Aller au contenu

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. C'est ce café qui s'est installé au RDC https://tastet.ca/2020/08/25/caffettiera-bar/ Caffettiera Caffé Bar : un bout d’Italie au centre-ville Mis à jour le 25 août 2020 | Publié le 25 août 2020 | 370 partages Caffettiera HoraireLundi - Mercredi : 7h - 17h Jeudi - Vendredi : 7h - 20h30 Samedi : 9h - 17h Dimanche : 9h - 13h Type de cuisine : Italienne Ambiance : Animée Prix Cafés : 2,61$ - 5$ Collations salées : 5$ - 9$ Collations sucrées : 4$ - 8$ Proprétaire(s)Andreas Vecchio Date d'ouverture : 2020-07-15 Nombre de places assises : 15 Accepte les groupes :Oui Prends les réservations :Oui Si vous avez déjà eu la chance de visiter l’Italie, vous savez que l’on y boit son café au bar, debout, d’une seule traite. Pour les Italiens, le bar représente en effet un endroit où on prend sa pause, en général le matin, mais rien ne vous empêche d’y aller quand l’envie vous prend ! Il s’agit de trouver un petit moment de tranquillité avant d’attaquer le reste de la journée. Andreas Vecchio, le propriétaire, avec son associé et cousin Diego Lovino (Cloakroom), ont souhaité recréer cette ambiance typique à Montréal. On vous présente donc la Caffettiera, caffé, bar e aperitivo. Andreas avait envie de proposer un bar italien, plus moderne que ce que l’on trouve habituellement à Montréal. Au lieu de s’inspirer des années 1950, il a donc choisi les années 1990. Décennie qui, pour lui, représente le mieux l’Italie. Une époque où les Italiens dominaient le monde du foot (13 titres européens sur 30 possibles) et une époque qu’Andreas affectionne particulièrement. À la Caffettiera (cafetière Moka en italien), vous pourrez déguster un excellent espresso, fait avec des grains torréfiés en Italie par un ami du propriétaire, Flavio du Caffè Fantini, à Rome. De plus, tous les matins, le bar reçoit de superbes bombolone (ces irrésistibles beignets fourrés italiens, tendres et dodus) de Arte & Farina ainsi que des ciabattas et des focaccias afin de vous proposer de délicieux sandwichs (disponibles jusqu’à épuisement de l’inventaire). Vous trouverez également votre bonheur ici à l’heure de l’apéro. En effet, la maison sert des spritz et autres cocktails rafraîchissants à déguster avec quelques grignotines salées. Comme en Italie, la commande se fait au comptoir et c’est à vous d’aller la chercher. Ici, pas de serveurs, juste d’excellents baristas. Vous trouverez une quinzaine de places assises à l’intérieur et, à l’extérieur, une belle terrasse qui peut accueillir une trentaine de personnes. Du design, élaboré par Ménard Dworkind (vinvinvin, Ryu, Blossom, Red Tiger…), à la musique, tout rappelle vraiment les années 1990. D’ailleurs, si le choix de musique vous plaît particulièrement, Andreas a partagé sa playlist ici. Faute de ne pouvoir voyager, rendez-vous à la Caffettiera pour avoir l’impression, le temps d’un espresso ou d’un spritz, d’être en Italie !
  2. https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2505455/caroline-bourgeois-lance-un-cri-du-coeur-pour-le-transport-dans-lest/ Caroline Bourgeois lance un cri du coeur pour le transport dans l’Est 14:15 26 août 2020 | mise à jour le: 26 août 2020 à 19:28 temps de lecture: 2 minutes Par : MétroMétro Photo: Archives/Métro Média Dans un cri du cœur publié sur sa page Facebook, Mme Bourgeois souligne l’importance d’aller de l’avant avec l’allongement de la ligne bleue du métro. Alors que les travaux de prolongement de la ligne bleue sont à nouveau retardés, la mairesse de RDP-PAT Caroline Bourgeois demande l’implémentation d’une loi spéciale pour accélérer les processus d’expropriation. Dans un cri du cœur publié sur sa page Facebook, Mme Bourgeois souligne l’importance d’aller de l’avant avec l’allongement de la ligne de métro vers Anjou. Selon elle, «la population de l’Est a assez attendu». Pour elle, le « momentum » connu après la signature de la Déclaration pour revitaliser l’Est de Montréal en décembre 2018 ne doit pas se perdre. « Il faut au moins qu’une solution soit trouvée entre les parties, indique-t-elle. […] On est encore à la remorque après 40 ans, et c’est inacceptable », affirme-t-elle en entrevue. Le prolongement de la ligne bleue est retardé présentement, notamment par la contestation judiciaire de l’avis d’expropriation par Cadillac Fairview. Mme Bourgeois unit donc sa voix à celle de la mairesse de Montréal Valérie Plante. Cette dernière avait annoncé le 24 août vouloir une loi spéciale permettant d’accélérer le processus des expropriations. Projet de transport collectif électrique Mme Bourgeois réitère également l’importance d’aller de l’avant avec le projet de transport collectif électrique reliant la Pointe-de-l’Île au centre-ville de Montréal. Pour l’instant, indique-t-elle, les détails du projet se font toujours attendre. Le 24 août, une rencontre s’est tenue sur les nouveaux projets de transport en commun à Montréal, en Montérégie et à Laval. La rencontre a réuni la ministre déléguée aux transports Chantal Rouleau, le premier ministre François Legault, le ministre des Transports François Bonnardel et des membres la Caisse de dépôt du Québec. Selon Mme Bourgeois, le tracé du projet de transport sur Notre-Dame était d’ailleurs l’un des points de discussion de la rencontre. « J’attends avec impatience le retour de la Caisse de dépôt», conclut-elle.
  3. Une autre organisation avec un environnement toxique. J'espère que ce n'est pas la fin pour les aménagements temporaires à Montréal, dont le Village Au pied du courant 😑 reportage radio à l'émission Le 15-18 https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/reportage/194698/la-pepiniere-ex-employes-maxim-bragoli-jerome-glad Vague de démissions à La Pépinière espaces collectifs Publié à 17 h 21 Rattrapage du mercredi 26 août 2020 : 16 h 38 | Dénonciation de la mauvaise gestion à La Pépinière | Durée :8:34 Le Village au Pied-du-Courant fait partie des projets réalisés par La Pépinière espaces collectifs. PHOTO : RADIO-CANADA / NABI-ALEXANDRE CHARTIER L'organisme La Pépinière espaces collectifs, connu pour ses aménagements urbains novateurs comme le Village au Pied-du-Courant ou les Jardineries au Parc olympique, a perdu plus de 20 employés en 2018 et en 2019. Au moins 12 d'entre eux disent avoir quitté en raison d'abus de pouvoir de la part de la direction générale de l'organisme. Ces douze ex-employés ont demandé à témoigner sous le couvert de l’anonymat parce qu'ils craignent des représailles des deux directeurs généraux et cofondateurs de La Pépinière, Maxim Bragoli et Jérôme Glad. Ces ex-employés affirment avoir à cœur la mission de l’organisme, mais plusieurs font état d'une désorganisation au sein de La Pépinière : projets mal planifiés, budgets insuffisants et délais trop courts. Ils déplorent que des employés travaillent sur des chantiers la nuit, malgré les risques, pour que les projets soient livrés à temps. Plusieurs travailleurs se sont épuisés et ont demandé à la direction un meilleur encadrement, notamment par l'embauche d'un gestionnaire des ressources humaines indépendant, un département alors sous la responsabilité de Maxim Bragoli et de sa conjointe, Gaëlle Aguiar. Il s’agit d’un rôle-clé qui, selon tous les ex-employés consultés, augmente l'emprise de la direction générale sur les travailleurs. L'une des trois gestionnaires de l'époque, Raphaëlle Bilodeau, était favorable à cette solution, mais elle affirme ne pas avoir réussi à convaincre ses homologues, Maxim Bragoli et Jérôme Glad. C'était primordial que La Pépinière arrive à une maturité, qu'elle se dote de processus internes, dit-elle. Une entreprise qui est mature et qui a des processus à l'interne, ça sait gérer les conflits en dehors des émotions. Ça se munit d'un spécialiste en ressources humaines. S'il n'y a pas de processus à l'interne, toute personnalité peut déborder, et ça peut devenir hyper dangereux. Raphaëlle Bilodeau a démissionné en septembre 2018, et plusieurs employés ont suivi son exemple. Les cofondateurs Maxim Bragoli et Jérôme Glad se sont donc retrouvés seuls directeurs de La Pépinière. Menaces, contrôle et médisance Les douze ex-employés rapportent que Maxim Bragoli utilisait les menaces ou la médisance pour gérer le personnel. À mon arrivée, il m'a dit de me méfier de Raphaëlle et d'Eva, rapporte l’un d’eux. Une source dit avoir fui une salle de réunion en pleurs après avoir été agressée verbalement par Maxim Bragoli pour un présumé manque de soutien envers lui. Une autre se rappelle que ce même directeur l'a arrêtée dans un couloir pour lui dire : Plus jamais tu ne me contredis devant le reste de l'équipe. Ces ex-employés soutiennent aussi que Maxim Bragoli imposait des décisions irréalistes et qu'il contrôlait de manière excessive le travail des employés. Maxim me rencontrait toutes les semaines pour un mandat sur lequel je travaillais et il m'envoyait systématiquement dans une direction différente, raconte une source. Il m'a vraiment poussée à bout, je n'avais plus du tout de plaisir. Quatre ex-employés affirment avoir développé des symptômes d'épuisement professionnel. Plusieurs soutiennent que les travailleurs qui critiquaient les directeurs étaient perçus comme une menace. Dès que tu voulais critiquer des pratiques de l'entreprise pour l'améliorer, tu te faisais pousser vers la sortie, déplore une source. C'était le festival du congédiement déguisé. La réponse de la direction Les deux directeurs généraux de La Pépinière disent, de leur côté, avoir toujours pris des décisions pour le bien-être de l'organisme, et ils reconnaissent être responsables de la santé globale de celui-ci. Je sais que j'ai été perçu comme une personne froide, indique Maxim Bragoli. Je n'ai jamais cherché à être méchant envers une personne ou blesser une personne. Si j'ai blessé des gens, ce n'était pas mon intention, je m'en excuse et je suis vraiment désolé. La direction affirme avoir embauché des consultants externes en ressources humaines pour assainir le climat de travail. Or, de nombreux ex-employés rapportent avoir démissionné justement en raison de pratiques douteuses de ces consultants, notamment à cause de contrats de travail comportant des clauses de confidentialité. Le CA alerté Dans une lettre adressée au conseil d'administration de La Pépinière, une ex-employée écrit : « J’ai conseillé à plusieurs reprises à Jérôme Glad de discuter ouvertement des points sensibles avec l'organisation au complet. À cela, je me suis fait répondre d'arrêter de "parler fort" et de ne "pas mettre d'huile sur le feu" et de plutôt "surfer la vague et aller dans le sens de la direction". » Radio-Canada a d’ailleurs obtenu copie de quatre lettres envoyées aux membres indépendants du CA par d'ex-employés dans le but de les alerter et de les inciter à agir pour mettre fin aux mauvaises pratiques de la direction. Une rencontre entre des employés et les deux administratrices externes du CA, Lyndsay Daudier et Colleen Lashuk, s'est tenue en mai 2019. Dans un courriel, elles affirment que suite à plusieurs recommandations auxquelles il n'y a jamais eu de suite, conjointement, les administratrices externes indépendantes ont démissionné, car leur rôle de gouvernance (porter un regard sur la gestion) ne pouvait plus s'exercer sur ce CA. Elles soulignent que les deux seuls autres administrateurs de ce CA étaient les directeurs, Jérôme Glad et Maxim Bragoli. Selon le président-directeur général de l’Institut sur la gouvernance, François Dauphin, il est légal que deux gestionnaires siègent à un conseil d’administration de quatre membres, mais cela est contraire aux bonnes pratiques : La gouvernance est extrêmement importante dans un organisme à but non lucratif, surtout de cette taille-là, parce que le CA est le seul contrepoids à la direction, surtout quand c'est les cofondateurs qui sont en place. Il ajoute que, dans ce contexte, il aurait été préférable que le CA comporte plus de sièges, dont une majorité occupée par des personnes indépendantes. La Ville de Montréal satisfaite du travail accompli En 2018 et 2019, La Pépinière a reçu 1,4 million de dollars en contrats et financement de la Ville de Montréal. Celle-ci précise, dans un courriel, que les services de La Pépinière ont été rendus selon les termes du contrat et qu'il y a eu reddition de comptes. Depuis la vague de démissions, Maxim Bragoli et Jérôme Glad ont embauché des responsables pour trois services, soit les opérations, les projets et les communications. Le département des ressources humaines est toutefois, encore aujourd'hui, coordonné par Gaëlle Aguiar, la conjointe de Maxim Bragoli. Les deux directeurs assurent que le climat de travail s'est amélioré, qu'ils font tout pour assurer le bien-être des employés et qu’ils veulent recruter de nouveaux membres pour le CA, qui en compte cinq en ce moment. Toutefois, plusieurs employés disent souffrir du manque de confiance de la part de la direction générale et songer à quitter l'organisme.
  4. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1729395/la-cordee-vente-groupe-mach-articles-sports La Cordée maintenant propriété du Groupe Mach Le détaillant La Cordée s'était placé sous la protection de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS La Presse canadienne 16 h 45 | Mis à jour à 17 h 32 Le détaillant d'articles de sport et de plein air La Cordée, qui s'était placé à l'abri de ses créanciers en février dernier, appartient désormais au Groupe Mach - un des principaux promoteurs immobiliers de la province. L'entreprise a conclu une entente avec Mach Capital, la société d'investissement du groupe immobilier, et l'annonce a été faite aux employés de La Cordée mercredi, par l'entremise d'une note que des médias ont pu consulter. Au cours d'un entretien téléphonique, la présidente-directrice générale de La Cordée, Emmanuelle Ouimet, a indiqué que la Cour supérieure du Québec avait approuvé la transaction mercredi. Nous avons tous vécu des mois assez tumultueux, a-t-elle souligné. Nous allons conserver les cinq magasins et le site web. Nous ne sommes pas dans une fusion avec un concurrent. Nous allons conserver notre entièreté. Mach a l'intention, une fois que les activités auront été stabilisées, de miser sur une expansion. Les détails de la transaction n'étaient pas disponibles dans l'immédiat. La Cordée, qui s'était tournée vers la Loi sur la faillite et l'insolvabilité, traînait des créances d'environ 22,2 millions de dollars, d'après les documents déposés en février dernier auprès des tribunaux. Les créanciers n'obtiendront vraisemblablement qu'une fraction de ce qui leur est dû. En fin d'après-midi, mercredi, le Groupe Mach n'avait pas officiellement commenté la transaction. Dans sa missive, Mme Ouimet a souligné que le détaillant allait pouvoir notamment profiter de l'expertise stratégique de Mach Capital et du vaste parc immobilier du groupe. Au bout du fil, celle-ci a précisé que le redressement devrait s'échelonner sur plusieurs mois, sans dévoiler les initiatives qui seraient mises de l'avant. Des rencontres sont prévues dans chacun des magasins au cours des prochaines semaines, indique-t-on dans la note transmise aux salariés. Le plan de transformation sera alors présenté. La Cordée, qui a vu le jour en 1953, comptait 233 employés, selon un rapport produit par la firme MNP, le syndic au dossier, à la fin juillet. Il y avait quelque 400 salariés lorsque l'entreprise avait opté pour la protection de ses créanciers, en février dernier. L'entreprise exploite cinq magasins, dont l'enseigne La Vie Sportive, à Québec, acquise en 2018. Le détaillant compte également deux boutiques sur l'île de Montréal, une autre à Laval et une à Longueuil. D'après le plus récent rapport du contrôleur, La Cordée avait perdu 800 000 $ au cours de l'année financière 2018 et 3,3 millions de dollars l'année suivante. Les problèmes financiers ont débuté [à la] suite [de] l'acquisition de La Vie Sportive en 2018, faisait valoir le rapport produit par MNP à la fin juillet. Des dépassements de coûts de 1 million de dollars pour les améliorations locatives, l'arrivée de nouveaux compétiteurs spécialisés ainsi qu'un retard dans le commerce en ligne ont tous été des facteurs ayant contribué aux problèmes financiers. À ses débuts, le détaillant livrait principalement du matériel de camping aux scouts, avant de diversifier ses activités à compter des années 1960, par exemple en vendant des articles de ski et d'escalade. Le matériel de sport nautique a fait son entrée dans les boutiques au début des années 2000.
  5. 5500 pi². Est-ce que la SAQ prend l'espace au complet?
  6. Dans le compte-rendu du dernier Comité de bon voisinage de Griffintown (20 août 2020) Travaux du REM Les travaux de réhabilitation de la structure ferroviaire se poursuivent jusqu’à la fin août et les travaux de nuit sont terminés. Les rues Saint-Paul et Saint-Jacques devraient ouvrir à la fin août. Des entraves partielles sont à venir sur la rue Notre-Dame. La modernisation des voies se poursuit avec l’étanchéisation des surfaces. Sur le le viaduc de la Commune, les travaux consistent entre autre à ériger des nouveaux piliers et se poursuivront jusqu’au début de l’automne. Dans le même secteur, les travaux d’aménagement du talus qui longe la rue Smith sont en cours. Un mur de soutènement doit aussi être construit dans ce corridor. Ces travaux devront être coordonnés avec les activités du CN ce qui entraînera des travaux de nuit. La circulation sur la rue de la Commune est assurée en alternance sous le viaduc. Par ailleurs, la gare Griffintown sera livrée en 2023 et aménagée dans le tronçon situé entre les rues Ottawa et William.
  7. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1729271/deconstruction-pont-champlain-debut-travaux Démantèlement chirurgical de l’ancien pont Champlain Les premières sections enlevées seront analysées par les experts afin de comprendre les raisons qui ont mené à l’usure prématurée du pont. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Karim Ouadia 11 h 58 | Mis à jour à 12 h 26 Plus d'un an après l'inauguration du nouveau pont Samuel-De Champlain qui relie Montréal et Brossard en traversant le fleuve Saint-Laurent, on passe à l’étape du démantèlement de l’ancienne structure. L’opération, qui se veut un travail de déconstruction et non de démolition, est complexe mais nécessaire, selon la société Les ponts Jacques Cartier et Champlain incorporée. Les premières poutres et sections enlevées seront analysées par les experts afin de comprendre les raisons qui ont mené à l’usure prématurée du pont. Début juillet au 15-18, l’ingénieur Normand Tétreault expliquait que tous les systèmes de consolidation qui ont été ajoutés au fil des années pour réparer le pont rendent l’opération encore plus complexe. Les travaux de destruction du pont Champlain d'origine ont commencé. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Étape par étape Les travaux, qui ont commencé le 18 août à partir de l’île des Sœurs, consistent d’abord à déconstruire la culée du pont, la partie située sur la rive et destinée à supporter le poids du tablier, explique Nathalie Lessard, directrice des communications à la société Les ponts Jacques Cartier et Champlain incorporée. Il s’agit d’un travail délicat, où chaque étape compte, précise Mme Lessard. On n’aura pas recours au dynamitage comme lors d’une opération de démolition. On procédera section par section, pièce par pièce. Un camion transporte un bloc géant qui sera installé en dessous de la poutre pour la soutenir et en assurer la stabilité. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Le but est à la fois de minimiser les nuisances telles que le bruit et la poussière pour les résidents proches du chantier, mais aussi pour réduire les effets de ces travaux sur l’environnement. Des sonomètres seront utilisés pour mesurer et surveiller le niveau du bruit. Il en sera de même pour la qualité de l’air, indique Mme Lessard. Toutefois, fait-elle remarquer, cela dépendra aussi des conditions météorologiques. Pendant les deux semaines que doit durer l’opération, les automobilistes devront composer avec des entraves routières. Le boulevard René-Lévesque de L'Île-des-Sœurs sera complètement fermé pendant les travaux qui se poursuivront essentiellement sur le fleuve, ce qui aura moins d’impact sur la circulation. Pour le reste du processus, Mme Lessard indique que les détails seront annoncés plus tard cet automne. Un ouvrier travaille sur la destruction du pont Champlain d'origine. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Respecter le budget et les délais En plus d’être un grand défi de génie civil de déconstruire un pont de 3,4 km au-dessus du fleuve Saint-Laurent tout en protégeant l’environnement et les voisins, il s’agit également de prévoir les coûts et les échéanciers d’une telle opération dans un contexte de pandémie, rappelle Nathalie Lessard. Initialement prévus pour une durée de 36 mois, les travaux de déconstruction dureront finalement 43 mois pour prendre fin en 2024, précise Mme Lessard. Dans les conditions actuelles, on peut imaginer des pertes de temps, un ralentissement sur le chantier, parce qu’on doit maintenir la distanciation physique, le lavage des mains et toutes les mesures mises en place pour assurer la sécurité des employés sur le chantier [...] on a aussi prévu au-delà des 225 millions de dollars, des frais directs qui vont s’ajouter éventuellement pour des équipements supplémentaires. — Nathalie Lessard, directrice des communications à la société Les ponts Jacques Cartier et Champlain incorporée Était-il possible de garder le pont encore plus longtemps? La structure est très endommagée, rétorque Mme Lessard. Le pont Champlain avait des problèmes de conception » ce qui a mené son usure prématurée. On l’a renforcé, on l’a maintenu, mais il y a une limite à la durée de vie de ce pont, conclut-elle.
  8. Entrevue intéressante de Peter Simons à l'émission radio de Penelope McQuade ce matin https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/penelope/segments/entrevue/194493/peter-simons-magasins-crise-covid-pandemie Peter Simons : « C’est dans l’adversité qu’on définit ses valeurs » 9 h 09 Entrevue avec Peter Simons, président-directeur général de Simons | Durée :31:20 Peter Simons PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / NATHAN DENETTE « Le jour où l'on a fermé nos magasins [en mars dernier], je ne voyais pas vraiment la lumière au bout du tunnel, c'était une période de stress comme je n'en avais jamais vécu en 35 ans », affirme Peter Simons. Le pdg de Simons raconte à Pénélope McQuade comment il a vécu et surmonté la crise de la COVID-19, alors que l'entreprise a frôlé la faillite. Peter Simons explique que la pandémie ne pouvait pas arriver à un pire moment, car l’entreprise avait obtenu un financement de 200 millions de dollars. « On a fait le choix de se battre en premier et je voulais assumer mes responsabilités, quitte à sacrifier un peu sur le court ou moyen terme. Je voulais remplir nos obligations financières, on a demandé un peu de patience, mais je tenais à assumer nos décisions », affirme le grand patron de Simons, qui n’a pas envisagé la faillite comme une solution à la crise. C’est dans l’adversité qu’on définit ses valeurs. — Peter Simons
  9. Normalement, ce sont les pompiers qui ordonnent la démolition des bâtiments dangereux... On l'a assez vu avec les promoteurs qui laissaient dépérir les bâtiments (ou y mettre le feu) jusqu'au point où les pompiers ordonnaient leur démolition... Imagine que c'est le cas pour les deux murs restants... Le promoteur n'aura plus à l'intégrer à son projet.. 🤨
  10. ooohhh l'excuse https://www.ledevoir.com/societe/transports-urbanisme/584770/patrimoine-l-edifice-du-rapido-demoli-parce-que-dangereux-se-defend-le-promoteur L’édifice du Rapido démoli parce que dangereux, se défend le promoteur Photo: Valérian Mazataud Le Devoir Quel sera l’avenir de cet immeuble datant de 1880 dont il ne reste plus, pour l’instant, que deux murs chambranlants? Jean-François Nadeau 19 h 40 Transports / Urbanisme « C’est pour la sécurité du public » que l’immeuble situé au carrefour emblématique de la rue Saint-Denis et de l’avenue du Mont-Royal, l’ancien restaurant Rapido, a été démoli. C’est du moins ce qu’affirme au Devoir un des actionnaires du projet immobilier, Matthew Lieberman. Les plans déposés aux services concernés de la Ville indiquaient pourtant que l’immeuble conserverait sa structure, en vue d’offrir des appartements résidentiels dotés d’une terrasse, avec des espaces commerciaux au rez-de-chaussée. « Je n’ai pas besoin d’avoir la permission de la Ville pour protéger le public », soutient le jeune entrepreneur de 31 ans. M. Lieberman affirme être dans l’immobilier depuis huit ans, en compagnie de partenaires financiers. « La sécurité du public, c’est pour moi la priorité numéro un. J’avais deux rapports de mes ingénieurs qui disaient que c’était dangereux. Cela me suffit. Vous n’avez pas besoin de permission pour protéger le public. Et la Ville avait vu nos plans. » Au Devoir, ce jeune entrepreneur unilingue anglais affirme qu’il n’avait pas le choix. « Nous n’avions pas le temps de demander un permis. Nous avons fait ce qui était pour nous la priorité numéro un : la sécurité du public. » Quel sera l’avenir de cet immeuble datant de 1880 dont il ne reste plus, pour l’instant, que deux murs chambranlants ? « Nous ne savons pas si les murs vont passer à travers l’hiver. On va essayer de les solidifier », explique au Devoir cet ancien étudiant en génie mécanique de l’Université McGill. « Nous avons demandé un permis de démolition », explique-t-il au Devoir, afin de légitimer ce qui a déjà été démoli. « Nous espérons poursuivre le projet d’ici deux à trois mois. » Selon M. Lieberman, il n’a jamais été question, dans les rapports de son entreprise avec la Ville, même à la suite de cette démolition unilatérale, que Montréal donne le moindre constat d’infraction. « Les éléments ne pouvaient pas être préservés. Ils le savent. Cela arrive souvent à Montréal avec de vieux immeubles. Il n’a jamais été question de contravention. » Matthew Lieberman affirme que c’est une compagnie qui gère ce projet qui trônera sur ce coin de rue emblématique de Montréal. Les documents publics indiquent toutefois qu’il est un des trois actionnaires principaux, en compagnie de Karl Patrontash et Laurence Sellyn. « Je suis allé au secondaire avec [Patrontash]. Il s’occupe du financement. Je suis plus dans le volet construction de nos projets. » Laurence Sellyn, pour sa part, est mieux connu du monde des affaires, même si M. Lieberman soutient qu’il ignore tout à son sujet, sinon qu’« il a dans les 70 ans et met de l’argent ». Formé à Oxford, en Angleterre, Laurence Sellyn a été vice-président de Vêtements de sport Gildan et il siège au conseil d’administration de la multinationale Cascades.
  11. Oui l'école du centre-ville qui était prévue sur les terrains des Soeurs-Grises https://www.lab-ecole.com/projets-selectionnes-lab-ecole/, mais sera sur le site du Grand Séminaire à la place, mais pas certraine que ce sera un lab-école.
  12. https://www.journaldemontreal.com/2020/08/25/prolongement-de-la-ligne-bleue-pas-de-travaux-avant-trois-ans-sans-un-nouveau-projet-de-loi-61-dit-legault-1 Prolongement de la ligne bleue: pas de travaux avant trois ans sans un nouveau projet de loi 61, dit Legault Joël Lemay / Agence QMI Agence QMI Mardi, 25 août 2020 17:30 MISE À JOUR Mardi, 25 août 2020 17:30 SAINT-HYACINTHE – Le début des travaux pour le prolongement de la ligne bleue pourrait devoir attendre trois à quatre ans si les partis d’oppositions refusent d’adopter une nouvelle mouture du projet de loi 61 à l'automne, dit François Legault. «Ce qu’on me dit c’est que si le projet de loi 61 ou un équivalent n’est pas adopté, on peut penser que ça va prendre trois ou quatre ans avant de commencer la construction du prolongement de la ligne bleue», a indiqué le premier ministre en conférence de presse à Saint-Hyacinthe. Lundi, la mairesse de Montréal Valérie Plante a demandé à Québec de déposer une loi spéciale pour que le prolongement de la ligne bleue du métro aille de l'avant rondement. Questionné sur ses intentions mardi, François Legault a profité de l’occasion, mardi, pour décocher une flèche à l’endroit des partis d’oppositions à qui il reproche l’échec de l’adoption de son projet de loi au printemps dernier. «J’espère que Québec solidaire, le Parti québécois et le Parti libéral ont réfléchi cet été, a-t-il dit. [...] J’espère que cette fois-ci on va avoir la collaboration des trois partis d’oppositions parce que la dernière fois ils n’ont même pas voulu aller en commission parlementaire pour débattre du projet de loi.» La semaine dernière, la Société de transport de Montréal (STM) a confirmé des retards dans l'échéancier initial du projet visant à rallonger de 5,8 kilomètres la ligne bleue du métro entre la station Saint-Michel jusqu'à Anjou en raison de contestations d'avis d'expropriation le long du tracé du prolongement. «Il est plus que temps que le projet de la ligne bleue soit réalisé. Ça fait depuis 1988 que la population de l’Est l’attend. Suite à l’échec du projet de loi 61, on s’attend à ce qu’il y en ait un sur la table pour la rentrée parlementaire», a écrit Valérie Plante sur Twitter lundi.
  13. Reportage au Téléjournal 18h de la nouvelle serre de Lufa à Saint-Laurent et aussi le potager sur le toit du IGA du même arrondissement Vidéo sur Facebook
  14. Elle a expliqué ce matin en entrevue avec Patrick Masbourian qu'elle avait fini les textes de sa BD en décembre 2019 à temps perdu (bien avant la pandémie) et que la raison pourquoi la BD va sortir maintenant est pour respecter le calendrier de publications des éditeurs. Septembre est un gros mois dans le monde de l'édition.. Les gens qui essaient de trouvé des bébittes pour tous et rien... 🙄 --> Loi spéciale pour faciliter les expropriations : Entrevue avec Valérie Plante https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/tout-un-matin/episodes/476434/rattrapage-du-mardi-25-aout-2020/27
  15. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1728916/port-de-plaisance-arrondissement-lachine-ensemble-montreal Fermeture de la marina de Lachine : l'opposition prend le parti des plaisanciers Des dizaines de personnes ont manifesté contre la fermeture de la marina de Lachine, lundi, devant l'édifice Lucien-Saulnier, qui héberge les élus montréalais pendant les rénovations de l'hôtel de ville. PHOTO : RADIO-CANADA Jérôme Labbé Publié hier à 22 h 47 Ensemble Montréal se porte à la défense des plaisanciers de Lachine, qui devront quitter leur marina pour de bon à la fin de la saison. Le parti politique, qui forme l'opposition officielle à l'Hôtel de Ville, a déposé lundi une pétition signée par plus de 10 000 personnes en faveur de la sauvegarde du plus important port de plaisance au Québec, que les élus de Projet Montréal souhaitent transformer en parc municipal au coût de 20 millions de dollars. C'est Alan DeSousa, élu d'Ensemble Montréal et maire de l'arrondissement de Saint-Laurent, qui a porté le message de la nouvelle Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine, qui regroupe les propriétaires des 450 bateaux qui y sont amarrés. Il a dénoncé une fermeture surprise, au beau milieu de l'été, en pleine pandémie de COVID-19, sans aucun égard aux plaisanciers, qui ne figure nulle part dans le programme électoral de Projet Montréal. M. De Sousa a demandé à l'administration Plante de reconsidérer sa décision de mettre fin aux activités de la marina et de tenir des consultations publiques sur l'avenir du site qui, comme le soutient la pétition, fait partie de l’écosystème du Lac St-Louis et contribue aux attraits touristiques de Lachine et de Montréal depuis près de 100 ans. Une rude bataille s'annonce La nouvelle de la conversion du port de plaisance de Lachine a été annoncée le 8 juillet dernier. Les travaux de transformation devraient s'étendre de façon progressive jusqu'en 2025, mais des activités transitoires sont prévues dès l'an prochain. D'où le nécessité pour les plaisanciers de libérer la marina lorsque la présente saison prendra fin, en octobre. Or, les propriétaires de bateaux n'entendent pas se laisser faire. Une centaine de plaisanciers ont d'ailleurs manifesté lundi midi devant l’édifice Lucien-Saulnier, qui héberge le conseil municipal pendant les rénovations de l'hôtel de ville. La porte-parole de l'Association des plaisanciers, Josée Côté, a profité de l'occasion pour demander à la mairesse Valérie Plante de montrer de l'écoute. Car les deux rencontres qui ont eu lieu jusqu'à maintenant n'ont rien donné, dit-elle. Mme Côté a réitéré lundi que ses membres étaient prêts à faire des concessions pour trouver une solution satisfaisante pour tout le monde – quitte à financer en partie les 16,5 millions de dollars nécessaires à la réfection des installations qui, selon l'administration, sont dans un état de vétusté avancé. On lui demande de revoir sa décision, de s’asseoir avec nous pour négocier un projet de parc et de marina. Josée Côté, porte-parole de l'Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine Selon elle, le nautisme tel que pratiqué par les utilisateurs actuels du port de plaisance peut très bien cohabiter avec d'autres types d'usage, comme le canoë, le kayak, l'aviron ou la pêche. L'administration Plante souhaite transformer le port de plaisance de Lachine pour faire plus de place aux sports nautiques non motorisés. PHOTO : VILLE DE MONTRÉAL Interpellé par Alan DeSousa lors de la séance virtuelle du conseil municipal, lundi après-midi, le responsable du dossier au comité exécutif, Robert Beaudry, a répété qu'il était temps de faire table rase de la marina et d'utiliser l'espace disponible pour en faire profiter au plus grand nombre. Depuis 35 ans, les autorités municipales tentent de garder à flots le port de plaisance de Lachine, a-t-il rappelé, et force est de constater que chaque projet de maintien de la marina a été [...] un échec, et qu'encore aujourd'hui, l'entretien de cette marina est déficitaire. Au lieu d'arriver avec un projet à l'identique – je sais que ce sont des choses que l'administration précédente appréciait – nous sommes arrivés avec un projet bonifié qui pourra répondre aux besoins de Montréalais et des Montréalaises, et non pas seulement [aux plaisanciers], dont la majorité n'habite pas l'île de Montréal, a rétorqué M. Beaudry à son vis-à-vis. Le port de plaisance de Lachine en est à son dernier été. PHOTO : RADIO-CANADA Le Grand Montréal compte environ 35 marinas pour un total de presque 4000 places, selon le site web de la Ville de Montréal. Les plaisanciers plaident toutefois que la plupart de ces ports de plaisance sont déjà pleins et qu'il y a des listes d'attente partout. Les propriétaires de bateaux font valoir par ailleurs que les 45 000 résidents de Lachine peuvent déjà profiter de nombreux parcs riverains au sud du boulevard Saint-Joseph. Ils affirment aussi que leur seule présence engendre des retombées économiques d'environ 10 millions de dollars chaque année dans l'économie de l'arrondissement.
  16. https://montrealgazette.com/news/local-news/lachine-marina-owners-protest Recreational boaters demonstrate against closing of Lachine Marina Boat owners say closing it is tantamount to expropriating their vacation spot. Marian Scott • Montreal Gazette Aug 24, 2020 • Last Updated 16 hours ago • 2 minute read Boat owners protest against the city's plan to close the Lachine Marina in Montreal on Monday, Aug. 24, 2020. ALLEN MCINNIS / Montreal Gazette About 100 recreational boaters demonstrated Monday at Montreal City Hall against the closing of the Lachine Marina. In July, Mayor Valérie Plante announced plans to transform the 453-berth marina into a $25-million waterfront park for water sports, possibly with a public beach for swimming. Montreal health authorities respond to COVID-19 cases at Latin dance events Located on a peninsula near the western end of the Lachine Canal, the new park will democratize access to the water and create a unique destination for walks, sailing, kayaking and canoeing, according to the Plante administration. But opponents said Monday that the city acted unilaterally and without consultation when it announced the closing of the marina. The surprise announcement was tantamount to expropriation, said Josée Côté, president of the Association des Plaisanciers du Port de Lachine. “When you’re talking about expropriating 450 families from their vacation spot, the least you could do is to hold a public consultation,” she said. Alan DeSousa, borough mayor of St-Laurent, promised to table in city council a 10,000-name petition raised by the boaters, calling for consultations on the future park. “It seems obvious to me that in the case of the Lachine Marina, we are seeing another case where Projet Montréal is turning a deaf ear to citizens,” he said. But Maja Vodanovic, the mayor of the Lachine borough, said the city, which owns the site, would need to spend $16.5 million to repair damage to the marina caused by flooding in 2017 and 2019. It is not prepared to spend that much to preserve a facility used only by private boat owners, she said. “$16.5 million is a lot of money for the city to put into a private club,” she said, noting that the city had previously paid off debts run up by the boating club. “Let’s use this opportunity to make something that’s going to be beneficial to everybody,” she said. The park will be a magnet that will attract visitors to Lachine and benefit local businesses, Vodanovic said. “This has great economic potential,” she said. Plans for the four-seasons park, slated for completion in 2025, call for planting trees, developing wetlands and building floating boardwalks and footbridges to nearby René-Lévesque Park.
  17. https://www.ledevoir.com/societe/584747/le-batiment-du-rapido-demoli-sans-permis Le bâtiment du Rapido démoli sans permis Photo: Valérian Mazataud Le Devoir L’arrondissement a ordonné la suspension des travaux. Jeanne Corriveau et Jean-François Nadeau 25 août 2020 Société Du bâtiment qui a abrité pendant plus de 20 ans le restaurant Rapido, à l’angle de la rue Saint-Denis et de l’avenue du Mont-Royal, il ne reste que deux des murs extérieurs. L’essentiel de l’immeuble a été démoli sans permis au printemps dernier, a constaté l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal qui a ordonné la suspension du chantier. Fréquenté par les noctambules pendant des années, le Rapido avait fermé ses portes en 2014. Depuis, le rez-de-chaussée était resté vacant. Les propriétaires du site comptaient transformer l’immeuble de pierres grises en appartements résidentiels dotés d’une terrasse, avec des espaces commerciaux au rez-de-chaussée. Selon les plans réalisés par la firme d’architecture Studio MMA, le projet devait nécessiter « une démolition très sélective d’éléments en mauvaises conditions dues à des années d’abandon », indique sur son site Internet la firme d’architectes. Le tout avec l’intention « de conserver et de restaurer les volumes principaux des bâtiments ». Les propriétaires avaient obtenu de l’arrondissement un permis de transformation qui devait leur permettre de réaliser un agrandissement de part et d’autre du bâtiment d’origine. Or, la Ville a plutôt constaté au printemps que les promoteurs avaient procédé sans permis à la démolition de l’immeuble, à l’exception des façades donnant sur la rue Saint-Denis et sur l’avenue du Mont-Royal. Un avis d’infraction leur a été remis et les travaux ont été suspendus pour cause de non-conformité, mais lundi, l’arrondissement n’a pas voulu préciser le montant de l’amende qui a été imposée aux propriétaires compte tenu des discussions toujours en cours. Les amendes minimales prévues pour les démolitions sans permis sont de 25 000 $, mais peuvent varier en fonction du type d’infraction, a précisé Geneviève Allard, chargée de communication à l’arrondissement. Des travaux de sécurisation ont été requis pour maintenir en place les façades de pierres grises, typiques des constructions du Montréal d’antan. La pierre grise était produite dans des carrières avoisinantes, souvent situées là où l’on trouve aujourd’hui des parcs. Le rôle foncier de la Ville indique 1940 comme année de construction du bâtiment. Le Devoir a tenté de joindre deux des propriétaires de l’immeuble, Matthew Lieberman et Karl Patrontasch, de même que la firme Studio MMA, sans succès. Compte tenu de la destruction des éléments intérieurs du bâtiment, le projet s’apparentera à un cas de façadisme. Ce n’était pas prévu à l’origine dans les plans présentés aux autorités municipales puisqu’il était plutôt question d’une restauration des caractéristiques architecturales du bâtiment et de son agrandissement dans un projet susceptible de revitaliser ce secteur stratégique, selon une source bien au fait du dossier. Les promoteurs devront soumettre un nouveau projet qui devra être présenté au comité de démolition de l’arrondissement. Autre cas, autre constat À un jet de pierre de là, une historienne de formation, Laurence Nadeau, possède une ancienne résidence bourgeoise de l’ère victorienne. Cette maison n’est pas citée par la Ville pour sa protection, mais elle n’est pas sans importance, tant par l’élégance dont elle témoigne que parce qu’elle fut habitée par un des maires de Montréal, Joseph-Octave Villeneuve. On doit au maire Villeneuve, qui sera élu député, l’annexion du village de Saint-Jean-Baptiste, alors une banlieue de Montréal qui appartient désormais de plein droit à l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. La maison autrefois dégagée est cernée par d’autres bâtiments. « J’ai voulu remplacer les mansardes, quasiment invisibles de la rue. Autrefois, on devait les voir à deux kilomètres à la ronde », explique Laurence Nadeau. Depuis 50 ans au moins, elles sont en papier goudron. Le temps a fait son œuvre. Il faut les remplacer. Désormais cernées, les mansardes latérales se laissent à peine deviner. Or, Laurence Nadeau a appris avec surprise qu’elle devait désormais utiliser les matériaux d’époque, c’est-à-dire de l’ardoise. « En façade, je ne dis pas, observe-t-elle. Mais là où on ne les voit pas, c’est insensé. » Évaluation du coût des travaux : entre 70 000 $ et 100 000 $. Elle se demande comment, en contrepartie, un immeuble commercial iconique, situé à une des intersections les plus passantes de Montréal, peut se retrouver à peu près entièrement démoli sans qu’on ne rage. « Montréal devient comme un Disneyland. Bien sûr, ce n’est pas Paris ou Venise. Mais Montréal a son histoire. C’est du façadisme qu’on est à construire partout. Mais au même moment, on s’inquiète de lucarnes que personne ne voit. C’est fâchant. »
  18. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1728826/expropriation-metro-montreal-stm-cadillac-fairview-ivanohe-cambridge Valérie Plante veut une loi spéciale pour accélérer le prolongement de la ligne bleue Les Montréalais ont déjà trop attendu la réalisation du prolongement vers l'est de la ligne bleue du métro de Montréal, croit Valérie Plante. PHOTO : RADIO-CANADA / CHARLES CONTANT Jérôme Labbé 2020-08-24 | Mis à jour hier à 17 h 28 Après l'échec du projet de loi 61, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, demande au gouvernement Legault de présenter à la rentrée parlementaire une loi spéciale qui permettrait de faciliter les expropriations nécessaires au prolongement de la ligne bleue du métro vers Anjou. Sur Twitter, Mme Plante écrit qu'il est plus que temps que le projet de la ligne bleue soit réalisé. Ça fait depuis 1988 que la population de l’est l’attend. Suite à l’échec du projet de loi 61, on s’attend à ce qu’il y en ait un sur la table pour la rentrée parlementaire. Selon elle, l'adoption d'une telle loi est devenue nécessaire pour accélérer le processus d’expropriation et planifier le plus rapidement possible le développement aux abords des stations. Le prolongement de la ligne bleue est un projet important pour la relance économique et le redéveloppement de l'Est de Montréal, a ajouté la mairesse lors d'une brève mêlée de presse, lundi en après-midi, aux abords de l'édifice Lucien-Saulnier. Ainsi, l'adoption d'une loi spéciale – inspirée de celle qui a permis à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) d'amorcer rapidement les travaux de construction du Réseau express métropolitain (REM) – devrait être la priorité de tous les parlementaires à Québec cet automne. Cet appel fait suite à l'abandon du projet de loi 61, qui aurait permis au gouvernement Legault d'accélérer plusieurs projets d'infrastructure en contournant certaines obligations réglementaires. La dernière session parlementaire s'était conclue à Québec sans que la pièce législative n'ait pu être adoptée, les partis d'opposition n'ayant pas donné leur accord à son étude accélérée. Frustré, l'ancien président du Conseil du Trésor Christian Dubé – muté depuis à la Santé et aux Services sociaux – avait déclaré que le manque de collaboration du Parti libéral, de Québec solidaire et du Parti québécois aurait pour effet de retarder le prolongement de la ligne bleue. Depuis, la ministre Sonia LeBel, qui l'a remplacé au Trésor, a promis d'abandonner le projet de loi 61 pour présenter, à l'automne, une autre pièce législative élaborée dans le même esprit. Une cause devant le tribunal À l'instar de plusieurs autres maires du Québec, Valérie Plante avait appelé l'adoption du projet de loi 61 de tous ses vœux, le printemps dernier. Elle revient aujourd'hui à la charge sur fond de contestation judiciaire entre la Société de transport de Montréal (STM), chargée de l'expropriation des terrains requis pour prolonger la ligne bleue, et les propriétaires des Galeries d'Anjou : le groupe Cadillac Fairview et Ivanhoé Cambridge, le bras immobilier de la CDPQ. Ces derniers s'opposent notamment à l’expropriation d'une partie du stationnement des Galeries d'Anjou et de certains bâtiments construits sur celui-ci. Le litige est devant la Cour supérieure. Les parties seront entendues le mois prochain. Le prolongement de la ligne bleue prévoit la construction de cinq stations à l'est de Saint-Michel jusqu'à Anjou. Les coûts de ce tracé de 5,8 kilomètres sont estimés à 4,5 milliards de dollars, dont au moins 300 millions uniquement pour les expropriations. PHOTO : RADIO-CANADA Porte-parole de l'opposition officielle en matière de Transports, le libéral Pierre Arcand a demandé lundi sur Twitter à son homologue caquiste, le ministre François Bonnardel, de trouver un terrain d’entente pour le terminus de la ligne bleue et éviter d’innombrables batailles judiciaires. À moins, dit-il, que sa solution implique une loi autoritaire et des coûts astronomiques. Sur les quelque 500 dossiers d’expropriation pour la ligne bleue, le gouvernement estime que la moitié pourrait faire l’objet de contestations, ce qui – de l'aveu même de la STM – pourrait avoir pour effet de retarder les travaux, qui devraient en théorie commencer l'an prochain en vue d'une mise en service quelque part en 2026. Un projet concurrent Cadillac Fairview a par ailleurs présenté lundi un vaste projet résidentiel et commercial de 2,5 milliards de dollars qui pourrait être construit en lieu et place du stationnement incitatif de 1200 places que la STM souhaite aménager près du futur terminus d'Anjou. Cadillac Fairview propose de ne créer rien de moins que « le nouveau centre-ville de l'Est de Montréal ». PHOTO : CADILLAC FAIRVIEW Le projet du groupe immobilier prévoit un développement multi-usage incluant des complexes résidentiels, une résidence pour aînés, un campus de bureau, un hôtel, des espaces verts et une grande place ceinturée de rues d’ambiance axées sur la vie et la sécurité des résidents et des usagers, précise le communiqué. La planification de la STM, estime Cadillac Fairview, doit être revue pour tenir compte d’éléments qui pourraient empêcher un développement futur ou qui auraient un impact défavorable majeur sur [les] Galeries d’Anjou et la communauté de l’arrondissement d’Anjou. Il faut éviter la construction d’une station de métro autonome qui ne tiendrait pas compte des principes de développement durable et qui serait ceinturée d’un terminus d’autobus à ciel ouvert, d’un immense stationnement incitatif et de nouvelles rues à circulation lourde au cœur d’un secteur résidentiel et commercial bien établi et déjà fort achalandé. — Cadillac Fairview Ce projet est beaucoup plus intéressant que ce que propose la STM, a fait valoir lundi après-midi le maire indépendant de l'arrondissement d'Anjou, Luis Miranda, en entrevue à l'émission Le 15-18, sur ICI Première. Selon lui, la STM, Cadillac Fairview et Ivanhoé Cambridge auraient tout intérêt à négocier de gré à gré plutôt que d'alimenter un litige devant les tribunaux aussi long que coûteux – d'autant plus que le stationnement incitatif prévu actuellement est contraire aux politiques de Valérie Plante, souligne M. Miranda. On met des pistes cyclables partout, on enlève l'automobile, mais on veut en amener à Anjou!, s'est-il étonné, au micro d'Annie Desrochers.
  19. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1728913/ile-des-soeurs-developpement-immobilier-inquietudes-montreal La transformation immobilière de l’île des Sœurs inquiète ses résidents De plus en plus de tours poussent sur l'île des Sœurs, ce qui en change substantiellement le panorama. L'île des Sœurs a la cote en matière d'immobilier présentement. PHOTO : RADIO-CANADA Jean-Sébastien Cloutier 20 h 38 | Mis à jour à 21 h 04 L'immobilier va bien à Montréal et, parmi les endroits qui ont la cote, il y a l'île des Sœurs. L'arrivée du REM qui permettra dès l'an prochain de relier l'île au centre-ville en six minutes y est pour beaucoup. L'île est en train de changer, les tours poussent et bien des résidents sont inquiets. L'île des Sœurs est composée de quatre kilomètres carrés de quartiers verdoyants à l'entrée de Montréal, où 21 000 personnes habitent. Parmi eux, plus de 3000 sont installés sur la pointe nord, dans un tout nouveau quartier juste à côté du pont Samuel-De Champlain. En quelques années seulement, la vue a changé radicalement quand on arrive de la Rive-Sud, et les tours poussent encore. J'ai connu l'île des Sœurs à l'époque où il y avait 5000 personnes [...]. Je ne vois pas une île des Sœurs à 30 000 ou 35 000 personnes, ce serait selon moi invivable. — Jean-François Parenteau, maire de l’arrondissement de Verdun L'île est reliée à Montréal seulement par les autoroutes 10 et 15. Elle manque d'infrastructures, mais aussi de certains services. On a dû, par exemple, ouvrir des classes de primaire dans un immeuble de bureaux par manque d'espace dans les deux écoles existantes. Mais avec la vigueur du marché immobilier et, surtout, grâce à l'arrivée du Réseau express métropolitain (REM) l'an prochain, les résidents savent que leur île sera plus attrayante que jamais. Montréal propose un plan particulier d'urbanisme, un PPU, pour encadrer les promoteurs et prévoir l'aménagement de tout le secteur du nord de l'île. Ce qui est mentionné dans le document du PPU, c'est que ces bâtiments vont disparaître. Derrière, il va y avoir un secteur résidentiel, et ce qu'il propose, c'est que les édifices soient tous collés sur le bord de la rue, dit Daniel Manseau, président de l'Association des propriétaires et résidents de l'île des Sœurs. Cette association s'inquiète. L'île des Sœurs, selon elle, ne doit pas devenir un deuxième Griffintown. On veut un développement harmonieux avec le quartier et avec la nature qui existe dans le quartier. On veut des études qui nous prouvent que les infrastructures sont capables de recevoir 25 000 ou 30 000 personnes. On veut aussi une planification des achats de terrain pour les équipements collectifs de proximité. — Daniel Manseau, président, Association des propriétaires et résidents de l'île des Sœurs Le maire Jean-François Parenteau se fait rassurant. Ce qui est proposé avec le plan métropolitain d'aménagement, on parle de 110 personnes à l'hectare. Si on fait un comparable, si on prend Griffintown, c'est 150 personnes à l'hectare, soutient-il. Il promet que les nouveaux quartiers auront 30 % d'espaces verts, que les stationnements seront surtout souterrains et que les futures tours autour du REM ne dépasseront pas celles déjà construites. Actuellement, la plus haute compte 36 étages. On vise des tours de hauteurs variables, allant de 58 à 72 mètres, explique le maire de l'arrondissement de Verdun. On ne veut pas des tours collées et toutes de la même hauteur, on veut une variation et que ce soit respectueux, et on veut surtout que la lumière percole à l'intérieur. — Jean-François Parenteau, maire de l’arrondissement de Verdun Mais c'est de l'autre côté, au sud, que s'apprête à être construit le plus haut gratte-ciel de l'île des Sœurs : une tour de 42 étages. Il s'agit de la troisième phase du projet Symphonia qui offrira à terme 900 unités résidentielles. Tout est conforme aux règles, le zonage est respecté, mais plusieurs se demandent quel effet aura ce projet sur la circulation dans l'île. Quoi qu'il en soit, tous ces nouveaux développements ont la cote chez les acheteurs, tout comme le marché des immeubles déjà existants. Pour l'agente immobilière Diane Lorrain, l'engouement pour l'île se fait particulièrement sentir depuis l'an dernier. Les propriétés se vendent rapidement, dit-elle. Les gens veulent être à l'île des Sœurs, oui. Définitivement. Ça va vraiment très bien, on se trouve souvent dans des situations d'offres multiples, ce n’est pas rare de voir 2, 3, 4, 5 offres sur un produit après seulement une semaine sur le marché. On ne vivait pas ça souvent, maintenant on vit ça presque constamment. — Diane Lorrain, agente immobilière pour le Groupe Sutton Sa clientèle recherche la tranquillité de l'île et la proximité du centre-ville. Des atouts énormes pour des gens plus aisés... L'arrivée prochaine du REM ne fait qu'accroître leur intérêt.
  20. Trop tard pour modifier les images! Quand c'est publié même si effacé quelques secondes plus tard, c'est rendu public!! Pour ça qu'il faut checker 7 fois avant de peser sur "Tweet"
  21. Une chance qu'il y a des gens rapides pour enregistrer les photos avant qu'elles ne soient effacées La branche vers le nord remplacerait la branche nord-sud de la ligne rose? Mais elle semble plutôt être parallèle à la ligne orange, au lieu d'une diagonale comme proposée par Projet Montréal.
  22. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2504576/prolongement-de-la-ligne-bleue-valerie-plante-reclame-une-loi-speciale/ Prolongement de la ligne bleue: Valérie Plante réclame une loi spéciale 14:19 24 août 2020 | mise à jour le: 24 août 2020 à 15:55 temps de lecture: 4 minutes Par: Zacharie Goudreault Métro Photo: Josie Desmarais/Métro Le projet de prolongement de la ligne bleue prévoit l'ajoute de cinq nouvelles stations du métro entre Saint-Michel et Anjou sur une distance de 5,8 km. Sa facture est estimée à 4,5 G$. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, presse le gouvernement Legault de créer une loi spéciale afin de faciliter les expropriations dans le cadre du projet de prolongement de la ligne bleue du métro, qui font l’objet de contestations. «Il est plus que temps que le projet de la ligne bleue soit réalisé. Ça fait depuis 1988 que la population de l’Est l’attend. [À la suite de] l’échec du projet de loi 61, on s’attend à ce qu’il y en ait un sur la table pour la rentrée parlementaire», a déclaré Mme Plante dans une série de publications sur les réseaux sociaux. La semaine dernière, le ministre des Transports, François Bonnardel, a fait part de son inquiétude quant à l’avenir de ce projet. Pendant l’étude des crédits budgétaires 2020-2021, il a souligné que plus de 500 cas d’expropriation sont en suspens, dont 250 jugés problématiques. L’élu de la Coalition avenir Québec craint ainsi que ces constations entraînent une hausse des coûts du projet et des délais supplémentaires. La Société de transport de Montréal (STM) a d’ailleurs reconnu, la semaine dernière, que l’échéancier de 2026 pour compléter ce prolongement pourrait être revu. «Ça va prendre de la flexibilité de la part de tous les acteurs pour mettre en place des solutions techniques et financières afin de réaliser ce projet de métro jusqu’à Anjou. Et bien entendu, on souhaite maximiser le développement urbain autour des stations de métro», a ajouté Mme Plante. «Toutefois, on a besoin d’une loi spéciale pour accélérer le processus d’expropriation et planifier le plus rapidement possible le développement aux abords des stations. Tous les partis doivent y travailler.» -Valérie Plante, mairesse de Montréal Projet de 2,5 G$ Cette déclaration survient alors que La Presse révèle lundi que le promoteur Cadillac Fairview, un des copropriétaires des Galeries d’Anjou, veut réaliser un vaste projet immobilier et commercial évalué à 2,5 G$ auquel s’intégrerait une station de métro et d’autobus. Ce projet se veut ainsi une riposte à celui de la STM. Celle-ci souhaite exproprier plus du quart des terrains qui appartiennent aux Galeries d’Anjou, ce qui devrait entraîner le retrait de près de 2000 places de stationnement et la fermeture de plusieurs commerces locaux. La STM souhaite ainsi disposer de l’espace nécessaire pour aménager un terminus d’autobus et un vaste stationnement incitatif. Ce à quoi s’oppose le promoteur des Galeries d’Anjou. Questionné par Métro, le cabinet de Mme Plante a réitéré son souhait de «favoriser le développement urbain autour des futures stations de la ligne bleue». «La Ville est donc ouverte aux projets des promoteurs et sera au rendez-vous. Le projet de Cadillac Fairview devra être étudié de façon approfondie, considérant les opportunités qu’offre ce projet du métro, mais aussi ses contraintes», ajoute son attachée de presse, Geneviève Jutras. Concrétiser la ligne bleue Quant à la demande de la mairesse pour l’utilisation d’une loi spéciale, Mme Jutras indique que celle-ci vise «d’abord et avant tout» à faire avancer le prolongement de la ligne bleue. «Les gens de l’Est ont assez attendu. C’est pourquoi nous demandons une loi spéciale», conclut-elle. Le ministère des Transports est-il ouvert à imposer une telle loi spéciale pour accélérer ce projet de transport collectif? «Notre gouvernement déposera un projet de loi visant l’accélération des investissements en infrastructure. Le contenu du projet de loi sera dévoilé lors de son dépôt cet automne», a répondu l’attachée de presse du cabinet du ministère, Florence Plourde. Le projet de prolongement de la ligne bleue prévoit l’ajout de cinq nouvelles stations du métro entre Saint-Michel et Anjou sur une distance de 5,8 km. Sa facture est estimée à 4,5 G$.
  23. https://journalmetro.com/local/mercier-anjou/2504636/ligne-bleue-un-projet-de-25-g-envisage-pres-des-galeries-danjou/ Ligne bleue: un projet de 2,5 G$ envisagé près des Galeries d’Anjou 15:35 24 août 2020 | mise à jour le: 24 août 2020 à 15:39 temps de lecture: 6 minutes Par: Naomie Gelper Métro Photo: Gracieuseté Un visuel du projet de développement proposé par Cadillac Fairview L’avis d’expropriation émis dans le cadre du prolongement de la ligne bleue du métro met en péril un projet immobilier évalué à 2,5 milliards de dollars, prévient Cadillac Fairview, l’un des copropriétaires des Galeries d’Anjou. Cadillac Fairview propose de créer un «nouveau centre-ville» dans l’est de Montréal. Ce projet prévoit notamment la construction de 5000 unités d’habitation, d’un campus de bureaux et d’un parc linéaire, le tout sur des terrains d’une superficie totale d’un million de pieds carrés. L’objectif est d’arrimer ces aménagements au futur terminus de la ligne bleue. Cette vision est nécessaire pour assurer la relance de l’Est de Montréal, un «parent pauvre» en termes de développement, martèle la vice-présidente principale et directrice du portefeuille de Cadillac Fairview, Danielle Lavoie. Selon cette dernière, le projet de développer et de bonifier le site des Galeries d’Anjou est en planification depuis plusieurs années. «La STM a nos idées sur la table depuis un certain temps. On veut profiter de l’arrivée du métro pour pouvoir intégrer les projets», précise-t-elle. Expropriations contestées Or, afin de faire de la place au futur terminus de la ligne bleue, la Société des Transports de Montréal (STM) a émis un avis d’expropriation pour un terrain de près de 70 000 mètres carrés situé sur une partie du centre commercial Les Galeries d’Anjou. Environ 25% de la superficie du stationnement et des immeubles abritant plusieurs commerces et restaurants avoisinants est ciblée. L’édicule de la nouvelle station, le garage pour les voitures de métro et le stationnement incitatif de 1200 places seraient érigés précisément là où Cadillac Fairview compte bâtir son projet. L’avis d’expropriation est actuellement contestée devant les tribunaux par Cadillac Fairview, estimant que le plan proposé par Québec anéantirait le potentiel de bonification du site. «Si le projet de la STM va de l’avant tel quel, il n’y en aura pas de projet, car il n’y aura pas de potentiel sur le site, prévient Danielle Lavoie. Ça va avoir un impact irréversible défavorable sur les Galeries d’Anjou tel qu’elles existent actuellement», ajoute-t-elle. Cadillac Fairview propose plutôt l’aménagement d’un terminus d’autobus intérieur pour pouvoir construire par-dessus. Les copropriétaires des Galeries d’Anjou remettent également en question la nécessité du stationnement incitatif de 1200 places. Finalement, ils s’opposent au prolongement de la rue Bélanger entre le boulevard des Galeries d’Anjou et l’autoroute 25, pour y implanter un «corridor de circulation d’autobus» comme prévu dans le plan de la STM. «Ça va rendre les déplacements autour de la station de métro très peu sécuritaire», plaide Danielle Lavoie. Pour le moment, tous les éléments soulevés par les promoteurs ont été rejetés par la STM, indique la vice-présidente principale et directrice du portefeuille de Cadillac Fairview. «Pourquoi ne pas prendre quelques semaines de plus pour s’asseoir et avoir une discussion constructive et de bonne foi, toutes les parties ensemble, pour être capable d’avoir le meilleur projet, et pas juste un projet de station de métro?» -Danielle Lavoie, vice-présidente principale et directrice du portefeuille de Cadillac Fairview Anjou donne son appui L’idée de créer un centre-ville à l’Est ne date pas d’hier, affirme le maire de l’arrondissement d’Anjou, Luis Miranda. «Quand le Parti québécois était au pouvoir, Anjou avait déjà été identifié comme étant le sous-centre-ville pour l’Est, soutient-il. On sait très bien que dans les grandes villes, tout ne se passe pas juste autre centre-ville. Il faut amener des gens dans les extrémités.» Selon lui, la venue du métro est une bonne chose, mais les plans doivent être revus et corrigés, notamment en ce qui concerne l’aménagement d’un stationnement incitatif. «Dans ce qu’ils veulent faire, ils [la STM] hypothèquent beaucoup trop de terrains, soutient M. Miranda. Quand le gouvernement a donné le dossier à la STM, on a été exclus de toutes les négociations et de toutes les discussions. Mes fonctionnaires qui allaient aux réunions ont signé une lettre de confidentialité comme quoi ils ne nous parleraient pas du dossier.» «Le mandat de la STM, c’est le transport en commun. Ce n’est pas le développement. Ils n’ont pas l’expertise ni le savoir-faire pour faire du développement économique.» -Luis Miranda, maire d’Anjou Le maire d’Anjou espère pouvoir discuter avec le ministre des Transports du Québec, François Bonnardel. «Je ne crois pas qu’il s’est vraiment assis pour regarder quel était le problème. On est en mesure de lui démontrer qu’il peut faire le projet pour moindre coût même si ça veut dire de retarder de quelques mois le métro», estime-t-il. La semaine dernière, François Bonnardel avait affirmé être inquiet pour l’avenir du projet de prolongement de la ligne bleue en raison des expropriations contestées.«Il est certain qu’il y aura des délais. De gros joueurs à Anjou qui ont décidé de contester [les expropriations]», avait révélé le ministre en commission parlementaire. De son côté, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a proposé sur Twitter la création d’une loi spéciale pour accélérer le processus d’expropriation et planifier le plus rapidement possible le développement aux abords des stations. Selon Danielle Lavoie, il faut plutôt prendre le temps pour éviter de «commettre une erreur qui va devenir irréparable.» Cadillac Fairview n’a pas souhaité avancer d’échéancier concernant son projet, estimant que la question de l’expropriation devra être régler avant d’envisager un premier coup de pelle. Au moment d’écrire ces lignes, la STM n’avait pas encore répondu à nos questions. ------------------ Le Communiqué de Presse https://www.cadillacfairview.com/fr_CA/news/CF-Anjou-STM.html Une vision audacieuse pour créer le nouveau centre-ville de l’Est de Montréal à CF Galeries d’Anjou 24 août, 2020 La STM planifie le prolongement de la ligne bleue du métro que nous attentions à CF Galeries d’Anjou. Cadillac Fairview propose une vision audacieuse pour propulser l’Est de Montréal au 21e siècle en intégrant un carrefour de transport collectif à un développement multi-usage axé sur le développement durable qui pourrait devenir le centre-ville de l’Est de Montréal. Ensemble, nous pouvons concevoir un développement de classe mondiale avec comme trame de fond le design et l’architecture au service de la communauté et de ses résidents. Rendu conceptuel illustrant le développement potentiel futur de Cadillac Fairview à CF Galeries d’Anjou Cadillac Fairview a agi comme catalyseur de la croissance d’Anjou depuis la construction de CF Galeries d’Anjou en 1968. Depuis plus de 50 ans, Cadillac Fairview a poursuivi son engagement avec des investissements continus et soutenus dans la communauté et à la propriété. Nous saisissons cette opportunité pour repenser le prolongement de la ligne bleue en projet moderne, innovateur et inclusif pour revitaliser le quartier qui inclurait un développement multi-usage incluant des complexes résidentiels, une résidence pour aînés, un campus de bureau, un hôtel, des espaces verts et une grande place ceinturée de rues d’ambiance axées sur la vie et la sécurité des résidents et des usagers. Le succès d’un tel projet est tributaire de la capacité d’intégrer la nouvelle station de métro et le terminus d’autobus à un projet d’ensemble réfléchi. La planification de la STM doit être revue pour tenir compte d’éléments qui pourraient empêcher un développement futur ou qui auraient un impact défavorable majeur sur CF Galeries d’Anjou et la communauté de l’arrondissement d’Anjou. Il faut éviter la construction d’une station de métro autonome qui ne tiendrait pas compte des principes de développement durable et qui serait ceinturée d’un terminus d’autobus à ciel ouvert, d’un immense stationnement incitatif et de nouvelles rues à circulation lourde au cœur d’un secteur résidentiel et commercial bien établi et déjà fort achalandé. La vision de Cadillac Fairview pour le futur d’Anjou est d’intégrer un centre de transit au sein d’un développement de type TOD (Transit Oriented Development) qui se veut vibrant et qui respecte les principes de développement responsable en favorisant: L’offre d’une diversité de logements, de commerces, de services et d’autres usages contribuant à la création d’un milieu de vie densifié, attractif, complet tout en demeurant à échelle humaine; L’usage des modes de transport alternatifs à la voiture par la convivialité et la mise en réseaux des parcours piétonniers et cyclables; Un quartier à l’architecture distinctive de facture raffinée par la nature et la qualité du cadre paysager et bâti. La vision que nous prônons pour le futur quartier de CF Galeries d’Anjou permettrait de développer un quartier inclusif et de qualité, à échelle humaine, dynamique et ancré dans le 21e siècle et pouvant répondre aux enjeux de développement durable. Également, nous sommes d’avis que tout développement d’un quartier densifié et mixte doit être conçu à échelle humaine et articulé autour de rues à caractère d’ambiance favorisant les déplacements actifs qui accueilleraient les édicules du métro, des espaces à bureaux, des commerces et des services de proximité et un nombre important de nouveaux logements. Les composantes du métro devraient être intégrées à même les futurs bâtiments et la trame urbaine planifiée de manière à favoriser et rendre sécuritaires les déplacements actifs tels la marche et le vélo ainsi que l’autopartage. Information additionnelle: CF a présenté sa vision de développement lors des séances d’expression des opinions tenues par la STM en mars 2020. Pour consulter notre mémoire, veuillez cliquer ici. https://www.cadillacfairview.com/content/dam/cnc/ui/pdfs/Mémoire Ligne bleue - Cadillac Fairview - 2 mars 2020.pdf Relations avec les médias : Martine Robert mrobert@national.ca M : +1 514-212-7812 À propos de Cadillac Fairview Cadillac Fairview détient, exploite et développe l’un des plus importants et des plus prestigieux portefeuilles d’immeubles commerciaux, d’immeubles de bureaux et d’immeubles à vocation mixte de leur catégorie en Amérique du Nord. Le portefeuille de Cadillac Fairview est détenu par le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l’Ontario, un investisseur international diversifié qui administre les rentes de plus de 327 000 enseignants actifs et retraités. Le portefeuille immobilier comprend également des investissements dans l’immobilier commercial, industriel et à vocation mixte au Brésil, en Colombie et au Mexique. Le portefeuille canadien, évalué à plus de 30 milliards de dollars, compte 35 millions de pieds carrés de superficie locative dans 69 propriétés au Canada, parmi lesquelles figurent des adresses des plus prestigieuses, notamment le Centre Toronto-Dominion, CF Toronto Eaton Centre, CF Pacific Centre, CF Chinook Centre, Tour Deloitte et CF Carrefour Laval. -------------- Dans le mémoire :
  24. À l'émission de Paul Arcand ce matin au 98.5 FM https://www.985fm.ca/audio/327661/projet-residentiel-et-commercial-autour-des-galeries-danjou-et-de-la-future-ligne-bleue Projet résidentiel et commercial autour des Galeries d'Anjou et de la future ligne bleue. 24 AOÛT 2020 À 09H19 Entrevue avec Danielle Lavoie, Vice-présidente principale et directrice du portefeuille, Est du Canada pour Cadillac Fairview
  25. Des émissions radio sont présentées à partir des studios de la nouvelle maison de Radio-Canada depuis ce matin; dont le Radio-Journal de 6h ce matin L'émission L'Heure du Monde sera présentée de là ce soir à 18h aussi https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/l-heure-du-monde Ce n'est pas l'inauguration officielle
×
×
  • Créer...