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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Il y a cette image sur le site du TNM pour lancer une campagne de financement pour son agrandissement https://tnm.qc.ca/ Et celle-ci sur le portail Constructo https://www.portailconstructo.com/actualites/firme_darchitecture_choisie_pour_lagrandissement_tnm
  2. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-08-19/expropriations-en-suspens-bonnardel-inquiet-pour-la-ligne-bleue-du-metro.php Expropriations en suspens: Bonnardel inquiet pour la ligne bleue du métro PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Pas moins de 500 dossiers d’expropriation seraient ouverts sur le parcours du prolongement de la ligne bleue vers l’arrondissement d’Anjou. Le ministre des Transports du Québec, François Bonnardel, s’est dit inquiet « en majuscules » de l’augmentation des coûts et des délais de réalisation en raison des centaines de dossiers d’expropriation en litige sur le parcours prévu pour le futur prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal, entre la station Saint-Michel et les Galeries d’Anjou. Publié le 19 août 2020 à 5h00 BRUNO BISSON LA PRESSE Le ministre Bonnardel s’est servi de ce cas très complexe en commission parlementaire, mardi soir, pour reprocher aux partis de l’opposition leur refus d’adopter le projet de loi 61 proposé le printemps dernier par le gouvernement Legault. Selon lui, pas moins de 500 dossiers d’expropriation sont ouverts sur le parcours du prolongement de la ligne bleue vers l’arrondissement d’Anjou. Le ministre affirme que ce projet de loi aurait permis de réduire ces délais pour que la Société de transport de Montréal (STM), responsable du projet, soit en mesure de prendre possession des immeubles requis plus rapidement, « tout en protégeant les droits des expropriés ». Le ministre Bonnardel a tenu des propos très sombres par moments relativement à l’avancement de ce projet de transport collectif majeur estimé à 4,5 milliards. « La situation actuelle, telle qu’on la connaît, c’est pas rose, a-t-il affirmé. Donc, ça suit son cours. » PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE François Bonnardel, ministre des Transports du Québec « La plupart du temps, on [le ministère des Transports] s’entend de gré à gré avec nos expropriés, a indiqué M. Bonnardel. Là, il y a des gros joueurs à Anjou qui ont décidé de contester. C’est leur droit. Maintenant, est-ce que je peux vous assurer qu’il n’y aura pas de délais qui se prolongent pour la ligne bleue ? Je pense que vous pouvez deviner la réponse. « Je suis inquiet, oui, en majuscules. En termes de nombre d’expropriations, c’est majeur. Je pourrais vous dire que c’est extrêmement difficile présentement. Je suis inquiet. » Effet pervers Le député libéral de Mont-Royal, Pierre Arcand, a pour sa part accusé le gouvernement d’avoir lui-même causé le problème en proposant cette loi « bulldozer », qui a suspendu tous les dossiers en négociation. En effet, M. Arcand affirme que « la STM ne négocie à peu près plus avec personne, et que les propriétaires expropriés se font dire : ‟Écoutez, il n’y a rien à négocier, le gouvernement s’en vient avec sa loi bulldozer, et on va régler le problème, et c’est ça.” » Le député affirme avoir été en contact avec plusieurs expropriés, qui déplorent le climat actuel. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Pierre Arcand, député libéral « Vous avez laissé à la Ville de Montréal et à la STM le soin de procéder, mais par vos actions, les négociations sont devenues plus difficiles parce que tout le monde sait que la loi 61 s’en vient. » En conséquence, le député a demandé au ministre de retirer « cette épée de Damoclès » qu’il brandit au-dessus des dossiers d’expropriation, afin de laisser une chance à la négociation. Selon lui, « certaines expropriations risquent de coûter infiniment plus cher » que ce qui était d’abord prévu par la STM. Le projet de prolongement de la ligne bleue du métro qui comprend cinq stations, entre l'actuelle station Saint-Michel et l’arrondissement d’Anjou, dans l’est de Montréal, a d’abord été estimé à 3,9 milliards. Ces coûts ont été majorés à 4,5 milliards en mai 2019, en raison de divers oublis, et notamment d’une sous-estimation des coûts d’acquisition des terrains et des immeubles jugés nécessaires sur le parcours de plus de 5 kilomètres. L’échéancier actuel du projet prévoit une mise en service complète de la nouvelle ligne en 2026.
  3. le Cirque n'est plus une propriété québécoise https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1727532/cirque-soleil-vente-caisse-depot-placement-quebec Les créanciers du Cirque du Soleil en prennent les commandes Une scène du spectacle « Totem » du Cirque du Soleil présenté en décembre dernier, à Düsseldorf, en Allemagne. PHOTO : GETTY IMAGES / JOSHUA SAMMER La Presse canadienne 2020-08-18 | Mis à jour hier à 21 h 42 Un groupe de créanciers du Cirque du Soleil s'installera aux commandes de l'entreprise de divertissement, un scénario qui, dans l'immédiat, écartera la présence québécoise au sein de l'actionnariat de la troupe qui a vu le jour en 1984. Les prétendants avaient jusqu'à 17 h, mardi, pour soumettre une proposition supérieure à celle de 1,2 milliard de dollars américains émanant de la douzaine de prêteurs garantis menés par la firme torontoise Catalyst Capital Group. « Nous n'avons pas reçu une offre supérieure à celle de nos prêteurs. » — Caroline Couillard, porte-parole du Cirque La Cour supérieure du Québec, qui supervise le processus en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), devra officialiser le tout dans une audience plus tard ce mois-ci. Dans un courriel, le directeur général et associé de Catalyst, Gabriel de Alba, a estimé qu'il s'agissait d'un excellent dénouement pour l'entreprise, ses employés ainsi que ses artistes pour éventuellement recommencer à offrir des spectacles. « Maintenant que les récents faux pas de la compagnie sont derrière nous, nous sommes impatients de conclure rapidement la transaction et de la soutenir pour qu'elle ravive la magie et le talent artistique qui ont fait du Cirque du Soleil une marque mondiale emblématique. » — Gabriel de Alba, PDG de Catalyst Cela écartera les actionnaires actuels de l'entreprise : le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui avaient acquis une participation majoritaire dans le Cirque lorsque son cofondateur Guy Laliberté avait décidé de ne conserver que 10 % de la compagnie. Au neutre Incapable de générer des revenus après avoir annulé ses 44 spectacles dans le monde en raison de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19, le Cirque s'est tourné vers la LACC à la fin de juin, ce qui a mené au licenciement d'environ 3500 employés. Les prêteurs proposent d'allonger jusqu'à 375 millions de dollars américains – sans aide gouvernementale – à la disposition de la compagnie. Deux fonds totalisant 20 millions seront également créés pour verser les sommes dues aux ex-travailleurs et artisans. L'entente prévoit un engagement pour le maintien du siège social du Cirque à Montréal pendant au moins cinq ans. Notre avenir passera par le numérique et accordera la priorité à la gouvernance et à la responsabilité sociale, a indiqué M. de Alba. Dans l'immédiat, le président et chef de la direction du Cirque Daniel Lamarre devrait conserver son poste, selon ce qu'a indiqué une source au fait du dossier, mais qui n'était pas autorisée à parler publiquement. Les créanciers étaient parvenus à s'entendre avec le Cirque après avoir signalé qu'ils s'opposaient à la convention d'achat ayant été annoncée entre la compagnie et ses actionnaires, qui misaient sur un prêt de 200 millions de dollars américains offert par l'État québécois dans le cadre de leur stratégie de relance. Des changements? Une fois qu'ils seront installés aux commandes, les créanciers pourraient accueillir de nouveaux investisseurs au sein de l'actionnariat du Cirque. Après avoir signalé qu'il ne ferait pas partie du processus d'enchères, le conglomérat de télécommunications Québecor avait tendu la main aux créanciers en exprimant son intérêt à participer à la relance du Cirque. Toute proposition rivale devait être supérieure d'au moins 1,5 million de dollars américains à l'entente intervenue avec les prêteurs du Cirque. De nombreux observateurs estimaient qu'il était peu probable de voir d'autres prétendants se manifester. M. Laliberté, qui a vendu sa participation restante de 10 % pas plus tard qu'en février – à l'aube de la pandémie mondiale de COVID-19 – à la Caisse pour 75 millions de dollars américains, avait démontré de l'intérêt à l'endroit de la compagnie. Le milliardaire n'a toutefois pas déposé d'offre en bonne et due forme pour remettre la main sur la troupe qu'il a cofondée. Pour le bas de laine des Québécois et le Fonds de solidarité FTQ, l'aventure se termine en queue de poisson. La CDPQ a radié ses investissements évalués à 170 millions de dollars américains. Le Fonds a également confirmé qu'il ne reverrait pas la couleur des 30 millions prêtés au Cirque l'an dernier. La clôture de la transaction est prévue le 30 septembre d'après les informations figurant dans les documents déposés auprès du tribunal.
  4. Station des Irlandais respecterait les règles de toponymie (contrairement au BL de la station dans Griffintown) puisque la rue des Irlandais est juste à côté
  5. Nouvelle vidéo sur le compte YouTube du REM : à propos des fouilles archéologiques dans Pointe-Saint-Charles près du Black Rock
  6. Beaucoup de questions sur ce projet au Conseil d'arrondissement ce soir. Une consultation publique à écrire est à venir
  7. Devimco a déposé les plans de la nouvelle mouture de l'Hexagone 3
  8. Le promoteur du TOM est le même que le 1420... https://www.corev.ca/ Des histoires pas très « propres »
  9. Ouverture officielle du bureau de ventes le 27 août https://imperiacondos.com/en/rsvp/ Courriel de DevMcGill :
  10. Un resto caribéen a remplacé la Taverne F https://tastet.ca/2020/08/13/kamuy-paul-toussaint/ Kamúy : le nouveau délicieux restaurant caribéen de Paul Toussaint Mis à jour le 13 août 2020 | Publié le 13 août 2020 | Après avoir annoncé son départ du restaurant Agrikol, le chef Paul Toussaint revient en force avec un projet dont il est, cette fois, chef ET propriétaire ! Installé dans l’une de ces capsules insolites de la place des Festivals où résidait auparavant la Taverne F, Kamúy se présente comme un halo gorgé de soleil qui fait rayonner la culture caribéenne à travers la ville. Tout récemment ouverte, l’adresse vient s’intégrer au paysage montréalais avec un concept qui réchauffe les palais et les cœurs, été comme hiver. La maison trouve tout son sens avec ce nom « Kamúy » signifiant « soleil » en taïno, langue arawakienne parlée par certains des peuples indigènes des Caraïbes. Cette fois, le chef-propriétaire ne se limite pas seulement à la cuisine haïtienne, dont il est originaire mais propose une véritable croisière en mer des Caraïbes. Le décor est lui aussi unique ! L’espace profite d’une superbe luminosité grâce à la configuration de la capsule, faite de grandes baies vitrées. La belle vitrine sur la Place des Festivals offre également un intérieur coloré où sont exposées les œuvres d’artistes de la communauté noire tels que Eddy Rémy ou Darwin Doleyres. Au menu, on goûte donc à une très bonne cuisine fusion où toutes les saveurs de l’espace caraïbe sont mises à l’honneur pour offrir à votre palais de belles découvertes gastronomiques. Le chef Paul Toussaint et ses deux sous-chefs Vincent Bolet et Ana Castillo ont élaboré un concept de tapas avec entre autres de succulents assortiments d’accras, des crevettes jerk, un carpaccio de jicama et divers petits délices à partager. Les plus gros appétits peuvent se régaler de plats de résistance tels que le lomo al trapo (filet de bœuf grillé), le poulet jerk, plat signature de Paul, ou encore un Dombrey (dumpling de patate douce caribéenne, fruits de mer, bisque à la noix de coco). En matière de rafraîchissement, la maison a de quoi désaltérer les plus assoiffés. Vin, bière, cocktails, mocktails, il n’y a qu’à demander ! C’est la mixologue Valérie Chagnon qui s’est occupée de monter une carte des cocktails qui vient en écho parfait à la gastronomie caribéenne. On sirote donc de très bons mélanges signature, principalement à base de rhum, tequila et mezcal. Paul Toussaint est heureux de pouvoir faire découvrir la culture et l’histoire caribéenne à travers sa cuisine, reflet d’une riche gastronomie !
  11. Il ne sera plus nécessaire avec le REM. Il me semble que ce sont tous des autobus qui passent par le pont Samuel-De Champlain. https://exo.quebec/fr/actualites/realisations/terminus-mansfield Il y avait un fil sur l'aménagement de ce terminus!
  12. C'est le terminus d'autobus. Il fait parti des South Block Lands
  13. https://journalmetro.com/local/mercier-anjou/2499770/les-cours-bellerive-30-des-condos-reserves/ Les Cours Bellerive: 30% des condos réservés 12:17 13 août 2020 | mise à jour le: 13 août 2020 à 12:40 temps de lecture: 3 minutes Par: Naomie Gelper Métro Photo: Courtoisie/Groupe Prével Plus des 600 logements s'érigeront sur le terrain d’une superficie équivalente à près de cinq terrains de football. Alors que la construction du projet immobilier Les Cours Bellerive qui verra le jour sur l’ancien entrepôt métro devrait débuter cet automne, sa mise en marché a déjà débuté et 30% des unités de logements privés sont vendus. À terme, le projet mené par le Groupe Prével vise la construction de 627 unités d’habitation. En tout, 519 unités de logements privés, 20 maisons de ville et 88 logements sociaux s’érigeront sur le terrain situé au 9205 rue Notre-Dame Est. Pour l’heure, le promoteur est toujours en attente de certaines approbations de la Ville pour les permis de construction. «À cette étape-ci, on attend d’avoir de leurs nouvelles pour la réorganisation et comment ils vont mettre en branle le fonctionnement usuel des recherches de permis», indique la coprésidente de Prével, Laurence Vincent. Au départ, la première pelletée de terre était prévue pour le mois de septembre. «On est encore optimiste. Il y a d’autres arrondissements à Montréal où les choses bougent rapidement», affirme Mme Vincent. Bureau des ventes Si la pandémie a retardé de quelques semaines le lancement du projet, elle n’a pas ralenti sa mise en marché, rapporte Mme Vincent. La coprésidente soutient qu’environ 30% des unités de logements privés sont vendues. «C’est sûr que c’est un quartier où les gens réagissent moins rapidement que dans des quartiers centraux, pense-t-elle. À cette étape-ci, on n’est pas très agressifs sur notre publicité, mais on a une belle réponse.» Oppositions au projet Rappelons qu’un registre avait été ouvert en février demandant de mettre un frein au projet domiciliaire. Seulement 118 signatures avaient été déposées, alors qu’au moins 264 inscriptions étaient nécessaires pour qu’un scrutin référendaire soit tenu. Lors de l’assemblée publique de consultations, des citoyens avaient fait part de leurs préoccupations à des représentants de l’arrondissement, au promoteur et à des fonctionnaires de la division de l’urbanisme. L’une des deux principales inquiétudes touchaient à l’augmentation de la circulation sur les rues avoisinantes. «C’est toujours une grande inquiétude le trafic et le stationnement quand on arrive avec un nouveau projet, mais finalement ça réussit la plupart du temps. Les gens modulent leur façon de faire pour s’adapter à la réalité du quartier», répond Laurence Vincent. Une autre préoccupation des résidents voisins concerne la hauteur des deux tours centrales de 10 et 12 étages. «Il y a des gens qui ont peut-être perdu des vues, mais au niveau de l’ensoleillement, les deux tours ne portent pas ombrages aux voisins», explique le directeur de Prével Alliance, Benoit Duhamel. Laurence Vincent précise qu’un grand nombre d’étages peut dégager une plus importante superficie au sol destinée à être aménagée en espaces verts. «Au final, ça coupe moins de vues que ça en aurait coupé», ajoute-t-elle. Une partie commerciale doit aussi être intégrée aux Cours Bellerive. Cependant, il n’est pas question d’une épicerie à grande surface, mais plutôt de «petits commerces», confirme le promoteur. 150 M$ La valeur de l’ensemble immobilier des Cours Bellerive est évaluée à 150 M$.
  14. Communiqué de la Ville http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=32923 La Ville de Montréal annonce la mise aux normes de trois terrains de soccer extérieurs 13 août 2020 Montréal, le 13 août 2020 - La Ville de Montréal procédera à la mise aux normes de trois terrains de soccer situés au parc Jarry, dans le cadre de son Programme de réaménagement du Réseau des grands parcs. Cette réfection, au coût de 671 636 $, profitera aux Montréalaises et aux Montréalais, en plus d'accueillir les Championnats de soccer nationaux U-17, qui se tiendront à Montréal en 2021. Les travaux de réfection et de mise aux normes des terrains contribueront également à la pratique sportive, tout en favorisant la sécurité et le confort des usagers. Les travaux prévus sur les trois terrains comprennent notamment la préparation du site et la protection des équipements existants, l'aération et l'ensemencement des surfaces de gazon existantes, le remplacement des surfaces de gazon abîmées, l'entretien des surfaces de jeu et la réparation du système d'irrigation. À ces travaux s'ajoutent diverses interventions de mise aux normes afin de rendre les terrains plus sécuritaires pour les usagers réguliers. « Cet investissement de la Ville de Montréal permettra aux nombreux adeptes de soccer d'avoir accès à des terrains fraîchement rénovés, qui répondront à leurs besoins et qui seront accessibles à toutes et à tous », a déclaré Rosannie Filato, conseillère de ville du district Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. «L'essor fulgurant de la pratique de ce sport au cours des dernières années justifie ces investissements qui permettront d'offrir aux citoyennes et aux citoyens des équipements de qualité. Ces réaménagements de terrains favoriseront autant le soccer récréatif que celui de compétition et encourageront la pratique de l'activité physique à Montréal », a souligné Hadrien Parizeau, conseiller associé à la jeunesse, aux sports et aux loisirs au sein du comité exécutif. Les travaux de réfection et de mise aux normes des terrains de soccer débuteront au cours du mois de septembre et se poursuivront jusqu'au printemps 2021.
  15. Barrière et ruban jaune « Danger » autour de la St. Ann Nursery Selon le maire, il y aurait une occupation illégale Via Facebook :
  16. Séance d'information le 9 septembre https://www.facebook.com/events/3183493385061670/
  17. Je viens de recevoir un courriel sur le lancement prochain de la phase 2! Cette deuxième phase, à l'angle des rues Richmond et des Bassins, propose des unités ergonomiques (dont plusieurs pourvues de grands balcons) et des espaces communs invitants dans un quartier convivial et animé aux abords du canal de Lachine. Le projet bénéficiera d'une cour intérieure végétalisée, d'une allée piétonne traversante menant à une ruelle verte bordée de petits commerces de proximité avec terrasses.
  18. Photos de la page FB de Kollectif/Marc-André Carignan Nouvelle plage (et terrasse publique) au Quartier chinois de Montréal! L'espace se divise en deux volets : 1- Terrasse publique sur laquelle vous pouvez apporter un "petit drink" (à condition de l'accompagner d'un repas, comme dans un parc). Plus d'une dizaine de restaurateurs du quartier participe à l'initiative en affichant sur place une boîte à lunch "take out" à se procurer directement dans leur établissement. 2- Plage sur laquelle vous pouvez relaxer, manger et socialiser... en respectant la distanciation physique. Projet chapeauté par notre chef de contenu multiplateforme Marc-André Carignan. Réalisé par La Pépinière I Espaces Collectifs, en étroite collaboration avec des entrepreneurs, restaurateurs et artistes de la communauté asiatique montréalaise. Photos : Eva Blue + Marc-André Carignan Source : PQDS
  19. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1725754/mbam-lettre-bondil-harcelement-intimidation-travail-musee MBAM : Nathalie Bondil s'insurge contre un réquisitoire « dur » et « injuste » Des employés du MBAM dénoncent le « climat malsain » sous Nathalie Bondil dans une lettre ouverte. Des employés dénoncent la chape de plomb qui régnait au musée depuis « de nombreuses années ». PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Maud Cucchi 7 h 44 | Mis à jour à 11 h 22 L’ancienne directrice du MBAM Nathalie Bondil se dit bouleversée par la lettre ouverte, publiée hier par une centaine d’employés, qui confirme les allégations de harcèlement et d’intimidation sous sa direction. Certains d’entre eux l’ont prévenue de la publication de la lettre ces derniers jours, lui affirmant qu’ils avaient dû joindre leur signature sous pression, a-t-elle affirmé à Radio-Canada. Ce sont des personnes avec qui j’ai travaillé longtemps, avec qui je partage des liens d’amitié et pour qui j’ai de l’estime, a tenu à préciser Mme Bondil. L’ancienne directrice, évincée à la mi-juillet, a évoqué une saga violente pour elle, dure et injuste, selon ses termes, que la lettre envoyée à différents journaux francophones et anglophones relance de plus belle. « C’est comme si on jetait 20 ans de carrière, où toute possibilité de rebond équivalent est compromis. » — Nathalie Bondil, ancienne directrice du MBAM Pour parler des faits tels que vécus, Mme Blondil dit s’en remettre à l’enquête mandatée par le ministère de la Culture et des Communications, et dont le mandat est d’examiner l'encadrement et la supervision de la conduite des affaires du MBAM par l'équipe de direction et le conseil d'administration. « Je ne suis pas en guerre contre le musée, ni contre les équipes » , a-t-elle assuré, insistant sur une issue réparatrice et apaisante pour tout le monde. Lettre à charge Climat délétère, microgestion, manque de reconnaissance... les signataires écrivent vouloir ainsi briser le silence qui régnait en coulisses dans un milieu de travail qui s’est détérioré sous l’ancienne directrice-vedette, et dont le récent congédiement, à la mi-juillet, a suscité de vives réactions. Harcèlement et intimidation récurrents devant témoins ont ponctué nos journées pour plusieurs d’entre nous, notamment lors des montages d’expositions, commence par dénoncer la lettre qui fédère une grande majorité d’employés – anciens et nouvelles recrues de différents départements. Parmi eux figurent des techniciens, bibliothécaires, responsables de programmes éducatifs, adjoints administratifs ou encore la plupart des conservateurs. L'une d'elles, Anne Grace, parle d'une initiative spontanée suite à une frustration de voir des prises de position publiques dénigrer le travail qu'on fait au musée. « Il y a eu un momentum, on s'est dit : c'est assez, on va s'exprimer ! » — Anne Grace, conservatrice aux expositions et à l'éducation au MBAM. Preuve de la cohérence de la tribune, avance-t-elle, c'est d'avoir réuni cent signataires rapidement, de tous les départements, et surtout en période de vacances. Les équipes n’avaient aucun pouvoir décisionnel et étaient toutes systématiquement en attente de la disponibilité de l’ancienne directrice générale pour la moindre approbation. Le résultat? Temps, coûts supplémentaires et stress qui auraient pu être évités, précisent les signataires dans cette lettre à charge. Excédés par les prises de position publiques pour soutenir l'ancienne directrice, ils révèlent un système de l’omerta où les griefs étaient bloqués et les collègues mis au placard à répétition. Les griefs suivaient leur cours, s'est défendue Mme Bondil en entrevue, tout en précisant avoir créé un service de ressources humaines, début 2018, qui chapeautait la mise en place d'un plan de diversité, d'inclusion, de promotions en interne et de formations. Situation de chaos Les projets qui s’enchaînaient à un rythme effréné étaient constamment repris, sans consultation préalable véritable ni post-mortem; la microgestion de l’ancienne directrice générale paralysait le travail des employés. Le quotidien était fait d’urgences continues. La présence au travail tard le soir et les fins de semaine était considérée comme une démonstration d’engagement, expliquent les signataires. Nathalie Bondil était en poste depuis plus de 10 ans. PHOTO : GETTY IMAGES / ILYA S. SAVENOK Leur témoignage vise à mater ouvertement les prises de position qui ont dénoncé le congédiement en juillet de Mme Bondil, à commencer par les siennes : Au vu de cette situation et du chaos créé, comment l’ancienne directrice générale peut-elle publiquement se présenter comme victime de « lynchage »? Cette posture démontre une insensibilité choquante à l’égard des enjeux culturels et politiques de ce terme, et des valeurs humanistes du MBAM qu’elle dit épouser, peut-on lire. Les signataires dénoncent également certains maillons du climat toxique évoqué, en ciblant Thomas Bastien, sans toutefois le nommer expressément : Nommé à l’époque par la directrice générale sans compétence spécifique pour son poste, il est parmi ceux qui ont contribué au climat malsain qui prévalait au Musée, explique la lettre. L’ancien directeur de l'éducation et du mieux-être au MBAM avait été l’instigateur d’une pétition(Nouvelle fenêtre) qui demandait la tenue d’une assemblée spéciale des membres à la suite de la révélation de problèmes de gouvernance au sein de l’institution muséale. Comme membre de la direction, « ce pétitionnaire en chef » a été exposé avec l’ancienne directrice générale au compte rendu explicite du comité exécutif du syndicat sur le climat de travail toxique et la détérioration de notre environnement de travail. Et cela, à la demande du Conseil. Comment peut-il affirmer, aujourd’hui, que le Conseil a outrepassé les règles de bonne gouvernance? C’est honteux! Recentrer le débat Cette lettre tend à recentrer le débat qui a dévié sur les tensions entre Mme Bondil et le conseil d’administration, alors que le problème, c’était au départ le climat de travail qui s’était depuis plusieurs mois et même des années envenimé, a précisé le signataire Richard Gagné, chef du service de la restauration du Musée des beaux-arts de Montréal, à l’émission Tout un matin. Des très belles personnalités, qui avaient de très bonnes compétences, ont quitté parce qu’aussi on sentait, dans la plupart des départements, qu’il n’y avait pas de forum pour discuter de ces problèmes, a-t-il témoigné. Il a également salué l'arrivée de Mary-Dailey Desmarais au nouveau poste de directrice de la conservation : d’un coup, un nouveau climat de dialogue s’établit, de transparence, de consultation entre les individus. « Elle écoute les demandes, elle essaie de rassembler tout le monde pour partager l’information, ce qui existait de moins en moins dans l’institution. » — Richard Gagné, signataire et employé du MBAM. Le conseil d’administration du MBAM avait justifié le renvoi de la directrice générale du musée, en expliquant qu’elle aurait refusé de prendre en compte les recommandations d’une firme indépendante spécialisée en ressources humaines qui avait été chargée d’analyser son style de gestion.
  20. On peut visionner la séance d'info sur la page YouTube de l'OCPM
  21. https://montrealgazette.com/news/local-news/groups-fear-greening-of-turcot-will-fall-by-wayside Groups fear greening of Turcot will fall by wayside Environmental groups are concerned promises to improve green space and add in the Turcot sector will never come true. Author of the article :Jason Magder • Montreal Gazette Publishing date : Aug 10, 2020 • Last Updated 15 hours ago • 3 minute read There is a plan to build a cycling/pedestrian path at the bottom of the Falaise St-Jacques seen here. DAVE SIDAWAY / Montreal Gazette As the Turcot project enters its final phase, environmental groups are concerned that promises to improve green space and add active transportation infrastructure in the sector will never come to fruition. The most expensive road construction project in the province’s history is roughly 91 per cent complete, and slated to be finished either at the end of the year or early in 2021, according to Transport Quebec. The $3.7-billion project will rebuild the interchanges between Highway 20, Highway 15, the Ville-Marie Expressway and Route 138. Now the groups say they fear budgetary constraints expected to be caused by the COVID-19 crisis will mean perpetual delays for promises originally included in the project. When first unveiled in 2010, plans for the Turcot called for a cycling and pedestrian bridge, dubbed the Dalle Parc, to begin near the southern extreme of Cavendish Blvd. in Notre-Dame-de-Grâce, extend over Highway 20 and connect to a new urban park, on land that is due to be freed up by the project. The Dalle Parc as originally conceived in 2010 was supposed to be a large green overpass over Highway 20 and the adjacent railway. The project was subsequently dropped from the Turcot plan. TRANSPORT QUEBEC “They went and proposed the Dalle Parc as a way to gain some social acceptability of the project,” said Magali Bebronne, a program manager for the cycling lobby group Vélo Québec. “Then as soon as they went ahead, they just tossed it out.” The project was reincarnated in recent years, and now part of an overall plan to create alarge urban park in the area. However, there is no timeline for that project and a promised feasibility project has been delayed by at least a year. “There is a sentiment that the city and Transport Quebec are just shunting responsibility from one to the other and in the meantime nothing seems to be going forward,” Bebronne said. “When you see projects like the REM and the Champlain Bridge happening so fast, they’re trying to minimize delays and do things really fast, but when it comes to building a bridge for pedestrians and cyclists, it is all of a sudden too technical, too complicated, too expensive, as if that wasn’t also a mobility need.” A spokesperson for Transport Quebec told the Montreal Gazette there will be some bicycle paths and multi-use paths included as part the Turcot project. A protected bicycle path will link from Brock St. N. in Montreal West to the Lachine Canal, and open next month. That path will also connect to a new multipurpose path along the foot of the cliffs that run just south of St-Jacques St., called the Falaise St-Jacques. The plan for the Falaise path is to run from Ste-Anne-de-Bellevue Blvd. to the MUHC Glen campus entrance near St-Rémi Blvd. and St-Jacques St. A third short bike path linking Pullman Blvd. to Notre-Dame St. will also be connected. The latter two paths are expected to be completed by the end of the project. Lisa Mintz, who heads a group called Sauvons La Falaise, said she’s pleased a multi-use path will be built at the foot of the Falaise, but it is merely crumbs compared to what has already been promised. “Without the Dalle Parc, it doesn’t really connect to anything,” Mintz said. “It’s a bike path to nowhere.” Mintz said because the plans for the bridge were scrapped from the original project, it will take much longer and be far more difficult to build it after the Turcot project is completed. “Because they didn’t do this before they put the train lines in, they’re going to have to stop the trains before they put the Dalle Parc in, so they have to negotiate with CN,” she said. “That’s a big stumbling block.” Another stumbling block could be money, Mintz said, as the province could head into austerity measures after incurring debt during the coronavirus crisis.
  22. https://www.etsmtl.ca/nouvelles/2020/pavillon-f-ets-archeologie-four-pain/ Fouilles archéologiques sur le futur site du pavillon F Une chambre à combustion d’un four à pain mise au jour 10 août 2020 L’inventaire archéologique réalisé du 15 au 18 juin dans la partie nord du quadrilatère formé des rues William, Young, Ottawa et Murray a eu pour résultats la découverte d’une chambre à combustion d’un four à pain. Préalablement à l’intervention, l’étude du cadre historique et de l’évolution du cadre bâti a permis d’établir que la boulangerie Gallery était l’élément le plus susceptible de détenir des valeurs d’évocation et d’appropriation pour le quartier. Les tranchées ont donc conséquemment été positionnées à l’emplacement présumé de ladite boulangerie. Partout où les sols ont été retirés, on a mis au jour les vestiges de la boulangerie. Dans la portion est, où une tranchée a été excavée dans l’axe est‐ouest, les dépôts de démolition reposaient sur une dalle de béton. Cette dalle, apparue à 2,30 m sous la surface, formait le plancher du sous‐sol de la boulangerie. À l’extrémité est de la tranchée, un pilier de briques a été dégagé (photo 2), près duquel se trouve un drain de plancher percé dans le béton. Ce pilier servait probablement à soutenir le plancher du rez‐de-chaussée de la boulangerie. Le long de la paroi sud de la tranchée est‐ouest, quelques assises du mur de pierres sud de la boulangerie ont été dégagées (photo 3). Photo 2 - Pillier de briques Photo 3 - Assises du mur de pierres Considérant que l’objectif principal de l’intervention était de mettre au jour les vestiges de la boulangerie Gallery en activité à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, les résultats obtenus se révèlent fort satisfaisants. Les analyses qui restent à faire permettront sans doute d’identifier les méthodes employées dans la fabrication industrielle du pain à cette époque, ouvrant ainsi une fenêtre qui permettra d’obtenir un coup d’œil sur l’environnement de travail des boulangers de cette époque. Les relevés du four en élévation et en plan réalisés au terrain rendent bien compte, d’une part, de la sophistication de l’ouvrage et, d’autre part, de sa facture artisanale. Pour compléter les données et fournir un rendu plus dynamique des vestiges, un relevé 3D a également été réalisé. https://sketchfab.com/3d-models/le-four-a-pain-de-la-boulangerie-gallery-74de6d085981445bb6663a20a855ff31
  23. Il y a une séance d'information jeudi soir à 17 h sur Zoom Inscription ici : https://medinbox.zoom.us/webinar/register/WN_w0gT30YjTUuVpkhJgeEeQw
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