Aller au contenu

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Laval demande au promoteur de retourner à la table à dessin https://www.journaldemontreal.com/2020/08/07/laval-met-le-projet-de-lile-gagnon-sur-la-glace
  2. Et si une explosion semblable avait eu lieu dans le port de Montréal Vu sur Facebook Il ne l'a pas étendu de l'autre côté du fleuve ou de la rivière, mais ça donne une idée de l'ampleur.
  3. Le projet est devenu locatif
  4. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2493825/cote-des-neiges-les-commercants-en-colere-contre-un-projet-de-voie-reservee/ Côte-des-Neiges: les commerçants en colère contre un projet de voie réservée 05:30 6 août 2020 Par: Zacharie Goudreault Métro Une voie réservée pour bus verra le jour cet automne sur le chemin Queen Mary, où se trouve actuellement un corridor sanitaire. Des commerçants du chemin Queen-Mary sont en colère contre un projet de voie réservée pour bus de la Société de transport de Montréal (STM), qui verra le jour cet automne sur cette artère du quartier Côte-des-Neiges. La STM réclame depuis environ trois ans de pouvoir aménager une voie réservée sur le chemin Queen Mary, où circule notamment la ligne de bus 51 Édouard-Montpetit, très achalandée avant la pandémie. Après avoir fait l’objet de consultations auprès des services techniques et des élus de l’arrondissement, cette voie réservée verra finalement le jour cet automne sur un tronçon de 1,4 km de l’artère, entre les rues Macdonald et Cedar Crescent. «Dépendamment des tronçons, la voie réservée pour bus et taxis se trouvera dans une voie de circulation ou dans une voie de stationnement», explique par courriel une porte-parole de la STM, Isabelle Tremblay. Il faudra donc relocaliser une trentaine de places de stationnement, «tout au plus», précise-t-elle. «Le projet permettra d’augmenter la fiabilité et la ponctualité entre autres de la ligne 51, fréquentée par des milliers d’usagers notamment de l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce», ajoute Mme Tremblay. Projet Montréal avait d’ailleurs réclamé en 2016 que la STM crée cette voie réservée, alors que le parti se trouvait dans l’opposition. Opposition des commerçants Ce projet, qui a reçu l’approbation de l’arrondissement et du comité exécutif de la Ville de Montréal, ne fait toutefois pas l’affaire de nombreux commerçants du chemin Queen Mary rencontrés par Métro mercredi. Ceux-ci affirment n’avoir appris que dans les derniers jours que cette voie réservée verra bientôt le jour devant leur établissement. «De ce que j’en sais, personne n’a été consulté. Je ne sais pas si c’est dans l’agenda politique de quelqu’un, mais ce n’est certainement pas dans le mien», laisse tomber la gérante du magasin Toujours Fleurs, Lorraine Soo. L’entreprise familiale, ouverte depuis 1995, dépend essentiellement d’une clientèle qui se déplace en voiture. Elle effectue aussi des livraisons. «[La voie réservée] va vraiment faire chuter la clientèle. La majorité de mes clients, ils ne viennent pas en bus ou en métro. La plupart viennent en voiture», ajoute Mme Soo. Cette dernière montre alors du doigt la voie de stationnement devant son commerce, pleine de voitures mercredi avant-midi. «C’est sûr que le stationnement, on en a besoin. Si les clients n’ont plus d’endroits où se stationner, ils vont aller ailleurs», appréhende également le propriétaire du restaurant Migoto Sushi, Renée Bouchard. Fermetures Pour plusieurs commerçants, cette voie réservée représente un nouveau coup dur, après la création d’un corridor sanitaire sur une partie du chemin Queen-Mary dans le contexte de la crise sanitaire. Le propriétaire d’une boutique de l’artère, qui a préféré conserver l’anonymat, a constaté une baisse importante de son chiffre d’affaires depuis que le corridor piéton devant son commerce l’empêche d’accueillir des clients qui se déplacent en voiture. Il entend d’ailleurs fermer les portes de son commerce pour de bon dans deux semaines. «La Ville de Montréal s’attend à ce qu’on paie des taxes. Mais si les locataires [commerciaux] ne peuvent pas payer ces taxes, bien ils vont fermer. Et la Ville ne recevra pas ses taxes. Pas une cenne.» -Lorraine Soo, gérante du magasin Toujours Fleurs Report réclamé Depuis quelques mois, le conseiller indépendant du district de Snowdon, Marvin Rotrand, tente de convaincre l’arrondissement de réviser ce projet de voie réservée, qui compte selon lui plusieurs lacunes. Dans une lettre envoyée le 8 mai à la mairesse d’arrondissement, Sue Montgomery, il souligne ses craintes que ce projet n’entraîne une augmentation de la circulation routière sur certaines rues résidentielles avoisinantes en plus de nuire aux commerces du secteur. «Ce que je demande pour les marchands, c’est que l’arrondissement donne un an de sursis à ce projet afin que la rue puisse se relever [de la crise sanitaire]», indique M. Rotrand, qui rappelle que les bus sont très peu achalandés actuellement en raison de la pandémie. Le cabinet de Mme Montgomery n’a pas voulu commenter cette possibilité. «Il faut rendre le transport en commun plus attrayant pour lutter contre les changements climatiques et améliorer la circulation dans notre ville», indique une déclaration envoyée à Métro. Le cabinet assure du même souffle qu’il «continue de travailler avec la communauté d’affaires» afin de trouver des moyens d’offrir de l’aide aux commerçants du secteur.
  5. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1724386/administration-portuaire-apm-lancement-appel-qualification L’inexorable expansion du port de Montréal à Contrecoeur L’appel de qualification est lancé; le début des travaux est maintenant prévu pour 2021. Jérôme Labbé Publié à 18 h 36 La construction du futur terminal à conteneurs de la Rive-Sud vient de franchir une nouvelle étape. Le projet, jadis lointain, semble de plus en plus concret. Le port de Montréal a lancé mardi matin l’appel de qualification, malgré la grève rotative des débardeurs et la pandémie de COVID-19 qui plombe l’économie. C’est donc dire qu’un nombre restreint d’entreprises seront sélectionnées d’ici la fin de l’année pour répondre à l’appel d’offres de construction. Le terminal sera construit dans le secteur industriel de Contrecoeur, une petite ville de 9000 âmes voisine de Sorel-Tracy, sur des terrains achetés il y a 30 ans par le port de Montréal. Dès qu’on aura les permis d'environnement, on pourra lancer les travaux préparatoires, explique Ryan Dermody, vice-président de l’Administration portuaire responsable du site de Contrecoeur. Mais le gros du travail, ça va être en 2021. Trois années seront nécessaires à la construction du futur terminal, qui devrait entrer en service en 2024. D’ici là, la pandémie de COVID-19 et ses répercussions seront chose du passé, estime M. Dermody. Un projet d’une telle envergure, ça se fait dans le temps, dit-il. Ce n’est pas demain qu’on va l’ouvrir, donc non, il n’y a pas d’impacts. Un projet d’envergure Contrecoeur a été choisie dans les années 1980 pour accueillir les conteneurs du port de Montréal le jour où il manquerait de place. Au fil des ans, 468 hectares de terrains ont été acquis, soit presque 10 fois la superficie du Parc olympique de Montréal. Ces terrains ont été loués à des cultivateurs, en attendant. Plus récemment, l’implication de la Banque de l’infrastructure du Canada a donné de l’élan projet, qui sera réalisé en partenariat public-privé. Il devrait coûter entre 750 millions et 950 millions de dollars. La Banque a promis d’investir jusqu’à 300 millions de dollars. La différence sera financée par l’Administration portuaire de Montréal, qui a augmenté sa limite d’emprunts, et par les futurs exploitants du terminal. Le port de Montréal possède déjà 19 terminaux, dont un à Contrecoeur. Depuis les années 1950, on y décharge du vrac solide, pour alimenter, entre autres, l’industrie sidérurgique. Le terminal à conteneurs qui s’ajoutera pourra accueillir deux cargos à la fois. Il sera aménagé à un kilomètre en amont du terminal de vrac, à la limite de Verchères. Sa construction est devenue nécessaire, fait valoir l’Administration portuaire, car il est prévu que les terminaux de conteneurs actuels atteindront leur pleine capacité au cours de la présente décennie. À terme, 1,15 million de conteneurs transiteront par Contrecoeur. Les installations actuelles du port de Montréal à Contrecoeur PHOTO : PORT DE MONTRÉAL Une arrivée attendue Cette expansion, cela dit, ne plaît pas à tout le monde. Propriétaire d’une entreprise d’excursions nautiques, Stéphane Roy-Plante s’inquiète notamment de l’incidence des travaux de construction sur la Réserve nationale des Îles-de-Contrecoeur, située en aval du Saint-Laurent. Les entrepreneurs seront probablement en mesure de récupérer l’essentiel des sédiments soulevés par les activités de dragage, reconnaît-il, mais une partie des matières en suspension va se ramasser dans la végétation environnante. M. Roy-Plante craint également pour l’habitat de trois espèces menacées : la rainette faux-grillon, le chevalier cuivré et l’hirondelle de rivage. Les berges de Contrecoeur, dit-il, sont les seules ou presque à pouvoir héberger le nid de cet oiseau, dont la population canadienne a chuté de 98 % en 40 ans. En prévision des travaux à venir, le port de Montréal a fait construire des nichoirs artificiels dans des blocs de ciment. Et les hirondelles de rivage les ont adoptés. Pour Stéphane Roy-Plante, c’est la preuve que l'Administration portuaire est capable d’écouter les préoccupations environnementales des citoyens. « On est pas mal certain, de toute façon, que ça s’en vient dans les prochaines années. » — Stéphane Roy-Plante, propriétaire, G.C.Aventures L’Administration portuaire devra encore obtenir différentes autorisations gouvernementales avant de lancer l’appel d’offres, mais ses dirigeants semblent convaincus de les obtenir. Les enjeux économiques, faut-il le rappeler, sont énormes : le port de Montréal estime que 5000 emplois seront créés lors de la construction du futur terminal, et que 1000 emplois seront maintenus par la suite. C’est un vecteur économique puissant qui va s'implanter ici à Contrecoeur, souligne la mairesse Maud Allaire, clairement en faveur du projet. Le futur terminal créera non seulement des emplois, mais les taxes qui seront versées à la Ville pourront être utilisées pour offrir plus de services aux Contrecoeurois. « L’expansion du port de Montréal, ça fait longtemps qu’on l’attend, ça fait longtemps qu’on en entend parler; ça fait longtemps que la planification est faite dans ce sens-là », explique Yves Beaulieu, directeur général de la Ville de Contrecoeur de 1988 à 2015. « Il ne restait plus qu’une date d’arrivée. Mais là, ça semble de plus en plus vrai pour 2024. » Au téléjournal 18h (Vidéo Facebook)
  6. Terminal portuaire à Contrecoeur https://www.port-montreal.com/fr/le-port-de-montreal/projets/terminal-contrecoeur
  7. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2492719/terminal-contrecoeur-le-port-de-montreal-recherche-des-soumissionnaires/ Terminal Contrecoeur: le Port de Montréal recherche des soumissionnaires 10:36 4 août 2020 | mise à jour le: 4 août 2020 à 16:25 temps de lecture: 3 minutes Par: François Carabin Métro Photo: Collaboration spéciale/Port de Montréal Vue d'artiste de ce à quoi ressemblera le terminal Contrecoeur après sa construction Le Port de Montréal est à la recherche de soumissionnaires pour la conception et la construction de son ambitieux projet de terminal portuaire à Contrecoeur. Un appel de qualification a été lancé en matinée mardi. Les groupes intéressés auront jusqu’au 2 octobre pour soumettre leur meilleure offre. L’Administration portuaire (APM) souhaite mettre en branle les travaux dès 2021. Cela pourrait permettre une mise en activité en 2024 pour ce colossal projet, qui devrait à terme accueillir plus d’un million de conteneurs par année. «L’appel de qualification représente la première étape d’un processus d’approvisionnement ouvert pour ce projet d’infrastructure stratégique, évaluée de 750 M$ à 950 M$», peut-on lire dans un communiqué émis mardi. La ville de Contrecoeur, où doivent théoriquement se créer 5000 emplois, se situe sur les rives du Saint-Laurent, à l’est de Montréal. L’APM lance cet appel de qualification en pleine crise syndicale. Les débardeurs du Port, à Montréal, font toujours grève une semaine après l’avoir déclenchée. Ils demandent de meilleurs salaires et un renouvellement de la convention collective, échue en 2018. La semaine dernière, le président de l’Association des employeurs maritimes, Martin Tessier, avait critiqué les moyens de pression des salariés. Le syndicat représentant les débardeurs a depuis admis qu’une cinquantaine d’entre eux en étaient venus aux coups envers des fonctionnaires du Port, mardi dernier. Des questions environnementales pour Contrecoeur Le projet de terminal portuaire de l’APM ne fait pas l’unanimité, particulièrement chez les groupes environnementalistes. En décembre, le gouvernement fédéral a débloqué 300 M$ pour le projet par le biais de sa Banque de l’infrastructure (BIC). Or, l’Agence d’évaluation d’impact du Canada n’a toujours pas rendu de décision sur les impacts environnementaux du Terminal. Certains groupes demandent carrément la mise à l’arrêt du processus. Rejoint par Métro mardi, le chargé de campagne Nature et Alimentation pour Greenpeace, Olivier Kölmel, qualifie le nouvel appel d’offre du Port d’«irresponsable». «On veut comprendre l’impact de l’expansion sur le Chevalier cuivré. C’est une espèce menacée, qui est très unique au Saint-Laurent», relate-t-il. Greenpeace demande par ailleurs un arrêté ministériel «pour assurer la protection de l’habitat essentiel» de ce poisson en voie de disparition. Le ministre canadien des Transports, Marc Garneau, avait confirmé à la fin de l’année que le coup de départ du projet de terminal était conditionnel aux conclusions de l’étude environnementale. «Le résultat de cette évaluation va être un facteur déterminant», avait-il martelé, de passage dans la métropole québécoise. L’APM se dit aujourd’hui confiante d’obtenir le feu vert «dès les autorisations et permis environnementaux obtenus». D’autres détails suivront. https://www.port-montreal.com/fr/le-port-de-montreal/projets/terminal-contrecoeur
  8. Lancement de l'appel d'offres https://montrealgazette.com/business/local-business/port-kicks-off-contractor-selection-process-for-contrecoeur-project Port kicks off contractor selection process for Contrecoeur project Port of Montreal officials aren't letting the pandemic-induced slowdown get in the way of a planned multimillion-dollar expansion. An artist's rendition of the Port of Montreal's container terminal in Contrecoeur, which is scheduled to open by 2024. / Contrecoeur FREDERIC TOMESCO Publishing date : Aug 04, 2020 • Last Updated 1 day ago • 1 minute read Port of Montreal officials aren’t letting the pandemic-induced slowdown get in the way of a planned multimillion-dollar expansion. The Montreal Port Authority on Tuesday is launching a so-called request for qualifications — the first step in a public procurement process for the construction of a new container terminal in Contrecoeur that’s valued at $750 million to $950 million and is scheduled to be ready by 2024. Building the South Shore facility will allow Quebec’s biggest port to boost capacity by about 50 per cent. The goal is to shortlist up to three contractors, based on technical and financial criteria, by the end of the year. A winning finalist will be selected early in 2021, with construction starting later in the year, subject to environmental approvals being secured. “It’s a pretty significant step,” port vice-president Ryan Dermody said in a phone interview. “It marks the commencement of the formal public-private partnership and the start of the process that will lead to construction.” A decision statement from the Impact Assessment Agency of Canada is likely by the end of 2020, Dermody added. Port officials held an information session last month for construction companies. More than 50 firms attended. Montreal, the only container port in Quebec, has been looking at ways to capture additional business following the signing of new global trade agreements. The port anticipates reaching full capacity around the middle of the decade, at which point it would need to start turning away business, unless the Contrecoeur project goes ahead. While traffic at the port is on track to drop 12 per cent in 2020 due to the pandemic, expansion is still necessary, Dermody insisted. Through 2019, volumes advanced for six straight years. “There’s a fairly robust consensus among economists that by the time the new terminal opens, we’ll be in a recovery,” he said. “So our timeline hasn’t changed.”
  9. Photo vue dans mon fil Facebook La tempête de dimanche soir ⛈️
  10. https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2020-08-03/l-hopital-de-verdun-comptera-36-lits-de-plus-des-l-hiver-prochain.php L'Hôpital de Verdun comptera 36 lits de plus dès l'hiver prochain PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE L’Hôpital de Verdun est l’un des principaux établissements du territoire du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. (Montréal) La construction d’un nouveau bâtiment modulaire à l’Hôpital de Verdun, dans le sud-ouest de Montréal, vient d’être autorisée par le gouvernement du Québec. Publié le 3 août 2020 à 8h24 LA PRESSE CANADIENNE Ce projet de 32 millions permettra d’accueillir 36 lits d’hospitalisation dès l’hiver prochain en attendant la réalisation du projet majeur d’agrandissement et de modernisation de l’Hôpital de Verdun. Grâce à la construction du bâtiment modulaire, des chambres seront aménagées afin de répondre aux besoins engendrés par la COVID-19 et le service d’hémato-oncologie sera relocalisé. La nouvelle construction devrait aussi permettre de réduire la pression sur les unités de soins existantes dans cette installation. Le bâtiment modulaire sera conçu sur deux étages, d’une superficie de 1500 mètres carrés chacun. L’unité sera composée de 36 chambres individuelles avec salle de toilette et sera reliée au bâtiment existant. Le rez-de-chaussée regroupera la clinique d’hémato-oncologie et les locaux de soutien. L’Hôpital de Verdun est l’un des principaux établissements du territoire du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. Il dessert principalement les populations des secteurs Verdun, Côte-Saint-Paul, Ville-Émard, Saint-Henri, Petite-Bourgogne et Griffintown.
  11. https://lactualite.com/techno/jeu-video-mcgill-et-eidos-reinventent-la-musique/ Jeu vidéo : McGill et Eidos réinventent la musique Le studio de jeux Eidos-Montréal et l’Université McGill collaboreront dans la prochaine année à un programme de recherche pour enregistrer de la musique en 3D. Un concept qui pourrait avoir des répercussions bien au-delà du jeu vidéo. Maxime Johnson 3 août 2020 Dans les jeux vidéos 3D modernes, le son est désormais d’une importance primordiale. Dans un jeu de tir, entendre les pas d’un ennemi à sa gauche peut donner la fraction de seconde nécessaire pour se retourner et se protéger. Si l’ambiophonie est déjà bien implantée pour les effets sonores dans l’industrie vidéoludique, ce n’est pas le cas de la musique, qui est enregistrée et mixée de la même façon pour un jeu que pour un album traditionnel. Pour le directeur audio d’Eidos-Montréal, Rob Bridgett, il s’agit là d’une occasion ratée. « On veut créer une nouvelle approche, où le joueur peut se déplacer dans la musique », explique-t-il en entrevue avec L’actualité. Concrètement, la musique pourrait ainsi provenir d’une pièce au-dessus du joueur, par exemple, ou celle-ci pourrait se transformer selon la direction qu’il prend, pour le faire se sentir plus en sécurité lorsqu’il se dirige vers le nord, et plus stressé vers le sud. « On pourrait en quelque sorte influencer le joueur grâce à la trame sonore. C’est un outil de plus pour lui faire vivre des émotions. L’émotion est une composante essentielle de cette recherche », poursuit le directeur audio. Eidos-Montréal et l’Université McGill se sont donné comme objectif d’explorer les possibilités du concept et de produire un prototype de jeu intégrant la musique en trois dimensions dans la prochaine année. La musique sera créée par un compositeur montréalais, dont le nom n’a toujours pas été dévoilé. Selon son succès et l’enthousiasme des joueurs, la technologie pourrait aussi être par la suite utilisée dans un jeu à grand déploiement du studio, connu notamment pour les séries Tomb Raider et Deus Ex. La longue durée de développement de ce type de jeux (souvent plus de trois ans) signifie toutefois qu’il faudra être patient avant de la voir arriver sur le marché. Un défi technologique Réaliser un jeu où la musique s’adapte aux mouvements des joueurs représente plusieurs défis technologiques, notamment par rapport à l’enregistrement, qui sera réalisé à l’Université McGill. « Le son d’un violon ou d’une trompette n’est pas le même en avant ou en arrière du musicien. Pour bien reproduire la spatialité du son, il faut l’enregistrer en trois dimensions également », observe Wieslaw Woszczyk, professeur à l’École de musique Schulich et l’un des deux chercheurs de l’Université McGill associés à l’initiative. Un réseau de microphones spatiaux dans la salle de contrôle du laboratoire de médias immersifs de l’Université McGill. (Photo : McGill). « Il va falloir analyser la composition, l’orchestration, le mixage et le rendu pour voir comment profiter au maximum des possibilités artistiques de la musique en trois dimensions », explique le professeur. Pour ce dernier, un tel projet aurait été impossible il y a quelques années à peine, notamment parce que les consoles de jeux vidéos n’avaient pas la puissance nécessaire pour reproduire le son en trois dimensions avec la fidélité nécessaire. « Beaucoup de recherches ont été réalisées au cours des dernières années pour reproduire le son en trois dimensions avec seulement des écouteurs », ajoute Wieslaw Woszczyk. Il aurait récemment fallu entourer un joueur de haut-parleurs pour qu’il puisse distinguer un son venant du haut ou de derrière, mais les technologies modernes, comme Dolby Atmos, permettent maintenant de reproduire un effet de trois dimensions avec seulement deux écouteurs. En modulant le son à l’aide d’algorithmes sophistiqués, il est en effet possible de reproduire à peu près comment nos oreilles le percevraient dans la nature. « La technologie n’est pas parfaite, convient Wieslaw Woszczyk, mais la plasticité de notre cerveau lui permet de s’adapter pour corriger les imperfections et nous donner une bonne impression de trois dimensions. » Une nouvelle forme de musique Rob Bridgett, le directeur audio d’Eidos-Montréal, s’emballe rapidement lorsqu’il parle des répercussions possibles du partenariat avec McGill. « Ça pourrait changer la façon dont on compose la musique, soutient-il. Ça ajoute une dimension, qui force par exemple à réfléchir différemment à la position de chaque instrument. » Le jeu vidéo représente une porte d’entrée de la musique ambiophonique pour le public, mais la technologie pourrait avoir sa place ailleurs aussi, estiment les responsables de l’initiative. « J’espère que cette interactivité qui nous permet de nous déplacer dans la musique va entrer dans nos habitudes en dehors du jeu vidéo, peut-être avec des logiciels qui nous permettraient de nous déplacer et de porter notre attention sur tel ou tel instrument », précise Wieslaw Woszczyk. La musique en trois dimensions représente d’ailleurs une étape de plus dans l’évolution d’une technologie qui ne cesse de s’améliorer depuis les premiers enregistrements au XIXe siècle. « On a commencé par des enregistrements mono, puis il y a eu la stéréophonie, puis l’ambiophonie 5.1, l’ambiophonie 7.1…, rappelle le professeur de l’Université McGill. La technologie s’améliore constamment, mais on est encore loin de ce que l’on peut entendre dans la vraie vie. » L’association entre McGill et Eidos permettra peut-être de s’en approcher davantage.
  12. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1723423/port-plaisance-montreal-proprietaires-bateaux-nautisme-vieux-lachine Les plaisanciers s’organisent pour empêcher la fermeture de la marina de Lachine Les propriétaires de bateaux souhaitent convaincre la Ville de Montréal de faire marche arrière. La Ville de Montréal veut transformer la marina de Lachine en parc riverain. PHOTO : RADIO-CANADA Jérôme Labbé Publié hier à 4 h 00 À moins d’un revirement majeur, le panorama sera fort différent l’été prochain dans le Vieux-Lachine. Le 8 juillet dernier, la Ville de Montréal a annoncé son intention de transformer le port de plaisance en parc riverain. Un communiqué de presse accompagné de maquettes a été publié, faisant état d’un projet de 20 millions de dollars. Les travaux s’étaleront jusqu’en 2025. Une petite esquisse et puis 20 millions, on a de quoi pour faire quelque chose de bien, dit en souriant la mairesse d’arrondissement Maja Vodanovic. L'administration Plante souhaite transformer le port de plaisance de Lachine en une véritable oasis de verdure. PHOTO : VILLE DE MONTRÉAL Mais les plaisanciers, qui n'ont pas été consultés, sont loin de la trouver drôle. Ils ont mis sur pied une association, un site web, une page Facebook. Et ils promettent de se battre. Deux pétitions ont été lancées; l'une d'elles a déjà recueilli près de 3000 noms. La nouvelle Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine a également retenu les services de Ryan Affaires publiques, une firme de communications stratégiques et de relations gouvernementales. Nautisme Québec, pour sa part, a confié le dossier au lobbyiste Scott McKay – un ancien conseiller municipal sous Jean Doré, devenu par la suite chef du Parti vert du Québec, puis député péquiste dans le gouvernement Marois. Selon le Registre des lobbyistes, M. McKay a reçu le mandat le 24 juillet d’effectuer des démarches en vue d'amener la Ville de Montréal à rejeter sa décision [...] de fermer le port de plaisance de Lachine dès 2021, de façon à adopter une nouvelle orientation qui permette la cohabitation des activités nautiques, récréatives et de protection de la nature. Des plaisanciers orphelins Le directeur général de Nautisme Québec, Sylvain Deschênes, est contrarié par la décision de la Ville de Montréal de fermer le port de plaisance de Lachine qui, avec ses 450 places à quai, constitue, en matière de capacité d’accueil, la plus grande marina du Québec, ex æquo avec celle du Vieux-Longueuil. Toutes les autres marinas sont déjà pleines, dit-il. Il manque 2250 places à quai au Québec, principalement dans la grande région métropolitaine. Donc, pour nous, on vient de créer, ce faisant, 450 orphelins qui n'auront pas de place pour mettre leur bateau à quai pour la prochaine saison. Les plaisanciers font notamment valoir l'aspect patrimonial de la marina, qui existe depuis presque 100 ans. Éliminer la marina de Lachine détruit une importante page d'histoire, soutiennent-ils dans une lettre acheminée à la mairesse Valérie Plante le 17 juillet dernier. L'administration de Projet Montréal apporte cependant quelques nuances. Car, depuis sa création en 1927, le port de plaisance de Lachine a changé d'emplacement, de nom et de propriétaire. Autrefois privé, l'Iroquois Yacht Club a fait faillite en 1995. Il doit sa survie à l'ancienne Ville de Lachine. Des travaux estimés à 16,5 M$ Ses installations nécessiteraient aujourd'hui des travaux urgents qui, selon la mairesse Vodanovic, auraient obligé la Ville de Montréal à fermer au moins temporairement le port de plaisance dès l'an prochain. La fosse septique tombe en ruine, explique-t-elle; la station d'essence – qui distribue 300 000 litres par an – est en fin de vie; et les berges ont été lourdement endommagées par l'érosion des crues de 2017 et de 2019. Les coûts pour remettre ça en ordre s'élèvent à 16,5 millions de dollars, selon les estimations qu'on lui a fournies. « Est-ce qu'on va mettre 16,5 millions pour 400 personnes? 450 plaisanciers? Je sais que beaucoup d’entre eux sont extrêmement tristes de perdre leur été. Mais on ne peut pas se permettre comme Ville cet investissement-là pour si peu de monde. » — Maja Vodanovic, mairesse de l’arrondissement montréalais de Lachine Sans compter que le port de plaisance n’est même pas rentable, selon Mme Vodanovic, qui évalue son déficit annuel à plus de 260 000 $. Ça, c’est 600 $ par bateau, souligne-t-elle; 600 $ que les contribuables paient pour garder un bateau à la marina. La mairesse rêve plutôt d'aménager une aire de baignade sur l'emplacement, comme au début du siècle dernier. Il y a eu une époque où les Lachinois pouvaient allègrement se baigner dans le fleuve Saint-Laurent. PHOTO : SOCIÉTÉ D'HISTOIRE DE LACHINE Mme Vodanovic veut aussi faire plus de place aux sports nautiques non motorisés, comme la voile, le canoë et le kayak. Le club local d’aviron, par exemple, est le plus vieux du Canada. Mais ses installations sont toutes petites. On est très à l'étroit, confirme Charles Hauss, président d’Aviron Lachine. On doit avoir des bateaux qui sont stockés dehors parce qu'on n'a plus de place à l'intérieur. On est très limités en termes de bâtiments. Le projet de la Ville de Montréal prévoit par ailleurs le maintien du club des pêcheurs, une autre petite marina de Lachine, qui accueille une cinquantaine de bateaux à moteur. Elle pourrait être agrandie, mais il serait illusoire de penser qu'elle pourrait accueillir 450 embarcations supplémentaires. Un compromis possible? Les plaisanciers cherchent donc une solution pour que tous puissent continuer à cohabiter. On est prêts à faire certaines concessions pour pouvoir conserver la marina, affirme Josée Côté, qui agit comme porte-parole des plaisanciers. Donc, si ça signifie de devoir relocaliser certains quais, de faire plus d'espace, on est prêts à négocier pour voir qu'est-ce qui en est. Les propriétaires de bateaux rencontreront l'administration Plante au début de la semaine prochaine pour lui présenter leurs arguments. Mais à moins d'un revirement majeur, les plaisanciers devront se résoudre à quitter la marina pour de bon d'ici le 15 octobre. Aucun changement de zonage ne sera nécessaire pour changer la vocation du site. Mais il faudra résilier le contrat conclu avec l’opérateur de la marina, une entreprise privée, qui vient à échéance à la fin de 2021. L'île de Montréal compte une douzaine de marinas. Le port de plaisance le plus proche de celui de Lachine se trouve à Dorval, une dizaine de kilomètres à l'ouest. La Ville de Montréal, en tant que propriétaire, ne possède pas d'autres marinas.
  13. Ont-il ouvert les baies vitrées le long de Saint-Laurent? Je travaille de la maison depuis le 16 mars et pas encore d'annonce sur la date qu'on pourra retourner au bureau 1 jour par semaine. Je m'ennuie un peu de la bouffe du Central.
  14. Au téléjournal 18h (vidéo Facebook)
  15. https://journalmetro.com/local/lachine-dorval/2488858/opposition-face-au-projet-de-marina/ Opposition face au projet de marina 14:34 30 juillet 2020 | mise à jour le: 30 juillet 2020 à 14:34 temps de lecture: 5 minutes Par: Éric Martel Photo: Gracieuseté La marina de Lachine est située entre le parc René-Lévesque et le Vieux-Lachine. Une association de plaisanciers a été formée pour s’opposer à la fermeture de la marina de Lachine. Une pétition qu’elle a lancée au lendemain de l’annonce a amassé plus de 2500 signatures. Le site deviendra un parc dédié à la baignade, la pratique de sports nautique et la marche en 2025, après une transformation qui nécessitera des investissements de près de 25 M$ de la Ville de Montréal. Le stationnement des embarcations à moteur y sera interdit dès l’an prochain. C’est par une lettre du Service des grands parcs de la Ville de Montréal envoyée le jour de l’annonce que les plaisanciers ont appris la fin de la marina. «Je ne peux pas croire qu’on souhaite fermer notre marina», réagit la porte-parole de l’Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine, Josée Côté. Formée des 450 familles qui y possèdent un bateau, l’association estime que la construction d’un nouveau parc offrant un accès public à l’eau ne devrait pas se faire au détriment de la fermeture de la marina. On implore qu’un autre site soit choisi. «Ce parc, c’est un projet merveilleux, mais on pense que c’est possible de s’entendre avec l’arrondissement afin de concilier les deux installations», considère-t-elle. Ouverts au dialogue Pour préserver la marina, des investissements de 16,5 M$ auraient été nécessaires, estime l’arrondissement. De cette somme, une partie a déjà été investie dans l’achat de quais cette année, qui seront revendus ou réutilisés. La réfection de l’électricité, des égouts, du poste d’essence ainsi que la protection des berges, endommagée par de l’érosion entre 2017 et 2019, devaient être faites dans l’immédiat, considère-t-on. «On se questionne sur la ventilation de ce 16M$, avoue Mme Côté. Nos installations sont récentes et fonctionnent bien. En tant qu’utilisateurs, on voudrait autofinancer notre marina. Nous sommes prêts à contribuer aux différentes mises à niveau.» La marina a un déficit de 263 000$ malgré des revenus de 1,2 million, selon Lachine. L’impact économique positif des plaisanciers, qui s’approvisionnent dans l’arrondissement n’ont pas été pris en considération, expose l’association. «Plusieurs personnes font le choix de Montréal pour vivre cette activité nautique. Plutôt que de nous enlever cette possibilité, on pense qu’on peut participer positivement au projet», fait valoir Mme Côté. Manque d’espace Un citoyen et signataire de la pétition s’opposant au projet, Dominique Matte, estime que les plaisanciers ont appris la fermeture de la marina trop rapidement et n’auront pas le temps de réagir. «Avoir un emplacement pour son bateau, c’est déjà compliqué, alors enlever 450 places d’un coup. Il y a des listes d’attente partout et bâtir une marina ailleurs prendra des années», mentionne-t-il. Des milieux humides seront installés aux deux extrémités de la marina actuelle pour assurer la qualité de son eau. Rappelant que la zone contient un taux élevé de butylétains, un biocide notamment utilisé dans la peinture de la coque des navires, M. Matte est sceptique quant au sérieux du projet. «Je trouve que c’est de l’éco blanchiment de mettre un parc sur un site contaminé, martèle-t-il. Ce n’est pas réaliste et risqué pour nos finances publiques. On pourrait utiliser plusieurs autres endroits avant de détruire un actif comptable.» L’arrondissement organisera des consultations publiques et des séances avec ses clubs nautiques pour réfléchir à la conception du site jusqu’en décembre 2021. Lors de l’année suivante, elle analysera les impacts du projet sur l’environnement. Le chantier devrait être initié en avril 2023. En réaction au lancement de la pétition de l’Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine, des citoyens ont créé le mouvement Réclame ta rive, pour se ranger derrière l’administration de l’arrondissement. Ils ont lancé leur propre pétition comptant environ 350 signatures. Appui au projet «On savait qu’il serait plus difficile de mobiliser les gens qui sont pour, car on ne leur enlève pas un bien comme les plaisanciers, estime l’initiatrice du mouvement, Marie-Ève Bégin. Les gens à qui on propose un projet prendront peut-être plus de temps à se mobiliser.» Leur position est basée sur des arguments financiers, considérant que la marina est déficitaire. «Le projet que propose la Ville, tout le monde va pouvoir en profiter. La marina est désuète, alors si on y injecte pas des millions, elle devra fermer de toute façon», plaide Mme Bégin. La plantation d’arbres et l’aménagement de milieux humides sont nécessaires à l’augmentation de la qualité de l’air ainsi qu’à la lutte aux ilots de chaleur, soutient l’association. «Notre position ne peut pas bouger, poursuit Mme Bégin. Il y a une urgence environnementale, alors il n’y a aucun compromis possible.» L’arrivée d’un parc pourrait encourager la pratique de l’activité physique, puisqu’elle faciliterait l’accès à des activités de canot, kayak et kitesurfing, croit l’organisation.
  16. Une page sur l'antenne Ouest avec Anne et Marieavec une BD de Ponto! https://rem.info/fr/actualites/le-rem-dans-louest-de-lile-en-3-questions Le REM dans l’Ouest-de-l’Île en 3 questions Publiée le 23 juillet 2020 La structure aérienne dans l’Ouest-de-l’Île, ainsi que les deux imposantes poutres de lancement Anne et Marie qui permettent de la construire, attirent l’attention de nombreuses personnes. Voici les réponses aux trois questions les plus souvent posées par les citoyens. 1. Quel sera le tracé du REM dans l’Ouest-de-l’Île? La structure aérienne du REM dans l’Ouest-de-l’Île sera de 14,5 km de long, ce qui en fait l’une des plus longues au Canada. Elle longe l’autoroute 40, en débutant sa route sur la portion sud puis en traversant du côté de la voie de service nord à la hauteur du boulevard Saint-Jean. Trois stations seront intégrées à cette structure aérienne pour rejoindre la station finale Anse-à-l’Orme au niveau du sol, sur le chemin Sainte-Marie à Sainte-Anne-de-Bellevue : Des Sources (à la hauteur du boulevard Des Sources) Fairview-Pointe-Claire (tout près du centre d’achat, à la hauteur de l’avenue Fairview) Kirkland (au niveau de la rue Jean-Yves) Courbes et dénivellation Certains citoyens ont remarqué que la structure aérienne comporte des courbes et une fluctuation au niveau de la dénivellation. Ces dénivellations de la structure sont tout à fait normales, puisque la structure suit le niveau naturel des sols. Ces variations sont aussi en raison du dégagement de certaines entrées, comme on peut le voir sur cette image. Les courbes, quant à elles, suivent le mouvement de l’autoroute 40. 2. À quoi s’attendre comme travaux dans l’Ouest-de-l’Île en 2020? En termes de travaux, trois éléments sont à retenir en 2020 : Poutres de lancement  : Les poutres de lancement Anne et Marie sont reparties! Anne poursuit sa route en direction de Sainte-Anne-de-Bellevue. Elle a tout récemment traversé le boulevard Saint-Charles à Kirkland. De son côté, Marie a dépassé l’avenue André à Dorval et traversera le boulevard Des Sources cet automne! Pour en savoir plus sur la méthode de construction relative aux poutres de lancement, consultez notre actualité à ce sujet. Piliers et fondations  : Avant l’arrivée des poutres de lancement dans un secteur, il est nécessaire d’effectuer des travaux de fondation, notamment l’installation des pieux caissons, puis la construction des colonnes de béton qui supportent la structure. Ce travail se poursuit dans l’Ouest cette année, tout le long du futur tracé. Plus de 200 piliers de la structure ont été construits jusqu'à présent sur un total de 380. Stations  : Deux stations commenceront à prendre forme en 2020. Au cours des dernières semaines, la construction des fondations des stations Anse-à-l’Orme et Fairview-Pointe-Claire s’est entamée et la structure de ces stations sera visible d’ici la fin de l’année. La bédéiste Tania Mignacca a illustré les aventures du cône orange Ponto à la rencontre d’Anne et Marie. À lire et à partager avec vos tout-petits, pour bien comprendre le fonctionnement de la poutre de lancement! 3. Comment les voussoirs, composant la structure, font-ils pour tenir ensemble? Les poutres de lancement permettent de soulever et de placer les voussoirs qui forment ensemble une travée; il y a entre 11 et 13 voussoirs pour une travée. Les voussoirs sont reliés les uns aux autres à l'aide de câbles d'acier sous tension, qui passent au travers de chacun d’eux, pour former un tablier résistant pour supporter le passage du REM. De la colle époxy est appliquée entre chaque voussoir et les câbles sont ensuite tendus à l’aide de vérin pour former une travée solide entre deux piliers. L’usage de l’époxy est l’une des raisons pour lesquelles les poutres doivent cesser leur travail l’hiver, car la colle n’adhère plus à de basses températures. Le REM dans l’Ouest-de-l’Île 4 stations le long de l’autoroute 40 Fréquence en heure de pointe : 10 minutes Fréquence hors pointe : 15 minutes Temps de parcours depuis la gare Centrale: 23 minutes de Des Sources 27 minutes de Fairview-Pointe-Claire 30 minutes de Kirkland 33 minutes de l’Anse-à-l’Orme Mise en service de l’antenne : 2023
  17. Devimco a son propre bureau de ventes pour les projets dans Griffintown. Et ils vendent bcp de rêves dans ce bureau de ventes
  18. Oups, je me suis trompée de fil. Je pensais que j'étais dans l'autre fil
  19. Grand Prix annulé https://ici.radio-canada.ca/sports/1722002/grand-prix-du-canada-annulation-coronavirus Le Grand Prix F1 du Canada est annulé Lance Stroll en action sur le circuit Gilles-Villeneuve pendant les essais du Grand Prix du Canada, en 2019 PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / RYAN REMIORZ Radio-Canada 9 h 59 | Mis à jour à 11 h 20 Le Grand Prix F1 du Canada, initialement prévu les 12, 13 et 14 juin à Montréal, puis reporté à cause du coronavirus, est finalement annulé, ont annoncé vendredi les organisateurs. Le Grand Prix du Canada, qui se déroule sur le circuit Gilles-Villeneuve, à Montréal, avait été reporté après la décision du gouvernement du Québec d'interdire la tenue de grands rassemblements sportifs et culturels dans la province jusqu'au 31 août. La course attire plus de 100 000 spectateurs par jour à l'île Notre-Dame. Le promoteur François Dumontier espérait pouvoir tenir le Grand Prix du 9 au 11 octobre, pendant le week-end de l'Action de grâces, avec des spectateurs, en aménageant le circuit pour respecter les règles de distanciation. Il avait déposé un plan à cet égard à la santé publique, tout comme la formule 1 et la FIA, a-t-il expliqué. Le point tournant pour nous, il se situe au moment où les autorités publiques nous ont fait savoir, à la formule 1 et à nous, que si le grand prix devait avoir lieu, il devrait avoir lieu à huis clos, a précisé M. Dumontier, en conférence de presse au circuit Gilles-Villeneuve vendredi matin. Étant une entreprise privée, faire le grand prix à huis clos, sans spectateurs et sans revenus, ce n'est pas viable. Ça nous empêchait également de payer les frais de course et les frais de déplacement vers l'Amérique, qui, en temps de pandémie, étaient pas mal plus élevés qu'habituellement. Pour moi, c'est le point tournant. Et on en est venus à la conclusion qu'il n'y aurait pas de grand prix en 2020, a-t-il poursuivi. Il a toujours été question, dans nos discussions avec la formule 1, d'avoir des spectateurs au circuit Gilles-Villeneuve. Le désir de la formule 1 était de faire des grands prix en Europe, à huis clos. Mais à partir du moment qu'on sortait d'Europe, que ce soit en Amérique ou au Moyen-Orient, c'était avec spectateurs. — François Dumontier, promoteur du Grand Prix du Canada Nous sommes déçus de ne pas pouvoir courir au Canada cette année, nous savons à quel point la course toujours excitante de Montréal va manquer à nos partisans [...] Nous avons hâte de revenir l’an prochain et nous savons que nos partisans seront au rendez-vous, indique pour sa part Chase Carey, PDG de la formule 1. Le Grand Prix du Canada n'est pas la seule course à être officiellement annulée. Tous les grands prix prévus dans les Amériques au début de la saison (Mexique, Brésil, États-Unis et Canada) sont rayés du calendrier, a annoncé du même souffle la F1. À la place, trois grands prix s'ajouteront à la saison sur les circuits du Nurburgring (Allemagne), d'Imola (Italie) et de Portimao (Portugal). Le calendrier de la F1 devait compter 22 courses en 2020. Pour l'instant, seulement 13, toutes en Europe, sont au programme, mais elle espère pouvoir en tenir entre 15 et 18. La saison, qui devait s'amorcer le 15 mars en Australie, s'est finalement mise en branle à huis clos le 5 juillet dernier en Autriche. Deux autres courses ont suivi depuis. Une décision déchirante François Dumontier a précisé que la décision de ne pas tenir le Grand Prix du Canada avait été prise jeudi. Jusqu'à la dernière minute, on a essayé de trouver une solution, a-t-il assuré. Il y a trois semaines encore, son organisation avait reçu la distribution des garages pour les équipes, et des conteneurs sont déjà arrivés dans le port de Montréal avec du matériel pour le grand prix. François Dumontier, promoteur du Grand Prix du Canada PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS La présence de deux pilotes canadiens dans le peloton, Lance Stroll et Nicholas Latifi, avait créé un engouement et avait dynamisé les ventes avant le report initial du grand prix, selon le promoteur. Avec les deux pilotes canadiens, quand on regardait nos ventes à la mi-mars, on était 30 % en avance (sur l'année précédente). Il va falloir tenir les cordons de la bourse serrés, ça ne met pas l'entreprise en péril, mais on n'a pas eu de revenus depuis quelques mois et on ne sait pas exactement quand on pourra remettre des billets en vente pour 2021, a dit François Dumontier. On vient de passer à côté d'une belle occasion, a-t-il encore insisté. Encore cette semaine, on parlait du fait que le centre-ville est vide, que les hôtels ont un faible taux d'occupation. En octobre, même à huis clos, ç'aurait pu remontrer Montréal à l'échelle mondiale [...] La formule 1, même avec du personnel réduit, se déplace avec 2200 personnes. Je ne suis pas dans la tête des décideurs, c'est moi qui pense qu'on manque une occasion. Il y a un événement qui aurait pu avoir lieu, qui est le plus gros au Canada, pour dire qu'on est encore en vie, qu'on fait des événements, en octobre, pour faire la promotion de la saison estivale suivante. – François Dumontier Ce sera seulement la quatrième fois que l'étape canadienne de la formule 1 n'aura pas lieu, après les hiatus de 1975, de 1987 et de 2009. Le contrat du Grand Prix du Canada avec Liberty Media, l'entreprise propriétaire de la formule 1, vient à échéance en 2029. François Dumontier a déjà demandé que la course de 2020 soit remise à la fin de l'entente, en 2030.
  20. Le reportage radio est disponible en ligne https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/reportage/189930/reinventons-les-villes-cities-climate-leadership-group-sud-ouest Un important projet carboneutre appelé à voir le jour en bordure du canal Lachine Publié à 16 h 28 Rattrapage du jeudi 23 juillet 2020 Le site visé par l'appel à projets s'étend sur 300 000 pieds carrés. PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS La Ville de Montréal a lancé un appel de projets international pour développer un terrain vacant de 300 000 pieds carrés en bordure du canal Lachine, dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Le projet qui y verra le jour devra être carboneutre et respecter une panoplie de critères environnementaux, car l'initiative s'inscrit dans un grand concours international baptisé Réinventons les villes, qui vise à lutter contre les changements climatiques. Le terrain en question accueille, en ce moment, différents équipements de la Ville. La moitié de sa superficie est occupée par de vieux bâtiments. « C’est un site sous-utilisé, mais qui a un potentiel incroyable », estime le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoît Dorais. Un seul bâtiment sera conservé au terme du projet, celui de la Canadian Power Boat Company, qui produisait des bateaux de guerre. Il sera le symbole de la lutte que les pays livrent contre les changements climatiques. Le projet en entier devra être un exemple de respect de l’environnement. « Ce qu’on demande aux gens, ce n’est pas de construire un bâtiment », précise la responsable de la transition écologique au comité exécutif de la Ville de Montréal, Laurence Lavigne Lalonde. « On leur demande de réfléchir à un projet qui va devenir une source d’inspiration ». Elle rappelle que Montréal s’est donné comme objectif de devenir carboneutre d’ici 2050. Laurence Lavigne Lalonde ajoute que des changements aux règlements municipaux pourraient suivre la réalisation de ce projet : « Pour atteindre la carboneutralité, ça va prendre des contraintes. Là, on est dans la carotte, mais, une fois qu’on va se rendre compte que tout ça est possible, il va falloir aller à la coercition, on n’aura pas le choix. » Le site pourrait accueillir des studios d’artisans, un pôle de nouvelles technologies, etc. « On est en zone industrielle lourde et on ne veut plus de ça », précise le maire d’arrondissement, Benoît Dorais. « On veut de l’industriel léger. On veut des entreprises innovantes. On veut augmenter la résilience de Montréal et de ce secteur. »
  21. Sur le compte Twitter du journaliste René Saint-Louis de Radio-Canada « Un gigantesque terrain de 300 000 p2, l’un des derniers disponibles en bordure du Canal de Lachine, fait l’objet d’un appel à projet à l’international. Les détails à à 15h20 au 95,1FM »
  22. Je crois que Smith sépare les deux rues : Au Nord = Peel; Au Sud = de la Commune. Le viaduc est au sud, donc c'est pour ça que c'est le « viaduc de la Commune » et non le « viaduc Peel »
×
×
  • Créer...