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ScarletCoral

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  1. Ça ne va pas bien pour Cominar Le projet au dessus de la gare centrale est peut-être à risque https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-09-16/immobilier/cominar-se-prepare-a-sa-mise-en-vente.php Cominar se prépare à sa mise en vente PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Propriétaire de Place Alexis Nihon, de la gare Centrale et du Mail Champlain (photo), Cominar est l’un des plus importants fonds de placement immobilier diversifiés du Canada. Frappée de plein fouet par la pandémie, la plus grande société foncière québécoise se prépare à tous les scénarios, y compris celui d’une vente pure et simple de l’entreprise. Publié le 16 septembre 2020 à 6h00 ANDRÉ DUBUC LA PRESSE Le conseil des fiduciaires du fonds de placement immobilier (FPI) Cominar lance « un processus d’examen stratégique structuré afin d’identifier, d’examiner et d’évaluer une vaste gamme d’options stratégiques potentielles dont il pourrait se prévaloir dans le but de continuer à accroître la valeur pour les porteurs de parts », a annoncé la société mardi en fin de journée. Ce genre de charabia prépare généralement la vente de l’entreprise à un tiers ou encore la disposition de portions significatives de l’actif de la société. Le Fonds n’avait rien à ajouter au-delà du communiqué. « Le FPI n’a pas établi d’échéancier définitif pour l’achèvement du processus d’examen stratégique, et aucune décision n’a été prise à ce jour. Rien n’assure que ce processus d’examen stratégique mènera à une transaction ni, si une transaction est entreprise, les modalités ou l’échéancier de celle-ci. Le FPI n’a actuellement pas l’intention de communiquer de faits nouveaux supplémentaires relativement à ce processus. » À risque Un autre siège social québécois est donc à risque. La semaine dernière, Cogeco a fait l’objet d’une offre d’achat hostile par Altice USA. La famille Audet, actionnaire de contrôle par l’entremise d’actions multivotantes, a refusé l’offre de 10 milliards. Il n’y a pas d’actionnaires de contrôle ni d’actions à droit de vote multiple chez Cominar, fondée par feu Jules Dallaire. Le premier actionnaire est FrontFour Capital, un actionnaire militant, avec 8 % des actions, selon Refinitiv. La firme américaine est un gestionnaire d’actif non traditionnel. La société du Connecticut a fait sentir sa présence en décembre 2018 quand elle avait forcé l’entrée de son fondateur Zach George au conseil des fiduciaires, où il siège toujours. Dans la foulée, le président du conseil Alban D’Amours avait décidé de ne pas se représenter. INFOGRAPHIE LA PRESSE Pas plus tard qu’en mai dernier, FrontFour a racheté pour 2,3 millions de dollars de parts de Cominar sur faiblesse des cours. La part de Cominar se vend à 7,20 $. Il faut reculer plus de 20 ans pour voir la part de Cominar se vendre à vil prix. La Caisse de dépôt détient 8,5 millions de parts, soit un peu moins de 5 % des parts en circulation. La famille Dallaire en détenait 9 millions à la fin de 2017. On ignore combien il lui reste de parts aujourd’hui. Refinitiv ne la recense pas dans les principaux actionnaires. Objet de fierté Propriétaire de Place Alexis Nihon, de la gare Centrale et du Mail Champlain, Cominar est l’un des plus importants fonds de placement immobilier diversifiés du Canada. Elle détient 315 immeubles de bureaux, des centres commerciaux et des entrepôts d’une superficie de 35,9 millions de pieds carrés et d’une valeur de 6,6 milliards. Les immeubles sont situés dans les régions de Montréal, de Québec et d’Ottawa. Longtemps objet de fierté pour les Québécois qui travaillent en immobilier, Cominar se porte mal depuis des années. Le prix de la part a atteint son sommet il y a huit ans déjà. La fin du règne de Michel Dallaire, en poste de 2005 jusqu’à ce qu’on lui montre la porte en 2017, a été marquée par une certaine complaisance. En 2014, on écrivait que le conseil des fiduciaires comptait deux membres qui avaient plus de 75 ans, dont le président qui avait alors 89 ans. Quatre de ses neuf membres siégeaient au conseil de Cominar depuis 16 ans. Cominar s’est trouvée endettée au moment où les fermetures des magasins Target et Sears sont survenues. Ses revenus nets d’exploitation ont glissé pendant une longue succession de trimestres. Sylvain Cossette, qui a remplacé Michel Dallaire au début de 2018, a mis en place un plan de restructuration qui avait commencé à montrer des signes encourageants quand la pandémie est venue terrasser le convalescent. Courant après ses loyers et devant absorber une baisse de la juste valeur de son portefeuille de 331 millions au deuxième trimestre, Cominar a dû se résoudre à réduire sa distribution en août. C’est la troisième fois depuis août 2014 que le FPI réduit la rémunération versée aux détenteurs de parts. En août 2014, elle versait 12,25 cents par part chaque mois. En septembre, elle va leur verser 3 cents. Le processus de révision stratégique sera supervisé par des administrateurs indépendants, soit Luc Bachand, Paul Campbell, Mitchell Cohen, Zachary George et Karen Laflamme. Financière Banque Nationale et BMO agissent à titre de conseillers financiers.
  2. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-09-17/montreal-et-longueuil/la-chambre-de-commerce-veut-des-tramways.php Montréal et Longueuil : La Chambre de commerce veut des tramways ILLUSTRATION FOURNIE PAR LA VILLE DE LONGUEUIL Le projet de tramway LÉEO, à Longueuil, – qui desservirait la future station Panama du REM – est cité par la Chambre de commerce. La Chambre de commerce veut des tramways à Montréal et à Longueuil pour faciliter la vie des travailleurs de plus en plus nombreux à travailler en dehors du centre-ville. Publié le 17 septembre 2020 à 5h00 PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD LA PRESSE Une étude publiée ce jeudi par l’organisation pointe les frustrations de ceux qui ne peuvent compter sur les transports en commun parce que leur lieu de travail excentré est mal desservi et qui doivent se frotter chaque jour à la congestion routière. Parmi les « pistes de solution » que le document cible se trouve le prolongement de la ligne bleue vers Anjou, mais aussi la mise en chantier de « transport collectif électrique [lignes de bus et tramway] » à Montréal et le « projet tramway est-ouest (LÉEO) à Longueuil ». Cette dernière idée, annoncée en février dernier par la mairesse Sylvie Parent, n’a pas encore reçu le feu vert initial de Québec. « Les gouvernements ont un rôle à jouer pour améliorer la desserte de transport collectif dans les pôles d’emploi moins bien desservis », explique la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM). « À cet égard, l’amorce rapide de plusieurs projets du Plan québécois des infrastructures 2020-2030 (PQI) du gouvernement du Québec sera déterminante pour améliorer l’état du transport collectif dans les pôles d’emploi hors centre-ville. » Le document pose l’hypothèse qu’avec l’exode vers la banlieue qui se poursuit et la multiplication des pôles économiques excentrés, la congestion et la frustration qu’elle génère iront croissant. Vaste insatisfaction sur la mobilité L’organisation a sondé un millier de travailleurs de la région pour en arriver à un constat frappant : les trois quarts de ceux qui travaillent au centre-ville utilisent les transports en commun, mais les trois quarts de ceux qui travaillent ailleurs utilisent l’automobile. Ces derniers se plaignent à la fois de la congestion et du manque de solutions de rechange. « Plus de 80 % des travailleurs montréalais ressentent des effets négatifs de la congestion routière et [ou] d’une desserte en transport en commun non optimale », conclut le coup de sonde. « Quarante et un pour cent des travailleurs montréalais ressentent des effets négatifs dans leur vie personnelle/familiale » et « un tiers des travailleurs montréalais ressentent des effets négatifs dans leur vie professionnelle ». Concrètement, « 14 % des travailleurs sondés ont indiqué arriver en retard au travail plus d’une fois par semaine et 23 % ont des retards occasionnels [c’est-à-dire une à trois fois par mois] ». Sur le plan des solutions à l’échelle de chaque entreprise, les travailleurs aimeraient se voir offrir des accommodements, comme des horaires de travail flexibles afin d’éviter l’heure de pointe, ainsi que la capacité de télétravailler. Certains voudraient aussi que leur employeur leur offre leurs titres de transport en commun ou ouvre des bureaux satellites pour raccourcir leur trajet. « Quatre-vingt-sept pour cent des entreprises du Grand Montréal ont lancé au moins une initiative pour améliorer la mobilité de leurs employés », avance le document, sur la base d’entrevues effectuées avec 500 employeurs. Les deux solutions préférées des travailleurs, soit la flexibilité des horaires et la possibilité de travailler à distance, sont « les mesures les plus fréquemment mises en place par les employeurs ». La collecte des données a été effectuée en février dernier, avant que la pandémie de COVID-19 transforme le quotidien de tout un chacun, mais ses conclusions demeurent pertinentes, plaide la CCMM. La crise a « le potentiel d’accentuer les entraves à la mobilité, puisque des usagers des transports en commun pourraient être tentés de privilégier l’utilisation de la voiture étant donné les risques de contamination, ce qui intensifierait la congestion routière », selon l’étude. Le télétravail est aussi impossible pour de nombreux emplois concentrés dans des parcs industriels auxquels l’accès en transports en commun est déjà difficile, ajoute-t-elle.
  3. https://journalmetro.com/local/lachine-dorval/2520139/marina-nouveaux-appuis/ Marina de Lachine: nouveaux appuis 11:26 16 septembre 2020 | mise à jour le: 16 septembre 2020 à 12:52 temps de lecture: 3 minutes Par: Éric Martel Métro Photo: Éric Martel La marina de Lachine sera reconvertie en parc en 2025. Le ton monte quant à l’avenir de la marina de Lachine: alors que des manifestations s’organisent, le mouvement Réclame ta rive gagne de nouveaux appuis, tout comme l’Association des plaisanciers formée depuis l’annonce de la transformation en parc. Dans une vidéo révélée récemment, des citoyens, des entrepreneurs et gestionnaires d’associations nautiques s’affichent en faveur du projet. Il en va de même du fils de l’ex-maire Guy Descary, Benoit, qui habite à Lachine depuis sa naissance. M. Descary est entré au pouvoir en 1973, jusqu’à son décès, en 1991. «Je ne peux pas parler pour mon père, mais le projet va dans la continuité de ce qu’il a fait pour les berges de Lachine, de prioriser l’ensemble des citoyens», commente son héritier. Avec des moyens limités par la pandémie, l’arrondissement doit prioriser les projets qui touchent le plus grand nombre de citoyens, opine-t-il, et ce, au détriment de l’histoire de la marina. «On ne parle pas assez de l’impact économique qu’aura le changement en parc, expose le stratège numérique. Un nouvel afflux de visiteurs parcourra les rues Notre-Dame et le boulevard Saint-Joseph.» La Fondation environnementale pancanadienne David Suzuki a également affiché son soutien au mouvement sur les réseaux sociaux, incitant les citoyens à se joindre à une manifestation prévue samedi. «Ce qui se passe pour nous est vraiment excitant, comme la porte-parole de Réclame ta rive, Marie-Ève Bégin. On savait que mobiliser les gens allait être un défi, mais on sent qu’on y parvient.» Pour sa part, l’Association des plaisanciers a déjà organisé deux manifestations, en plus de s’être inscrite au registre des lobbyistes du Québec. «On trouve que leur discours est contradictoire, parce qu’ils disent qu’ils ne sont pas privilégiés, mais investissent énormément dans leurs communications», soulève Mme Bégin. Influence économique En revanche, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain souhaite l’annulation du projet. Créer un parc riverain permettant le maintien des activités économiques de la marina serait idéal, indique-t-on. «Sachant que le nombre de séjours touristiques des navigateurs de plaisance tend à croître, autant sur le marché québécois que sur les marchés hors Québec, nous croyons que la Ville devrait miser sur cet atout», a revendiqué son président Michel Leblanc dans une lettre ouverte. Une consultation publique devrait être tenue avant une décision finale, ajoute-t-on. La Chambre de commerce de Saint-Laurent – Mont-Royal a également manifesté son soutien. «Nous ne pouvons que constater que l’administration Plante se montre, encore une fois, sourde à des pistes de solutions visant la résolution de problèmes», a fustigé son président, Kelvin M. Mo. Lundi, l’association a organisé une marche pacifique partant du port de plaisance jusqu’à l’hôtel de ville de Lachine. Première manifestation Samedi, Réclame ta rive invite les citoyens à se mouiller dans le Canal Lachine, près de la promenade Père-Marquette. Il s’agit du premier rassemblement organisé par le mouvement. «C’est rare de voir des gens manifester pour la tenue d’un projet, admet Mme Bégin. Mais on veut envoyer un message à la ville, leur dire que les citoyens sont d’accord, qu’on veut retrouver l’accès à nos berges.» Plus de 300 personnes se sont montrées intéressées à l’événement sur les réseaux sociaux.
  4. Photo de l'oeuvre d'art public de Ludovic Boney entre les Pavillons D et E Via la page FB de FM Guide MTL Œuvre « Réaction en chaîne » - Ludovic Boney, 2020. 📍Située dans un parc entre le nouveau pavillon D et le pavillon E (Maison des étudiants) du campus de @etsmtl, au sud de la rue Notre-Dame Ouest, entre les rues Murray et Eleanor. L’installation, entièrement réalisée en aluminium, évoque la précision des mécanismes d’ingénierie, la rigueur de l’approche scientifique d’une école de technologies et la logique de séquences qui se répètent. Entre sculpture et mobilier urbain, l'œuvre parvient à habiter le lieu et à l'exploiter tout en invitant le spectateur à se l'approprier. La portion piétonne de la rue Murray est aussi une belle réussite. Au cours des prochaines semaines, @etsmtl annoncera les détails du processus de consultation qu'elle entend mettre sur pied dans le but de désigner un nom au parc dans lequel se trouve cette œuvre d'art.
  5. https://rem.info/fr/info-travaux/poutres-tablier-rue-bridge Entraves à la circulation sur la rue Bridge – Installation des poutres et tablier de la structure aérienne ROUTIÈRE À partir du 20 septembre pour environ 4 semaines*De nuit, de 21h à 5h ** Centre-ville Nature des travaux La construction de la structure aérienne du Réseau express métropolitain (REM) se poursuit à Pointe-Saint-Charles. La prochaine étape consiste à installer les poutres et le tablier au-dessus de la rue Bridge. Impacts et mesures d’atténuation Plusieurs entraves à la circulation sont prévues dans le cadre de ces travaux : La circulation sera complètement fermée sur une portion de la rue Bridge les nuits des dimanches aux mardis, lors de quatre semaines consécutives. Une circulation locale sera autorisée, entre la rue Wellington et la rue Mill, pour maintenir les accès aux riverains du secteur. Du mercredi au vendredi de nuit, une circulation en alternance sera mise en place lors de cette période. La signalisation adéquate sera installée et indiquera le chemin de détour proposé. Du bruit sera engendré par ces travaux. Afin d’assurer le respect des critères de bruit et de qualité de l’air auxquels le projet est assujetti, un suivi sera effectué par des experts en environnement. Des mesures d’atténuation complémentaires pourront être mises en place au besoin. La carte suivante présente le chemin de détour prévu lors des fermetures complètes: * Dates sujettes à changement en fonction des conditions météorologiques. ** La plage horaire prévoit des travaux de 21h à 5h. Toutefois, en raison de la nature des travaux, ceux-ci ne peuvent être interrompus en cours d’exécution et doivent être complétés afin d’assurer l’intégrité des infrastructures existantes. Si cette situation se présente, la plage horaire sera prolongée pour finaliser les travaux entamés.
  6. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-09-16/baisse-de-92-de-la-frequentation-du-centre-ville-de-montreal.php Baisse de 92 % de la fréquentation du centre-ville de Montréal PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LAPRESSE « On a quand même un écart majeur pour ce qui est de faire rouler l’économie du centre-ville, quand on pense aux commerces, aux restaurants, aux attraits touristiques », a souligné Véronique Doucet, directrice du Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui a présenté ces données mercredi matin aux élus du comité exécutif. Déserté par les travailleurs depuis le début de la pandémie de COVID-19, le centre-ville de Montréal est fréquenté par seulement 50 000 personnes actuellement, alors que ce nombre est habituellement de 600 000. D’ici la fin de l’année, la fréquentation pourrait augmenter à 125 000. Publié le 16 septembre 2020 à 9h45 ISABELLE DUCAS LA PRESSE « On a quand même un écart majeur pour ce qui est de faire rouler l’économie du centre-ville, quand on pense aux commerces, aux restaurants, aux attraits touristiques », a souligné Véronique Doucet, directrice du Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui a présenté ces données mercredi matin aux élus du comité exécutif. Après le choc du confinement du printemps dernier, l’activité économique a bien repris dans plusieurs secteurs, mais le centre-ville risque d’avoir de la difficulté à se relever, a souligné Luc Rabouin, maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal et responsable du développement économique au comité exécutif, qui souhaite un maintien de l’aide publique. « On a un grand défi devant nous », a prévenu M. Rabouin. « Même si on atteignait 25 % des emplois dans les tours à bureaux, on est loin de ce que le centre-ville a besoin pour être en situation de vitalité économique, donc ça va prendre encore pendant un bon bout de temps de l’aide publique pour arriver à soutenir les secteurs les plus touchés, comme le commerce de détail, la restauration, l’hébergement touristique, l’économie sociale et les industries culturelles. » « Montréal est la ville la plus touchée au Canada par la pandémie, et Montréal a besoin d’aide. On ne peut pas retirer toute l’aide gouvernementale des secteurs les plus touchés, par exemple l’aide au loyer commercial ou le soutien salarial. » Les hôtels du centre-ville souffrent particulièrement de la crise. Les 235 services d’hébergement du secteur ont un taux d’activité de seulement 5 à 10 %, indiquent les chiffres dévoilés par Véronique Doucet. « On aura besoin de plusieurs années avant que l’économie revienne au niveau où elle était, et qu’on arrive à réintégrer l’ensemble des travailleurs sur le marché du travail », dit Mme Doucet.
  7. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1733806/port-plaisance-montreal-arrondissement-lachine Plus qu'un mois d'ici la fermeture définitive de la marina de Lachine Les plaisanciers continuent de se battre pour forcer la Ville de Montréal à reculer. Les plaisanciers affirment que la seule présence de la marina entraîne des retombées économiques directes et indirectes de 10 millions de dollars par année à Lachine. La mairesse de l'arrondissement, Maja Vodanovic, affirme pour sa part que cette estimation est exagérée. PHOTO : RADIO-CANADA Jérôme Labbé Publié à 3 h 57 La pression s'accentue sur l'administration Plante pour que le plus grand port de plaisance au Québec, qui doit théoriquement être converti en parc riverain, poursuive ses activités l'an prochain. Mais Projet Montréal compte aussi sur de nouveaux alliés. C'est que depuis un peu plus de deux mois, les plaisanciers de la marina de Lachine sont en guerre ouverte avec Valérie Plante, son comité exécutif et la mairesse de l'arrondissement, Maja Vodanovic, pour convaincre ceux-ci de renoncer à leur projet. À moins d'un revirement, le port de plaisance devrait donc disparaître pour de bon à la fin de la saison, le 15 octobre. La marina serait remplacée d'ici 2025 par un parc riverain qui ferait la part belle aux sports nautiques non motorisés comme le canoë, le kayak, l'aviron et la voile. Une aire de baignade pourrait même y être aménagée. À un mois de la fermeture annoncée, des centaines de personnes – la plupart masquées, pandémie oblige – ont donc marché du port de plaisance à la mairie d'arrondissement, en fin de journée lundi, pour faire entendre leur profond mécontentement et réclamer un sursis. Après un premier rassemblement, le mois dernier, devant l'hôtel de ville temporaire de Montréal, c'était la seconde fois que les plaisanciers et leurs sympathisants manifestaient haut et fort pour le maintien de la marina de Lachine. Les pancartes brandies n'étaient pas tendres à l'endroit de l'administration : Mme Valérie Plante, vous n'êtes plus l'homme de la situation; Mme Vodanovic, vous nous manquez de respect; Les mairesses nous coulent; ou même Leader recherché pour défusionner Lachine. Membre du caucus d'Ensemble Montréal, le maire de l'arrondissement de Saint-Laurent, Alan DeSousa, a notamment pris la parole pour rappeler que le parti, qui forme l'opposition officielle au conseil municipal, les appuie dans leurs démarches. L’équipe de Valérie Plante gouverne uniquement pour sa base et est prête à tout pour imposer ses projets idéologiques, sans consultation et sans la moindre ouverture d’esprit pour les gens qui ne pensent pas comme eux. Alan DeSousa, maire de l'arrondissement de Saint-Laurent et membre du caucus d'Ensemble Montréal Au cours des dernières semaines, les plaisanciers ont également reçu de nombreux appuis, dont celui de l'influente Chambre de commerce du Montréal métropolitain et de son président, Michel Leblanc. Les plaisanciers de Lachine ont présenté leur propre maquette de ce à quoi pourrait ressembler le site dans les prochaines années. PHOTO : FACEBOOK (SAUVONS LA MARINA DE LACHINE) Afin de trouver un compromis avec la Ville, l'Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine (APPPL), qui s'est constituée dans les semaines qui ont suivi l'annonce de la fermeture de la marina, a notamment élaboré une esquisse inclusive qui permettrait selon elle de concilier le maintien des installations actuelles avec plusieurs autres usages. Étude à l'appui, l'APPPL minimise également les coûts estimés par les élus de Projet Montréal pour mettre à niveau les équipements. Une telle opération, prétend-elle, ne coûterait pas 16,5 millions de dollars, comme l'a estimé l'administration Plante. On a fait des contre-expertises avec des ingénieurs civils et des entrepreneurs en construction et on arrive à 5,3 millions, dont 3,1 millions pour la réfection des berges, a expliqué jeudi la porte-parole de l'APPPL, Josée Côté. Et on a proposé aussi de payer davantage pour nos frais de quai afin de s'assurer que ce ne soit pas un fardeau pour les contribuables. Un appui citoyen au projet de parc À l'inverse, des résidents se sont aussi mobilisés au cours des dernières semaines pour soutenir l'administration Plante dans son projet de conversion du port de plaisance en un parc riverain. Le collectif « Réclame ta rive » a été mis sur pied en réponse à la mobilisation des plaisanciers. Outre la démocratisation de l’accès aux rives, il revendique la protection de l’environnement et l’équité en matière de dépenses des fonds publics. Pour promouvoir son option, le groupe organise samedi prochain un événement intitulé « Ensemble, on se mouille pour nos rives! » au cours duquel les participants seront appelés à sauter à l'eau pour manifester leur appui au projet de parc nautique public. « Réclame ta rive » a reçu jusqu'à maintenant le soutien du Conseil régional de l'environnement de Montréal, de la Fondation Rivières, de la Fondation David Suzuki, de la WWF-Canada et d'autres groupes similaires. Le contrat d'opération résilié Forts de cet appui – et malgré l'opposition bruyante des plaisanciers –, la Ville de Montréal et l'arrondissement de Lachine se montrent résolus dans leur volonté de fermer la marina pour de bon, dans un mois. À cet effet, le conseil d'arrondissement a résilié lors de sa réunion de lundi soir le contrat qui le liait à l'opérateur du site, l'entreprise Gestion Nauti-Cités, qui devait venir à échéance à la fin de la saison prochaine. Seule la conseillère du district du Canal, Julie-Pascale Provost, a voté contre, elle qui est pourtant membre du caucus de Projet Montréal. Je suis déçue que la conseillère, dans son indécision, ait remis en question la compétence, la rigueur et la disponibilité des professionnels de la Ville, a déclaré la mairesse Vodanovic après la rencontre. « C'est une décision difficile, mais nécessaire pour le bien commun et je tiens à saluer mes collègues qui se sont joints à moi. » — Maja Vodanovic, mairesse de l'arrondissement de Lachine En entrevue avec Patrice Roy, lundi, Mme Vodanovic a montré un peu d'ouverture pour la suite des choses, évoquant la création éventuelle d'une marina locale, qui pourrait accueillir de 60 à 100 bateaux dans le Vieux-Lachine. Il sera toutefois impossible de garder sur place les 450 embarcations qui s'y trouvent actuellement, a-t-elle réitéré. La fermeture annoncée pourrait néanmoins se heurter à des formalités techniques, le retrait des équipements devant être approuvé par Transports Canada. Or, le ministère a appris dans les médias que la Ville de Montréal entendait abandonner les installations actuelles et, selon La Presse, aucune demande à cet effet n'avait été reçue en date du 9 septembre. Au Téléjournal 18h (vidéo Facebook)
  8. Ça fait quelques mois qu'ils sont là Les magazines d'architecture ont parlé de leur aménagement L'aménagement est par ACDF https://www.e-architect.co.uk/montreal/autodesk-offices-in-griffintown-montreal Ils sont au niveau 3 https://www.canadianinteriors.com/2019/07/25/autodesk-office-montreal/ https://www.azuremagazine.com/article/autodesk-montreal-office-acdf-architects/ https://www.luxurious-studio.com/acdf-architecture-unveils-new-autodesk-offices-in-griffintown-montreal
  9. J'ai regardé dans le registre foncier. Les terrains appartiennent à Mondev...
  10. Dans des documents de la CSDM/CSSDM, il était déjà question d'une 2e école primaire dans le quartier, car une école ne serait pas assez. Mais je suis d'accord que la CSSDM ou la Ville de Montréal devrait acheter ces terrains pour y offir des services à la communauté (école, bibliothèque, centre culturel, centre sportif, CLSC, etc.)
  11. Il y a un projet de construction pour le stationnement Au point 40.19 de l'ordre du jour du conseil d'arrondissement http://ville.montreal.qc.ca/sel/adi-public/afficherpdf/fichier.pdf?typeDoc=odj&doc=11958 Adoption d'un projet particulier de construction et d’occupation d'un immeuble pour le lot portant le no 1 381 080 situé au 2560, rue Saint-Patrick. Contexte: Le site est localisé dans le nord du quartier de Pointe-Saint-Charlesdu côté sud de la rue Saint-Patrick, près de la rue Charlevoix. D’unesuperficie de 2612 m2, le site correspondant au lot no 1 381 080, est actuellement vacant. Il était auparavant occupé par le stationnement du restaurant Magnan. Le terrain est adjacent à la station-service située à l'angle des rues Saint-Patrick et Charlevoix. Projet: Leprojet vise la construction d’un immeuble résidentiel de 6 étages avec une occupation commerciale au rez-de-chaussée et une mezzanine au toit. Le bâtiment est implanté en « L » en plus de proposer des maisons de ville du côté de la rue Augustin-Cantin.
  12. https://www.ledevoir.com/societe/585893/etalement-urbain-un-futur-plus-dense-sans-voitures À Montréal, un futur plus dense, sans voitures Photo: iStock Dans ce «scénario optimal», la grande région de Montréal accueille en 2061 environ 5,2 millions d’habitants (contre 4,1 millions selon le recensement de 2016). Annabelle Caillou 14 septembre 2020 Société Des villes denses, quasi sans voitures, où le télétravail est devenu la norme : voilà à quoi devrait ressembler la grande région de Montréal en 2061 si l’on veut espérer réduire les conséquences sanitaires et environnementales des transports, selon des chercheurs. Si la pandémie a permis d’adopter massivement le télétravail nous rapprochant de ce « scénario optimal », elle nous en éloigne aussi en favorisant l’étalement urbain. « L’important, c’est de limiter les distances que les individus pourraient parcourir en voiture, et surtout limiter le nombre de voitures en favorisant d’autres moyens de se déplacer. C’est vraiment le nerf de la guerre », dit Audrey Smargiassi, professeure à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Avec un groupe de chercheurs canadiens et américains, elle a réalisé une étude interdisciplinaire — publiée cet été dans la revue Environmental Research — qui imagine à quoi pourraient ressembler Montréal et les municipalités de sa première et deuxième couronne dans 40 ans. En jouant avec différents facteurs, ils ont modélisé plusieurs scénarios dans le but de trouver celui qui s’approche le plus d’une ville durable, c’est-à-dire aux conséquences sanitaires et environnementales limitées. Dans ce « scénario optimal », la grande région de Montréal accueille en 2061 environ 5,2 millions d’habitants (contre 4,1 millions selon le recensement de 2016). Ils résident dans des quartiers densément peuplés, qui restent toutefois à échelle humaine grâce à une panoplie de services de proximité. La grande majorité des personnes ont délaissé la voiture pour lui préférer — et de loin — la marche, le vélo ou encore le transport en commun, dont l’offre a explosé. Réseau express métropolitain (REM), ligne rose, prolongement des lignes bleu et orange, tramway : tous les projets sur la table ont été ajoutés dans ce scénario du futur. Mais puisque le télétravail y est devenu la norme, les déplacements urbains restent limités. Résultats : moins de voitures sur les routes, moins de blessures causées par des accidents, moins d’émissions de gaz à effet de serre et donc moins de maladies liées à la pollution. « Les traumatismes routiers — les accidents avec les piétons et les cyclistes surtout — ainsi que la pollution de l’air sont les plus importants problèmes de santé découlant des transports. Des problèmes liés à l’utilisation de l’automobile. Dans notre scénario optimal qui limite les déplacements motorisés, on a observé jusqu’à 40 % de réduction de ces impacts négatifs [comparé au scénario de base dans lequel on ne change rien à la situation avant pandémie] », souligne Audrey Smargiassi. À l’inverse, les transports actifs améliorent la santé des individus en maintenant leur bonne santé cardiovasculaire et en réduisant le risque de diabète, de cancer du sein et de cancer colorectal, précise l’étude. « C’est sûr que le télétravail implique moins d’activité physique au quotidien. Mais les effets bénéfiques sur la santé restent plus importants avec ce modèle. Le télétravail change beaucoup de choses », poursuit la chercheuse. Télétravail Et si miser autant sur le facteur « télétravail » était une idée « farfelue » au moment de leurs recherches, avant la pandémie, ce dernier s’est imposé dans la vie de bien des Québécois comme une nouvelle normalité dans les derniers mois. « On a fait un pas de géant avec la pandémie. Jamais on n’aurait imaginé pouvoir atteindre un taux de télétravail aussi élevé et aussi rapidement il y a encore six mois », se réjouit pour sa part la titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal, Catherine Morency, qui a aussi travaillé sur cette étude. À ses yeux, la pandémie a permis de nous rapprocher de ce « scénario optimal » en imposant un changement considérable dans nos habitudes de travail. Et d’après les plus récents sondages, les Québécois ne sont pas pressés de retrouver leur ancien bureau. Selon un coup de sonde d’ADP Canada, une firme spécialisée en gestion de ressources humaines, près de six Québécois sur dix (59 %) préféreraient travailler à distance au moins trois jours par semaine à l’avenir. « Les traumatismes routiers — les accidents avec les piétons et les cyclistes surtout — ainsi que la pollution de l’air sont les plus importants problèmes de santé découlant des transports. Des problèmes liés à l’utilisation de l’automobile. Dans notre scénario optimal qui limite les déplacements motorisés, on a observé jusqu’à 40 % de réduction de ces impacts négatifs. »— Audrey Smargiassi Mais contre toute attente, le télétravail a aussi induit un effet pervers auquel les chercheurs ne s’attendaient pas : l’exode vers les régions et donc l’étalement urbain. Ayant la possibilité de travailler de la maison, nombre de personnes y ont vu l’occasion de chercher un logement plus grand et plus proche de la nature. Selon les calculs de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec, il y a eu 41 % de transactions de plus entre juin et août dans les régions qui entourent la métropole, contre une hausse de seulement 20 % dans la métropole. « Le risque avec l’étalement urbain, c’est que ça s’accompagne de la dépendance à l’auto, note Catherine Morency. Mais est-ce que les gens achètent une deuxième résidence, un chalet, pour s’évader les fins de semaine, ou est-ce un vrai déménagement ailleurs ? Il va falloir surveiller ça. » Retenir les urbains Cette envie de quitter la grande ville témoigne, selon elle, de l’incapacité du milieu urbain à répondre aux besoins des citoyens en temps de pandémie. Il faut ramener la nature en ville et rendre les logements plus abordables, suggère notamment la chercheuse. Mais le plus important est de décourager l’utilisation de l’automobile et, pour le moment, peu de choses sont mises en place « pour sortir quelqu’un de son auto ». Le gouvernement devrait se montrer « moins permissif » en taxant davantage l’essence, les grosses voitures, l’immatriculation, donne-t-elle en exemple. Et en contrepartie, il faut offrir plus de substituts à la voiture en améliorant l’offre de services en transport collectif. Un « rééquilibrage de l’espace » est aussi nécessaire pour décourager les déplacements motorisés. « En implantant le télétravail, on retire certes beaucoup de voitures sur les routes, mais on rend aussi l’utilisation de l’automobile plus attrayante puisqu’il y a moins de congestion. Il faut inverser la tendance, faire des rues piétonnes, des rues partagées, plus de pistes cyclables. On crée alors des milieux de vie plus agréables. »
  13. Comme rapporté par @slanctot, le terrain est à vendre! « 2 lots adjacents à vendre à Griffintown (1852845 & 1853440).Lots de forme rectangulaire permettant une efficacité de développement maximale.Terrains de 22 000 pieds carrés idéal pour redéveloppement.À quelques pas de nombreux restaurants, épiceries, banques et pharmacies. 6 minutes à pied du nouveau station REM Griffintown-Bernard-Landry et ÉTS. » CGA/Lachance immobilier ne doit pas avoir réussi à faire changer l'usage prescrit dans le PPU. Pas d'habitation là (H) Ou ils ont besoin de liquidités Il y a un erreur dans l'annonce, le lot 1 852 845 ne va pas jusqu'à la rue Ottawa. Il s'arrête à la limite des bâtiments. Le stationnement appartient à la CSSDM.
  14. le lot 1852845 est le terrain de l'ancienne St. Ann nursery... CGA/Lachance immobilier voulait y développer l'Éleanor 7, un genre d'hôtel-appartements comme l'hôtel Griffintown, mais ce n'est pas zoné pour un usage d'habitation (ni dans le PPU) Il y a un erreur dans l'annonce, le lot 1 852 845 ne va pas jusqu'à la rue Ottawa. Il s'arrête à la limite des bâtiments. Le stationnement appartient à la CSSDM.
  15. À partir du Carré de la Montagne 2020-09-12
  16. Sergakis veut y développer un projet https://journalmetro.com/local/lachine-dorval/2512911/deuxieme-tentative-de-projet-au-rond-point-dorval/ Deuxième tentative de projet au rond-point Dorval 17:57 11 septembre 2020 | mise à jour le: 11 septembre 2020 à 17:57 temps de lecture: 4 minutes Par: Éric Martel Photo: Éric Martel Le projet sera situé sur le site de l’ancien commerce d’équipement marina Boathouse (724, boul. Montréal-Toronto), et nécessitera sa démolition. Un projet résidentiel voit le jour dans le rond-point Dorval, près de l’avenue Mimosa. Par le biais d’un référendum, les citoyens se sont opposés à la construction d’une résidence pour personnes âgées au même endroit l’an dernier. Orchestré par Placements Sergakis, le projet prévoit l’aménagement de 175 logements locatifs d’une à trois chambres dans un immeuble pouvant atteindre 11 étages. La tour remplacera l’ancien magasin d’équipement nautique Boathouse. Le développement dans ce secteur est envisagé depuis l’année dernière. «M. Sergakis souhaite contribuer à revitaliser le rond-point Dorval avec un projet de qualité qui contribuera à sa communauté», a expliqué le directeur de Ryan relations publiques, Glenn Castanheira. L’immeuble contiendra une piscine, un gymnase ainsi que des salles de réception. Un stationnement intérieur comprendra 210 espaces. Consultation citoyenne Le promoteur assure avoir consulté le voisinage en aval. Des discussions auraient lieu depuis février, menant à deux consultations officielles qui n’ont pas été rendues publiques. C’est seulement après ce dialogue qu’une proposition a été faite à la Cité. «Ces consultations nous ont permis de bonifier considérablement le projet initial afin d’en améliorer l’intégration et la cohabitation avec le voisinage», explique M. Castanheira. Dans la nouvelle mouture, tous les accès et points de services réservés aux citoyens de l’immeuble ont été placés à l’avant de l’immeuble afin d’assurer la quiétude du voisinage qui demeure à l’arrière. Une gradation de 4 à 11 étages a également été privilégiée afin de favoriser l’ensoleillement. Des bandes végétalisées seront installées dans le but de préserver l’intimité des voisins. L’avenue Cloverdale, qui se trouve derrière le projet, sera réaménagée afin de permettre des demi-tours. Ainsi, les automobilistes n’auront pas à empiéter les propriétés privées pour rebrousser chemin lorsqu’ils empruntent ce cul-de-sac. Une consultation citoyenne, lors de laquelle Placement Sergakis détaillera le projet, se tiendra le 14 septembre. Toutefois, ce ne sont que les résidents du quartier qui y seront conviés par respect des mesures de distanciation physique. Aînés Un changement de zonage sera nécessaire pour permettre les logements multifamiliaux. La hauteur minimale permise pour les bâtiments devra également passer de 3 à 11 étages. L’an dernier, un référendum avait permis aux citoyens de s’opposer à la construction d’une résidence pour personnes âgées dans le même secteur. D’une hauteur de 12 étages, la résidence devait compter 238 unités. Les Dorvalois craignaient notamment que la construction crée de l’achalandage dans le secteur, ainsi que de l’ombrage au quartier résidentiel. «Personnellement, je trouvais que c’était un projet intéressant, se remémore le maire Edgar Rouleau. Mais les citoyens ont parlé et je crois aux processus d’opposition en place.» Aucun logement pour personnes âgées n’est prévu dans le nouveau projet. «Je l’ai répété souvent lors des dernières années, on doit avoir plus de place pour nos aînés à Dorval», plaide M. Rouleau. Une habitation à loyer modérée (HLM) doit être inaugurée dans l’emplacement de l’ancien Centre Elizabeth Russell de l’avenue Dawson. Une demande de subvention a été adressée au gouvernement du Québec à ce sujet. Sinon, le maire assure que des unités seront réservées pour les personnes âgées dans le développement immobilier à venir aux Jardins Dorval, situé à l’angle des avenues Carson et Louise-Lamy. Le promoteur North American apporte toutefois un bémol. «On aimerait avoir une résidence pour personnes âgées aux Jardins Dorval, mais pour cela, on doit trouver un partenaire, parce que nous n’avons pas les compétences pour la gérer», rappelle le vice-président de la firme de relations publiques National, Pierre Guillaut-Hurtubise, affilié au promoteur. Le zonage d’une portion du projet des Jardins Dorval fait présentement l’objet d’une demande de scrutin référendaire.
  17. On peut voir l'antenne rapetisser à environ 30 secondes du timelapse de la Devisubox du projet Peel https://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&sRef=6FZZHDJSR Timelapse --> http://www.devisubox.com/dv/player.php?id=CX8KXY2IS&lang=en (il faut activer les sous-titres pour voir la date et heure des photos)
  18. Pub de de Devimco au bas de cette page 😅 Comme d'autres l'ont dit, ce n'est pas tout à fait ça en réalité 🙃
  19. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1732989/pandemie-palais-des-congres-montreal-relance-activites Pandémie oblige, le Palais des congrès se réinvente Les annulations d'événements équivalent à des pertes de retombées économiques de 150 M$. Durement touché par la pandémie, le Palais des congrès de Montréal tente de relancer ses activités cet automne. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Radio-Canada Avec les informations de Jacques Bissonnet Publié à 2 h 04 Frappé de plein fouet par la pandémie de COVID-19 – tous les événements qui devaient avoir lieu cette année ont été annulés –, le Palais des congrès de Montréal tente de relancer ses activités en proposant de nouvelles offres aux entreprises. À la faveur de l'autorisation de la tenue de rassemblements pouvant aller jusqu'à 250 personnes, le Palais des congrès de Montréal offre ses salles réaménagées pour respecter les mesures de distanciation. Le Palais de congrès propose notamment la location de studios de différentes tailles pour réaliser des vidéoconférences, une pratique qui s’est généralisée depuis le début de la pandémie. L'environnement des lieux change aussi. De nouvelles couleurs, des bornes sanitaires qui diffusent également un parfum d'ambiance, des expositions de tableaux de peintres québécois, un chalet pour la détente et même des pauses santé. Le Palais des congrès de Montréal présente ses nouveautés pour l'automne, après des mois de pause en raison de la pandémie de COVID-19. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Le Palais des congrès accueille de 45 à 50 événements annuellement, en grande majorité des congrès nationaux et internationaux. Leur annulation a entraîné d’importantes pertes financières. « C’est des retombées touristiques énormes. On parle de plus ou moins 150 millions de dollars de retombées touristiques perdues. » — Luc Charbonneau, directeur du développement affaires et des alliances stratégiques, Palais des congrès de Montréal Cependant, M. Charbonneau explique que les organisateurs des événements ont accepté de reporter à des dates alternatives en 2022, 2023 et jusqu’en 2027 leur événement au Palais des congrès de Montréal. Avec cette nouvelle offre de service, le Palais de congrès souhaite devenir en plus à l'avenir une plaque tournante où se tiendraient des événements qui pourront être diffusés partout dans le monde. « Des délégués canadiens se réuniraient ici au Palais des congrès et qui participeraient à un événement international qui se déroulerait à Sydney, à Washington et à Paris en même temps », a expliqué M. Charbonneau. « Il y a quelques associations qui parlent d’une formule hybride comme celle-là », a-t-il ajouté.
  20. Sur le site Web de Provencher-Roy, un close-up de la façade sur Saint-Laurent
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