvernements, de la nécessité de restreindre nos dépenses, vivre selon nos moyens et réduire l’intervention de l’État, tout en refusant de prendre clairement position sur un dossier où ces principes sont directement concernés.

 

La dure réalité, c’est que nous venons de traverser une crise économique mondiale – qui reste très préoccupante et dont nous n’avons sans doute pas encore vu l’issue – et que les gouvernements, autant à Québec qu’à Ottawa, sont lourdement endettés. Notre gouvernement vient de faire un gigantesque déficit de 56 milliards $ et la priorité est de retourner à l’équilibre budgétaire le plus tôt possible. Il faut régler ce déficit en coupant dans nos propres programmes et éviter à tout prix de s’embarquer dans des aventures financières risquées.

 

Je n’ai aucunement été impressionné par les conclusions de l’étude d’Ernst & Young, qui qualifie de « rentable » le projet d’amphithéâtre – mais uniquement dans l’hypothèse où ce sont les gouvernements qui financent entièrement sa construction et les réparations et rénovations pour les 40 prochaines années. On joue avec les mots. Ce qu’il faut conclure, c’est plutôt que le projet n’est tout simplement pas rentable et qu’il constituera un fardeau financier pour les contribuables pour des décennies à venir, même dans le meilleur des scénarios. C’est pour cette raison qu’aucun acteur privé ne souhaite y participer.

 

Enfin, l’un des arguments les plus souvent entendus à Québec en faveur d’un financement public est que « Montréal a eu tel investissement », « Toronto a bénéficié de tel programme » ou « Vancouver a reçu tel montant ». Comme nos gouvernements dépensent à gauche et à droite depuis des décennies, il est impossible de réfuter cet argument.

 

C’est justement cette spirale sans fin de la dépense et de l’endettement qui nous a amenés dans la situation intenable où nous sommes aujourd’hui. Et c’est elle qui dresse les Canadiens les uns contre les autres, dans l’espoir de s’accaparer une partie du magot qu’est le trésor public.

 

On le constate déjà, si Québec obtient le 175 millions $ d’Ottawa pour son amphithéâtre, d’autres villes et régions du pays exigeront d’être traitées de la même façon, en prétextant elles aussi l’équité. En bout de ligne, c’est un montant plusieurs fois plus élevé qui pourrait devoir être dépensé pour être équitable envers toutes les régions.

 

Comme l’a écrit le grand économiste français Frédéric Bastiat, « L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. » Lorsque des sommes aussi importantes sont en jeu, il est impossible de déterminer exactement qui a reçu combien. Il faudrait tenir compte non pas d’un seul dossier mais de tous les postes de dépenses publiques et remonter en arrière le plus loin possible.

 

C’est ce qu’aiment faire les séparatistes québécois, qui nous disent depuis toujours que le Québec est financièrement perdant dans le contexte canadien et qu’Ottawa favorise systématiquement l’Ontario depuis plus d’un siècle. Pendant ce temps, on croit dans le reste du pays que c’est le Québec qui est l’enfant gâté. Chaque région peut pointer vers de nombreux exemple pour entretenir ses frustrations. C’est un débat futile qui est insoluble et ne peut que diviser notre pays.

 

Il faut mettre fin à cette dynamique un moment ou un autre. On ne peut pas continuer ainsi de transmettre à nos enfants la facture de projets qu’on ne peut pas se payer. On ne peut pas continuer d’acheter la paix en distribuant des montants toujours plus gros pour plaire à chacun, en se fermant les yeux sur les conséquences. On ne peut pas prétendre vouloir que nos gouvernements gèrent les finances de manière responsable, tout en exigeant pour soi-même une dernière dépense qui ne l’est pas.

 

Moi aussi je partage le rêve de voir revenir une équipe de hockey professionnel dans notre région et j’espère de tout coeur qu’on trouve un moyen de réaliser ce rêve. Sauf que les rêves ne peuvent faire fi de la dure réalité financière. C’est beau rêver, mais quand on le fait à crédit en s’imaginant que l’argent tombe du ciel, le réveil peut être brutal. Pour toutes ces raisons, je ne peux pas appuyer en mon âme et conscience ce projet.

 

Étant en route pour quelques jours de vacances dans le sud, je m’abstiendrai de faire d’autres commentaires et j’espère vous lire nombreux sur mon blogue.

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Voilà un texte un peu long mais tellement intéressant, de Jean-François Lisée:

 

Il existe une machine à imprimer de l’argent au bénéfice des frères Molson qui s’appelle le Canadien de Montréal.

 

Il existe un maire de la seconde ville au Québec qui rêve de construire un grand Colisée et d’attirer une machine à imprimer un peu moins d’argent, les Nordiques de Québec, qu’un maître de l’impression de l’argent, Pierre Karl Péladeau, tente d’ajouter à son empire.

 

En quoi les pouvoirs publics devraient-ils se mêler de ces entreprises capitalistes, autrement que par les aides normales prodiguées aux usines de fabrication d’allumettes ?

 

La question est excellente, d’autant que les magnats du hockey sont passés maîtres dans l’art de socialiser les pertes (donc d’extorquer le contribuable) et de privatiser les profits (donc de partir avec la caisse).

 

Pourquoi, donc, la conscience collective se fixe-t-elle avec autant d’acuité sur ces deux équipes, l’actuelle et la virtuelle ? C’est que, contrairement aux allumettes, elles constituent pour les Québécois un bien commun considérable. Une expression, parmi d’autres, mais peut-être plus rassembleuse que beaucoup d’autres, de leur identité.

 

Définir ce qui est souhaitable

 

a) Les Nordiques

 

Avant d’aborder les pièges financiers que nous posent les promoteurs, il faut identifier quel est ce bien commun et ce que nous voudrions qu’il devienne (ou redevienne).

 

Pour les plus jeunes, sachez que pendant près de 20 ans les matchs Canadien-Nordiques ponctuaient nos hivers comme autant de tempêtes du siècle. Chacun retenait son souffle. Pendant les retransmissions, les rues étaient désertes. Les billets, hors de prix.

 

Cela attisait la rivalité Québec-Montréal ? Pas du tout, cette rivalité gît dans le code génétique des deux villes. Mais cela la canalisait, lui offrait un exutoire. Et au moins, sur la glace, en fin de troisième période ou de prolongation, on savait clairement qui avait gagné, qui avait perdu, jusqu’à la prochaine fois.

 

Les Nordiques ont survécu de façon subreptice sous la forme de l’équipe fictive du National, dans l’inépuisable série de Réjean Tremblay, Lance et compte. Les tentatives pour faire revivre la vraie équipe disent aussi combien elle nous manque, comme un membre qu’on nous aurait coupé, mais que l’on sent encore, dans les moments de grande émotion.

 

On parle beaucoup d’identité ces temps-ci au Québec. De langue, de culture, d’efforts à déployer pour ne pas, comment dire ? dégénérationner. De respect pour le patrimoine culturel, historique, religieux du Québec. Et cela me frappe qu’on ait si peu compris combien l’existence d’une équipe de hockey dans chacune des deux grandes villes québécoises constituait, non seulement pour les gens de Québec, mais pour tous les Québécois, un élément structurant de la vie collective.

 

Cela tenait à la fois du divertissement, de la présence de notre sport national dans nos vies et même de l’aiguisement de notre esprit compétitif. Et du respect de notre langue.

 

En cas de retour des Nordiques, retrouverons-nous la magie des matchs d’autrefois ? Pas du tout. Ce sera mieux. Parce qu’avec les nouvelles règles de la LNH, les Nordiques et le Canadien pourront s’affronter en demi-finale de la Coupe Stanley. Jamais nous n’aurons vécu ce niveau d’intensité.

 

Jusqu’au jour dit, on en rêvera. Lorsqu’il arrivera, on sera en transe. Après, il entrera dans la légende. Divisés pendant cette étape cruciale, les Québécois (sauf quelques grincheux) s’uniront ensuite derrière le vainqueur pour la finale, contre la meilleure équipe du reste de l’Amérique. Pour donner du tonus à l’identité québécoise, la résurrection des Nordiques serait la plus belle mise au jeu.

 

b) Les Canadiens

 

Avez-vous remarqué que le départ des Nordiques a signifié le déclin du français au hockey, même au sein du Canadien ? La baisse du nombre de Québécois repêchés par la LNH et par le Canadien.

 

Il y a bien, comme l’a dit cette semaine Pierre Curzi et comme le dénonce régulièrement Réjean Tremblay et bien d’autres, un refus du Canadien d’assumer son rôle d’équipe montréalaise et québécoise.

 

L’affaire est chiffrée et entendue: il existe une discrimination dans le repêchage des joueurs francophones. Que les équipes américaines ou canadiennes anglaises exercent ce mépris (contre-productif) contre le talent québécois est une chose. Que l’équipe qui imprime son argent grâce aux billets achetés par des Québécois fasse de même est proprement inacceptable.

 

Sans même revenir à la pratique donnant au Canadien le premier choix au repêchage au Québec, la simple décision de choisir, à compétence égale, un francophone me paraît être le minimum exigible.

 

Mon estimé collègue Yves Boisvert, rétif dans sa chronique de ce samedi à l’idée de mélanger identité et hockey, affirme ce qui suit:

 

Le Canadien a tout de même commis deux fautes difficilement pardonnables. D’abord, ne pas être la meilleure équipe pour trouver le talent québécois. Ensuite, ne pas avoir montréalisé ses joueurs, venus de partout dans le monde. Je veux dire convaincre quelques figures de proue d’avoir la courtoisie élémentaire de parler un français fonctionnel. De montrer qu’ils savent où ils sont sur cette planète.

 

100 000 jeunes sur la glace

 

En ces temps où on se préoccupe grandement de la montée de l’obésité chez nos jeunes, j’ajoute que tout ce qui peut contribuer au maintien et à l’essor d’un sport aussi physique que le hockey est bon à prendre.

 

Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’au moment où le climat se réchauffe et restreint la période où on peut patiner sur les ronds de glace extérieurs (imaginez, il y a maintenant des patinoires extérieures réfrigérées à Montréal !) l’attachement à ce sport se raffermit, avec 100 000 jeunes sur la glace, plutôt que de fondre au soleil.

 

Le retour du couple Canadien/Nordiques, la multiplication de talents québécois, (de modèles québécois?) sur la glace, ne feraient-ils pas davantage que cent campagnes de sensibilisation pour renvoyer garçons et filles courir des rondelles plutôt que surfer les Galaxies avec Mario ?

 

Voilà donc ce qui est souhaitable: un retour des Nordiques, un respect réel du Canadien pour sa base majoritairement francophone et les talents québécois, un effet d’entraînement sportif pour un plus grand nombre de jeunes.

 

Comment y arriver sans se faire avoir ?

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ca va surement faire deraper ce fil mais bon..

 

le retour des nordiques ne ferait rien pour faire remonter le ratio de jouers francophones ni chez le canadien, ni dans la ligue.

 

le depart de la franchise de quebec n'a fait que coincider avec une multitudes d'autres facteurs ayant reduit le nombre de quebecois dans la lnh, en particulier la venue du talent international, dont ces memes nordiques semblaient si friants.

 

faut pas se compter dhistoires; on est 8 millions sur combien, dans la planete hockey??

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Si on veux augmenter le nombre de joueur de hockey québécois dans la LNH, l'argent serait mieux investit dans une multitude d’aréna pour le hockey mineur que dans un gros super Arena pour une seule équipe professionnel...

 

Ce qui nous fait mal, c'est les guerres de cloché et le favoritisme dans les ligues mineurs. Parce qu'il n'y a pas un G.M. dans la ligue qui a un emplois assez sur pour passé sur un québécois si avec lui il a plus de chance de gagné. Si Toronto a des québecois, n'importe qui peux en avoir...

 

Encore faut-il qu'il valent la peine.. Et faut pas se berné, la jeunesse québecoises pour diverses raison s'en va de plus en plus vers d'autre sport.

 

On a fait un bon spectaculaire au football. Il y a 15 ans, il y avait 2 québécois dans toute la ligue, maintenant, toutes les équipes en ont au moins 2. Jim Popp, le GM des alouettes ne voyage plus avec l'équipe. Il préfère suivre les matchs universitaires québécois parce qu'il trouve que nos athlète sont très bon et que le calibre y est très relevé. Peux être pas à battre des équipes comme LSU, mais on s'approche du calibre des équipes de deuxième division.

 

Sans parler de la grande popularité du soccer ici. Un sport facilement accessible et peux dispendieux contrairement au hockey d'élite.

 

Moi personnellement, j'adore le hockey. J'y ai jouer dans ma jeunesse, dans l'élite pour un temps. J'ai lâché par après quand au vu des coûts, mon père ma dit, c'est soit juste le hockey, ou le reste (j'aimais bien le vélo de montagne et la planche à neige).

 

J'ai fait mon choix et j'ai lâché le hockey. Je ne le regrette pas. De toute manière, mes chances de percer étant défenseur à 5 pied 7 était minime. J'aurais pu cependant offrir un bon calibre au joueurs adverse mais on avait pas chez nous 10 000$ ans à mettre dans le hockey.

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Avez-vous remarqué que le départ des Nordiques a signifié le déclin du français au hockey, même au sein du Canadien ? La baisse du nombre de Québécois repêchés par la LNH et par le Canadien.

 

Il y a bien, comme l’a dit cette semaine Pierre Curzi et comme le dénonce régulièrement Réjean Tremblay et bien d’autres, un refus du Canadien d’assumer son rôle d’équipe montréalaise et québécoise.

 

L’affaire est chiffrée et entendue: il existe une discrimination dans le repêchage des joueurs francophones. Que les équipes américaines ou canadiennes anglaises exercent ce mépris (contre-productif) contre le talent québécois est une chose. Que l’équipe qui imprime son argent grâce aux billets achetés par des Québécois fasse de même est proprement inacceptable.

 

Sans même revenir à la pratique donnant au Canadien le premier choix au repêchage au Québec, la simple décision de choisir, à compétence égale, un francophone me paraît être le minimum exigible.

 

Un Autre article stupide d'un journaliste qui refuse de voir la véritée.

 

Il y a moins de Québecois dans la ligue, car le ligue de Hockey Junior majeur du Québec produit moins de bons joueurs avec des gabarit de plus de 6 pieds que les autres ligues Canadiennes.

 

Nous sommes les spécialistes des gardiens de but et de bon joueurs au petit gabarit (moins de 5`6") au Québec. Oui, un ou deux bons joueurs de petite taille par équipe c'est bon, mais pas 5! Voilà pourquoi il y a moins de québecois! Tant et aussi longtemps que le calibre de jeux de la LHJMQ ne s'améliorera pas, les Québecois ne se feront pas repêcher.

 

Autre raison pourquoi il y a moins de Québecois...la venus des Européens. Dans les années 80, les européens comptaient pour moins de 5% des joueurs, aujourd'hui ils représentent plus de 30% des joueurs. Ce n'est pas négligeable!

 

Je préfère voir le CH compétitionner et se rendre loin en playoffs(comme l'année dernière) avec 2-3 ou 4 joueurs Québecois que de voir le CH pourrir dans les bas fonds du classement avec 10 joueurs québecois dans son alignement!

 

Réjean Tremblay ne fait que brasser de la marde avec ce dossier depuis quelques années. J'ai cancellé mon abonnement à LaPresse à cause de lui. J'ai envoyé un courriel pour expliquer pourquoi je cancellais mon abonnement, et je n'ai jamais reçu de réponse de leurs part...il faut croire qu'ils se foutent de moi!

 

Too bad for them, today, I get my news elsewhere!

Modifié par Habsfan
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Un Autre article stupide d'un journaliste qui refuse de voir la véritée.

 

Il y a moins de Québecois dans la ligue, car le ligue de Hockey Junior majeur du Québec produit moins de bons joueurs avec des gabarit de plus de 6 pieds que les autres ligues Canadienne.

 

Nous sommes les spécialistes des gardiens de but et de bon joueurs de 5`6" au Québec. Oui, un ou deux bons joueurs de petite taille par équipe c'est bon, mais pas 5! Voilà pourquoi il y a moins de québecois! Tant et aussi longtemps que le calibre de jeux de la LHJMQ ne s'améliorera pas, les Québecois ne se feront pas repêcher.

 

Autre raison pourquoi il y a moins de Québecois...la venus des Européens. Dans les années 80, les européens comptaient pour moins de 5% des joueurs, aujourd'hu ils représentent plus de 30-% des joueurs. Ce n'est pas négligeable!

 

Je p`éfère voir le Ch compétitionner et se rendre loin en playoffs(comme l'années dernière) avec 2-3 ou 4 joueurs Québecois que de voir le CH pourrir dans les bas fonds du classement avec 10 joueurs québecois dans son alignement!

 

Réjean Tremblay ne fait que brasser de la marde avec ce dossier depuis quelques années. J'ai cancellé mon abonnement à LaPresse à cause de lui. J'ai envoyé un courriel pour expliquer pourquoi je cancellais mon abonnement, et je n'ai jamais reçu de réponse de leurs part...il faut croire qu'ils se foutent de moi!

 

Too bad for them, today, I get my news elsewhere!

 

Ceci explique peut-être une partie du problème, mais la majorité des joueurs Européens ne sont pas de grande stature non-plus.

 

Je trouve moi aussi qu'il y a un manque de "présence québécoise" au sein de l'équipe. À mon avis, chaque équipe devrait avoir un nombre requis de joueurs de hockey locales.

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HARPER REFROIDIT L'ARDEUR

Lundi 13 septembre 2010

LA PRESSE CANADIENNE

 

OTTAWA - Stephen Harper a tenté de freiner l'enthousiasme de tous ceux qui voient déjà un nouvel amphithéâtre à Québec avec l'aide d'Ottawa: pour lui, les sports professionnels relèvent d'abord et avant tout du secteur privé.

 

Alors qu'il se trouvait à Sept-Îles lundi pour faire une annonce sur un autre sujet, le premier ministre a eu à faire face, encore une fois, aux questions des journalistes sur la possibilité d'un financement du fédéral pour la construction d'un amphithéâtre à Québec, un complexe qui pourrait notamment accueillir une équipe de la Ligue nationale de hockey (LNH).

 

"Nous sommes tous des fans des sports professionnels, mais à la fin, les sports professionnels sont la responsabilité avant tout du secteur privé", a t-il fermement déclaré.

 

Jouant de prudence en refusant de se prononcer de manière définitive, M. Harper a tenu à souligner que le Canada entre dans une période de restrictions budgétaires.

 

"S'il y avait un rôle pour le fédéral, ça devra être équitable à travers le pays et abordable", a indiqué le premier ministre, ajoutant qu'il reçoit des demandes de partout au pays pour la construction de nouvelles infrastructures pour la LNH et pour la Ligue canadienne de football.

 

 

Depuis que quelques députés et ministres conservateurs du Québec ont endossé un chandail des défunts Nordiques pour une photographie la semaine dernière, plusieurs y ont vu un endossement du gouvernement pour un amphithéâtre financé en partie par Ottawa.

 

Cet apparent soutien de conservateurs québécois avait soulevé la colère au Canada anglais, mais aussi au sein du caucus du parti.

 

Plusieurs éditorialistes de quotidiens anglophones accusaient alors Stephen Harper de tenter d'acheter des votes au Québec - où il ne détient que 11 sièges - en laissant planer un potentiel financement.

 

La semaine dernière, le premier ministre avait entrouvert une porte tout en apaisant ceux qui protestent contre le financement d'un amphithéâtre à Québec avec des fonds publics: il avait indiqué qu'il serait prêt à considérer offrir des fonds non seulement pour Québec, mais aussi pour d'autres installations sportives ailleurs au pays.

 

"Stephen Harper vient de confirmer qu'ils ne sont pas intéressés à financer la construction de ce complexe multifonctionnel", a conclu lundi un député du Bloc québécois, Michel Guimond, en marge du caucus présessionnel de son parti à Montréal.

 

Il a souligné que ce complexe, qui pourrait accueillir sports et spectacles, serait avant tout un équipement de développement régional. L'amphithéâtre serait un pôle d'attraction pour des visiteurs qui laisseraient leur argent dans les hôtels et restaurants de la région.

 

"Les députés du Bloc vont aller à Ottawa dès la reprise des travaux de la rentrée parlementaire porter la parole des gens de Québec", a-t-il promis.

 

La construction d'un amphithéâtre de quelque 400 millions $ à Québec semble être une condition préalable au retour du hockey de la LNH dans cette ville, sans équipe depuis le départ des Nordiques en 1995.

 

Le maire de Québec Régis Labeaume soutient que l'amphithéâtre donnera aussi un sérieux coup de pouce aux efforts de la ville en vue d'obtenir des Jeux olympiques d'hiver.

 

Le gouvernement du Québec et sa capitale ont confirmé que 55 pour cent des coûts de construction du complexe multifonctionnel seraient défrayés par eux. Quelque 180 millions $ sont réclamés d'Ottawa.

 

Le projet de ramener à Québec une équipe de la LNH est caressé depuis longtemps par les Québécois. Sous la gouverne du maire Labeaume, les efforts se sont accrus ces dernières années.

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I have to admit i'm a little weary of public investment in sports arenas.

 

In the context of Olympic games, i'd support federal involvement as a matter of national pride and significant economic advantages. However, we don't even know if the NHL itself will be returning to Quebec City, let alone any major events like the Olympics. It's a somewhat risky venture. If the NHL's return were a shoe-in, i'd be more favorable, but as it is, i don't much like the idea of federal dollars financing a potential white elephant.

 

For now, i guess i'll remain on the fence on this one.

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