Aller au contenu

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Chinese canal? 🤣 Je crois que c'est la traduction automatique de Youtube, En chinois, le titre de la vidéo est : 无人机航拍加拿大蒙特利尔中国运河美丽风光 中国 = Chine 运河 = canal Je me demande si les Chinois connaissent l'histoire derrière ce nom... qui est comme une joke à Cavelier de La Salle qui cherchait un passage vers la Chine
  2. à l'émission Le 15-18 https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/200932/patrimoine-montreal-histoire La maison Louis-Hippolyte-La Fontaine est maintenant restaurée Publié à 18 h 02 Rattrapage du mercredi 23 septembre 2020 15 h 46 Restauration de la maison de Louis-Hippolyte La Fontaine : Bernard Vallée Durée :5:32 La maison Louis-Hippolyte-La Fontaine vers la fin des rénovations, en 2019 PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS Après 6 ans de travaux et 30 ans de démarches, la maison Louis-Hippolyte-La Fontaine, à Montréal, a fini d'être restaurée. L'animateur en histoire et patrimoine pour Montréal explorations, Bernard Vallée, se réjouit de cette nouvelle. Il explique pourquoi, selon lui, il fallait absolument sauver ce bâtiment de la démolition. Pour Bernard Vallée, la maison Louis-Hippolyte-La Fontaine a beaucoup de valeur sur les plans architectural, historique et symbolique. En ce qui concerne l'architecture, ce sont les derniers vestiges de ces grandes villas qui couvraient les flancs du mont Royal, dit-il. Sur le plan historique, il rappelle que la maison a été, pendant 15 ans, la résidence de Louis-Hippolyte La Fontaine, l’un des pères de la démocratie au pays. Elle a aussi été le théâtre des émeutes de 1849, au cours desquelles elle a été incendiée. Finalement, Bernard Vallée estime que ce bâtiment est aussi un symbole important de la lutte pour le droit au logement. Il rappelle qu’au départ, elle devait être démolie pour faire place à un projet immobilier.
  3. https://www.lapresse.ca/voyage/quebec-et-canada/2020-09-22/cinq-etoiles-pour-le-four-seasons-de-montreal.php Cinq étoiles pour le Four Seasons de Montréal PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Au centre de l’édifice, les fleurs géantes de l’artiste québécoise Pascale Girardin s’étirent sur huit étages. Chaque année, le guide de voyage Forbes récompense au compte-gouttes les hôtels, restaurants et spas de luxe qui se distinguent dans le monde. Normalement attribués en février, les prix sont cette année dévoilés à l’avance afin de stimuler l’industrie. Deux hôtels montréalais figurent à son prestigieux palmarès : le Four Seasons, avec maintenant cinq étoiles, et le Ritz-Carlton, avec quatre. Publié le 22 septembre 2020 à 11h30 ISABELLE MORIN LA PRESSE Le guide accorde sa plus haute distinction à des établissements dont la qualité du service et des installations est jugée impeccable. C’était déjà le cas du spa du Four Seasons, récompensé en février dernier. Ouvert en 2019 au cœur du quartier Mille Carré Doré, rue de la Montagne, l’immeuble de 18 étages a été imaginé par la firme montréalaise Lemay et Sid Lee architecture. Il compte 169 chambres de style classique moderne, dont 19 suites, conçues par les designers Gilles & Boissier, en collaboration avec Philip Hazan. Au cœur de l’hôtel, un espace signé Atelier Zébulon Perron englobe la réception, un lounge ainsi que le Marcus, restaurant piloté par le chef de réputation internationale Marcus Samuelsson, qui revisite le concept de la brasserie traditionnelle avec raffinement et modernité. > Consultez le site du Forbes Travel Guide (en anglais)
  4. Le projet de la Dow a été conservé dans la nouvelle liste des 181 projets d'infrastructure du projet de loi 66 Loi concernant l’accélération de certains projets d’infrastructure http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-66-42-1.html No 118 : Agrandissement de l’École de technologie supérieure dans le complexe Dow
  5. Présentation du projet de loi 66 aujourd'hui, en remplacement du controversé projet de loi 61 http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-66-42-1.html La ligne bleue et un projet de transport qui mélange la ligne sur Notre-Dame et la ligne rose est dans la liste Il y a aussi deux projets pour Laval Et deux pour Longueuil/Rive-Sud dont le projet sur Taschereau
  6. Chronique de Mario Girard dans La Presse https://www.lapresse.ca/actualites/2020-09-23/enfin-elle-revit.php Enfin, elle revit ! Cela aura pris des décennies, mais la mémoire de Louis-Hippolyte La Fontaine, précieux personnage de notre histoire, trouve une nouvelle façon d’être célébrée. La maison qu’il a habitée pendant une bonne partie de sa vie connaît l’étape ultime de sa restauration. Son dévoilement officiel a lieu ce mercredi. Publié le 23 septembre 2020 à 7h00 MARIO GIRARD LA PRESSE Située au coin de la rue Lucien-L’Allier et de l’avenue Overdale, la demeure s’est débarrassée de son air sinistre et brille maintenant de tous ses feux. Elle est une véritable splendeur. Et constitue également un certain miracle. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Située au coin de la rue Lucien-L’Allier et de l’avenue Overdale, la maison de Louis-Hippolyte La Fontaine s’est débarrassée de son air sinistre et brille maintenant de tous ses feux. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Avec l’aide de spécialistes, la firme d’architectes chargée du projet a voulu reconstituer l’apparence qu’avait la maison à l’époque. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Des traces de balles datant de 1849 apparaissent toujours sur certaines pierres. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE L’intérieur de la maison est pour le moment vide. Il appartiendra au futur propriétaire de voir à son aménagement et à sa décoration. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Vincent H. Kou, vice-président, Développement corporatif et croissance du Groupe Brivia, et Anik Shooner, architecte associée principale de Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes Souvenons-nous de l’épisode malheureux des années 80, où un promoteur sans scrupule avait vidé son intérieur. À l’abandon pendant de nombreuses années, la maison de style néoclassique et Second Empire avait été couverte de graffitis. Ses fenêtres étaient placardées. Quant au terrain, il servait de stationnement. Je vous parlais dimanche de cadavres urbains. Voilà un bon exemple de cela. Citée par la Ville de Montréal en 1988 afin de protéger sa valeur patrimoniale et empêcher une démolition complète, la demeure d’une superficie de 6000 pieds carrés a donc été suspendue dans le temps pendant une longue période. Il a fallu la volonté des promoteurs des Groupe Brivia et Groupe Tianco pour qu’elle retrouve son caractère d’origine. « Quand on a pris possession de la maison, en 2011, il y avait des squatters qui vivaient à l’intérieur, m’a confié Vincent H. Kou, vice-président, Développement corporatif et croissance du Groupe Brivia. On a pris un engagement ferme avec la Ville de Montréal que nous allions la remettre dans son état d’origine. Ce fut un défi, mais un beau défi. » PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE La Maison de Louis-Hippolyte La Fontaine en 2012 Louis-Hippolyte La Fontaine a dirigé, avec Robert Baldwin, le premier gouvernement responsable du Canada-Uni. Il a été un pionnier de la démocratie au pays et a fait en sorte que les députés puissent s’exprimer en français au Parlement. Mais où fixer l’origine de cette maison qui a été occupée par Louis-Hippolyte La Fontaine de 1849 jusqu’à sa mort, en 1864 ? « Même si la maison a vécu plusieurs époques et transformations, nous avons décidé que nous voulions retrouver la demeure de 1849, explique Anik Shooner, architecte associée principale de Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes, firme responsable du projet. Ce fut un travail complexe, car nous disposions de peu de dessins de cette époque. » Avec l’aide de spécialistes, la firme a pu reconstituer l’apparence qu’avait la maison à cette époque. Toutes les pierres qui ornent la façade ont été retirées, nettoyées, numérotées. On a pris soin de ne pas effacer les marques du passé. Des traces de balles datant de 1849 apparaissent toujours sur certaines pierres. En effet, cette maison a une valeur hautement symbolique, car elle fut la cible d’émeutiers après que La Fontaine eut réclamé des dédommagements pour les citoyens francophones qui avaient vu leurs maisons incendiées lors de la rébellion des Patriotes de 1837-1838. L’argument qu’il aimait avancer était de béton et d’intelligence : « Les Canadiens sont devenus, par les traités, sujets anglais. Ils doivent donc être traités comme tels. » Difficile de contredire une telle pensée. Motivés par le journal The Gazette, des Canadiens anglais ont incendié le parlement, place d’Youville, avant de s’en prendre le lendemain (26 avril 1849) à la résidence de Louis-Hippolyte La Fontaine. « Le lendemain, les émeutiers se précipitèrent chez La Fontaine, forcèrent l’entrée de la maison, brisèrent les boiseries et le riche mobilier de style, arrachèrent les appuis des fenêtres et les volets, éventrèrent les planchers et fracassèrent les articles de porcelaine et de verre. Ils mirent le feu aux écuries, brûlèrent plusieurs voitures et déracinèrent une douzaine de jeunes arbres du verger », peut-on lire dans le Dictionnaire biographique du Canada. Les travaux de restauration, dont les coûts s’élèvent à 6,5 millions de dollars, ont été scrutés par des voisins bienveillants (qui devaient sans doute avoir très hâte de connaître cette étape) et des amoureux du patrimoine montréalais. « Quand ils voyaient une grue, certains s’inquiétaient, raconte Anik Shooner. On les rassurait en expliquant que nous voulions tout refaire et bien le faire. » En guise de rappel du verger qui s’étendait autrefois devant la demeure sur une très longue distance, on a planté des pommiers sur le terrain adjacent. L’intérieur de la maison est pour le moment vide. Il appartiendra au futur propriétaire de voir à son aménagement et à sa décoration. Qui en fera l’acquisition ? C’est la question que plusieurs personnes se posent en ce moment. Quelle vocation aura cette demeure ? Une résidence officielle ? Un musée (sur l’histoire du Canada-Uni) ? Un centre culturel ? Une résidence privée prestigieuse ? Les promoteurs sont prêts à entendre toutes les propositions. « Le propriétaire devra toutefois s’engager à respecter le caractère historique de la maison », tient à préciser Vincent H. Kou. Pour toutes les histoires d’horreur survenues récemment, pour toutes les maisons patrimoniales rasées ou malmenées, ce projet est un énorme baume.
  7. Incendie à la coop ce soir qui a eu besoin d'une 2e alarme On voit la 1re explosion de la bonbonne de propane à 12:20
  8. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2020-09-22/montreal/vers-une-hausse-du-nombre-de-maisons-a-vendre-d-ici-noel.php Vers une hausse du nombre de maisons à vendre d’ici Noël ? PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Les futurs acheteurs de maison, qui peinent à dénicher la perle rare en raison du faible nombre d’inscriptions, pourraient avoir plus de choix d’ici la fin de l’année. Les futurs acheteurs de maison, qui peinent à dénicher la perle rare en raison du faible nombre d’inscriptions, pourraient avoir plus de choix d’ici la fin de l’année. La fin des reports de paiements hypothécaires et de plusieurs programmes d’aide visant à soutenir les ménages pendant la crise incitera certains propriétaires, plus serrés financièrement, à mettre une pancarte à vendre devant la porte, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Publié le 22 septembre 2020 à 7h00 NATHAËLLE MORISSETTE LA PRESSE « Avec le retour de propriétés sur le marché, les conditions vont être moins favorables aux vendeurs, mais il faudrait quand même qu’il y ait beaucoup d’inventaire pour déséquilibrer le marché à la faveur des acheteurs, affirme Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché à l’APCIQ. Donc, on pense que les prix dans certains marchés vont baisser, comme c’est le cas au centre-ville. On voit déjà qu’il y a de très fortes hausses d’inventaire de copropriétés dans le centre-ville. Dans d’autres marchés, dans des localisations qui sont recherchées, on ne pense pas qu’il va y avoir des baisses de prix, mais peut-être un ralentissement de la hausse des prix parce qu’elle n’est pas soutenable en ce moment. » M. Brant a été interrogé par La Presse à la suite de la publication, lundi, d’un rapport de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) dans lequel on faisait état d’une augmentation de 11,8 % des prix des maisons à Montréal par rapport à la même période l’an dernier, sa plus forte croissance en 15 ans. « Il y a un manque d’inventaire criant, notamment pour certaines gammes de prix. Les gammes de prix pour les ménages moyens sont en forte hausse », souligne M. Brant. « Depuis quelques trimestres, on remarque que les prix sont plus élevés que le trimestre précédent, affirme pour sa part Lukas Jasmin-Tucci, analyste principal à la SCHL. Est-ce que ça veut dire que ça va continuer dans les prochains mois ? Pas nécessairement. » Martin Desfossés, coach en immobilier chez DuProprio, ne partage pas l’avis de Charles Brant et ajoute qu'en ce moment, « ce n’est pas un marché très confortable pour les gens qui font des demandes d’acquisition ». Il souligne toutefois que du côté de DuProprio, les propriétés vendues en juin et en juillet ont augmenté de 48 % par rapport à la même période l’an dernier. « Je ne vois pas à court terme le jour où on va avoir un inventaire à la hausse, indique-t-il. Et je ne pense pas que les prix vont diminuer beaucoup. »
  9. https://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/2020-09-22/musee-des-beaux-arts/quatre-candidates-externes-tenteront-de-se-faire-elire-au-c-a.php Musée des beaux-arts : Quatre candidates externes tenteront de se faire élire au C. A. PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Valentine Goddard, Lydie Olga Ntap, Caroline Codsi et Claudette Hould tenteront de se faire élire le 29 septembre prochain lors de l’assemblée générale du Musée. Quatre femmes feront front commun le 29 septembre prochain pour « briser le statu quo » du conseil d’administration qui a congédié la directrice générale Nathalie Bondil en juillet dernier. Elles se présenteront contre les candidats de l’actuel C. A. qui souhaitent renouveler leurs mandats. Publié le 22 septembre 2020 à 11h17 JEAN SIAG LA PRESSE « C’est officiel, je me lance aux côtés de trois autres femmes absolument géniales, Lydie Olga Ntap, Caroline Codsi et Claudette Hould, pour une élection qui aura lieu le 29 septembre. Si vous êtes membres du Musée des beaux-arts, c’est un vote important », a écrit Valentine Goddard sur sa page Facebook mardi. Mme Goddard, qui est une avocate spécialisée dans les questions d’éthique et d’intelligence artificielle, a indiqué sur sa page Facebook vouloir proposer « une perspective extérieure, indépendante et d’une grande expertise reconnue par nos pairs pour ramener l’administration vers ses priorités : humanisme, inclusion et innovation ». Elle se présente ainsi avec l’avocate et fondatrice du Musée de la Femme, Lydie Olga Ntap, la femme d’affaires Caroline Codsi et l’historienne de l’art Claudette Hould contre au moins trois membres actuels, dont le président du conseil d’administration Michel de la Chenelière, qui briguera un poste de simple administrateur. M. de la Chenelière a en effet annoncé la semaine dernière qu’il démissionnerait de son poste de président du C. A le 29 septembre. Les 21 membres du Conseil ont désigné l’homme d’affaires et mécène Pierre Bourgie pour lui succéder. Sa nomination ne sera pas soumise au vote des membres. Rémi Quirion et Sylvie Demers sont les deux autres membres actuels du C. A. qui tenteront de se faire réélire, tandis que J. Serge Sasseville, qui est aussi président du C. A. de la Fondation de la Place des Arts, cherchera à combler le quatrième poste à pourvoir en remplacement de Joe Battat, l’unique administrateur ayant voté contre le congédiement de Mme Bondil. Dans une entrevue accordée au Devoir, Valentine Goddard a affirmé ne pas vouloir arriver « comme un parti d’opposition ». « Le positionnement qu’on a, c’est de proposer un vent de fraîcheur, d’amener une expertise, a-t-elle fait valoir. C’est plus une réplique à un statu quo, parce que le C. A. ne propose pas beaucoup de changement dans les nominations. » Les administrateurs sont élus pour une période de trois ans. Normalement, une fois tous les administrateurs élus, un président est élu parmi eux. Comme M. de la Chenelière a été élu l’an dernier (en avril 2019), et que M. Bourgie est nommé pour compléter son mandat, il n’aura donc pas à se soumettre à un vote. Rappelons que l’ex-directrice générale du Musée des beaux-arts de Montréal, Nathalie Bondil, a déposé une poursuite de deux millions de dollars vendredi dernier contre l’ensemble des administrateurs du Musée. Elle leur réclame 1 million en dommages moraux, ainsi qu’un million en dommages-intérêts punitifs pour « atteintes illicites et intentionnelles portées à ses droites fondamentaux de sauvegarde de sa dignité, de son honneur et de sa réputation. »
  10. La consultation écrite a été mise sur le site Web de l'arrondissement https://montreal.ca/articles/consultations-ecrites-dans-le-sud-ouest Présentation de la demande de PPCMOI http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PRESENTATION_2308-2350 SAINT-PATRICK.PDF Vidéo de la présentation (YouTube)
  11. La consultation écrite a été mise sur le site Web de l'arrondissement https://montreal.ca/articles/consultations-ecrites-dans-le-sud-ouest Présentation de la Demande de PPCMOI http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PRESENTATION_2560 SAINT-PATRICK.PDF Vidéo de présentation. https://youtu.be/PojLoUQPYK8
  12. La Devisubox a été déplacée sur le toit de l'Hexagone le 15 septembre. On ne peut plus voir le chantier du Gallery 3 15 septembre 8h02 15 septembre 11h33
  13. Trainsparence 🙄 https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/586319/le-rem-a-l-aeroport-un-fardeau-public-demesure Le REM à l’aéroport, un fardeau public démesuré Photo: Marie-France Coallier Le Devoir «Les gouvernements fédéral et provincial doivent refuser de fournir la moindre contribution à la station du REM à l’aéroport», affirment les auteurs. Texte collectif* 21 septembre 2020 Libre opinion Les gouvernements utilisent parfois des « partenariats public-privé » (PPP) pour deux motifs : en théorie, les PPP permettent de réaliser des projets en respectant les budgets prévus et en partageant, avec le secteur privé, certains risques d’un projet. Au Québec, les projets des hôpitaux universitaires (CUSM et CHUM) ont pourtant démontré le contraire avec d’énormes dépassements de budget. Malgré ces mauvaises expériences, le dernier gouvernement libéral a utilisé les mêmes arguments, pour justifier la réalisation du Réseau express métropolitain (REM). L’entreprise responsable de la réalisation du projet est CDPQ Infra, une entreprise privée créée par la Caisse de dépôt et placement du Québec. L’histoire va-t-elle se répéter ? Rappelons d’abord que, pour le REM, les choix de tracé et d’équipement de CDPQ Infra ont exigé des subventions importantes : le gouvernement provincial a pratiquement donné le tunnel du Mont-Royal et l’emprise du train de Deux-Montagnes ; le gouvernement fédéral a « donné » deux voies du pont Samuel-De Champlain à CDPQ Infra, qui n’a pas à payer de droits d’usage pour 99 ans. Ces infrastructures représentent des subventions de plus de 2 milliards de dollars. Il y a deux ans, CDPQ Infra a constaté que plusieurs composantes du REM étaient trop coûteuses. Elle a donc effectué des changements au projet : déplacement de la station Griffintown, abandon d’une station (A13), hausse des budgets… et elle a convaincu Aéroports de Montréal (ADM) de payer entièrement la gare de l’aéroport. Rappelons qu’ADM avait déjà investi pour un accès à l’aéroport par le sud. Mais CDPQ Infra a décidé que l’accès serait souterrain, par le nord. Les coûts d’une station ont donc été multipliés. Maintenant, à cause de la pandémie, ADM n’a plus les ressources nécessaires à la construction de la station souterraine de 600 millions. CDPQ Infra et ADM demandent donc aux gouvernements de payer la station. L’histoire va-t-elle se répéter ? Les gouvernements vont-ils accepter de payer la station ? Si un développeur du secteur privé, chaque fois qu’il rencontre un imprévu, n’a qu’à tendre la main au gouvernement pour un chèque en blanc, tous les risques sont assumés par les contribuables. Les gouvernements fédéral et provincial doivent refuser de fournir la moindre contribution à la station du REM à l’aéroport. CDPQ-Infra a deux choix : A) Payer elle-même la station et ainsi accepter que son profit sera moindre que les 8 % visés. B) Annuler la réalisation de l’antenne vers l’aéroport. Certains élus ont récemment affirmé qu’une station du REM à l’aéroport est absolument essentielle. Cette affirmation est absurde. Selon l’étude d’achalandage Steer Davies, la station du REM à l’aéroport attirera un faible achalandage : 2700 déplacements par jour toute la première année et 3800 déplacements par jour en 2031 (sur un achalandage total du REM de 160 000). Il s’agit de prévisions qui ne tiennent pas compte de la pandémie ou des changements climatiques. Ces prévisions sont trop élevées. La pandémie a créé un contexte qui va réduire l’usage de l’avion. De plus, dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques, il faudra que le carburant des avions soit assujetti aux taxes sur le carbone. Cela va faire augmenter le prix de chaque billet d’avion de plusieurs centaines de dollars et ainsi réduire l’usage de l’avion. Il est donc probable que l’achalandage de la station de l’aéroport soit de l’ordre de 1000 à 1500 déplacements par jour. Un tel achalandage ne peut pas justifier un investissement de plus de 1,1 milliard (600 millions pour la station, 500 millions pour le tunnel sous les pistes). En contraste, lorsque la planification et la gestion du transport collectif sont réalisées par le secteur public, un investissement de 1 milliard permet d’implanter une grosse ligne de tramway attirant 50 000 déplacements par jour. Un exemple pertinent d’un tel projet est la ligne de tramway « Dorval–Lachine–centre-ville ». Dans un contexte de transition énergétique, il importe de dépenser judicieusement les sommes disponibles pour le transport collectif, dans le but non pas d’accroître le bénéfice des promoteurs, mais bien de desservir le plus grand nombre possible d’usagers. * Signataires : Luc Gagnon et Jean-François Boisvert, Coalition Climat Montréal ; Mathieu Vick, Syndicat canadien de la fonction publique ; Alison Hackney et Leslie Murphy, Trainsparence
  14. L'Hexagone 2 (et même le 1) était plus intéressant (je n'ai pas écrit « plus beau » 🙃) quand Devimco a lancé les District Griffin
  15. La fiche du projet est en ligne : https://res.cloudinary.com/villemontreal/image/upload/v1600119332/portail/lsg8exrevyh0lafcku0r.pdf Les consultations écrites de Ville-Marie : https://montreal.ca/articles/consultations-en-mode-virtuel-dans-ville-marie Demandeur : Eeyou Eenou Realty Properties / Cogir-Dev McGill Concepteur : Douglas Cardinal Architect / Lemay Contexte Des demandes de démolition, de surhauteur et de dérogation mineure ont été déposées afin de permettre une construction sur un emplacement occupé par un ensemble bâti situé au 255-277, rue Duke et 270-280, rue Prince. La présente démarche concerne spécifiquement la demande de dérogation mineure qui vise à autoriser un mode d’implantation en continguïté plutôt que le mode isolé du côté de la rue Prince. Le site Le site occupe la moitié sud-est de l’îlot compris entre le boulevard Robert-Bourassa (Duke) et les rues William, Prince et Ottawa. Il est occupé par un stationnement de surface et par un assemblage de quatre bâtiments construits à diverses époques. Les deux qui longent la rue Duke ont été essentiellement construits entre 1975 et 1980, tandis qu’en bordure de la rue Prince, le 270 date de la fin du 19e siècle et le 280 a été construit dans les années 30. Ils étaient occupés jusqu’à récemment à des fins de bureau ou d’entreposage. Le projet Le projet consiste en la construction d’un ensemble bâti multifonctionnel ainsi que près de 388 logements, dont les deux tiers seraient de type locatif. · La construction proposée comporte un basilaire de 2 à 6 étages sur les rues Prince et Ottawa et une surhauteur de 26 étages (80 m) du côté de Robert-Bourassa (rue Duke). Une portion (côté rue) du bâtiment construit au 19e siècle sis au 270 rue Prince, ainsi que la façade du bâti sis au 280 de la même rue sont conservés in situ et intégrés à la construction. · Un stationnement souterrain (± 120 places) est accessible depuis la rue Prince. Cadre réglementaire : Le projet est conforme aux normes, orientations et critères du règlement d’urbanisme, à l’exception du mode d’implantation qui requiert une dérogation mineure en raison de la conservation de la façade du 280, rue Prince. Étant situé dans un secteur où le mode d’implantation est déterminé par le voisin adjacent et ce dernier étant implanté en mode isolé, le projet devrait être également implanté en mode isolé, avec une marge latérale. La conservation de la façade existante, qui est implantée à la limite latérale 0, requiert donc une dérogation mineure. Considérations · Le projet répond de façon satisfaisante aux conditions d’une demande de dérogation mineure. · La dérogation mineure est requise afin de conserver la façade d’intérêt du bâtiment situé au 280, rue Prince. · Le projet permet d’assurer la conservation et la mise en valeur d’une portion d’un bâtiment représentatif des débuts de l’industrialisation du faubourg des Récollets, ainsi que la façade d’un bâtiment industriel caractéristique des années 30. · L’absence d’une marge latérale sur la rue Prince est compatible avec la présence du quai de chargement et de l’accès véhiculaire situés sur la limite voisine de la propriété adjacente. · La contiguïté demandée est une caractéristique typique du faubourg des Récollets. · La dérogation mineure visée n’est pas susceptible de causer un préjudice au voisinage. · En parallèle de la présente démarche, le projet est soumis à la procédure de révision pour une surhauteur et à la procédure du CÉDD. Élévation rue Prince Objet de dérogation : Continuité sur la rue Prince Vidéo de présentation de la demande de démolition
  16. Le Cathcart change de modèle d'affaires https://montreal.eater.com/2020/9/18/21444635/le-cathcart-food-hall-reimagined-italian-piazza-sociale-pvm Le Cathcart Food Hall Gets Reimagined as an Italian “Piazza” Piazza Sociale opens on Tuesday, becoming one of the largest sit-down restaurants in town by Valerie Silva Sep 18, 2020, 12:36pm EDT Riccardo Bertonlino, Nicholas Giambattisto, and Federico Bianchi of PVM newcomer Piazza Sociale. Piazza Sociale [Official Photo] After opening just eight months ago, Le Cathcart is changing course with the launch of Piazza Sociale, a restaurant modelled on Italy’s bustling public squares, on September 22. Settling beneath Place Ville-Marie’s imposing glass skylight, the sit-down restaurant serving light Italian fare will take over the space previously occupied by the food hall’s three full-service restaurants: Japanese cantine Akio, Pizza del Fornaio, and Mirabel brasserie. Piazza Sociale will operate within this existing infrastructure, serving cold appetizers, pizza, foccaccia, and more hot plates out of the aforementioned kitchens — though all under the direction of Bologna native chef Riccardo Bertonlino, who prior to this had been the executive chef at Ritz Carlton’s famed fine dining locale Maison Boulud for eight years. Bertonlino is joined by chef Nicholas Giambattisto (formerly Un Po’ Di Piu) and chef Federico Bianchi (formerly Pizzeria Bottega), both of which have been with Le Cathcart since its opening earlier this year, at Mirabel and Pizza del Fornaio, respectively. Together, the three created a menu that features appetizers (including arancini, burrata and veal tartar) ranging from $10 to $20, pastas sitting at the $20-25 mark and meat mains (branzino, porchetta and beef) hovering around $30. Piazza Sociale [Official Photo] “The idea of creating a public space has been with us since day one. When we first designed Le Cathcart, we already had in mind the idea of a piazza, where you have buildings all around you and you’ve got buskers and restaurants and activity. We thought we could take that even further with this restaurant,” says Alexandre Besnard, co-founder of restaurant and bar group A5 Hospitality, which, along with Sid Lee and Menkès Shooner Dagenais Letourneux, designed Le Cathcart and now operates it. Reconfiguring the space for Piazza Sociale took just over a month, Besnard says: “But the infrastructure was there, even for decor, we didn’t really have to reinvent much. We’ve added patio lanterns and a few other elements, but the bones were already there.” Le Cathcart/Supplied The food hall’s east-side counter alley will remain intact, though at the moment only at limited capacity with just five of the usual 12 kiosks running: Dirty Greens salad bar, Korean fried chicken counter Chikin, Canadian burger chain Uniburger, Tulum Taqueria, and Karma Poke are open from 11 a.m. to 3 p.m. for the downtown lunchtime crowd. With an expected 12-month lifespan (likely as long as the lease), Piazza Sociale is what Besnard calls “éphémère,” French for pop-up, though he doesn’t quite like that term. “It could end up being longer depending on how things play out,” he adds. With physical distancing measures in place, the restaurant has set a 250-person capacity cap, which would make it one of the largest full-service, sit-down restaurants in town, and a good no-reservation-needed option. Before restaurants were mandated to maintain two metres’ distance between clients, the space could have accommodated 1,000 at once. “When COVID first hit, my partner [Patrick Hétu] and myself were like, ‘We’re lucky; we have one of the largest restaurant in the city and we’ll be able to, at some point, operate okay with the measures in place,” Besnard says. “Even when it comes to the ventilation system, it was built for 15,000 people at the same in that entire building ... I know not everyone feels secure to go right now, but for the people who do, I think we will be at the top of the list. I hope so at least.” Le Cathcart — part of a broader revitalization project for Esplanade PVM — opened to the public in January, becoming the third food hall to grace the city in a span of just six months. (Le Central, nearby Place des Arts, opened in September 2019, and Time Out Market, in the top floor of downtown’s Eaton Centre, opened in November 2019.) Felled by the pandemic, the food halls were all forced to close in March, until each reopened in early to mid July. For now, Piazza Sociale will be open for lunch and dinner, but as of October may be adding brunch to the lineup. Piazza Sociale is open as of September 22 at 1 Place Ville Marie, from Tuesday to Saturday from 11 a.m. to 11 p.m..
  17. Suite... https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1734851/poursuite-nathalie-bondil-mbam-renvoi-diffamation Nathalie Bondil poursuit le MBAM pour 2 millions de dollars Nathalie Bondil a été directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts de Montréal pendant 14 ans. PHOTO : RADIO-CANADA Radio-Canada Publié à 14 h 21 L’ex-directrice générale et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) Nathalie Bondil, renvoyée par l’établissement muséal il y a un peu plus de deux mois, a déposé vendredi une poursuite contre son ancien employeur. Nathalie Bondil s’est adressée à la Cour supérieure pour réclamer des membres du conseil d’administration du MBAM qu’ils lui versent un million de dollars en réparation des dommages moraux causés par leur conduite abusive, illégale et fautive. À cela s’ajoute un autre million de dollars en dommages et intérêts punitifs pour atteinte à sa dignité, son honneur et sa réputation qui, d’après la demanderesse, menacent de mettre un terme à sa carrière en raison de propos calomnieux, mensongers et diffamatoires. Elle et son équipe demandent aussi – si elle obtient gain de cause – que la décision du tribunal soit publiée sur le site Internet du musée pendant au moins trois mois. Selon le document transmis à la Cour par ses avocats, Mme Bondil continue de rejeter catégoriquement les allégations de harcèlement psychologique formulées par le conseil d'administration du MBAM et certains de ses ex-employés. « Les défendeurs ont orchestré, mené et continuent de mener, intentionnellement, une campagne de salissage et de destruction de la réputation de Mme Bondil, dans le seul et unique but de masquer la véritable raison qui les ont poussés à congédier intempestivement et malicieusement Mme Bondil. » - Extrait de la demande introductive d’instance en dommages et intérêts Cette raison, maintient Nathalie Bondil, est son refus de soutenir publiquement l’embauche de la conservatrice en chef du musée. Le document légal dresse par ailleurs une longue liste de mesures et d’initiatives, sous sa direction, pour assurer des relations de travail saines au sein de l’organisation.
  18. Il est parti! https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1734769/mbam-michel-de-la-cheneliere-pierre-bourgie-nathalie-bondil L’homme d’affaires Pierre Bourgie succède à Michel de la Chenelière au C.A. du MBAM Le Musée des beaux-arts de Montréal PHOTO : MBAM Radio-Canada Publié à 10 h 12 Quelques semaines après la controverse suscitée par le renvoi de l’ancienne directrice générale Nathalie Bondil, l’actuel président du conseil d’administration du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), Michel de la Chenelière, a annoncé vendredi qu’il ne briguera pas un nouveau mandat. Ce dernier demeurera en poste jusqu’à l’Assemblée générale annuelle des membres, prévue le 29 septembre prochain. Le départ de Michel de la Chenelière était réclamé par une partie des membres du musée, qui estimaient que le C.A. avait outrepassé ses droits en renvoyant Nathalie Bondil. Dans une lettre ouverte, ces membres avaient aussi dénoncé des irrégularités dans le fonctionnement de ce C.A. L’homme d’affaires montréalais Pierre Bourgie a ainsi été désigné pour remplacer M. de la Chenelière. Il a siégé sur le C.A. du MBAM de 2009 à 2018 et a également travaillé sur différents comités d'acquisition du musée. Pierre Bourgie siégera notamment sur le comité chargé de recruter la personne qui assurera la direction du MBAM, un poste laissé vacant depuis le départ de Nathalie Bondil. Plus de détails à venir. ---------------- https://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/2020-09-18/c-a-du-musee-des-beaux-arts-de-montreal/pierre-bourgie-designe-pour-succeder-a-michel-de-la-cheneliere.php C.A. du Musée des beaux-arts de Montréal Pierre Bourgie désigné pour succéder à Michel de la Chenelière PHOTO ULYSSE LEMERISE, ARCHIVES LA PRESSE Pierre Bourgie a été désigné pour succéder à Michel de la Chenelière comme président du conseil d’administration du Musée des beaux-arts de Montréal. Coup de théâtre au Musée des beaux-arts de Montréal. L’homme d’affaires et mécène Pierre Bourgie est désigné par le Musée comme successeur de Michel de la Chenelière à la tête du conseil d’administration. Publié le 18 septembre 2020 à 9h41 Mis à jour à 10h06 JEAN SIAG LA PRESSE À moins de deux semaines de l’assemblée générale de ses membres, le président du conseil d’administration du Musée des beaux-arts, Michel de la Chenelière, qui briguait un deuxième mandat, se retire. Il demeurera en poste jusqu’à la tenue de l’assemblée, le 29 septembre, a annoncé la direction du Musée vendredi, qui a désigné Pierre Bourgie comme son successeur. « Je choisis de quitter la présidence de ce musée que j’aime profondément de manière à lui permettre de véritablement entrer dans une nouvelle ère de développement. C’est avec le sentiment bien légitime d’avoir contribué, solidairement avec le conseil d’administration, au mieux-être et à l’épanouissement des employés du Musée que je passe le flambeau à Pierre Bourgie, un homme pour qui j’ai le plus grand respect. Le Musée peut compter sur M. Bourgie, un homme de talent qui, tout comme moi, a toujours démontré un engagement sans équivoque envers cette institution et ses formidables équipes », a déclaré Michel de la Chenelière par voie de communiqué. Pierre Bourgie, qui a été membre du conseil d’administration du MBAM de 2009 à 2018, a ainsi été désigné comme successeur de Michel de la Chenelière, mais sa nomination devra être entérinée par les membres votants du Musée lors de l’Assemblée générale du 29 septembre. « C’est avec humilité et enthousiasme que j’ai accepté de prendre la relève de Michel de la Chenelière à titre de président du Conseil du Musée des beaux-arts de Montréal. Je veux saluer le leadership de Michel et le remercier pour son travail dévoué et engagé. Je sais que je pourrai compter sur lui pour assurer une transition harmonieuse toujours dans les intérêts supérieurs du Musée. Je veillerai, dans l’exercice de mes fonctions, au respect des employés inspirés et experts, des membres du Conseil, de ses bénévoles engagés, donateurs privés et publics et nombreux amis et visiteurs » a indiqué M. Bourgie dans le communiqué publié par le MBAM. Le conseil d’administration du Musée des beaux-arts de Montréal est sous les feux des projecteurs depuis la mi-juillet lorsque son président, Michel de la Chenelière, a annoncé le congédiement de la directrice générale et conservatrice en chef du Musée, Nathalie Bondil. Son successeur désigné, Pierre Bourgie, n'a pas l'intention de revenir sur cette décision. Il a indiqué que son premier mandat était de « soutenir activement le comité pour le recrutement de la personne qui prendra la direction du Musée ».
  19. Statut sur les travaux du REM dans Griffintown (source : comité de bon voisinage Griffintown du 17 septembre)
×
×
  • Créer...