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Canadiens de Montréal


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Publié le 19 juin 2009 à 20h33 | Mis à jour le 19 juin 2009 à 23h09

 

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Photo: André Pichette, La Presse

 

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Jean-François Bégin, La Presse

 

 

Un dénouement semble imminent dans le roman-feuilleton de la vente du Canadien.

 

Selon des informations obtenues vendredi de source bien informée, les tractations entre la famille Gillett et les acheteurs potentiels en sont à la phase «des ultimes marchandages». «C'est en ce moment que ça se passe. On en est dans les derniers échanges, comme dans toute négociation du genre. On est dans les derniers soubresauts de la fin, dans la dernière ligne droite», a assuré à La Presse une source proche du dossier.

 

Dans son numéro à paraître lundi, le SportsBusiness Journal (SBJ), une publication américaine spécialisée, rapporte de son côté qu'un accord de vente du Canadien et du Centre Bell, pour un montant de 506 à 537 millions $ US (574 à 610 millions $ CAN), pourrait être annoncé dès le week-end prochain.

 

L'intention de George Gillett serait de compléter la transaction avant le repêchage de la Ligue nationale, qui a lieu le vendredi 26 à Montréal. La séance de sélection sera précédée mercredi d'une réunion du conseil des gouverneurs de la Ligue.

 

 

Il n'a pas été possible de savoir lesquels des acheteurs potentiels sont toujours dans la course, mais une de mes sources et une autre de mon collègue William Leclerc, de notre bureau d'Ottawa, affirment que la famille Molson est toujours dans le coup. Outre les Molson, un consortium formé de Quebecor Media, des Productions Feeling de René Angélil et du Fonds de solidarité de la FTQ a annoncé publiquement qu'il avait déposé une offre, la semaine dernière. L'homme d'affaires montréalais Stephen Bronfman est également sur les rangs et des groupes américains se seraient aussi montrés intéressés.

 

Si la somme avancée par le SBJ est conforme à la réalité, elle établirait un nouveau record pour une transaction concernant une équipe de la LNH. George Gillett réussirait un spectaculaire retour sur l'investissement qu'il a fait en achetant le Canadien, son amphithéâtre et la division spectacles de Molson pour 275 millions $ CAN, en 2001. Jusqu'ici, les estimations les plus optimistes faisaient plutôt était d'une valeur globale d'un demi-milliard de dollars canadiens.

 

Il semble cependant évident que Gillett n'empochera pas tout cet argent, car le Canadien et le Centre Bell traînent une lourde dette qui devrait normalement être assumée par l'acheteur. Le mois dernier, La Presse Affaires rapportait que cette dette se chiffrait à 250 millions, dont une hypothèque de 200 millions liée au Centre Bell.

 

Quoi qu'il en soit, et même si une source citée par le SBJ n'écarte pas la possibilité que Gillett, 70 ans, ne vende qu'une part minoritaire de ses actifs montréalais, la fin du règne de l'homme d'affaires américain semble plus que probable. Avec plusieurs acheteurs potentiels dans le coup, le marché est idéal pour un vendeur - a fortiori pour un vendeur qui affirme, comme l'a fait M. Gillett, qu'il a l'intention de laisser ses finances en ordres à ses fils.

 

En effet, rien ne garantit que Gillett trouvera autant d'intéressés s'il décide de conserver le Canadien, le Groupe spectacles Gillett et le Centre Bell encore quelques années. De plus, grâce au remarquable travail de mise en marché fait par son groupe au cours des huit dernières années, la valeur de ses propriétés n'est probablement pas loin de son sommet: tous les matchs du Canadien sont déjà disputés à guichets fermés et les spectacles se succèdent à un rythme fou. Difficile de faire mieux.

 

Finalement, la froide réalité financière pourrait le forcer à se départir d'une équipe pour laquelle son affection et son enthousiasme n'ont jamais été mis en doute. Un prêt de 655 millions $ consenti par la Royal Bank of Scotland à Gillett et à son partenaire Tom Hicks pour l'acquisition du club de football de Liverpool est exigible à la fin juillet. L'horloge tourne.

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Gillett vend aux Molson

Samedi 20 juin 2009

RDS.ca

 

La vente du Canadien est maintenant conclue. Selon ce que RDS a appris, la famille Molson serait le prochain propriétaire du Canadien.

 

La famille Molson a dévoilé son intention d'acheter le Canadien le 26 mai.

 

Quebecor avec ses partenaires du Fonds de solidarité de la FTQ et des productions Feeling de René Angélil tentaient d'acquérir le Canadien.

 

La famille Bronfman était également impliqué dans le dossier.

 

Plus de détails à venir

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C'est officiel et ça n'aurait pas pu être vendu à une meilleure famille que ça. La Famille Molson sont aussi Québécois de souche que n'importe quelle autre que je connais d'ici. Depuis que Depuis que John Molson a immigré à Montréal à la fin du 18e siècle. Molson est à Montréal ce que les Tremblay sont au Lac St-Jean.

 

Je suis content que ce soit tombé dans leur main. J'avais vraiment peur de Québécor parce que je ne suis pas un fan de leur plan d'affaire et autant que je suis fier de BCE, je ne sais plus si c'est vraiment un fleuron Québécois maintenant qu'ils ont presque été vendu à des Ontariens.

 

Ça va peut-être faire baisser le prix de la bière lol :)

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Comme j'aime l'histoire voici un peu de recherches.

En 1921 Léo Dandurand achète le Club de Hockey canadiens pour 11 000$ (Il est aussi fondateur des Alouettes en 1946)

En 1935 ce dernier vend pour 65 000$ à Canadian Arena Company qui eux avait fondé les Maroons en 1922.

Premières fois que la famille Molson achète le Canadiens en 1957 pour 2 000 000$. Ils vendent après à la famille Bronfman en 1971 pour 13 000 000$ qui finissent par revendre à la famille Molson pour 20 000 000$ qui revendent le club à Georges Gillett pour 181 000 000$ pour finalement la racheter aujourd,hui pour une sommes estimé au dessus de 500 000 000$

 

Je sais pas pour vous, mais on dirait que la Famille Molson ne savent pas s'il veulent vraiment l'équipe :)

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Le Canadien : la bataille qui cachait la guerre

22 juin 2009 | 11h17

ARGENT

 

Pierre Duhamel /

 

À première vue, il ne s’agissait que d’une enchère pour acquérir le Canadien de Montréal, le centre Bell et les activités de divertissement du Groupe Gillett. En réalité, nous venons d’assister à un épisode d’une grande guerre pour la conquête du marché québécois des télécommunications.

 

Deux des protagonistes étaient impliqués dans la bataille pour le Canadien, Quebecor, à visage découvert, et Bell et Woodbridge Company, le principal actionnaire de CTVglobemedia, presque invisibles dans le coin de la famille Molson.

 

Dans cette guerre pour le marché québécois, Quebecor a remporté une première victoire en arrachant à Bell des centaines de milliers de clients du service téléphonique filaire et en s’imposant sur le web.

 

Le prochain combat aura lieu l’an prochain. Vidéotron investit 1 milliard de dollars pour établir son propre réseau de téléphonie mobile et concurrencer Rogers, Bell et Telus. Pour paraphraser la chanson la plus populaire de l’année au Québec, le combat fait rage, le combat est dur, il fait des ravages…

 

Quebecor voulait profiter de l’acquisition du Canadien et profiter de l’accès privilégié aux images de la LNH pour propulser son nouveau service de cellulaire. Ces droits appartiennent aujourd’hui à Bell qui ne voulait manifestement pas les perdre à un concurrent qui lui a déjà fait mal.

 

Avec l’achat du Canadien, Quebecor voulait lancer une chaîne spécialisée de sports et concurrencer la très rentable RDS (CTV GlobeMedia) en lui arrachant les droits de télédiffusion des parties du Canadien et des autres équipes de la Ligue nationale de hockey, sa plus belle propriété.

 

C’en était trop. CTVglobemedia et son actionnaire BCE (15%) ont décidé de barrer la route à Quebecor, quitte à y mettre les sommes nécessaires. Voilà pourquoi George Gillett a doublé son investissement d’il y a huit ans et qu’il est aujourd’hui un homme heureux et soulagé.

 

Ils ont payé très cher et je vois mal comment un tel investissement pourra se rentabiliser. Mais l'argent n'est pas un problème pour Bell et Woodbridge. Bell est assise sur 4 milliards de dollars d’encaisse et la famille Thomson, actionnaire de contrôle de CTVglobemedia, vaut plus de 13 milliards de dollars et constitue, de très loin, la plus grande fortune canadienne.

 

La famille Molson avait la tradition, les fantômes et les légendes vivantes du Canadien de son côté. Elle n’est pas elle-même dépourvue, car la valeur de son investissement dans Molson-Coors vaut environ 350 millions de dollars. Ses alliés ontariens lui procuraient l’argent qu’il lui manquait et le Fonds de solidarité donnait une ultime caution québécoise. Cette association s’est avérée trop forte, même pour les Bronfman et Quebecor.

 

Quebecor a-t-il tout perdu ? Je ne suis pas sûr. L’entreprise aura besoin de beaucoup d’argent pour livrer une guerre du cellulaire sans merci contre trois compagnies (Rogers, Bell et Telus) aguerries, bien implantées et aux ressources considérables. Elle aura aussi besoin de toute l’attention de ses dirigeants.

 

Maintenant, passons aux choses sérieuses. Combien doit-on offrir à Vincent Lecavalier et qui, de Kovalev ou de Koivu, doit-on laisser partir ?

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Maintenant, passons aux choses sérieuses. Combien doit-on offrir à Vincent Lecavalier et qui, de Kovalev ou de Koivu, doit-on laisser partir ?

 

 

Koivu doit être relâché maintenant on ne peut l'échanger ça ne serait pas respectueux pour lui malgrés tout. Kovalev doit rester et être plus responsable afin d'être plus constant. Lui donner un rôle va l'aider. Si la stratégie du nouvel entraineur est le contrôle de la rondelle, ce sera le style prévilégié de Kovalev et il sera un atout important pour Martin.

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Bouillon ne revient pas

Jeudi 25 juin 2009

RDS.ca

 

Le défenseur Francis Bouillon ne sera pas de retour à Montréal la saison prochaine à la suite d'une décision de la direction du Canadien.

 

Selon plusieurs sources dans la LNH, la direction de l'équipe a annoncé au défenseur québécois qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire une offre d'ici le premier juillet ce qui veut dire qu'il testera le marché des joueurs autonomes.

 

La décision a de quoi surprendre puisque Bouillon a toujours eu à coeur les succès de l'équipe et il avait même tenté un retour au jeu en série face aux Bruins, malgré le fait qu'il avait subi une sérieuse blessure à l'aine.

 

Rejoint par RDS, Francis Bouillon a affirmé qu'il n'avait aucun commentaire à faire.

 

D'après nos sources, Bouillon intéresserait déjà plusieurs équipes.

 

Bouillon a disputé neuf saisons dans l'uniforme du Canadien et il a également joué pour les Predators de Nashville. En 485 rencontres dans la LNH, il a récolté 21 buts et 81 aides pour 102 points.

 

Par ailleurs, Bob Gainey a l'intention de poursuivre les pourparlers avec plusieurs joueurs la semaine prochaine, dont Saku Koivu, Alex Tanguay et Mike Komisarek notamment.

 

 

 

Ça commence bien mal...

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