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Né entre les rapides

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Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Super contenu! De plus, la présentation se prête bien à des ajouts par d'autres contributeurs!
  2. Un peu beaucoup trop court. J'imagine une salle d'examen en classe terminale. Les étudiants disposent de trois heures pour répondre à la question que j'ai posée. L'un des étudiants (toi) complète sa réponse en dix secondes, se lève et quitte la salle promptement, en jetant un regard à la Mr. Beans sur les autres qui viennent tout juste de commencer à réfléchir à la manière de répondre. Une réponse un brin moins courte aurait pu être quelque chose comme: "Bâtir le Québec " --un énoncé de politique économique par le ministre d'Etat au développement économique du Québec en 1979, Bernard Landry. Mais je doute qu'une telle réponse aurait mérité une note élevée. Il y a moyen de faire beaucoup mieux --en puisant dans sa mémoire et en consultant au besoin des articles et documents pertinents. Et comme nous sommes en 2020, nous bénéficions de l'avantage de la rétrospective, mais pour en tirer profit, il faut aussi exercer un jugement critique, par des analyses, des comparaisons, etc. Ce n'est pas tout le monde qui peut être admis dans la salle d'examen. Mais les autres (qui étudient dans d'autres disciplines) pourraient quand même lire avec intérêt les réponses les plus étoffées. Malheureusement, ta réponse était du calibre de celles entendues dans les jeux-questionnaires télévisés (quiz). Heureusement, tu peux aller à l'examen de reprise.
  3. (extrait de l'article cité) Pas vraiment surpris de l'entendre, content que ce soit reconnu. Quelqu'un pourrait-il expliquer/faire l'historique des étapes/événements/décisions qui ont conduit Montréal à ce niveau?
  4. Ce chantier est peut-être "majeur" de par l'ampleur des désagréments qu'il cause, mais il ne l'est certainement pas pour son budget--un tout petit 13 millions $ (42 millions au total pour deux contrats "complémentaires"). Ce sont des travaux de réparation, pas de reconstruction.
  5. Ce n'est pas pareil, c'est une basseur* Personnellement, je raffole des hauteurs et des sensations que cela me procure (il ne s'agit pas de me vanter--voir la suite de la phrase...), mais j'avoue que je crains de tomber dans un trou, par exemple un puits ou une crevasse. Debout tout en haut d'une falaise m'excite, pourtant si je tombais les conséquences seraient semblables. Bizarre quand même. Je me suis demandé s'il y avait une différence: eh bien oui il y en a une: chutant du haut d'une falaise ou d'un toit, on verrait se dérouler le paysage en descendant (comme Wile. E. Coyote); mais dans un puits ou une crevasse, la vue serait médiocre. Le trou creusé pour la station Edouard-Montpetit est plus large, mais la vue latérale est trop ordinaire -pas la peine! Par contre un Voyage au centre de la Terre** pourrait être passionnant, bien que je préfère les étoiles. Mais cela ne m'a pas empêché de m'engouffrer dans des cavernes sur de longues distances, une fois seul avec un copain (imprudent), d'autres fois dans des parcours avec guides (plus prudent). Des randonnées en terrain montagneux où il y a déjà eu de l'exploitation minière comportent aussi des risques. Le plus important, c'est que ça ne soit pas plat (comme une morne plaine) ni plate (en québécois). *Contraire de hauteur. Mot en moyen français (i.e. ancien), très rarement utilisé au sens propre de nos jours. ** Roman de Jules Vernes (1864); aussi un film (2008)
  6. Propos intéressants, mais ça commence à être pas mal éloigné du sujet en titre. Le phénomène que vous décrivez se voit un peu partout dans la région de Montréal, mais ailleurs aussi. Il ne faudrait pas que le mot d'ordre "DENSIFIEZ BONYEU!" conduise à des horreurs urbanistiques. Des alternatives plus intelligentes existent.
  7. Bien sûr. C'était déjà clair. Mon précédent commentaire visait surtout à faire ressortir l'absurdité d'un Texas et d'une Floride privés de restaurants et de bars en permanence... En fait, la situation demeure très sérieuse pour plusieurs restaurants et bars au Québec, même dans l'hypothèse où ils ne "fermeraient pas de nouveau pour une longue période". La raison de mon appréhension vient du fait que nous sommes encore loin d'être retournés à la normale en tant que clients fréquentant ces lieux le midi et/ou à la fin de notre journée de travail au centre-ville en particulier. Globalement, cela implique une baisse importante de la clientèle potentielle pour les établissements pour lesquels cette clientèle était essentielle pour assurer leur rentabilité souvent déjà fragile.
  8. Il ne reste que deux pistes pour mettre fin abruptement à cette escarmouche digne des plus beaux temps de l'Assemblée Nationale: - Station "sans nom" - Pas de station à cet endroit. Devant cette menace, les protagonistes reviendront peut-être à la raison, pour se pencher sur des enjeux plus sérieux.
  9. Si vous avez raison tous les deux, est-ce que ça veut dire que le Texas et la Floride deviendront des mondes sans restaurants ni bars?
  10. (ci-dessus un extrait du texte cité) Serait-ce que la faculté de mémoire s'est amenuisée?
  11. Sûrement pas mieux que l'élargissement à quatre voies de la r-175 entre Québec et Saguenay, réalisé en huit ans à un coût de plus de 1 milliard. C'est une véritable autoroute (un seul arrêt sur le parcours, à l'Étape) où la vitesse permise est de 100km/h, comme sur les autoroutes "officielles". Le relief montagneux a exigé des travaux considérables de dynamitage et de remplissage. Une différence notable avec les exemples que tu fournis est qu'il y avait un vaste consensus en sa faveur, ce qui n'est pas le cas de l'A-19 et de la rue Notre-Dame. Quant au prolongement de l'A-35 jusqu'à la frontière (I-89), c'est un projet comparativement très modeste, en terrain plat et comportant un nombre très limité de ponts d'étagement. Le seul obstacle véritable a été/est le passage sur des terres agricoles. Et si je ne m'abuse, il n'a jamais fait l'objet d'un appui de la Ville de Montréal; bien que située en dehors du territoire de cette dernière, l'A-35 complètera un lien autoroutier direct avec Boston via Burlington. L'alternative actuelle via l'A-10 est jusqu'à l'A-55 sud pour l'I-91 est moins avantageuse.
  12. Le principal problème que tu soulèves est largement atténué grâce aux nouvelles (depuis 1998 approx.) règles comptables ayant trait aux investissements. On les amortit sur plusieurs années, de telle sorte que pour un investissement de 5 milliards (par exemple) effectué au cours d'un mandat de quatre ans, la portion attribuée à chaque année budgétaire est minime, et sur la somme des quatre ans, très inférieure aussi à 5 milliards. Par contre, l'impact sur les finances publiques se fait sentir pendant longtemps après la fin du projet. La "solution" suggérée s'apparente à un plan à long terme qui serait scrupuleusement suivi par les divers partis au pouvoir au cours de la période d'application. Cela équivaudrait à prendre aujourd'hui des décisions liant les mains des futurs élus. C'est parfois incontournable --par exemple pour un méga contrat (Churchill Falls, CDPQ-i pour le REM). Mais généralement, ce n'est pas une bonne idée. Le défaut n'est pas seulement d'ordre démocratique. L'évolution des conditions (politiques, économiques, technologiques) appelle souvent des virages qu'il était impossible de prévoir au point de départ. Ainsi, même dans les heures de gloire de la planification à la soviétique (plans quinquennaux), des modifications en cours de route étaient inévitables; si on ne les faisait pas, on était dans l'erreur, avec des conséquences potentiellement graves. La planification demeure nécessaire. Mais elle doit comporter des dispositifs de flexibilité. C'est de la "planification indicative". Concernant le projet de prolongement de la ligne bleue du métro, sa réalisation s'étendrait sur un laps de temps suffisamment court pour que la décision de procéder soit prise une fois pour toutes. Les 40 ans depuis qu'on en parle, les promesses, l'établissement d'un "bureau de projet", les consultations, etc. n'étaient pas des décisions à proprement parler. Le projet de loi 61, s'il avait été adopté, n'aurait pas constitué lui non plus une décision de procéder.
  13. J'étais beaucoup plus intéressé par le choix du site et la date de livraison, mais puisque le choix du nom de la station monopolise la conversation, j'ai décidé de m'y joindre, Attention toutefois, car je prends une tangente périlleuse. Point de départ de la réflexion: dans le langage courant mais aussi dans l'écrit, la tendance est à l'abrégé. Par exemple, on dit "pub" pour publicité, "Gorbi" pour Gorbatchev, "Alex" pour Alexanderplatz. etc. J'ai donc essayé de voir ce que cela donnerait pour les noms de station de métro. Il s'agit de minimiser le nombre de syllabes, tout en préservant suffisamment d'information pour que le nom soit compris dans son contexte. L'idéal serait une seule syllabe; la norme serait deux; et trois serait le maximum permis. Ainsi, les nouveaux noms seraient constitués seulement de la partie en caractères gras: Parc. Rosemont. Guy-Concordia. Atwater. Place-des-Arts. Snowdon. Henri-Bourassa. Côte-Vertu. Place-d'Armes. Saint-Michel. Honoré-Beaugrand, Beaubien. Etc. Et bien sûr, Griffintown-Bernard-Landry. Complétez la liste, et voyez si vous êtes capables de tenir une conversation intelligible avec vos pairs (oreilles fines et conscience très éveillée sont des prérequis)
  14. Le 8 octobre 2018, @FrancSoisDavait vivement souhaité que ce ne soit pas le cas. Comment pouvait-il savoir que c'était une possibilité?
  15. Certes, mais la rivière des Prairies (pas spécialement l'ex-municipalité du même nom, annexée à Montréal en 1963) a une très longue histoire datant des tous débuts de la Nouvelle-France, par exemple la mission de Fort-Lorette dès 1696. Et si on saute jusqu'au XXe siècle, on y trouve quelques établissements parsemés, dont ceux à la tête des ponts qui se développèrent plus rapidement. Le territoire de la Ville de Montréal n'occupait qu'une petite partie des rives. Les paroisses occupant le reste avaient une vocation agricole, complétée par quelques lieux de villégiature. La pêche était pratiquée couramment, la baignade aussi. Malheureusement, les eaux devinrent trop pollués (égouts non traités). Au milieu du XXe siècle, ce qui n'était alors guère qu'un ensemble disparate de têtes de ponts et de petits villages commença à subir les pressions de la banlieusadination (suburbanisation), tant à l'ouest (eg. Pierrefonds) qu'à l'est. Je n'ai pas l'intention d'en décrire toutes les variantes (ouf!). S'i est une chose que je déplorerai plus que toutes autres, c'est que la Ville de Montréal, ayant annexé RDP, ne soit pas intervenue plus radicalement dans les développements qui ont surgi depuis le long des rives. Au mois, la partie la plus à l'est semble exemptée (protégée), bien que la qualité des aménagements riverains laisse fortement à désirer à l'heure actuelle. Maintenant, si on considère aujourd'hui l'ensemble des rives, du Cap Saint-Jacques à l'ouest jusqu'à la Pointe aux Trembles à l'est, il reste plusieurs sites verts, dont quelques-uns sont des "parcs-nature". Je ne suis pas familier avec les considérations qui favoriseraient la création de plages supplémentaires.
  16. En effet. Grand-guignol: mélodrame le plus outré. Mais n'est-ce pas ce dont la population a besoin pour se divertir, en cette période où les spectacles sont rarissimes! On s'excite comme on peut. Par contre, pour cette même population qui a aussi besoin de se rafraîchir, cette annonce n'est pas drôle du tout.
  17. Apparemment, les investisseurs qui souhaitent attirer "la crème de la crème" ont jugé que le site, dans l'état actuel de l'environnement, n'est pas suffisamment propice. Ça ne sert à rien de forcer les choses. Mais si dans l'avenir un certain renouveau du secteur le rendait "propice", des établissements visant ce segment du marché voudront s'y établir. Quant aux bâtisseurs d'un temps passé, ce n'est pas seulement l'apparition (maintenant) d'un Super C qui les auraient choqué. Sur une longue période, les quartiers évoluent parfois d'une manière inattendue. Ça va d'un côté comme de l'autre. Les abords de la rue Notre Dame ouest dans Saint-Henri n'avaient pas cette allure en 1945 par exemple; le Plateau Mont-Royal non plus. Comme tu l'as écrit toi-même en décembre dernier, "au moins il garde sa vocation alimentaire". Ça fera un désert alimentaire de moins. C'est un point beaucoup plus crucial que la gamme offerte. Imagine une ville entière qui n'en a que pour la crème de la crème: le visiteur soupçonnera avec raison qu'au-delà des remparts de cette cité fabuleuse, la réalité est obligatoirement moins brillante. L'important pour une cité équilibrée, c'est que tous aient accès à des approvisionnements nutritifs et frais --ce qu'on ne trouve justement pas dans les déserts alimentaires.
  18. Opération médiatique couronnée de succès! En choisissant pour cette station un nom certain de susciter une folle controverse, on a réussi à dévier l'attention du plus important: son site et sa date de livraison! (Je ne sais pas si c'était délibéré, mais le résultat est probant)
  19. @andre mda suggéré l'explication la plus vraisemblable (incertitude quant au stade de baseball) jusqu'à preuve du contraire. La controverse sur le nom à donner à la station ne devrait pas avoir retardé la décision. J'ajouterai qu'avec ce choix de site, il devient probable qu'une éventuelle prochaine station serait à PSC, pas en bordure du canal mais plus au coeur de ce quartier.
  20. Comme dans l'optimisation d'un système de rangement: trop de cases dédiées spécifiquement à un type d"objets, c'est comme pas assez: on s'y perd. Un nombre minimal d'objets similaires est requis pour justifier l'octroi/l'usage d'une case. A l'heure actuelle, combien de projets iraient dans la section que tu proposes?
  21. Comme si je ne le savais pas! Dans mon message précédent, j'avais été tenté d'ajouter un paragraphe qui aurait abordé cet aspect. J'avais choisi de m'abstenir, mais puisque le besoin se manifeste, voici: Certains diront que ça ne se fait pas, parce que le PCM dépend du Ministère du Tourisme du Québec. Je réponds que TOUT SE FAIT ET SE DÉFAIT, SE RÉFORME OU SE RÉORGANISE. En bref, une refonte des institutions --en l'occurence de l'une d'elle. On fait cela dans le secteur public comme dans le secteur privé. Si on est incapable de la moindre réforme, c'est qu'on est sclérosé. Naturellement, ce n'est pas chose facile, ça prend du temps, mais si la volonté y est, c'est réalisable. Dans ce cas précis, la volonté doit aussi être présente du côté du gouvernement; mais je ne vois pas d'obstacle idéologique ou institutionnel insurmontable. On peut aussi concevoir, en lieu et place d'une réforme exhaustive, des arrangements particuliers qui porteraient spécifiquement sur l'agrandissement. Ignore-t-on que des ententes infiniment plus complexes sont couramment conclues entre des parties prenantes, quand elles sont motivées/justifiées par des avantages/gains qu'elles se partageront?
  22. Pourquoi l'agrandissement du Palais des Congrès de Montréal (PCM) dépendrait-il du bon vouloir du Gouvernement du Québec (GQ)? Compte tenu des très bas taux d'intérêt pour les emprunteurs de qualité, le service de la dette sur l'investissement requis m'apparaît modeste, bien peu de chose en fait en comparaison avec les dépenses courantes de la Ville de Montréal y compris son service de la dette. La Ville, en partenariat avec les principaux groupes hôtelliers qui seraient les premiers bénéficiaires d'une expansion du PCM, pourraient aisément en assumer le fardeau. Et ce serait encore mieux si, dans un geste pour appuyer cette démarche, le GQ consentait à céder/transférer un pourcentage des taxes qu'il perçoit sur les actividés induites. Si les élites politiques et économiques de Montréal désirent vraiment plus d'autonomie, elles devraient le démontrer en prenant des initiatives de ce type. On assume nos choix, on fournit les efforts et prend les risques, mais on en récolte les bénéfices. Manifestement, la posture de quémandeur, malgré tous les bons arguments apparentés au "moteur économique du Québec", n'est pas couronnée de succès, et ce pas seulement depuis deux ans. Et pour le gouvernement provincial au pouvoir, quel qu'il soit, une telle approche devrait être bienvenue, car elle fait fi des inévitables manifestations de jalousie quand un "cadeau" est accordé à l'un et pas aux autres.
  23. Ouais. Même si la job était refaite correctement, avec des feuilles de métal moins minces, ça demeurerait laid. Le revêtement en pierre(?) est laid lui aussi. Ça va avec l'horrible muret peinturé, comme l'a remarqué Rocco. Même le rendu, qui ne comportait évidemment pas les défauts soulignés, était médiocre. La seule consolation, si ça peut en être une, c'est que ce ce secteur de la rue Crescent était déjà saccagé/défiguré, et qu'il ne détonnera pas tellement dans son milieu. Au moins, le projet bouche un autre trou, et parce qu'il est bien situé, il servira à quelque chose --un nid dans lequel on se refuge, sans pensée pour l'image qu'il offre à la vue des autres.
  24. (extrait de l'article cité) Parlant d'exagération, je pense que le "jusqu'à quatre ans" en est une, visant à faire peur.
  25. (titre de l'article complet cité par Wave Arts) Le centre-ville "vibrait" d'abord par la présence quotidienne de centaines de milliers de travailleurs, ainsi que des touristes. On s'y rendait principalement par le métro. Aussi longtemps que ces deux sources principales demeureront largement taries, je vois difficilement comment le manque pourrait être comblé en attirant beaucoup de Montréalais (surtout) qui n'y ont plus affaire, même si les lieux devenaient plus conviviaux/attirants pour des activités ludiques. Il leur faudrait d'abord pouvoir s'y rendre, ce qui sera difficile aussi longtemps que des mesures de distanciation dans le métro persisteront. Par contre, le jour où la distanciation ne sera plus nécessaire, l'effervescence antérieure à la crise reviendra d'elle-même. Les mesures qui peuvent être prises pour redonner une certaine énergie au centre-ville dans l'interim seront temporaires par définition. Pour l'essentiel, elles ne seraient pas compatibles avec les activités normales d'avant-crise. L'idée de transformer de façon permanente le centre-ville peut sembler séduisante, mais des références/comparaisons avec certaines autres villes (européennes?) doivent être ajustées/modérées pour tenir compte de la réalité. Par exemple, le grand centre des affaires de Paris, le quartier de la Défense, n'est nullement le lieu de prédilection des activités ludiques. A Montréal, les affaires, le plaisir et l'habitation sont davantage intégrés/juxtaposés, mais pas au point d'en faire la principale raison d'être du c-v. En soulignant le caractère temporaire des mesures, j'ai aussi voulu indiquer que leur coût ne devrait pas être excessif. Ça ne fera pas plaisir à ceux qui gagnent leurs vies dans le divertissement au centre-ville, mais je pense qu'ils devraient être plus réalistes quant au potentiel de rendre le c-v plus "vibrant" quand la fonction première de celui-ci est en berne.
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