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etienne

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Tout ce qui a été posté par etienne

  1. Pas juste les péages, sa BMW 750 aussi, et sa maison et son chalet, son tracteur pour couper le gazon, ses skis, sa piscine creusée et son dernier voyage à Punta Cana s'il a un bon comptable. Voir que le 3% les plus riche paye des impôts. Aah!
  2. ou Mon choix est fait. Mais il me semble que tu t'accroches à cet argument pour éviter de parler de la question de fond soit: enfin un geste politique concret pour équilibrer les charges entre résidents de la banlieue et de l'île sur le principe de l'utilisateur payeur. (note to self: pourquoi j'ai pas été en droit!?! une BMW 750 wow)
  3. Continue à penser que c'est juste pour faire chier les gens si tu veux. Mais la réalité elle est là. Il faut changer nos modes de déplacement, et si on attend trop, ça sera pire. La montée du prix du pétrole est exponentielle. Tout geste qui se fera pour proposer des alternatives doit être salué. Tu ne me feras pas croire qu'un avocat qui travaille pour Stikeman Elliott préféreras aller travailler dans un cabinet de Saint-Hyacynte ou Brossard parce qu'il y a des péages. Il prendra le train de banlieue, une combinaison bus-métro ou ultimement déménagera sur l'île, parce que le prestige est de travailler au centre-ville pour ces entreprises qui sont prestigieuses. À long terme, il faut miser sur une plus grande densité près du centre-ville. C'est plus pratique, c'est plus fonctionnel et c'est plus beau. Pour moi ça fait beaucoup de sens. Et je pense sérieusement que dans 10-15 ans, ça fera encore plus de sens, et que tous comprendront la nécessité de ces choix politiques aujourd'hui.
  4. On prend les moyens qu'on a. La ville a cette opportunité qui s'est ouverte devant elle et va essayer d'en profiter. C'est les politiciens à Québec qui vont être dans l'eau chaude. C'est eux qui représentent la banlieue (la balance du pouvoir se joue à chaque fois dans les couronnes nord et sud de l'île) et qui devront répondre de ces péages. Il risque d'y a voir tout une bataille politique qui va se jouer, mais que ce soit par péage ou avec la taxe sur l'essence c'est le principe qui compte. Qui aura le courage de supporter la ville dans sa démarche? Une chose est sure, c'est qu'on verra pas ces péages apparaitre demain matin. Mais la table est mise pour des revenus supplémentaire et de vrais projets intéressants pour le développement de la ville. Réjouissons-nous mes frères de cette nouvelle divine.
  5. On l'écrivait en même temps ça d'l'air. On fait du chemin sur ce forum, on finit par penser les même choses en même temps! (scary)
  6. Ça m'étonne de voir que vous remettez en cause le concept d'utilisateur-payeur qui semblait faire l'unanimité. Ça va de paire avec le concept de pollueur payeur. Les entreprises qui s'installent au centre-ville le font pour le prestige, et elles auront jamais de misère à recruter des gens stimulés à aller travailler dans ces entreprises prestigieuses. L'argent ira au développement du système de transport en commun. ça marquera une révolution dans les modes de déplacement en ville, et dans 10 ans on aura peut-être un réseau digne de ce nom. Ça fait beaucoup de sens que ça arrive maintenant, vu la dégradation du réseau routier, les problèmes de congestions, la pollution, le prix de l'essence...etc... J'accueille favorablement ce nouveau plan de transport, sauf le chantier de la rue Notre-Dame évidemment. Il était temps qu'on prenne les moyens de changer les choses. Et même si on doit vivre une période de division momentanée entre montréalais de l'île et ceux des rives, je suis certain que des projets de TC pour lier celles-ci au centre (SLR de l'estacade, train de banlieue plus fréquent etc) pallieront à ces frustrations et nous rallieront autour du même projet. Je sais qu'on a déja eut ce débat Malek, mais comme cycliste qui paie des impôts comme toi, je vois pas pourquoi je ne pourrais pas m'attendre à obtenir un retour que je puisse apprécier. Le tout-à-l'auto est terminé, ce n'est plus à nous de payer pour les banlieusard, c'est à votre tour de payer et à votre tour de changer vos habitudes.
  7. Très belles photos. Je te propose de prendre la cour d'appel, sur Notre-Dame. Un édifice de Cormier récemment rénové. http://maps.google.ca/maps?q=+100,+rue+Notre-Dame+Est+&ie=UTF8&oe=utf-8&client=firefox-a&ll=45.506873,-73.5533&spn=0.002872,0.007167&t=h&z=18
  8. Là ou vous voyez de la lumière au 7e étage du Chaussegros de Léry, juste à droite du poste de police, c'est moi et des amis architectes qui se tapent une bouffe bien arrosée!!! Wow, un peu plus et pourra se voir Live sur ce forum!
  9. Le pont actuel n'a vraiment rien d'intéressant. J'ai mis des exemples pour montrer qu'on pourrait en construire un qui semblerait plus léger, élancé, qui donnerait un signal de l'entrée en ville. De toute façon ils doivent détruire le pont actuel, son état est trop mauvais pour une rénovation.
  10. J'aime le projet de transformer l'autoroute Bonaventure en boulevard au centre-ville, mais tout le reste ne marche pas. Trop de terres contaminées pour déplacer l'autoroute dans le technoparc, et un passage en tunnel inutile selon moi. La plus belle entrée de ville en ce moment c'est par Bonaventure, pourquoi aller bousiller ça avec un tunnel sous le bassin Peel? Ça se fait des "beaux ponts" multimodales. Non seulement ça créerait un signal d'entrée dans la ville fort, mais ça permettrait de conserver la superbe vue sur le Centre-ville. Pont Erasmus à Rotterdam Pont de Alameda en Espagne (Valence) Pont d'Alamillo à Séville
  11. Au lieu de s'entêter à brûler de l'essence avec nos voitures, on devrait les transformer en mode électrique dès maintenant: ça se fait, la preuve! Des Mazda 3 qui roulent à l'électricité Hélène Baril - La Presse 27 mai 2008 La Mazda 3 En attendant des voitures électriques plus abordables et plus performantes, Loïc Daignault a décidé de faire quelque chose pour la planète, et pour le portefeuille. Son entreprise, Voitures électriques, convertit des voitures traditionnelles en véhicules électriques qu'il est possible de brancher chez soi pour en recharger les batteries. Les voitures ainsi converties n'ont aucune restriction de circulation sur le réseau routier. Ce jeune ingénieur a choisi la Mazda 3, une voiture populaire avec un bon rapport qualité-prix. Il achète les véhicules usagés de quelques années, les convertit et les revend à un prix variant entre 20 000$ et 25 000$. Le véhicule modifié se passe complètement de pétrole et peut rouler à une vitesse maximale de 120 à 140 km/h. Il est équipé de batteries ordinaires qui assurent une autonomie de 100 kilomètres. Des batteries au lithium-ion pourraient quadrupler cette autonomie, mais le coût serait prohibitif, explique-t-il. «Mon objectif, c'est d'entrer sur le marché avec un produit abordable». Les batteries restent le point faible des voitures électriques. Elles sont soit hors de prix, comme les batteries au lithium-ion, soit très encombrantes. Les batteries ordinaires installées dans les Mazda 3 de Loïc Daignault, 24 au total, occupent tout le coffre arrière de la voiture. Ça peut être un inconvénient, reconnaît-il, mais son marché cible, ce sont les gens qui prennent leur voiture tous les jours pour aller travailler, et qui ne se servent jamais du coffre de toute façon. L'autre inconvénient de ses Mazda, c'est leur autonomie de seulement 100 kilomètres. Encore là, l'ingénieur n'y voit pas un problème majeur. «La majorité des gens font moins de 30 kilomètres par jour pour aller travailler», dit-il. La batterie peut être branchée dans n'importe quelle prise électrique et ne nécessite pas de changement au système électrique. «C'est comme un toaster», illustre l'ingénieur. Loïc Daignault a commencé en 2006 à transformer son idée en entreprise. Il est maintenant fin prêt, et n'attend plus que son permis de commerçant de voitures usagées pour se lancer en affaires. Une question de semaines, selon lui. Coût pour parcourir 20 000 kilomètres par année avec une Mazda 3 Essence: 2400$ Électricité: 240$ http://monvolant.cyberpresse.ca/200805/27/dossiers/auto-ecolo/18495-des-mazda-3-qui-roulent-a-lelectricite.php
  12. Bien d'accord, je fume quand je vois les toutes les poubelles faites de plastiques recyclés complètement éventrée après juste un an. L'enlèvement de la neige devient une excuse pour tout détruire. Le plus drôle c'est que les compagnies pour déneiger la rue Saint-Laurent étaient les même qui l'avait rénové, et on aurait dit qu'elles faisaient exprès pour abimer le travaille qu'elles venaient de finir dans l'espoir de le recommencer! Je pense que si on arrive avec des concepts novateurs, le gens ont plus de respect pour le mobilier, un exemple, ces arbres à vélo pour Bahrain en Inde http://www.biketree.com/
  13. C'est pas compliqué de trouver un beau rack à vélo. Évidemment WestAust fait l'équation simpliste: cycliste = hippie = chialeurs pour tout les projets C'est vraiment scientifique comme constat, la vérité c'est qu'il y a de plus en plus d'hommes d'affaires qui prennent le vélo pour aller travailler. Un dossier sur le cyclisme dans la Presse la semaine dernière le relevait. Y'a moyen de lier l'esthétisme à l'utile et pratique. La ville est juste incompétente en la matière. Les seuls bons coups sont des projets qu'elle n'a pas piloté comme le Quartier International. Le nombre de cyclistes montréalais a explosé en cinq ans Louise Leduc La Presse Le nombre de cyclistes à Montréal explose: pas moins de 241 000 personnes enfourchent un vélo à des fins de loisirs ou utilitaires. Cela représente une hausse de 101 000 usagers en cinq ans, soit une augmentation de 72% selon des données de Vélo Québec communiquées par le Conseil régional de l'environnement de Montréal. «Par exemple, pas moins de 65 000 cyclistes emprunteraient la piste cyclable de la rue Brébeuf (dans le Plateau-Mont-Royal)», a déclaré en entrevue André Porlier, directeur de l'organisme. En 2000, pour connaître la popularité du vélo, on a d'abord demandé aux Montréalais s'ils utilisaient la bicyclette à des fins utilitaires ou de loisirs. En 2005, la question a légèrement varié, mais la réalité décrite était la même: «Utilisez-vous votre vélo pour aller au travail, à l'école, à l'épicerie, au parc...?» Sur le terrain, ça ne trompe pas, affirme M. Porlier. «En cinq ans, 7000 places de supports à vélo ont été ajoutées sur la voie publique, et il faudrait encore en ajouter.» L'effet du prix de l'essence? «Je crois que c'est plutôt lié à la santé, dit M. Porlier. Les gens sont conscients des dangers de la sédentarité. Le vélo, c'est le moyen idéal de joindre l'utile à l'agréable.» La file aux feux de circulation Sur les pistes cyclables, la popularité du vélo pour se rendre au boulot est effectivement bien visible. Le matin et le soir, aux feux de circulation, les cyclistes - quand ils sont disciplinés - font la file indienne. En 2007, pendant la grève de la STM, «c'est 8000 cyclistes par jour qui ont été comptabilisés rue Brébeuf, au coin de Rachel», évoque pour sa part Patrick Howe, directeur des relations publiques à Vélo Québec. Un tel gain de popularité ne va toutefois pas sans heurts sur les pistes cyclables de Montréal. «Au cours des trois dernières semaines, j'ai vécu deux incidents qui auraient pu avoir des conséquences très fâcheuses. J'ai eu une collision avec un cycliste qui roulait à contresens sur la piste cyclable. Et une autre fois, alors que je marchais sur le trottoir, je suis passé à un cheveu de me faire frapper par un vélo qui roulait là», dit Denis Chevrier, rencontré hier alors qu'il roulait (prudemment) rue Berri. «La cohabitation entre des cyclistes qui roulent à différentes vitesses n'est pas évidente, poursuit-il. Il n'est pas rare que j'essaie de dépasser quelqu'un qui roule vraiment lentement et qu'en même temps, un coursier avec son bicycle high-tech me double à toute allure.» Et ça, c'est sans compter les camions de livraison qui empiètent sur la piste cyclable. Sylvain Dubois, sergent au Service de police de la Ville de Montréal, évoque aussi le problème des piétons qui, boulevard de Maisonneuve, marchent carrément dans les pistes cyclables. Pistes discontinues et trous béants Le réseau des pistes cyclables s'est développé en plusieurs temps dans l'anarchie la plus totale, avec pour résultat que les pistes sont souvent discontinues, se plaint pour sa part Normand Lemieux, qui les emprunte tous les jours. Une partie est à double sens, puis devient à sens unique, ou alors la piste s'arrête sans raison. «Ça fait que souvent, des vélos sont à un cheveu de faire des face-à-face. Quand tu demandes au cycliste ce qu'il fait là, il te regarde, hagard, et présente ses excuses en disant qu'il n'avait pas réalisé qu'il roulait à contresens.» Puis, il y a tous ces trous béants, notamment sur la piste cyclable Saint-Zotique. «À la dernière minute, les cyclistes voient un trou, essaient de l'éviter et zigzaguent», ajoute M. Lemieux. Wafa Zribi, tout essoufflée, est ravie d'être interrogée à ce sujet. «J'ai failli me faire frapper tout à l'heure. Quand les automobilistes tournent, ils ne songent pas du tout aux cyclistes.» «Le réseau cycliste est désuet et des aberrations doivent être corrigées, dit Patrick Howe, de Vélo Québec. Les urbanistes en sont très conscients.» Cela étant dit, malgré l'explosion de vélos et de voitures à Montréal, il faut relativiser le danger que pose le transport sur deux roues, insiste-t-il. Il souligne en effet que le vélo fait nettement moins de morts, par exemple, que la motoneige.
  14. etienne

    la tour aluminium

    J'ai fait les représentations 3d, et j'ai participé au développement du design au sein de l'équipe de Cardinal-Hardy. Le designer chargé de projet était Roch Cayouette, le même que pour le 777 de la Commune.
  15. etienne

    la tour aluminium

    Le mur rideau est une structure autoportante d'aluminium, et les dalles sont en porte-à-faux d'un coeur en béton. Une série de colonnes sont au pourtour en hexagone. Si quelqu'un connais le PDG de Rio-Tinto, je suis disponible la semaine prochaine pour une rencontre!
  16. etienne

    la tour aluminium

    Ma tour d'aluminium était prévu pour ce site. J'y mettait 48 étages de hauteur généreuse et je dépassais le Mont-Royal à 240m. Allez voir sur mon site pour plus d'info
  17. Le mardi 06 mai 2008 Le temps d'agir! Le texte suivant est cosigné par Georges A. Archambault, président du Groupe Permacon; André Brunelle, président de l'Association industrielle de l'Est; Carole Bellon, présidente des Auvents Bellon; Pierre Cloutier, contrôleur chez Chaussures STC; Roger Gallagher, directeur général de la SDC Promenade Ontario; Diane Gauthier, vice-présidente d'Acier Midland 2007; Jean Gauthier, directeur général de la Société de développement économique Rivière des Prairies - Pointe-aux-Trembles - Montréal-Est; Pierre Harrison, directeur général du Collège de Maisonneuve; Francine Labelle, directrice générale de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Est de l'île de Montréal; Jacques Laflèche, président de l'Association des industriels d'Anjou et président de Les Systèmes Espaces/Max; Michel Lalonde, président du Groupe Séguin ingénierie; René Lecours, vice-président Opérations de Montréal, Mabe Canada; Cosmo Maciocia, maire de l'arrondissement Rivière-des-Prairies - Pointe-aux-Trembles; Alfonso Minicozzi, président du conseil de Minicut International; Luis Miranda, maire de l'arrondissement d'Anjou; Michel Morin, président de la section locale 501 du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier; Raymond Perreault, président de Les Chaînes de Traction Québec; Josée Perreault, présidente de Les Importations de Quincaillerie Rayco; Roger Perron, co-président du Groupe Bo-Concept; André Poulin, directeur général de la SDC Destination Centre-Ville; Guy Robert, président d'Agrafbec; Thérèse Sainte-Marie, directrice générale de la Corporation de développement de l'Est; Paul Sauvé, président de L.M. Sauvé; Georges Sayegh, président d'Ameublements Artélite. Depuis plus de 30 ans, la rue Notre-Dame a fait l'objet de nombreuses discussions, consultations et de divers projets dont plusieurs n'ont pas connu d'aboutissement. L'entente intervenue en 2005 entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec nous a donné bon espoir que nous puissions enfin moderniser cette artère essentielle qu'est la rue Notre-Dame. Les projets d'une telle ampleur ne font bien sûr jamais l'unanimité. Il faut toutefois reconnaître que tous les points de vue ont maintenant été entendus et qu'il faut mettre un terme à l'inaction. Aujourd'hui, bien que certains éléments puissent encore faire l'objet de bonifications, ce projet, répond très bien aux besoins pressants concernant la sécurité, le transport des personnes et des marchandises et le développement de l'est de Montréal; c'est pourquoi nous enjoignons au gouvernement du Québec et à la Ville de Montréal d'entreprendre sans délai la modernisation de la rue Notre-Dame. Pour les transports en commun Actuellement, la rue Notre-Dame ne dispose pas d'un service de transports en commun efficace permettant de véritablement réduire le nombre de véhicules ou de faciliter le transport des personnes. La nouvelle rue Notre-Dame comblera cette lacune en intégrant en permanence deux voies réservées aux transports en commun, qui s'uniront harmonieusement avec les futures voies réservées aux autobus prévues sur les axes des rues Viau et Pie-IX. On ne peut que s'en réjouir, puisque ce nouveau service facilitera l'accès au centre-ville pour les travailleurs résidants dans l'est de Montréal, tout en donnant aux entreprises de ce secteur un accès plus facile au bassin de main-d'oeuvre de la métropole. Par ailleurs, des milliers de véhicules choisissent chaque jour d'emprunter les rues résidentielles pour éviter la congestion de la rue Notre-Dame. En plus de dégrader la qualité de l'air et la propreté de nos quartiers, ce trafic supplémentaire constitue un risque intolérable pour la sécurité des résidants du quartier, sans compter que les heures de pointe coïncident évidemment avec les heures d'ouverture et de fermeture des écoles. Ce triste constat doit changer. En améliorant la fluidité, la nouvelle rue Notre-Dame canalisera la circulation de transit et réduira d'autant le nombre de véhicules dans nos quartiers. De plus, l'installation d'un terre-plein central pour éviter les chocs frontaux et la surveillance policière accrue font partie des mesures qui amélioreront significativement la sécurité des usagers. En ce sens, la nouvelle rue Notre-Dame n'est pas seulement qu'un projet pour améliorer la circulation, mais un projet qui aura des impacts positifs et concrets sur la qualité de vie dans nos quartiers. Pour le développement économique Accès principal au port de Montréal, l'un des plus importants en Amérique du Nord, la rue Notre-Dame est au coeur de l'économie du Québec. Cette artère accueille chaque jour de 5000 à 7000 camions qui acheminent des marchandises un peu partout au Québec, au Canada et aux États-Unis. Son caractère unique nécessite d'harmoniser les besoins de camionnage, la sécurité de ses usagers et la qualité de vie des quartiers environnants. La nouvelle rue Notre-Dame relève ce défi en offrant une voie sécuritaire et fluide au camionnage pour atteindre plus rapidement les grandes voies autoroutières. Il s'agit là d'un avantage concurrentiel important qui encourage et consolide le développement économique ainsi que le maintien et la création d'emplois dans l'est de l'île de Montréal où sont situées plus de 30 000 entreprises et 30 0000 emplois. La modernisation de la rue Notre-Dame constitue un projet urgent et incontournable pour l'est de l'île de Montréal. Nous avons assez attendu et la recherche de l'unanimité nous a condamnés, jusqu'à maintenant, à ne rien faire. La cause est entendue: le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal doivent mettre fin au statu quo et entreprendre sans plus tarder ce chantier tant attendu pour le développement économique et social de l'est de Montréal et de toute la métropole. http://www.cyberpresse.ca/article/20080506/CPOPINIONS02/805060885/6732/CPOPINIONS
  18. Wow. Ça me plait. C'est pas loin d'un masterplan professionnel, mais ça fait drôle de le voir comme si c'était déja fait. Un petit conseils : ça donnerait plus de contraste si tu ajoutais l'ombre portée des bâtiments de part et d'autre du boulevard. En générale c'est comme ça qu'on donne une idée de la hauteur. Si ces bâtiments avaient 5 étages, tu peux noircir une zone un peu plus large que les autre triplex (par exemple). Même chose pour la tour, avec l'ombre elle sortirait du plan.
  19. Je pensait qu'il te restait un peu de rêve toi aussi. C'est malheureux... Je vais aller faire brûler un lampion à l'oratoire, rêves de démocratie adieu
  20. C'est ça, quand Phyllis Lambert a fait échouer les phases subséquente de la Cité elle nous a privé d'un super beau développement. Veux-tu me dire à quoi sert la profession d'urbaniste dans ce contexte Malek? À quoi servent les ordres professionnels si le Maire Tremblay peut s'autoproclamer urbaniste en chef du jour au lendemain. Il prend même pas la peine de répondre aux critiques. Y'a pas un urbaniste de la ville qui va répondre aux critiques. C'est ça, on en veut pas de débat. Ça fait que ralentir. On a pas le temps pour ça, construisons vite, sans tarder. Avant que la population se réveille et sache ce qu'on fait. Belle façon de voir le développement. Très très démocratique et réfléchie. Bravo.
  21. Pas un complot, mais des ententes derrières des portes clauses, ou l'opportunisme d'un Maire qui voudrait donner son nom à la place des Festivals (ou Bourassa peut-être) rencontre le portefeuille débordant d'une ministre qui a perdu le contrôle de son Ministère, et qui dort au gaz. Tu t'éloignes du point important de toute façon: les professionnels de l'aménagement ne sont plus consultés, le politique agit seul. À quoi bon avoir des urbanistes et des architectes si les politiciens savent mieux faire? Vous trouvez-ça normal comme attitude? Reste-t-il le moindrement de respect pour ces professions?
  22. Modernisation de la rue Notre-Dame - L'ADQ vient de s'apercevoir qu'il y avait des enjeux dans Bourget et Pointe-aux-Trembles MONTREAL, le 26 avril /CNW Telbec/ - Les candidates du PLQ dans Bourget et Pointe-aux-Trembles, Lyn Thériault et Mélissa Dumais, ont pris connaissance avec scepticisme de la nouvelle position de l'ADQ à l'égard d'un enjeu très important pour les citoyens de l'est de Montréal, la modernisation de la rue Notre-Dame. "Je trouve curieux qu'après avoir tenté par tous les moyens de détourner la campagne électorale de ses véritables enjeux, Mario Dumont et les candidats adéquistes prennent maintenant position sur la Notre-Dame. La dernière fois que leur parti a exprimé une opinion sur le sujet, ça remonte à novembre 2007. C'était pour indiquer à la population montréalaise qu'ils n'avaient pas d'opinion sur le sujet et qu'ils allaient en discuter éventuellement en caucus. Doit-on comprendre que Mario Dumont et les candidats adéquistes ont tenu une réunion spéciale hier en soirée pour se reprendre de la controverse qu'ils ont provoquée cette semaine. Ca ne fait pas sérieux", a déclaré Lyn Thériault. Mentionnons que dès les premiers jours de la campagne, les candidates du PLQ dans Bourget et Pointe-aux-Trembles ont appuyé fermement le projet de modernisation de la rue Notre-Dame. Pour elles, la modernisation de la rue Notre-Dame permettra de sécuriser les rues de quartier de Bourget et de Pointe-aux-Trembles et améliorera la qualité de vie de ses résidents. Elles ont d'ailleurs proposé de bonifier le projet de boulevard urbain en cours, lequel prévoit une voie réservée au transport en commun, afin qu'une autre voie soit réservée au co-voiturage. "C'est un dossier trop important pour les familles de Pointe-aux-Trembles et de Bourget pour être élaboré sur le coin d'une table à quelques jours d'une élection. Moderniser cette artère essentielle pour l'est de Montréal facilitera nos déplacements en diminuant le temps passé dans le trafic et ainsi, permettra aux familles d'avoir plus de temps à partager ensemble. Cette improvisation de l'ADQ démontre le peu de sensibilité qu'ils ont pour les citoyens de l'est de Montréal", a ajouté Mélissa Dumais. Renseignements: Daniel Thibault, Communications, (514) 217-2473, http://www.lyntheriault.com; Renaud Dugas, Communications, (514) 994-7366, http://www.melissadumais.com
  23. Mais vous voulez rire, ce projet n'est que ça: c'est politique. Gerald Tremblay, un ancien ministre Libéral, a concocté un échange avec son ancien parti maintenant au pouvoir ou la ville de Montréal abandonne ses demandes pour Notre-dame et sa contestation du pont de l'autoroute 25 pour l'argent du Quartier des Spectacles. Tous les professionnels engagés par la ville doivent se taire, c'est un projet qui va à l'encontre de toute approche urbanistique contemporaine, mais ça va de l'avant pour une simple et bonne raison: le politique l'a décidé ainsi, quoiqu'en disent les experts et la population. C'est une première, un dangereux précédent. Quand le politique décide qu'il ne répond plus de la population mais bien de ses propres intérêts, c'est le début de la fin. Ben non, c'est pas un régime autoritaire et dictatorial, mais c'est un pas dans ce sens là certain. Et si personne réagit maintenant, ça va être pire. Et quand à Dumont, il a voulu attirer l'attention, ça été un coup d'épée dans l'eau. Avec sa bizarre de position entre l'arbre et l'écorce: il est pour le projet d'autoroute, et reproche aux partis Libéral et Québécois de pas avoir été assez vite, et aux Libéraux de trop consulter. Il parle d'arguments économiques liés au développement du port, mais quand les containers supplémentaires arriveront et que d'autres usines fermeront au Québec il sera le premier à dénoncer ça. Il veut le beurre, l'argent du beurre et le cul de la fermière...
  24. Recouvrir l'autoroute pour panser une blessure André Noël La Presse, Le mardi 29 avril 2008 Le gouvernement québécois devrait recouvrir l'autoroute Ville-Marie dans le centre de Montréal plutôt que de prolonger cette «blessure» au-delà du pont Jacques-Cartier, affirment le maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, et deux défenseurs connus du patrimoine urbain, Phyllis Lambert et Dinu Bumbaru. Cela permettrait au centre de recherche du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) de s'étendre vers l'ouest plutôt que vers l'est, où il détruirait alors un espace vert donné à la Ville de Montréal en 1818 par le patriote Louis-Joseph Papineau (et sa tante) le long de la rue Saint-Denis, au sud de la rue Viger, ajoutent-ils. Le recouvrement de l'autoroute viendrait aussi réparer les dommages créés dans les années 60 et 70, avec une tranchée qui a coupé la ville du Vieux-Montréal, ont déclaré MM. Labonté et Bumbaru, ainsi que Mme Lambert. Ces travaux permettraient enfin au Quartier de la santé de prendre son envol avec le nouveau CHUM, de la même façon qu'ils ont permis le succès du Quartier international de Montréal, disent-ils. Sauver le Dr Chénier Tous les trois dénoncent le projet d'éliminer la partie ouest du square Viger, où trône la statue d'un autre patriote, le Dr Jean-Olivier Chénier. Les dirigeants du CHUM affirment qu'ils doivent empiéter sur ce parc parce que la Ville leur a demandé de réduire de 18 à 10 le nombre d'étages du centre de recherche. Les descendants de Louis-Joseph Papineau ont indiqué la semaine dernière qu'ils tenaient à l'héritage de leur ancêtre. «Si l'autoroute était recouverte, le CHUM pourrait étendre son centre de recherche vers l'ouest et préserver la place où se trouve la statue de Chénier, a dit hier Benoit Labonté. Malheureusement, il ne semble pas que l'administration actuelle à la ville centre veuille enfourcher ce cheval de bataille. «En fait, on n'est pas très combatif à la ville centre à l'égard du gouvernement du Québec. Plutôt que de recouvrir l'autoroute, le gouvernement veut prolonger la tranchée derrière Radio-Canada, mais personne ne semble trop s'en soucier à la Ville. On n'a pas assez d'un trou, on veut en creuser un autre! On aime ça, j'imagine! «Pourtant, on a maintenant une très belle occasion de recoudre le tissu urbain et de faire un aménagement digne d'une métropole du XXIe siècle, pas une ville des années 60, ajoute M. Labonté, qui sera bientôt chef du parti de l'opposition, Vision Montréal. Outre le CHUM, il y a plusieurs projets immobiliers dans le secteur.» Il est question de construire une éscole de santé publique face au Champ-de-Mars. Dans l'état actuel des choses, ce bâtiment de 32 mètres de hauteur serait érigé sur les bords d'une autoroute jugée très polluante par la Direction de la santé publique de Montréal. Phyllis Lambert, architecte bien connue pour sa défense du patrimoine, croit que le recouvrement de l'autoroute donnerait une tout autre allure au quartier. «Ce serait une très bonne idée de recouvrir cette partie de l'autoroute Ville-Marie, dit-elle. On a déjà couvert cette autoroute pour le Quartier international de Montréal. Les dommages des années 60, il faut les réparer. On pourrait alors faire un aménagement formidable pour le Vieux-Montréal.» Une idée de 172 millions Le gouvernement compte dépenser 750 millions de dollars pour prolonger l'autoroute vers l'est et transformer la rue Notre-Dame en voie rapide jusqu'à l'autoroute 25. Selon les opposants, cela fera bondir la circulation quotidienne de 100 000 à 170 000 véhicules, surtout avec l'ajout du pont de la 25 vers Laval. Par comparaison, le recouvrement de l'autoroute près du Vieux-Montréal coûterait 172 millions. «La Ville a été blessée par cette autoroute, affirme Dinu Bumbaru, du groupe Héritage Montréal. Soignons-la. Oui, ça coûtera de l'argent, mais ça vaut la peine. Si on couvre l'autoroute, ça va nous aider à réfléchir à ce qui doit être fait à l'autre bout (vers l'est).» http://www.cyberpresse.ca/article/20080429/CPACTUALITES/804290549/1019/CPACTUALITES
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