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Quartier Sainte-Marie (Faubourgs Est): projets et nouvelles


IluvMTL

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Je ne sais pas de quoi tu parles, Carnaila. As-tu déjà visité le site du Parc Bellerive? Le port ne bouge pas...personne n'est déplacés??? Ce sont 2 terrains publics.

 

Donc quel accès au fleuve est-ce que tu veux? car si t'as pas accès au fleuve et que tu enlève pas les trains et les quais du port, c'est pas un accès au fleuve, donc pas ce que tu décrivait, mais un parc cloisonner avec un accès dangereux. si le parc est décrépit et pas fréquenter c'est par ce qu'il n'y a pas d'attrait a y aller, sauf pour les feux d'artifice quelques jours par année, même la pas très achalander.

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Je vous suggère Verdun, LaSalle, l'est du tunnel et l'île Saint-Hélène/Notre-Dame où ont peut trouver 2 musées, F1, casino, piscine publique, Plage, Restaurants, Festivals, Bassin d'aviron, La Ronde etc. De plus il est possible de rejoindre le parc nationnal de l'Île Charron en bateau à partir du parc Bellerive (celui à l'est du Tunnel). Trouvez moi une seule ville dans le monde où on peut trouver autant d'activitéss accessible en métro sur autant d'espace, et ce SANS construction privé qui empêchent l'accès à l'eau aussi près du centre-ville. Bien sûr il y a place à amélioration et le port pourrait laisser allez certains espaces avant le pont lorsque Molson fermera ou déménagera mais il y a des limites à dire n'importe quoi. La rue Bercy est l'accès au port par le CP. Jaimais ils ne quitteront et j'espère pour la santé économique de Montréal qu'ils ne le feront jamais.

 

À part entre le pont et le Tunnel et l'autoroute Bonnaventure (qui de toute façon est un remblais de déchet, une ancienne dompe en bon français) tout le reste est accessible à l'eau. La rive-sud est beaucoup plus mal barré avec la 132.

 

Je suis d'accord avec le boul urbain sur Notre-Dame mais il y a des limites à dire n'importe quoi aussi. Selon Projet Montréal et leur images de synthèse, ils placent les habitants le long du boulevard !!!! Adossé au port ???? Un méchant beau quartier vivant, j'ai hâte d'y habiter. Le port ne déménagera jamais. Oui il peut s'aggrandir à Contrecoeur mais il s'agit d'un agrandissement. On va pas demander à toutes les cie qui se sont installé en fonction du port de déménager à Contrecoeur. Sans compter tous les emplois pour les montréalais perdus.

 

Je vous laisse deviner aussi mon opinion sur le fais d'installer un musée sur la pointe de l'île ronde proposé par projet Montréal. Tabarnouche, il y en à déjà deux qui tirent le diable par la queue.

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Bonne Nouvelle! Le dossier avance dans Sainte-Marie.

 

Un motion pour agrandir et améliorer le Parc Bellerive sera déposé demain au conseil de la Ville!

À terme ce petit oasis dans Ville-Marie triplera en superficie. Ça sera un pas de plus de reconnecter le quartier avec le Vieux-Montréal et le Vieux-Port. Pour le moment, le parc linéaire termine à Amherst.

 

Voici le reportage dans le Journal Métro de ce matin.

 

 

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Vision Montréal veut réaménager le parc Bellerive

 

Une motion pour agrandir et aménager le parc Bellerive dans Sainte-Marie sera déposée mardi durant la prochaine séance du conseil municipal. Vision Montréal souhaite agrandir le parc le long de la rue Notre-Dame afin d’inclure à l’ouest, un terrain vague municipal et un dépôt à neige, et à l’est, le terrain vague du Ministère des transports du Québec. «[Le projet] offre une formidable opportunité de reconquête et de verdissement des berges montréalaises et de revitalisation d’un quartier fortement habité du centre-ville», a déclaré Louise Harel, chef de Vision Montréal, dans un communiqué.

 

 

Inauguré en 1883, le parc Bellerive est l’un des plus vieux parcs de Montréal et il offre une vue sur le fleuve, le pont Jacques-Cartier et le parc Jean-Drapeau. De nombreux citoyens le fréquentent durant l’été, notamment pour admirer les feux d’artifices de l’International des feux Loto-Québec. «C’est un véritable lieu emblématique de Montréal et il est déplorable qu’il soit laissé dans un tel état de décrépitude et conséquemment, sous-utilisé par la population», s’est désolée Louise Harel dans le communiqué.

 

Vision Montréal demande aussi à la direction du Transport de la Ville de Montréal de sécuriser les feux piétons et les traverses, à l’angle des rues Frontenac, Iberville et Fullum pour garantir l’accès aux berges pour les familles et les personnes âgée.

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Nouveau commerce au coin de Dorion et Sainte-Catherine (juste à l'ouest du Pont J-C).

On peut voir des morceaux interessants en ce moment (voir la liste des artistes en bas).

 

2013-05-27 17.49.06.jpg

 

http://www.lapointechampagne.com/index.php

 

L'honorable auteur-compositeur-interprète, acteur et sénateur canadien retraité mr. Jean Lapointe

 

Vente aux enchères / Public Auction

 

Mardi le 28 mai 2013 19 H / Tuesday, May 28th 2013 7:00 PM

Inscrivez-vous à l'enchère en ligne / Sign up for the live auction

 

Exposition / Viewing

Jeudi le 23 mai, 12 h à 21 h / Thursday, May 23rd, 12:00 pm to 9:00 pm

Vendredi le 24 mai, 12 h à 21 h / Friday, May 24th, 12:00 pm to 9:00 pm

Samedi le 25 mai, 10 h à 17 h / Saturday, May 25th, 10:00 am to 5:00 pm

Dimanche le 26 mai, 10 h à 17 h / Sunday, May 26th, 10:00 am to 5:00 pm

Lundi le 27 mai, 12 h à 21 h / Monday, May 27th, 12:00 pm to 9:00 pm

Mardi le 28 mai, 10 h à 16 h / Tuesday, May 28th, 10:00 am to 4:00 pm

1950 Sainte-Catherine Est, Montréal (Québec ) H2K 2H7

 

Encan de timbres / Stamp auction

1 et 2 juin 2013 à midi / 1st and 2nd June 2013 at noon

Inscrivez-vous à l'enchère en ligne / Sign up for the live auction

 

 

Artistes / Artists

 

Riopelle, Jean-Paul

(1923-2002)

El Glaoui, Hassan (1924-)

Suzor-Côté,Marc-Aurèle De Foy

(1869-1937)

Besner, Dominic (1965- )

Rousseau, Albert (1908-1982)

Warhol, Andy (1928-1987)

Lecor, Paul «Tex» (1933-)

Huot, Charles Ed. Masson

(1855-1930)

Dufy, Jean (1888-1964)

Dallaire, Jean-Philippe

(1916-1965)

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  • 2 semaines plus tard...

Trés bien dit!

 

http://www.oaq.com/esquisses/balades_au_fil_de_leau/dossier/acces_aux_berges.html

 

L’industrialisation et la privatisation ont largement réduit l’accès des citoyens aux berges. Comment reconquérir nos rives ?

Corinne Fréchette-Lessard

 

Deux fois par semaine, pendant la belle saison, Jean-François St-Onge quitte son duplex de Verdun ou son bureau dans le Sud-Ouest de Montréal avec sa canne à pêche sous le bras. Originaire de Kamouraska, ce concepteur et stagiaire en architecture chez Lemay et associés a importé quelques habitudes rurales en ville et adopté la pêche urbaine (aussi appelée street fishing).

 

En lançant sa ligne dans les eaux du Vieux-Port et de l’île Sainte-Hélène, il a réalisé à quel point l’accès au fleuve Saint-Laurent est limité. Souvent, se rendre à ses lieux de pêche nécessite une entorse au règlement. Et quand il évoque son activité de loisirs, il est toujours frappé par le dégoût de ses interlocuteurs. « Les gens pensent que le fleuve est une poubelle polluée. » En fait, la qualité de l’eau est « bonne » ou « excellente » sur presque toute la rive sud de l’île, selon la Ville. Assez pour se régaler de ses perchaudes et de ses dorés sans danger.

 

« J’ai vécu ici deux ans avant d’aller au bord de l’eau, poursuit-il. Les Montréalais semblent ignorer qu’ils sont des insulaires. » Avec toutes les barrières érigées entre la ville et ses cours d’eau, peut-on s’en étonner ? Ailleurs sur la planète, la reconquête des berges est lancée. Mais au Québec, même si des initiatives prometteuses ont vu le jour ici et là, on est encore loin du réinvestissement des rives au profit du bien public.

 

VOIE MARITIME

 

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Quai des Cageux, promenade Samuel-De Champlain, Daoust Lestage inc. Photo: Marc Cramer

 

De tout temps, les humains se sont installés près de l’eau. « Au départ, c’était pour boire, se laver, cuire les aliments. Mais on s’est vite rendu compte que c’était un moyen imbattable pour transporter des matériaux et des gens », dit Jean-François St-Onge.

 

Au Québec, toute la colonisation s’est faite à partir du Saint-Laurent. Aujourd’hui, 60 % de la population – environ 4,3 millions de personnes – vit dans une bande de 10 km de part et d’autre de ce cours d’eau. « Le lien entre les Québécois et le fleuve est historique, démographique, économique, touristique et même artistique », dit Jean-Éric Turcotte, directeur de Stratégies Saint-Laurent. Cet organisme regroupe les 13 comités de zones d’intervention prioritaire (ZIP) du Québec, qui visent la protection, la réhabilitation et la mise en valeur du fleuve. « L’attachement est viscéral, ajoute-t-il, même si on l’oublie parfois. »

 

Cette amnésie, on la doit en partie aux infrastructures massives – portuaires, ferroviaires, autoroutières – qui ont pris les rives d’assaut avec l’industrialisation au 20e siècle. « On a développé une vision purement utilitaire du fleuve, poursuit Jean-Éric Turcotte. Avec la construction de l’autoroute Dufferin-Montmorency à Québec, par exemple, ce sont des kilomètres de marais côtiers qui ont disparu sous les remblais. » Et avec eux, l’accès facile pour le public.

 

Les mentalités ont commencé à changer dans les années 1980, grâce entre autres à la prise de conscience environnementale. Depuis, les initiatives pour ramener les Québécois au fleuve se multiplient, principalement dans une optique récréotouristique. Des routes bleues – des circuits navigables en kayak et en canot – ont vu le jour de la Gaspésie à l’Outaouais et les projets de baignades pullulent. Les festivités du 400e de Québec ont ont donné naissance à la promenade Samuel-De Champlain et suscité le réaménagement de la baie de Beauport. À Montréal, la plage de l’Horloge accueillera cet été les amateurs de chaises longues dans le Vieux-Port pour une deuxième année, à un jet de pierre du Village de pêche blanche qui a attiré l’hiver dernier les mordus de la perchaude. Et la réappropriation des berges va bon train à Verdun et dans quelques autres secteurs de l'île de Montréal.

 

Néanmoins, l’accès aux berges pour tous et en tout temps, ce n’est pas pour demain. La spéculation foncière a remplacé la grande industrie. On assiste à la privatisation des berges du Saint-Laurent et de ses tributaires. « Près de Québec, le long des routes 132 et 138, les projets de condos portent des noms comme “Le Marais” et s’annoncent “les deux pieds dans le fleuve”. On construit directement dans des milieux naturels sensibles », s’insurge Jean-Éric Turcotte.

 

FORMULE GAGNANTE

 

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Esquisse du futur amphithéâtre de Trois-Rivières, Paul Laurendeau, François R. Beauchesne, architectes en consortium

 

Au fil de ses escapades de street fishing, Jean-François St-Onge s’est demandé comment d’autres villes occupaient leurs rives. Il a élaboré un projet de recherche qui a remporté, en 2011, la bourse du Collège des présidents de l’Ordre. Cette cagnotte a financé un périple d’une quinzaine d’escales en Europe du Nord, où la requalification de zones portuaires et côtières bat son plein.

 

En arpentant les berges de Liverpool, Reykjavik, Hambourg et autres, il a remarqué une formule récurrente. « Les autorités libèrent une zone en déménageant le port et en détournant les voies ferrées, par exemple. Ensuite, elles posent un geste fort : un bâtiment public d’une valeur architecturale exceptionnelle qui donne le ton et attire les promoteurs privés, qui sont strictement encadrés pour assurer la qualité. » Plus qu’un lieu de plaisir et de détente, le bord de l’eau est envisagé comme un milieu de vie.

 

Et ça marche. À Oslo, la transformation des abords du fjord, amorcée depuis les années 1980, s’est accélérée depuis une dizaine d’années. On a déplacé le port industriel et enfoui l’autoroute qui l’encerclait dans un tunnel. La mer de conteneurs a fait place à une poignée de nouveaux quartiers à usage mixte. L’un deux – Bjørvika – accueille depuis 2008 l’Opéra d’Oslo, conçu par la firme Snøhetta. Le bâtiment spectaculaire, couvert de marbre d’Italie et de granit blanc, semble émerger de l’eau. Un musée et une bibliothèque seront bientôt construits. Une fois le projet achevé, 30 000 personnes y vivront et y travailleront.

 

Les espaces européens réinventés à cette sauce sont situés en plein cœur de la ville.

« Un architecte de chez OMA – le cabinet néerlandais fondé par Rem Koolhaas – me faisait remarquer à quel point ce sont des occasions uniques, raconte Jean-François St-Onge. En ville, on n’a plus de vastes espaces inoccupés. Il faut en profiter pour installer de grands bâtiments institutionnels, comme des musées, ou encore des stades. Sinon, ceux-ci devront être construits dans des sites excentrés et difficilement accessibles. »

 

Évidemment, soustraire les berges aux griffes de l’industrialisation ou de la spéculation est un enjeu de taille. Les terrains sont souvent la propriété de sociétés d’État (agence portuaire, ministère des Transports, etc.), un atout important pour imposer des règles et assurer un développement cohérent. Mais les acteurs sont nombreux et l’exercice requiert concertation et vision à long terme.

 

Ainsi, en rentrant d’Europe, Jean-François St-Onge espérait présenter le fruit de ses recherches à plusieurs endroits le long du fleuve au moyen d’une petite exposition ambulante. Il s’est buté à des murs administratifs. « On m’a barouetté d’autorités municipales en sociétés fédérales en comités. J’ai fini par abandonner. » Ce n’est qu’un aperçu, à très petite échelle, du casse-tête bureaucratique qui attend une requalification d’envergure.

 

PLACE À LA CONTEMPLATION

 

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Pôle touristique de Natashquan, Croft Pelletier architectes. Photo: Eric Pelletier

 

À l’extérieur des grands centres, les barrières prennent d’autres formes. Le printemps dernier, l’architecte Pierre Thibault a acheté un nouveau réfrigérateur pour sa résidence secondaire dans Charlevoix. Pour prendre possession de l’électroménager, il a dû se rendre à l’arrière du centre commercial où l’attendait… une vue magnifique ! « Entre Québec et le début de Charlevoix, on a permis la construction de toutes sortes de bâtiments insignifiants du côté du fleuve, raconte-t-il. On est niché entre la montagne et l’île d’Orléans, mais on se croirait à Brossard. C’est ahurissant. »

Selon lui, c’est en partie parce que le fleuve a longtemps été perçu comme un ennemi. « Les femmes perdaient leurs hommes, qui partaient à la pêche pendant de longues semaines. Aussi récemment que dans les années 1950, la majorité des gens ne savaient pas nager. »

 

L’architecte donne un cours intitulé Eau et architecture à l’Université Laval. Les étudiants y explorent différentes pistes pour renouveler notre relation à l’eau. Lui-même favorise une approche qui s’apparente à... l’acupuncture. C’est-à-dire planter des « aiguilles » – des plateformes simples pour contempler, lire, pique-niquer – le long du fleuve. « On imagine à tort qu’il faut investir à coup de dizaines de millions de dollars, comme pour la promenade Samuel-De Champlain. Mais dans bien des cas, des interventions minimalistes, à la limite du land art et de l’architecture, suffisent. »

En ville comme à la campagne, il faut respecter la singularité des rives. « Ce serait dommage d’appliquer des idées qu’on utilise ailleurs au bord de l’eau, croit Jean-François St-Onge. On peut par exemple s’inspirer de l’imagerie maritime. En Hollande, beaucoup de projets intègrent des conteneurs pour évoquer l’ancien usage portuaire.»

Assurer le caractère public est aussi fondamental. Pierre Thibault imagine des promenades comme la Samuel-De Champlain qui seraient bordées d’habitations sur pilotis. « Les promeneurs pourraient circuler en dessous, protégés des intempéries. » Sans oublier la démocratisation des vues. « Ici, les promoteurs installent leurs bâtiments face à l’eau. Ils vendent les appartements avec vue au gros prix et les autres, beaucoup moins chers. En Scandinavie, ça ne se fait pas. Le bâtiment est positionné de façon à ce que tout le monde ait une vue moyenne », raconte Jean-François St-Onge.

 

On y gagnerait un plus grand intérêt des Québécois pour leur or bleu. « C’est par l’usage qu’on se réapproprie un patrimoine », croit Jean-Éric Turcotte. Avec un meilleur accès au fleuve, les Québécois se préoccuperaient davantage de son sort, de son développement, de sa protection. Une meilleure planification territoriale s’ensuivrait. « Pour l’instant, les gouvernements n’ont pas de grandes stratégies de conservation et d’accès dans leurs cartons », ajoute-t-il.

Certains bénéfices sont aussi de l’ordre de la poésie. « Offrir de l’horizon aux citoyens est précieux, estime Pierre Thibault. Nos vies manquent de moments de contemplation. Les architectes sont des rêveurs de l’espace. Il faut amener nos concitoyens et nos élus à rêver avec nous. »

 

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Musée de la Gaspésie, Croft Pelletier architectes, Brière, Vachon et Roy, architectes et Claude Cormier, architecte de paysage. Photo: Marie-Chantal Croft

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Je suis fort contant que quelqu'un en parle! Ça fait des années que je dis ça mot pour mot, et tout le monde rit de moi. D'ailleurs, j'en ai parlé quelques fois ici-même sur ce forum et on me dit tout le temps que c'est utopique. Pourtant, Montréal doit bien être une des dernières grosse ville au monde à ne pas avoir réalisé cette «utopie». Le port n'a pas sa place sur l'île. C'est fini ce temps là! Toutes les grandes capitales l'ont déménagés sur la rive opposée.

 

Une fois débarrassé du port, on pourra enfin avoir un majestueux parc linéaire entre Pie-IX et le Vieux-Montréal, à l'image de la promenade Samuel-de-Champlain à Québec, et de tellement d'autres dans le monde.

 

Aussi, faudrait bien un jour qu'on fasse de quoi avec les rives du canal Lachine, mais bon. Ça c'est dans un autre sujet.

 

De toutes façon, le port de Montréal dépend du gouvernement du Canada, et comme toutes les choses qui pourrait faire avancer Montréal, vaut mieux ne pas compter sur eux! (Le canal Lachine dépend aussi du gouvernement du Canada, non?)

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Pour le moment présent, il faut commencer par rever beaucoup moins gros dans le quartier Sainte-Marie. ''All or nothing'' ne fonctionne pas dans notre économie. Quant au Port, il va démenager quand et si deviendra un temps opportun pour lui.

 

En attendant, il est possible d'occuper ou reconquerir nos rives dans Ville-Marie (de different facons) en faisant des petits et des moyens gestes, un peu comme ils ont fait dans le Vieux-Port. Le Quai Bikerdike et d'autres installations portuaires continuent de fonctionner a cote des aires recreo touristiques.

 

Plus à l'est, dans HOMA, il y a deja eu des études pour la création d'un Cité Portuaire ou les visiteurs passeront voir notre Port en action!

 

Deux bons exemples comment la cohabitation peut fonctionner.

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Je suis fort contant que quelqu'un en parle! Ça fait des années que je dis ça mot pour mot, et tout le monde rit de moi. D'ailleurs, j'en ai parlé quelques fois ici-même sur ce forum et on me dit tout le temps que c'est utopique. Pourtant, Montréal doit bien être une des dernières grosse ville au monde à ne pas avoir réalisé cette «utopie». Le port n'a pas sa place sur l'île. C'est fini ce temps là! Toutes les grandes capitales l'ont déménagés sur la rive opposée.

 

Une fois débarrassé du port, on pourra enfin avoir un majestueux parc linéaire entre Pie-IX et le Vieux-Montréal, à l'image de la promenade Samuel-de-Champlain à Québec, et de tellement d'autres dans le monde.

 

Aussi, faudrait bien un jour qu'on fasse de quoi avec les rives du canal Lachine, mais bon. Ça c'est dans un autre sujet.

 

De toutes façon, le port de Montréal dépend du gouvernement du Canada, et comme toutes les choses qui pourrait faire avancer Montréal, vaut mieux ne pas compter sur eux! (Le canal Lachine dépend aussi du gouvernement du Canada, non?)

 

Si le Port de Montréal ferme, j'espère qu'on y gardera quand même quelques containers pour que les travailleurs qui perdront leurs emplois puissent y vivre. Je suppose que de vivre dans un container avec vue sur le fleuve compensera le fait d'avoir un emploi...

 

Oui, c'est du sarcasme. Le Port de Montréal est un de nos trop rares avantages concurrentiels face aux autres villes et il est générateur d'emplois et de richesses. Donnons lui le respect qu'il mérite. Je sais que tu ne parles pas de le fermer mais simplement de le déménager (à quel coût?), mais l'activité économique produite par le Port dépasse tout ce qu'on pourrait y mettre à sa place. L'économie n'est pas tout, mais elle a ses besoins et on a besoin d'elle. L'inconvénient d'un port, c'est qu'il doit être sur le bord de l'eau. Si on essaye de déménager le Port (encore une fois, à quel coût!), les NIMBY à la destination choisie n'en voudront pas de toutes façons. Je ne dis pas qu'il est impossible de reconvertir certains terrains (le Quai Bickerdike a un potentiel touristique très intéressant), mais on ne doit pas voir le port comme une nuisance mais comme un moteur qui nous permet de générer de la richesse qu'on peut réinvestir dans des parcs ailleurs.

 

Cependant, pour le Canal Lachine, je suis d'accord avec toi. Autrefois, c'était une installation qui était un moteur économique semblable au Port de Montréal, mais il est maintenant obsolète dans ses fonctions industriels (transport, production d'énergie, approvisionnement en eau, rejet de déchets). La présence du Canal donne une valeur ajoutée à des utilisations comme un parc linéaire (avec quelques grands parcs ici et là) et des condos (de luxe, pas des HLM. Pour ceux-ci il y aura des terrains tout-à-fait adéquats pas très loin du Canal, mais pas au bord de l'eau).

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Je suis fort contant que quelqu'un en parle! Ça fait des années que je dis ça mot pour mot, et tout le monde rit de moi. D'ailleurs, j'en ai parlé quelques fois ici-même sur ce forum et on me dit tout le temps que c'est utopique. Pourtant, Montréal doit bien être une des dernières grosse ville au monde à ne pas avoir réalisé cette «utopie». Le port n'a pas sa place sur l'île. C'est fini ce temps là! Toutes les grandes capitales l'ont déménagés sur la rive opposée.

 

Une fois débarrassé du port, on pourra enfin avoir un majestueux parc linéaire entre Pie-IX et le Vieux-Montréal, à l'image de la promenade Samuel-de-Champlain à Québec, et de tellement d'autres dans le monde.

 

Aussi, faudrait bien un jour qu'on fasse de quoi avec les rives du canal Lachine, mais bon. Ça c'est dans un autre sujet.

 

De toutes façon, le port de Montréal dépend du gouvernement du Canada, et comme toutes les choses qui pourrait faire avancer Montréal, vaut mieux ne pas compter sur eux! (Le canal Lachine dépend aussi du gouvernement du Canada, non?)

 

 

Il y a un fil existant qui parle de ta vision pour le Port. :)

 

Vision déménagement du port de Montréal

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/19398-Vision-d%C3%A9m%C3%A9nagement-du-port-de-Montr%C3%A9al?highlight=port+montreal

 

Pour les gens qui s'interessent aux affaires du Port, j'ai crée un fil dans la section TRANSPORTS ET INFRASTRUCTURES dans lequel j'ai ajouté une liste des autres fils qui existaient sur le Port de Montréal. J'ai été capable de tracer une vingtaine de fils qui traite le Port de Montréal, mais il y a surement plus que ça.

 

Port de Montréal: discussions générales et actualités

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/21458-Port-de-Montr%C3%A9al-discussions-g%C3%A9n%C3%A9rales-et-actualit%C3%A9s?p=171704#post171704

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