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ScarletCoral

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  1. Détails sur le lab-école de Québec https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1728687/esquisses-lab-ecole-quebec-stadacona-limoilou-projet Voici l'école du futur en images Une aire de jeux avec vue sur les environs qui permet même à l'enseignant de donner des cours à l'extérieur. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE Alain Rochefort Publié à 7 h 42 Corridors d’apprentissage, gradins, cour de récréation sur le toit avec vue imprenable sur Québec ne sont là que quelques-uns des privilèges qui attendent les 400 élèves du futur Lab-École Québec. Les premières esquisses de l’école primaire qui ouvrira ses portes à la rentrée 2022 ont été dévoilées tôt lundi matin. Cette école futuriste remplacera le vétuste bâtiment de l’école Stadacona, dans le quartier Limoilou. Au total, 20 classes flexibles - donc facilement aménageables à la guise de l’enseignant - seront mises à la disposition des élèves de la maternelle à la sixième année. L'école compte 20 classes flexibles qui ne ressemblent en rien aux aménagements traditionnels. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE École « sans bottes » Aucun élève ne circulera dans l’école avec ses bottes mouillées lors d’intempéries. Tous les vêtements destinés à l’extérieur seront plutôt laissés dans un vestiaire commun, à l’entrée. La façade avant du futur Lac-École de Québec. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE Des corridors d’apprentissage munis de chaises et bureaux permettront aux élèves de s’y retrouver pour effectuer des travaux en équipe, par exemple. Des corridors d'apprentissage permettent de se regrouper en petits groupes. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE Gradins lumineux Des gradins avec un espace lumineux au centre feront le lien entre l’accueil, le gymnase et la bibliothèque, notamment. Des gradins avec espace lumineux au centre et une bibliothèque à l'étage supérieur. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE Aménagée sur le toit, la cour de récréation permettra pour sa part aux enfants d’y jouer en toute sécurité, tout en contemplant la ville de Québec. Une aire de jeux avec toit permettra même à l'enseignant de faire la classe à l'extérieur, à l'abri des précipitations. Une vue arrière du Lab-École avec une aire de récréation extérieure. PHOTO : COURTOISIE, LAB-ÉCOLE Un projet de 19,4 M$ Le projet de Lab-École Québec est estimé à 19,4 millions de dollars. Les esquisses de cinq autres Lab-École de la province ont également été rendues publiques lundi matin. Plus de détails à venir Les détails sont sur le site Web https://www.lab-ecole.com/concours/
  2. Lab-École Shefford Lauréats : Pelletier de Fontenay et Leclerc architectes Avec 7000 habitants, les Cantons de Shefford étaient l’une des dernières municipalités de cette taille à n’avoir pas d’école primaire. Les habitants en réclamaient une depuis cinq ans lorsque le Lab-école a retenu le projet, en 2018. Ce nouvel établissement scolaire comportera des classes ordinaires, mais des enfants présentant des incapacités motrices ou des particularités cognitives y seront aussi intégrés. Afin de faire une place à tous les élèves, la future école sera divisée en plusieurs « mini-écoles », avec au centre un espace vert pouvant notamment accueillir une classe nature et des espaces de jeux extérieurs. La cour extérieure L’espace extérieur comporte de nombreuses fleurs sauvages, arbres et plantes vivaces. Chaque classe possède sa sortie vers l’extérieur, sorte de raccourci vers les autres aires de l’école. La mezzanine de l'école Cette zone de collaboration est partagée entre quatre classes. Le rez-de-chaussée est dédié aux travaux de groupe, tandis que la mezzanine favorise le calme et la concentration. Les gradins de la cafétéria Du haut des marches, les élèves peuvent admirer la vue du mont Shefford. En sortant à l’extérieur, ils se trouvent dans le potager de l’école. La cour, l'hiver Une fois la neige tombée, l’aire de jeux se transforme en butte. Maquette de l'école Cette nouvelle école du Canton de Shefford accueillera 16 classes, soit 4 de niveau préscolaire et 12 de niveau primaire. ----------------- Lab-École Québec Selon l’Enquête québécoise sur le développement des enfants à la maternelle, 36 % des enfants de la maternelle du quartier de Limoilou, à Québec, sont vulnérables dans au moins un indicateur de développement, une proportion nettement supérieure à la moyenne de la ville. Cette nouvelle école, pensée par l’équipe du Lab-école, sera un élément central du plan de revitalisation de ce quartier de Québec. De nombreux partenariats avec la communauté sont prévus et les jardins, les cuisines, le gymnase et les autres ateliers d’art seront ouverts en soirée. En raison de la densité de la population dans le quartier, la construction de l’école misera sur la verticalité, avec des toits habitables. Une telle disposition offrira une vue sur la ville et les montagnes. La façade de l’école Dès l’entrée dans le bâtiment, les élèves retrouvent les vestiaires. Les gradins de l’école Cet espace lumineux forme un lien entre l’accueil, le gymnase, la cuisine, la bibliothèque et les ateliers de musique et d’arts. La rue d'aprentissage Ce corridor nouveau genre offrira aux élèves du préscolaire et du premier cycle un lieu où manger et où collaborer avec les autres classes. Une fois l’école terminée, il sera utilisé par le service de garde. L’espace sur le toit La cour de l’école se prolonge sur la toiture, d’où la vue sur la ville promet d’être spectaculaire !
  3. https://lactualite.com/societe/les-projets-du-lab-ecole-sont-devoiles/ Les projets du Lab-École sont dévoilés Voici en exclusivité à quoi ressembleront les six écoles qui seront construites par le Lab-École de Ricardo Larrivée, Pierre Thibault et Pierre Lavoie. Société Camille Payant 24 août 2020 Le Lab-École Rimouski (crédit : Lapointe Magne et associés et L’OEUF) « J’aime ça, une école en forme de maison. C’est comme si tu étais chez toi, mais avec ta prof », dit une élève de Maskinongé, en voyant les plans de sa future école pour la première fois. Son école, comme cinq autres, aura la chance d’être conçue par l’équipe du Lab-École – l’organisme fondé par l’architecte Pierre Thibault, le chef Ricardo Larrivée et Pierre Lavoie, l’homme derrière le défi portant son nom. Au terme d’une consultation avec les commissions scolaires, les directions, les municipalités ou des organismes associés, le Lab-École a imaginé six nouvelles écoles qui mettent l’activité physique, l’alimentation et les saines habitudes au cœur de la vie des élèves. Elles verront le jour aux quatre coins de la province, de Gatineau à Shefford. Pour trouver le meilleur concept pour chaque établissement, le Lab-École a organisé des concours d’architecture. Résultat : 160 projets d’écoles primaires ont été déposés par 135 firmes d’architecture. Les projets gagnants ont été choisis par la direction des écoles, des représentants des municipalités et des architectes. Les chantiers débuteront dès le printemps 2021 et l’inauguration des premières écoles est prévue en 2022. ------------------ Lab-École Gatineau Lauréats : DMA Architectes À l’école primaire anglophone Pierre Elliott Trudeau, à Gatineau, un élève sur quatre est issu des Premières Nations. Le concept imaginé par l’équipe de DMA architectes permettra l’enseignement des savoirs autochtones ancestraux et laissera une grande place à la nature dans les apprentissages grâce à une classe extérieure ouvrant sur une serre ou un potager. Le concept inclut également une grande place qui servira aux activités pédagogiques, mais aussi culturelles et communautaires du secteur de Hull. La bibliothèque avec vue sur la serre La bibliothèque, construite sous forme de corridor, longe la cour intérieure de l’école. Une serre pédagogique est aménagée au rez-de-chaussée. Les gradins de l’école Au centre de l’école, cet espace peut s’ouvrir sur la cour extérieure. Le haut des gradins peut servir d’espace de collaboration. La cour d’école, l’hiver Lors de la saison froide, les gradins de l'amphithéâtre extérieur se transforment en glissade. Dans la forêt d’érables prévue à l’arrière de l’école, on pourra récolter l’eau et en faire du sirop. La cour intérieure Cet espace de verdure se trouve au cœur de l’école, qui l’entoure. Plusieurs murs vitrés permettront aux élèves de se connecter avec la nature, même quand ils sont à l’intérieur. Maquette de l’école À terme, l’école Pierre Elliott Trudeau accueillera 8 classes de niveau préscolaire et 26 classes de niveau primaire. À l’origine, l’établissement ne comptait que huit classes. ----------------------- Lab-École Saguenay Lauréats : APPAREIL Architecture et Étienne Bernier Architecture et BGLA Cette nouvelle école sera construite dans un secteur de Chicoutimi aux prises avec des problèmes socioéconomiques. Le concept privilégie une école à l’échelle des élèves, avec la création de « mini-écoles » qui formeront un tout. Il permettra aux enfants aux prises avec des problèmes de comportement de rester dans les classes ordinaires, avec l’appui des professionnels de l’école. Les intervenants de l’organisme communautaire le Centre des enfants de Chicoutimi seront intégrés à cette nouvelle école afin de maximiser le développement des élèves. Entrée de l'école L’école compte plusieurs maisons, ce qui permettra d’adapter le projet au fil des années. La cour intérieure L’aménagement de l’école en « U » permet de créer une cour intérieure agrémentée de zones de jeux éducatifs portant sur l’agriculture, la biodiversité ou l’eau. Les gradins de l’école Élément central de l’école, cet espace permet de circuler entre les différentes sections du bâtiment. L'interstice Cet espace sépare les zones des différents cycles. On y trouve une bibliothèque, des aires de tranquillité et des espaces favorisant l’activité physique. Maquette de l'école La nouvelle école Marguerite D’Youville, à Chicoutimi, comprendra à terme 15 classes, soit 3 de niveau préscolaire et 12 de niveau primaire. Lab-École Rimouski Lauréats : Lapointe Magne et associés et L’OEUF Cette nouvelle école de Rimouski, qui accueillera 500 élèves, sera située en pleine nature, entre champs et forêt. Cette situation géographique unique permettra aux deux étages de l’école d’être de plain-pied. L’école souhaite mettre les parents et les proches des enfants au centre de leur apprentissage en les intégrant à divers projets, tels que le potager, et en les invitant dans la cour d’école. Le pré de l’école Entre le champ et les classes se trouvent le potager, des rochers colorés et même une tyrolienne. L’intérieur de l’école L’établissement offre plusieurs aires libres où les enfants peuvent courir et jouer sans restriction. La cuisine Cet espace qui sert de salle à manger et de cuisine permet de mettre en valeur les aliments cultivés dans les jardins communautaires de l’école. La cour extérieure, l’hiver L’hiver, la cour se transforme en patinoire et en piste de luge. On y ajoute également des cabanes chauffées pour les plus frileux. Maquette de l’école Cette nouvelle école de Rimouski comprendra 25 classes, soit 8 de niveau préscolaire et 17 de niveau primaire. -------------- Lab-École Maskinongé Lauréats : Lucie Paquet et Colette Taillefer et Leclerc Architectes En 2017, l’école Marie-Immaculée, à Maskinongé, a dû fermer ses portes du jour au lendemain après la découverte d’une fissure dans la fondation. Depuis, les élèves de la municipalité de la Mauricie sont répartis entre l’autre école du village et le centre communautaire. L’agrandissement de l’école primaire Saint-Joseph permettra donc de rassembler tous les élèves maskinongeois au même endroit, tout en ajoutant un gymnase partagé avec les citoyens. La cour extérieure Inspirée par les paysages de la vallée du Saint-Laurent, la cour se compose d’un parcours d’îles imaginaires, d’un pré gazonné pour le sport, d’un potager et d’un sous-bois à l’image du plateau laurentien. La cafétéria Située au cœur du bâtiment, la salle à manger a un accès direct aux jardins. Elle relie également les différentes ailes de classes. La vue des classes Grâce au toit en pente, les classes possèdent une mezzanine permettant le travail d’équipe et une bibliothèque centrale. La cour, l’hiver Les îles imaginaires se transforment en butte de neige une fois l’hiver arrivé. Maquette de l’école Cet agrandissement de l’école Saint-Joseph permettra l’ajout de trois classes préscolaires et trois classes primaires aux quatre classes existantes.
  4. Je suis diplômée de HEC Montréal et mon diplôme est signé par le directeur de HEC et le recteur de l'UdeM et avec les sceaux des deux institutions.
  5. Sur le site de Tourisme Montréal https://www.mtl.org/fr/quoi-faire/patrimoine-et-architecture/entree-de-ville-bonaventure-montreal Entrée de ville Bonaventure Quadrilatère formé des rues Nazareth, Duke, Wellington et Saint-Jacques Montréal, QC Et dans le BIlan des legs du 375e anniversaire http://ville.montreal.qc.ca/375/documents/mtl-375-bilan-final-fr.pdf
  6. La Ville appelle l'espace vert au milieu de Robert-Bourassa « Parc d'entrée de ville Bonaventure »
  7. C'est l'ÉTS pour cet espace entre les deux pavillons. Pour la Ville, c'est la rue piétonne Murray. Et la rue Barré qui devriendra piétonne entre Eleanor et de la Montagne.
  8. L’espace vert entre les pavillons D et E est ouvert! 2020-08-21
  9. Un peu d'auto-promo de la part du REM cette semaine https://rem.info/fr/actualites/3-meilleures-facons-dexplorer-le-grand-montreal-avec-le-rem 3 meilleures façons d'explorer le Grand Montréal avec le REM LE REM EN SERVICE Publiée le 19 août 2020 Avec ses 67 kilomètres de tracé, le REM permettra aux citadins de profiter des attraits de la métropole et de découvrir de nouvelles destinations dans le Grand Montréal. Coup d’œil sur trois façons d’explorer la ville avec le REM, dès 2023. Des emblèmes du Grand Montréal et des destinations reliées par le REM – illustration réalisée par notre illustrateur du mois d’août, Victor Garibay. 1. À bord du REM : une vue imprenable sur le Grand Montréal Comme le REM circule majoritairement à l’extérieur, il offrira de beaux points de vue sur la métropole. Un soin a justement été apporté au design de la voiture à cet effet lors de sa conception. La baie vitrée avant a été élargie au maximum pour permettre aux passagers de s’installer à l’avant et d’avoir une vue panoramique sur la ville. La baie vitrée avant de la voiture du REM est conçue pour permettre aussi aux enfants de pouvoir observer à l’extérieur. Il s’agit de l’une des plus larges baies vitrées conçue pour ce modèle de voiture. Après son passage sur le pont Samuel-De Champlain qui offrira un panorama grandiose, le REM parcourra une structure aérienne dans le secteur de Pointe-Saint-Charles. D'une dizaine de mètres de hauteur, cette structure permettra d’avoir une vue sur des lieux emblématiques du centre-ville, comme le 1000 de La Gauchetière, la Place Ville-Marie, le Mont-Royal et plus. Pour les explorateurs urbains, la station idéale où s’arrêter et prendre des clichés emblématiques de Montréal sera Griffintown-Bernard-Landry. On y retrouve tout près l’entrée de ville Bonaventure et ses œuvres d’art public, l’enseigne du Farine Five Roses et, à environ 3 km de marche, l’icône architecturale Habitat 67. Top 5 des points de vue et passages marquants du parcours du REM Traversée pont Samuel-De-Champlain Traversée des ponts sur la Rive-Nord Vue sur la ville et le Mont-Royal, dans l’arrondissement Saint-Laurent (direction centre-ville) Vue imprenable sur le centre-ville, au tournant de la rue Marc-Cantin dans Pointe-Saint-Charles (direction centre-ville) Vue sur le Farine Five Roses et le quartier industriel du sud de la ville (direction Rive-Sud) Carte du REM : 5 points de vue remarquables à observer tout au long du parcours. 2. Nature : prendre l’air avec le REM Oubliez le métro, boulot, dodo. Le REM, ce sera aussi vélo, canot, pédalo! Que ce soit pour faire du kayak à L’Île-des-Sœurs, du canot sur la rivière des Mille-Îles ou du vélo dans le Parc-Nature du Bois-de-Liesse, de nombreuses nouvelles destinations de plein air s’offriront aux usagers du REM. La ville de Montréal prévoit ouvrir l’un des plus grands municipaux au Canada avec le projet du Grand parc de l’Ouest, situé à proximité de la future station Anse-à-l’Orme du REM. Ce parc de plus de 3 000 hectares (30 km²) de superficie regroupera les parcs de l'Anse-à-l'Orme, le Bois-de-l'Île-Bizard, le parc agricole du Bois-de-la-Roche, le Cap-Saint-Jacques et les Rapides-du-Cheval-Blanc. Top 3 des grands parcs desservis par le REM Futur Grand Parc de l’Ouest (Station Anse-à-l’Orme) Parc du Mont-Royal (Station McGill) Parc-Nature du Bois-de-Liesse (Station Sunnybrooke) Carte du REM : 3 grands parcs reliés par le REM. 3. Divertissement : magasiner et s’amuser avec le REM En termes de divertissement et d’activités à faire en famille, la station Anse-à-l’Orme sera située à deux pas du Zoo Ecomuseum, seul et unique zoo extérieur sur l’île de Montréal. Si vous êtes plutôt fan de la Sainte-Flanelle, arrêt à la station Gare centrale pour aller encourager vos joueurs favoris. Les destinations de magasinage et divertissement se multiplient également avec le REM. Du côté de la Rive-sud, à partir de la station Du Quartier, ce sont deux destinations de ce genre que l’on trouvera de part et d’autre de la station. Dans l’Ouest-de-l’Île, on retrouve de nombreux magasins à la sortie de la station Fairview-Pointe-Claire. La station McGill, connectée au Montréal souterrain, offrira de son côté le cœur du centre-ville, ses nombreux restaurants et divertissements. Top 3 des stations du REM pour se divertir McGill, au cœur du centre-ville et ses nombreux attraits Bonaventure Gare Centrale, connectée au Centre Bell Du Quartier, connectée à une offre variée de commerces de divertissement
  10. La Ville a mis a jour le calendrier sur le site ! Maintenant il n'y a plus de date https://smvt.maps.arcgis.com/apps/MapJournal/index.html?appid=178be30b80b34bb3b208c08693cc19a9# Parc des Eaux-Cachées Entre les rues Ottawa, du Séminaire, Saint-Thomas et de la Montagne/William, au-dessus du futur ouvrage de rétention : 2018-2019 : début de la conception; Été 2019 : déconstruction du bâtiment; L'échéancier des travaux d'aménagement du parc des Eaux-Cachées sera précisé à la suite des conclusions de l'étude de faisabilité de l'ouvrage de rétention.
  11. Une bonne nouvelle concernant le parc des Eaux-Cachées annoncée durant le comité de bon voisinage par le chargé du projet. Puisque des conduits plus gros seront installés sur la rue William, le bassin de rétention Saint-Thomas n'est plus nécessaire. Les conduits de la rue William vont avoir la même capacité prévue que le bassin de rétention. On espère que le parc sera construit dans ce cas là! Il y aura quand même de la décontamination à faire.
  12. On voit la fenêtre de mon ancien bureau! Quand je travaillais chez Rio Tinto Alcan, mon bureau était au 6e étage de l'édifice Berkeley avec vue sur l'atrium où se tenaient plein d'événements. Mon édifice préféré est la maison Atholstan. Il y avait de magnifiques boiseries partout. C'était surtout des salles de réunions qui étaient dans cet édifice, à l'exception du bureau de Jacinthe Côté, la président de RTA.
  13. Dans l'immeuble de la Caisse de dépôt (édifice Jacques-Parizeau)? Il remplace le Houston ou le Steak Frites Saint-Paul? Je n'ai pas passé par là depuis le début de la pandémie.
  14. Chronique très intéressantes de Francis Vailles dans La Presse Je me reconnais dans les chiffres ayant immigrés au Canada avec mes parents quand j'avais 4 ans, mais Québec fait encore figure à part. https://www.lapresse.ca/affaires/2020-08-20/donnees-renversantes-sur-les-enfants-immigres-devenus-adultes.php Données renversantes sur les enfants immigrés devenus adultes L’immigration est un sujet chaud. Des données fiables sont donc cruciales pour analyser froidement la contribution socioéconomique des immigrés. Publié le 20 août 2020 à 6h20 FRANCIS VAILLES LA PRESSE À ce sujet, Statistique Canada a récemment publié une base de données sur les immigrants entrés au Canada depuis 30 ans alors qu’ils étaient enfants (0 à 14 ans). Les renseignements qu’on en tire sont renversants, à plus d’un égard. Ils suggèrent notamment que les enfants immigrés devenus adultes contribuent davantage à l’économie que les natifs d’ici. Et la situation du Québec, encore une fois, est passablement différente de celle du reste du Canada (ROC) … et pas nécessairement pour le mieux. PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Une fois adultes, les enfants immigrés sont beaucoup plus nombreux à fréquenter les cégeps et les universités que les natifs du Canada. Essentiellement, Statistique Canada a dressé le portrait de l’évolution socioéconomique de ces immigrés enfants devenus adultes, qu’elle compare à celle de l’ensemble des Canadiens du même âge. L’année de référence est 2017, soit la plus récente disponible pour les déclarations de revenus fédérales. Premier constat : à l’âge de 20 ans, les immigrés qui ont grandi au Canada étaient un peu moins nombreux à travailler en 2017 que les Canadiens (79 % contre 84 %) et ils avaient un revenu médian moindre (9400 $ contre 11 650 $). Toutefois, cet écart de 19 % s’efface progressivement avec le temps et devient même favorable aux immigrés après quelques années. Ainsi, à l’âge de 30 ans, les immigrés arrivés ici dans l’enfance gagnent 12 % de plus que les Canadiens du même âge (45 200 $ contre 40 260 $ en 2017). Dit autrement, ces enfants ont surmonté les contraintes liées à l’intégration, tant et si bien qu’à l’âge adulte, ils gagnent davantage et finissent donc par contribuer plus aux revenus fiscaux des gouvernements que les natifs d’ici. Les résultats sont semblables, que ce soit avec les revenus médians ou moyens (1). Ce constat surprenant permet de nuancer d’autres études sur le sujet, selon lesquelles les immigrants, dans leur ensemble, coûtent plus cher qu’ils ne rapportent à la terre d’accueil. Par exemple, selon une récente étude de l’Institut du Québec, hausser le seuil d’immigration aurait pour effet de diminuer la croissance du PIB par habitant au Québec, ce qui réduirait donc la capacité de l’État de financer adéquatement nos services publics. Consultez l’étude de l’Institut du Québec https://ehw.395.myftpupload.com/wp-content/uploads/2020/05/201905-Immigration.pdf À la lumière des données de Statistique Canada, ce désavantage serait temporaire au Canada, et il s’inverserait même dans le cas des enfants qui ont fréquenté nos écoles. Qu’est-ce qui explique cette inversion ? Les données de Statistique Canada n’apportent pas toutes les réponses, mais une des données analysées est fondamentale : les immigrés enfants sont beaucoup plus nombreux à fréquenter les cégeps et les universités que les natifs du Canada. De fait, en 2017, 70 % des immigrés de 20 ans qui avaient été admis au Canada enfants ont déclaré des droits de scolarité postsecondaires aux autorités fiscales, contre seulement 55 % pour l’ensemble des Canadiens de 20 ans. Bref, les immigrés sont proportionnellement beaucoup plus nombreux à étudier plus longtemps. Cette formation plus poussée pourrait expliquer leur progression salariale plus grande, sachant que les revenus augmentent avec le niveau d’études. La gestionnaire de la base de données sur l’immigration à Statistique Canada, Rose Evra, explique que l’agence a produit ces comparaisons justement en raison du débat qui court sur la contribution des immigrants. « On peut penser que la tendance est la même pour les enfants d’immigrés nés ici », dit-elle, bien que la base de données n’ait pas de chiffres à ce sujet. Le cas particulier du Québec Maintenant, autre surprise : les données pour le Québec sont passablement distinctes de celles d’ailleurs. Ainsi, contrairement aux autres grandes provinces, les immigrés enfants du Québec ne réussissent pas à rattraper ou à dépasser la rémunération des Québécois d’origine entre 20 et 30 ans. Oui, à 20 ans, les enfants immigrés au Québec gagnent moins que les Québécois de cet âge (9000 $ contre 12 000 $), comme c’est le cas ailleurs. Toutefois, cet écart de 25 % ne s’inverse pas pour faire de ces immigrés des travailleurs mieux payés à l’âge de 30 ans. Ils comblent une bonne partie de l’écart, certes, mais continuent à avoir des revenus médians inférieurs de 3,4 % à l’âge de 30 ans (35 800 $ contre 37 070 $). Ailleurs, les immigrés qui ont grandi ici font, à l’âge de 30 ans, 13 % de plus que les Canadiens du même âge en Ontario, 10 % en Alberta et 17 % en Colombie-Britannique. Diverses hypothèses pourraient être émises pour expliquer ces différences, qu’il faut énoncer avec prudence. Le Québec a des immigrés d’origines bien différentes de ceux du reste du Canada, notamment pour des questions de langue. Est-ce un facteur ? Les données indiquent par ailleurs que les immigrés qui ont grandi au Québec sont un peu moins nombreux qu’ailleurs à faire des études postsecondaires ou, du moins, à réclamer des déductions au fisc à ce sujet. Quelque 65 % des jeunes immigrés de 20 ans qui ont grandi ici font de telles études, contre 70 % pour la moyenne canadienne pour cette même catégorie d’immigrés. Cette différence n’explique pas tout, puisque les jeunes immigrés de 20 ans étudient tout de même davantage (65 %) que l’ensemble des Québécois du même âge (53 %). De plus, il est possible que la gratuité des cégeps explique qu’il y ait, au Québec, moins de réclamations fiscales pour études postsecondaires (53 %) qu’en Ontario (62 %). En Alberta et en Colombie-Britannique, cette proportion est de 47 % et de 53 %. « On ne s’est pas attardé aux comparaisons provinciales. Il faudrait voir le profil des immigrés (proportion de réfugiés, immigration économique, réunion familiale, etc.) », dit Mme Evra. Consolation pour le Québec : en 2017, les immigrés âgés de 20 ans étaient plus nombreux à travailler que la moyenne au Canada (83 % contre 79 %) et aussi nombreux à l’âge de 30 ans (83 %). Dans le contexte des débats sur l’immigration, les données de Statistique Canada demeurent renversantes, suggérant que l’immigration, à la deuxième génération, a pour effet d’augmenter plus rapidement la croissance économique au Canada. Des chercheurs devraient passer les données au peigne fin pour mieux comprendre. Consultez la base de données https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/cv.action?pid=4310002501 1. L’approche longitudinale de la base de données de Statistique Canada donne une bonne idée des tendances, même si elle est imparfaite. L’idéal aurait été d’avoir une base de données par cohortes, c’est-à-dire qui suit le même groupe d’immigrés dans le temps.
  15. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-08-20/swiftctrl-installe-son-bureau-d-ingenierie-a-montreal.php SwiftCTRL installe son bureau d’ingénierie à Montréal PHOTO OLIVIER JEAN, LAPRESSE L’arrivée de SwiftCTRL à Montréal résulte d’une collaboration avec Investissement Québec International et Montréal International. SwiftCTRL Technologies Canada, filiale nouvellement formée de l’entreprise new-yorkaise SwiftCTRL, installe son bureau d’ingénierie et son centre de recherche et développement à Montréal. Publié le 20 août 2020 à 8h24 MARC TISON LA PRESSE Ce nouveau centre travaillera principalement à l’élaboration d’interfaces de systèmes de contrôle des accès et des visiteurs pour les bureaux, une technologie destinée aux propriétaires immobiliers et aux entreprises. SwiftCTRL veut former d’ici deux ans une équipe de plus de 25 développeurs, gestionnaires de produits et autres professionnels en soutien technique. SwiftCTRL a été fondée en 2020 par d’anciens membres de l’entreprise Waltz, une société de capital-risque dans le domaine des contrôles des accès mobiles, après le rachat de cette dernière en 2019. Le nouveau centre d’ingénierie et recherche sera dirigé par Steeve Béliveau et Guillaume Vachon, deux anciens employés de la filiale que Waltz avait détenue à Montréal entre 2016 et 2019. L’arrivée de SwiftCTRL à Montréal résulte d’une collaboration avec Investissement Québec International et Montréal International.
  16. https://www.lapresse.ca/voyage/2020-08-20/le-biodome-rouvrira-ses-portes-le-31-aout.php Le Biodôme rouvrira ses portes le 31 août PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE Le Biodôme est prêt à rouvrir ses portes à la fin du mois. Après avoir été fermé durant plus de deux ans pour des travaux, le Biodôme rouvrira ses portes le 31 août. Publié le 20 août 2020 à 10h06 STÉPHANIE MORIN LA PRESSE Parmi les nouveautés, une nouvelle application mobile va remplacer les panneaux d’interprétation. On trouvera aussi une mezzanine qui surplombe trois écosystèmes et la construction d’un tunnel et d’un mur de glace. Comme c’est le cas pour plusieurs attractions touristiques, les visiteurs devront désormais réserver une heure de visite fixe au moment d’acheter les billets. Depuis son ouverture en 1992, le Biodôme a accueilli 22 millions de visiteurs. Les billets sont déjà en vente. https://espacepourlavie.ca/mobile/biodome
  17. La consultation publique écrite est ouverte jusqu'au 4 septembre https://montreal.ca/articles/consultations-ecrites-dans-le-sud-ouest Avis : http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav29390.pdf PPCMOI : http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PRESENTATION_PPCMOI_700 BOURGET.PDF Présentation du PPCMOI Nette amélioration du premier rendu qui servait plutôt à illuster le volume de l'immeuble
  18. Photo aérienne de 1947 http://www.app.catbus.ca/1947satelliteview/app.html#19;45.48510758709572;-73.54209736880159 La gare était toute petite. dernière mise à jour de Google Maps
  19. Il y a une consultation publique écrite sur l'octroi d'un permis de démolition du 363, rue Bridge http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav29314.pdf https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfNZh6GnqHT4SdD8cichplL5pUQGbgJzOJYBSI6J86A5VLBAw/viewform Selon le registre foncier, le terrain appartient toujours à l'Administation portuaire de Montréal
  20. La photo dans l'article de Wikipedia vient de Flickr. https://www.flickr.com/photos/douaireg/1887444858 Une personne a mis ceci en commentaire : « The name of the station in CN timetables was "Bridge St.". The station was in use from 1943 (when Central Station opened) until 23 April 1966. It was reopened for a few days during Expo '67 to offer a special service to Expo during a Montreal Transit Commission strike. Apart from serving Victoriatown, Bridge St. station was notable as one of the points where steam locomotives were switched for electric power for access to Central Station, which, being underground, was a steam-free zone. See Michael Leduc, _Point St. Charles Shops_ (2007), p. 16-17. »
  21. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2020-08-19/relance-economique-quebec-abandonne-le-projet-de-loi-61.php Relance économique: Québec abandonne le projet de loi 61 PHOTO JACQUES BOISSINOT, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel. (Québec) Le gouvernement Legault abandonne son controversé projet de loi 61 sur la relance économique, qu’il n’avait pas été capable d’adopter au printemps faute d’avoir un accord avec les partis d’opposition. Québec déposera toutefois cet automne un nouveau projet de loi qui aura les mêmes objectifs, a-t-on annoncé mercredi. Publié le 19 août 2020 à 11h38 Mis à jour à 14h30 HUGO PILON-LAROSE LA PRESSE La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, en a d’abord fait l’annonce à TVA. L’information a ensuite été confirmée par son cabinet à La Presse. Mme Lebel déposera donc un nouveau projet de loi à la rentrée parlementaire afin d’accélérer certains chantiers (écoles, hôpitaux, travaux routiers, etc.) pour relancer l'économie du Québec, qui vit les contrecoups de la pandémie de COVID-19. Le projet de loi 61, qui avait ces mêmes objectifs, avait toutefois été vivement critiqué au printemps dernier par les partis d’opposition. On lui reprochait au départ d’accorder trop de pouvoirs au gouvernement, notamment en lui permettant de contourner la Loi sur les contrats publics. En commission parlementaire, le projet de loi 61 avait aussi été critiqué par plusieurs organismes, dont le Vérificateur général, le Bureau de l’inspecteur général de Montréal et le comité de suivi des recommandations de la commission Charbonneau. En juin, Québec avait effectué plusieurs amendements dans l’espoir d’avoir l’accord des partis d’opposition pour lui permettre de le faire passer au vote. La session parlementaire s’était toutefois terminée sans qu’il y parvienne. Après que Sonia Lebel eut annoncé mercredi qu’elle déposerait finalement un tout nouveau projet de loi cet automne, plutôt que de relancer le projet de loi 61 avec une série d’amendements, les partis d’opposition ont rapidement réagi à Québec. « Après avoir accusé les oppositions de tous les maux de la terre pour avoir bloqué l’adoption rapide du projet de loi 61, la CAQ le retire complètement ! Bref : nous avions raison de nous tenir debout et de refuser d’adopter en catastrophe ce projet de loi abusif », a déclaré Gabriel Nadeau-Dubois de Québec solidaire. « Le premier ministre a sillonné le Québec tout l’été pour vanter le projet de loi 61 et dire que tous ceux qui s’y opposaient étaient contre la relance économique. Et maintenant, il retire lui-même son projet de loi. Ça ne s’invente pas », a affirmé André Fortin du Parti libéral. « Le gouvernement admet donc son erreur ? Va-t-il respecter les recommandations de la Comm. Charbonneau, cette fois ? Quel traitement réserve-t-il aux règles environnementales ? », a de son côté questionné le député péquiste Martin Ouellet.
  22. à l'époque du Goose Village, il y a vait une gare près du Black Rock d'où ces passages sous les rails qui permettaient aux piétons d'accéder au quai de l'autre côté Il y a une photo de ce qui reste de la gare de Victoriatown en 2007 sur Wikipedia https://en.wikipedia.org/wiki/Goose_Village
  23. Projet de loi 61 est abandonné https://www.journaldequebec.com/2020/08/19/relance-economique-le-projet-de-loi-61-abandonne-quebec-deposera-une-nouvelle-proposition
  24. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2020-08-19/cirque-du-soleil-un-fiasco-selon-l-opposition.php Cirque du Soleil: un «fiasco», selon l'opposition PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Selon les dernières informations, le Cirque du Soleil passera aux mains d’un groupe de créanciers canadiens et américains. (Québec) La tentative de sauvetage du Cirque du Soleil a été un « fiasco et le gouvernement de comptables de la CAQ devrait être gêné », selon le chef péquiste Pascal Bérubé. Publié le 19 août 2020 à 10h47 Mis à jour à 12h37 PATRICE BERGERON LA PRESSE CANADIENNE Les partis d’opposition ont tour à tour accusé, mercredi, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) ainsi que le gouvernement Legault d’avoir abandonné le Cirque du Soleil, qui selon les dernières informations passera aux mains d’un groupe de créanciers canadiens et américains. Pourtant, en juin, le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, avait offert jusqu’à 200 millions US aux actionnaires existants du Cirque afin d’« ancrer la reprise du Cirque au Québec », et pour qu’un jour, le Cirque redevienne propriété québécoise, selon les mots du ministre. Or personne ne semble avoir soumis avant l’échéance de mardi soir une proposition supérieure à celle de 1,2 milliard émanant d’un groupe de créanciers du Cirque regroupés autour du fonds torontois Catalyst Capital. En conférence de presse mercredi matin à l’Assemblée nationale, le chef intérimaire péquiste Pascal Bérubé a affirmé que le ministre n’est « pas un bon négociateur », en énumérant d’autres revers, selon lui, comme Bombardier, Air Transat, et l’affaire des dirigeables Flying Whales. Pour sa part, la porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, s’est désolée de l’issue de l’aventure du Cirque du Soleil. « Les requins mangent les petits poissons, bye bye », a-t-elle résumé en conférence de presse, en blâmant le « système » capitaliste. Elle a également attaqué la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui a payé 75 millions US au cofondateur du Cirque du Soleil, Guy Laliberté, pour lui acheter ses dernières actions de l’entreprise quelques semaines à peine avant la pandémie. La valeur de cet investissement aujourd’hui est nulle. La CDPQ a radié ses investissements évalués à 170 millions US. « Le Cirque n’appartient plus aux Québécois et celui qui s’en est mis plein les poches, c’est Guy Laliberté, tandis que le régime de retraite des Québécois est appauvri de 228 millions (CAN) », a ajouté Mme Massé. Pascal Bérubé s’en est pris à la direction de la Caisse : il a rappelé que c’est le premier ministre François Legault lui-même qui a nommé le président de la Caisse, Charles Émond, et qu’il l’avait même rencontré chez lui. « J’aimerais savoir si Guy Laliberté ou ses représentants ont fait des démarches auprès du gouvernement du Québec avant la décision de la Caisse », a soulevé le chef péquiste. Selon le porte-parole libéral en matière de Finances, André Fortin, il est incroyablement malheureux que l’aventure québécoise du Cirque du Soleil se termine ainsi. Le Cirque s’est placé sous la protection de ses créanciers en juin, en raison d’une dette s’élevant à 1,5 milliard. La proposition de Catalyst Capital écartera les actionnaires actuels de l’entreprise : le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui avaient acquis une participation majoritaire dans le Cirque lorsque son cofondateur Guy Laliberté avait décidé de ne conserver que 10 % de la compagnie.
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