Aller au contenu

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Travaux commencent aujourd'hui https://rem.info/fr/info-travaux/demolition-voute-tunnel-mont-royal-mcgill Démolition de la voûte du tunnel Mont-Royal pour la construction de la station McGill ACTIVITÉS CHANTIER À partir du 8 septembre, pour environ 2 moisDe jour et de nuit* Centre-ville Nature des travaux Débutée au printemps 2019, l’excavation de l’avenue McGill College s’achèvera cet été avec la démolition de la voûte du tunnel Mont-Royal, dans lequel circulera le REM. Cette étape permettra ensuite d’amorcer les travaux de construction de la future station McGill du REM. Coupe schématique du tunnel Mont-Royal, à titre indicatif Impacts et mesures d’atténuation Du bruit important, des vibrations et de la poussière seront engendrés par ces travaux. Afin d’assurer le respect des critères de bruit et de qualité de l’air auxquels le projet est assujetti, un suivi sera effectué par des experts en environnement. Des mesures d’atténuation pourront être ajoutées au besoin, en complément de celles déjà en place. Des travaux de nuit et de fin de semaine pourraient survenir. Du camionnage est à prévoir dans le secteur pour l’évacuation des matériaux. La zone de chantier est présentée ci-dessous : * Activités bruyantes concentrées de jour et en soirée. Des travaux préliminaires et subséquents à cette plage horaire pourraient être nécessaires pour l’exécution des travaux et le nettoyage du site.
  2. L'édifice a été mis en vente https://www.lapresse.ca/affaires/2020-09-08/l-un-des-plus-beaux-immeubles-du-centre-ville-est-mis-sur-le-marche.php L’un des plus beaux immeubles du centre-ville est mis sur le marché PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Une fois la transaction complétée, le magasin La Baie restera ouvert et occupera environ 250 000 pieds carrés au rez-de-chaussée, au deuxième étage et au sous-sol. Le prochain maître des lieux est invité à convertir les quelque 400 000 pieds carrés restants en bureaux-lofts, aux étages 3 à 8. Vaisseau amiral de la rue Sainte-Catherine, l’édifice patrimonial abritant le magasin La Baie, face au square Phillips, au centre-ville de Montréal, est mis en vente par le plus vieux détaillant au Canada, a appris La Presse. Publié le 8 septembre 2020 à 7h00 ANDRÉ DUBUC LA PRESSE Que l’on se rassure, le vénérable magasin restera ouvert et occupera environ 250 000 pieds carrés au rez-de-chaussée, au deuxième étage et au sous-sol. Le prochain maître des lieux est invité à convertir les quelque 400 000 pieds carrés restants en bureaux-lofts, aux étages 3 à 8. Ce type de bureaux est prisé par les entreprises de la technologie. Il y a même possibilité d’y ajouter des étages au besoin, si le zonage est modifié en ce sens. Avant la crise sanitaire, le marché des bureaux connaissait ses meilleurs moments à Montréal depuis des lustres. L’essor de l’intelligence artificielle et la croissance des entreprises technos nourrissaient la demande. Dernièrement, les sociétés Microsoft, Apple, Google et Amazon ont toutes les quatre annoncé une expansion de leurs activités dans la région. Au 585, rue Sainte-Catherine Ouest, le bâtiment néo-classique de quatre étages date de 1891. Le bâtiment mitoyen de huit étages a été construit en 1923 dans le style beaux-arts, lit-on dans le document de vente du courtier inscripteur. La portion la plus récente, boulevard De Maisonneuve, érigée en 1964, est d’une facture plus moderne, propice à un « redéveloppement », note la plaquette promotionnelle. Montréal et Vancouver L’agence CBRE a obtenu le mandat. Elle mise sur la localisation avantageuse de l’immeuble montréalais pour mousser l’intérêt des acheteurs potentiels. Directement situé au-dessus de la station de métro McGill, l’une des stations les plus achalandées du système de transport souterrain de la métropole québécoise, le bâtiment plus que centenaire aura aussi un accès direct au Réseau express métropolitain (REM) quand celui-ci entrera en fonction d’ici 2025. En parallèle au mandat du magasin de Montréal, CBRE obtient le contrat du magasin La Baie du centre-ville de Vancouver, au coin des rues Granville et West Georgia, autre bâtiment emblématique des centres-villes canadiens. La Baie avait considéré de vendre le magasin de Vancouver en 2018 au milliardaire chinois Zheng Jianjiang, président du conseil de Ningbo Sanxing Electric, mais la transaction n’avait finalement pas abouti. En choisissant de se défaire de ses biens immobiliers, La Baie emboîte le pas à des détaillants comme Canadian Tire et Loblaws, qui ont décidé de vendre à profit les murs de leurs magasins pour réinvestir l’argent dans leur activité principale, où les défis ne manquent pas, par ailleurs.
  3. L'éditorial de Brian Myles dans Le Devoir ce matin https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/585423/relance-du-centre-ville-de-montreal-des-attentes-irrealistes Des attentes irréalistes Brian Myles 5 septembre 2020 ÉDITORIAL La crise sanitaire a durement frappé le centre-ville de Montréal. Quartier fantôme durant le confinement, il peine à se relever en cette rentrée automnale. Quiconque y travaille ou le fréquente constate que cette zone, si riche en bouillonnement économique, universitaire, culturel et touristique il n’y a pas si longtemps, est devenue morne et fade, au point d’inquiéter la mairesse de Montréal, Valérie Plante, et le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), Michel Leblanc. Ceux-ci ont exhorté cette semaine les grands employeurs à ramener des employés au centre-ville dans un appel à la solidarité. À l’heure actuelle, le taux d’occupation des tours de bureaux du centre-ville est d’environ 5 à 10 % alors que la Santé publique autorise le retour de 25 % du personnel. M. Leblanc et Mme Plante demandent aux employeurs d’apporter leur soutien et de ramener leur personnel. Leur appel a visé en particulier les acteurs institutionnels du secteur public, qui devraient prêcher par l’exemple. Le gouvernement Legault s’est rangé derrière eux, en invitant les employeurs qui le peuvent à ramener leur personnel au centre-ville. Il en va de la vitalité économique de la métropole, nous dit-on. Si seulement c’était si simple. Que ce soit en raison de la crainte que leur inspire la COVID-19 ou du confort et de la qualité de vie retrouvée grâce au télétravail, les employés sont plutôt réticents à revenir au bureau. Lors d’une allocution à la CCMM en mai dernier, l’économiste Jean-Marc Léger affirmait que la pandémie allait refaçonner le monde du travail et l’économie de Montréal. Près de huit personnes sur dix se disaient satisfaites de leur expérience de télétravail, et près de 60 % d’entre elles voudront travailler de la maison après la pandémie, en tout ou en partie. « Le télétravail est là pour rester. Les gens commencent à prendre des habitudes qu’ils aiment. Ça changera à jamais la vie de la majorité des entreprises », disait-il. Le télétravail n’est pas une panacée. Il ne remplacera jamais l’efficacité, la simplicité et la satisfaction des rapports humains en face à face. Le sentiment d’appartenance, l’adhésion collective, l’efficacité organisationnelle, les risques technologiques et les effets pervers de l’isolement social à long terme militent en faveur de son encadrement et de son usage prudent. Tout ceci relève des dynamiques, des contraintes et des défis propres à chaque organisation. Nous voyons mal comment les employeurs pourront accélérer le retour au bureau, pour atteindre le seuil des 25 %, en partant de la prémisse qu’il faut sauver les commerçants du centre-ville. L’appel au sens du devoir et de la responsabilité n’est pas le meilleur argument de vente pour contenir l’engouement du télétravail. Les autorités n’en font pas assez pour créer les conditions gagnantes d’un retour au travail, notamment pour dissiper l’impression fausse que les réseaux de transport collectif mettent les usagers à risque de contracter la COVID-19. Le port du masque obligatoire dans le métro et dans les autobus devrait rassurer les plus inquiets, mais encore faut-il que le message leur soit communiqué avec constance et clarté. Sur le plan économique, les problèmes du centre-ville sont autrement plus complexes que le taux d’occupation des tours de bureaux et la corrélation avec la vitalité des commerces. Nous sommes d’accord avec Michel Leblanc lorsqu’il vante les mérites du centre-ville comme endroit unique en Amérique du Nord pour son aspect « sécuritaire, agréable et festif ». C’est justement le problème. La vitalité du centre-ville est indissociable des grands événements sportifs et culturels qui ponctuent la saison estivale. La pandémie a rayé les festivals de la carte cette année, et le gouvernement Legault a trop tardé à déconfiner le secteur culturel et à libérer le potentiel créatif des artistes, avec le résultat qu’ils relancent à peine une programmation automnale qui sera écourtée. L’identité et la vocation du centre-ville sont également en mutation. Son avenir ne peut être pensé uniquement en fonction des grands propriétaires immobiliers, parmi lesquels figurent de grandes caisses de retraite. Sa vitalité future passera par un rééquilibrage de ses fonctions comme milieu d’affaires et milieu de vie. La pandémie, l’irrépressible montée du commerce électronique et l’essor récent des commerces de proximité et de la consommation locale, en particulier dans les quartiers centraux de Montréal, militent en faveur d’une réflexion en ce sens. Aller au centre-ville, mais pour faire quoi ? Pour zigzaguer entre les cônes orange, contempler ce chantier permanent qu’est la rue Sainte-Catherine, magasiner dans les mêmes commerces qu’on retrouve en banlieue ? Le retour des travailleurs au centre-ville est une solution de court terme. Il faudra repenser la vocation de ce secteur pour assurer son essor et son dynamisme dans la prochaine décennie. Son potentiel comme destination incontournable est freiné par la transformation radicale de nos habitudes de vie et de consommation.
  4. Document de présentation du projet à l'arrondissement https://montreal.ca/articles/consultations-en-mode-virtuel-dans-verdun https://res.cloudinary.com/villemontreal/image/upload/v1594055927/portail/u1w9si1nzd2avexy0coc.pdf Boulevard LaSalle Boulevard LaSalle Boulevard LaSalle de l'Église/LaSalle Gaétan-Laberge Implantation actuelle
  5. Le bâtiment a été acheté en février 2020 par une société en commandite 742 William S.E.C. Ils n'ont que le lot 1179795
  6. Effet du télétravail? https://www.lapresse.ca/affaires/2020-09-04/un-important-locataire-du-centre-ville-se-met-a-l-abri-de-ses-creanciers.php Un important locataire du centre-ville se met à l’abri de ses créanciers PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Regus loue des locaux dans pas moins de 13 immeubles de la région montréalaise. Sept de ces immeubles sont situés au centre-ville : 1000 De La Gauchetière (photo), 1200 et 2000 McGill College, 2001 Robert-Bourassa, 1250 René-Lévesque, 500 Place d’Armes et 75 rue Queen. L’entité canadienne du plus grand fournisseur d’espaces de travail collaboratif au monde s’est adressé aux tribunaux pour se mettre à l’abri de ses créanciers. La requête vaut pour bon nombre de ses bureaux au Canada, a rapporté le Globe and Mail jeudi. La nouvelle a pris le milieu immobilier à Montréal complètement par surprise, selon les témoignages recueillis. Publié le 4 septembre 2020 à 8h00 ANDRÉ DUBUC LA PRESSE Regus loue des locaux dans pas moins de 13 immeubles de la région montréalaise. Sept de ces immeubles sont situés au centre-ville : 1000 De La Gauchetière, 1200 et 2000 McGill College, 2001 Robert-Bourassa, 1250 René-Lévesque, 500 Place d’Armes et 75 rue Queen. Le concurrent de WeWork loue également des bureaux dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à Laval, à Brossard et dans le Mile End, au 5455, avenue De Gaspé. « C’est une surprise », dit un courtier autrement bien au fait de l’actualité immobilière. « On s’attendait tous à ce que Regus puisse poursuivre ses activités normalement plus longtemps que WeWork », ajoute notre interlocuteur, qui ne veut pas être nommé pour ne pas nuire à ses relations d’affaires. Le promoteur Dario Montoni, que La Presse interviewait sur un tout autre sujet, a exprimé son étonnement quand on lui a appris la nouvelle. « Wow, Regus, c’est spécial. C’est sûr que pour passer à travers la pandémie, ça prend beaucoup de cashflow. Ce n’est pas facile, passer au travers de ce qu’on vit », a-t-il dit. Pour Mathieu Duguay, président de Cogir, le modèle d’affaires des fournisseurs de bureaux partagés les place malheureusement aux premières lignes. « Les bureaux partagés, on les voit surtout au centre-ville, et le centre-ville est déserté. » — Mathieu Duguay « Regus loue des locaux à long terme à des propriétaires pour ensuite les sous-louer plus cher à de petits occupants sur des baux de courte durée. Si ceux-ci sont incapables de payer, ou décident de ne pas renouveler leur bail et que personne ne se pointe pour prendre la place, ça fragilise une business », explique M. Duguay. Cogir construit actuellement le complexe Humaniti dans le Quartier international. La partie bureaux de la propriété multi-usage a été louée en totalité à WeWork. M. Duguay ne pouvait répondre à nos questions sur ce qu’il advient du bail avec WeWork, puisqu’il est lié par une clause de confidentialité avec la société américaine. Des arriérés de loyer de 2,2 millions Pour ce qui est de Regus, il est trop tôt pour savoir ce que l’entreprise fera des locaux qu’elle occupe à Montréal. Le recours aux tribunaux lui donne certainement un pouvoir de renégociation à la baisse des conditions de location. L’entité américaine de Regus a eu recours au chapitre 11 pour se protéger de ses créanciers à la mi-août. Dans les documents judiciaires consultés par le quotidien torontois, IWG, société mère de Regus Canada, déclare que la majorité de ses bureaux au Canada ont continué de payer le loyer pendant qu’elle négocie ses baux avec certains propriétaires. La somme des arriérés de loyer s’élève à environ 2,2 millions de dollars. Toujours dans ces documents, Regus soutient recourir aux tribunaux pour éviter que les propriétaires ne les expulsent de leurs bureaux. « Ce serait une erreur pour un bailleur de ne pas trouver un arrangement avec ce genre de locataire, qui, selon moi, est promis à un bel avenir, bien que, dans l’intervalle, il soit victime des circonstances. » — Laurent Benarrous, courtier et associé principal de l’agence Avison Young à Montréal « Le bureau va cesser d’être un endroit où une personne faisait une heure en transports en commun le matin pour venir s’asseoir derrière un écran et faire ce qu’elle peut faire de la maison », enchaîne M. Benarrous. « Le bureau est appelé à devenir un endroit pour rencontrer des collègues, des clients, pour échanger et pour faire du transfert de connaissances. C’est exactement ce que proposent les Regus de ce monde », explique-t-il. M. Benarrous s’attend, après avoir entendu ses propres clients, à ce qu’à terme, les occupants réduisent de 25 à 30 % leur superficie de bureaux. Selon lui, les sommes économisées seront réinvesties dans la qualité de l’emplacement du bureau et dans la qualité des aménagements. En ce sens, des édifices bien situés comme Place Ville Marie, le 1250 René-Lévesque et le 1000 de La Gauchetière ont toujours de beaux jours devant eux.
  7. L'incendie était bien sur le site. https://www.journaldequebec.com/2020/09/03/une-usine-historique-de-montreal-partie-en-fumee Une usine historique de Montréal partie en fumée La Canadian Power Boat Company fournissait les alliés en bateaux lance-torpilles Photo Agence QMI, Erik Peters L’incendie a produit des flammes d’une grande ampleur. Nora T. Lamontagne Jeudi, 3 septembre 2020 01:00 MISE À JOUR Jeudi, 3 septembre 2020 01:00 L'immeuble endommagé par un spectaculaire incendie hier est le dernier vestige aux abords du canal Lachine de la contribution de Montréal à l’effort de guerre et avait été le théâtre de l'arrivée massive des femmes sur le marché du travail industriel. « C’est un bâtiment unique, surtout quand on sait que la plupart des vieilles usines de ce genre ont été transformées en condos », estime Anja Borck, qui s’est intéressée au bâtiment pendant son doctorat. Construit en 1940, l’édifice a d’abord abrité la Canadian Power Boat Company, qui construisait des vedettes munies de lance-torpilles pour les troupes alliées pendant la Seconde Guerre mondiale. Photo courtoisie, Département de La Défense Nationale. Les bateaux rapides en contreplaqué construits là dans les années 1940. Elles étaient aussi utilisées pour récupérer rapidement les pilotes qui devaient s’éjecter de leur appareil au-dessus de la Manche Au plus fort de la production, l’usine comptait 1400 employés, dont environ 400 femmes, alors qu’elles n’avaient jamais été assignées à la fabrication de bateaux, lit-on dans la thèse doctorale d’Anja Borck. Même si le site est jugé d’intérêt patrimonial « de valeur exceptionnelle » par Montréal, la plupart des citoyens ignorent l’histoire que cache la façade du 4000, rue Saint-Patrick. Photo courtoisie, Département de La Défense Nationale. Les vedettes lance-torpilles étaient destinées à la Royal Navy et à la marine canadienne. « Le patrimoine industriel est vraiment peu connu, et qui dit peu connu dit mal aimé », se désole Taïka Baillargeon, directrice adjointe aux politiques d’Héritage Montréal. « Surtout l’histoire industrielle, ça n’a pas passionné le monde ordinaire », ajoute le professeur émérite d’histoire de l’art Jean Bélisle. Une usine transformée Au fil des années, l’ex-usine a été occupée par une manufacture de jouets, une « cour à scrap » et des ateliers d’artistes. « Ensuite, la Ville nous a expropriés [en 2012] et ils l’utilisent comme entrepôt depuis », affirme Norman Schaffer, vice-président d’une entreprise qui louait un local aux Industries 4000, propriétaire du bâtiment. L’incendie de mercredi matin pourrait d’ailleurs avoir pris naissance dans une pile de pneus dans la cour extérieure. Photo courtoisie L’immeuble au lendemain du feu. Anja Borck rappelle que la Ville n’a aucune obligation légale de préserver le bâtiment dont elle est propriétaire. « En théorie, ils pourraient le démolir », dit-elle. Elle estime que les lois pour la protection du patrimoine ne sont pas assez strictes au Québec. Mercredi, les flammes ont altéré les surfaces d’une aile de l’usine, sans toutefois en compromettre la structure, croit le professeur Bélisle. Et maintenant ? Heureusement, car Montréal a inscrit le projet de revitalisation du complexe dans un concours international d’architecture qui réunit une centaine de grandes villes dans le cadre de la lutte aux changements climatiques. Les équipes sont invitées à réhabiliter en partie le bâtiment principal « afin de donner une nouvelle occupation à ce lieu au riche héritage patrimonial », selon l’appel à soumettre des projets. A priori, la Ville estime que l’incendie n’aura pas d’impact sur le concours, nous a-t-on indiqué.
  8. Taillefer était en entrevue à l'émission de Pénélope McQuade ce matin en compagnie de l'auteur du livre https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/penelope/segments/entrevue/195640/reinventer-taxi-montreal-faillite-teo Alexandre Taillefer tire des leçons de l’échec de Téo Taxi Publié à 9 h 56 09 h 07 | Réinventer le taxi : Entrevue avec Alexandre Taillefer et Jean-François Ouellet | Durée :29:50 Alexandre Taillefer PHOTO : AVANTI GROUPE / KARINE DUFOUR Surexploitation de son image personnelle, gestion difficile des ressources humaines, défis de leadership et de gestion, problèmes privés... Alexandre Taillefer fait le bilan de l'aventure de Téo Taxi, qu'il a cofondée en 2015 à Montréal et qui a fait faillite en 2019, dans le livre Réinventer le taxi : les dessous de l'échec de Téo Taxi (Éditions La Presse), coécrit avec le professeur à HEC Montréal Jean-François Ouellet. « Il faut être capable de tourner la page », estime Alexandre Taillefer, qui reconnaît sans ambages les erreurs du passé. « Ce que je ne peux pas m'expliquer encore aujourd'hui, et c'est peut-être la seule frustration qu'il me reste, c'est qu’on n’a pas été traité de la même façon qu'UBER, qui est arrivé ici en cowboy, qui n'a pas respecté la réglementation. » — Alexandre Taillefer
  9. Actuellement, la voie réserversée collée au trottoir vers le nord s'arrête à William. Il y a un feu prioritaire (chandelle) pour les autobus à cette intersection Au nord de la rue William, la voie réservée est du côté Ouest afin de permettre aux autobus de virer sur Saint-Jacques ou Saint-Antoine vers le terminus. Mais cette solution laisse les autobus de la STM pris dans le gros trafic de Robert-Bourassa jusqu'à l'avenue du President-Kennedy... Il y a aussi la 178 qui vient de l'IdS. La 61 roule sur Wellington, pour revenir sur Robert-Bourassa à Viger. La 35 aussi en temps normal. Et en ce moment, la 107 et la 35 sont détournées sur Robert-Bourassa en raison des travaux sur Peel
  10. Ainsi, un citoyen de Montréal qui devra payer 88,50 $ pour sa passe mensuelle, en date du 1er octobre 2020, débourserait plutôt 90 $ en vertu de la refonte tarifaire. Cette nouvelle passe lui donnerait accès aux nouvelles stations du REM et aux services de train de banlieue, précise Daniel Bergeron. « Ainsi, un citoyen de Montréal qui devra payer 88,50 $ pour sa passe mensuelle, en date du 1er octobre 2020, débourserait plutôt 90 $ en vertu de la refonte tarifaire. Cette nouvelle passe lui donnerait accès aux nouvelles stations du REM et aux services de train de banlieue, précise Daniel Bergeron. »
  11. Rappel ! C'est aujourd'hui à 10h que l'ARTM va annoncer la nouvelle grille tarifaire
  12. Chantal Rouleau était en entrevue à l'émission Le 15-18, elle a parlé d'accotement, de voies en site propre, d'aménagement selon un horaire. Toutes les possibilités seront à étudier. C'est l'étude d'opportunité qui déterminera les options -->Plus de voies réservées dans le Grand Montréal : Entrevue avec Chantale Rouleau https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/episodes/478093/rattrapage-du-mercredi-2-septembre-2020/22
  13. Au Téléjournal 18h (video sur Facebook) Pour juillet 2020 : + 18% sur les prix des unifamiliales et + 12% sur les condos qu'en juillet 2019 Entrevue au Téléjournal 18h (Vidéo Facebook) L’immobilier à Montréal : « Même si le marché ralentit un peu au cours des prochains mois, ça prendrait un changement important pour passer d’un marché favorable aux vendeurs [à un marché favorable] aux acheteurs. C’est peu probable qu’on est un changement aussi drastique au cours des prochains mois. » Entrevue avec Francis Cortellino, analyste de marché pour la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL)
  14. Au Téléjournal 18h (sur YouTube) Début du démantèlement du pont Champlain C'est une opération complexe qui va se dérouler au cours des prochaines années au-dessus du fleuve Saint-Laurent : le démantèlement de l'ancien pont Champlain a commencé. La structure sera démolie section par section avec le souci de respecter l'environnement. Les travaux vont durer presque 4 ans et coûter 400 millions de dollars. Le reportage de Jean-Sébastien Cloutier.
  15. Séance d'info no 2 le 16 septembre à 11h sur Zoom https://c40.zoom.us/webinar/register/WN_BdDoABLxT3qpTmde8cohWA Réinventer Montréal 2020-21 - Séance d'information # 2 / Information session #2 La Ville de Montréal et le C40 vous invite à participer à la Séance d’information #2 de l’appel à projets international innovant Réinventer Montréal 2020-21. Important : Cette 2e séance n’est pas la répétition de la 1re séance. Elle se veut complémentaire. L'équipe du C40 et de Réinventer Montréal vous accueillera pour la Séance d’information #2 sous format de séminaire web d’une durée de 1 heure. La Séance se tiendra principalement en français, inclura une période de questions et réponses et sera enregistrée et disponible dans la Dataroom.
  16. J'imagine que le restaurant ou le Bouclair prendra le 1040, rue Wellington
  17. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1729679/montreal-plage-quai-horloge-baignade-vieux-port Rêver Montréal : une grande plage dans le Vieux-Port Une illustration de ce à quoi pourrait ressembler une plage dans le bassin du quai de l'Horloge. PHOTO : VICTOR BALSIS René Saint-Louis Publié à 16 h 30 Un comité de citoyens estime que le projet de bain flottant envisagé par l'administration Plante sur le quai de l'Horloge est beaucoup trop modeste pour une ville de la taille de Montréal. Ils proposent plutôt que tout le bassin de ce quai soit transformé en grande plage. Cela fait des années que le groupe Les amiEs du courant Sainte-Marie milite pour un meilleur accès au fleuve Saint-Laurent avec des lieux de baignade. Lorsqu'ils ont appris, il y a quelques jours, que le projet de bain flottant dans le Vieux-Port, qui devait être réalisé pendant le premier mandat de Projet Montréal, était reporté, les membres du groupe en ont profité pour dévoiler leur propre proposition. Le président des AmiEs du courant Sainte-Marie, Victor Balsis, trouve le projet de la Ville trop petit, trop modeste. La Ville, depuis au moins deux administrations municipales, réfléchit à un bain portuaire. Mais nous, nous pensons que ce n'est pas suffisant pour une ville de la taille de Montréal. Il faut penser à quelque chose de plus grand, dit-il. Le projet de bain flottant est inspiré de ce qui a été fait, entre autres, à Copenhague, au Danemark. Cependant, la capitale danoise et sa banlieue comptent 1,3 million d'habitants, alors que le Grand Montréal dépasse les 4 millions. De plus, depuis que l'ancien chef de Projet Montréal Richard Bergeron a évoqué pour la première fois l'idée d'un bain flottant en 2014, l'arrondissement de Ville-Marie connaît une profonde métamorphose. Victor Balsis cite en exemple le déménagement de Radio-Canada et celui de la brasserie Molson. Quelque 7500 nouveaux logements doivent être construits dans le secteur au cours des prochaines années. La plage dont rêvent Les amiEs du courant Saint-Marie n'est donc pas uniquement à vocation récréotouristique. Elle vise aussi à répondre au besoin des Montréalais qui seront de plus en plus nombreux à habiter le secteur et à y travailler. Écoutez le reportage de Renée Saint-Louis dès 17 h 20 au 15-18, sur ICI Première : https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/episodes/477129/rattrapage-du-vendredi-28-aout-2020/22 Pourquoi le bassin du quai de l'Horloge? De l'est de l'île et jusqu'au Vieux-Port, les voies ferrées empêchent l'accès au fleuve et donc la possibilité d'y aménager une plage. Le bassin de l'Horloge est le premier endroit, lorsqu'on arrive de l'est, où les gens peuvent avoir accès à l'eau. On trouve que le site ici, au bassin, c'est un endroit qui se prêterait bien pour faire vraiment une grande plage dans Ville-Marie, dans le Vieux-Port. – Victor Balsis, président des AmiEs du courant Sainte-Marie Un autre argument avancé par le groupe est la magnifique vue qu'offre le bassin de l'Horloge. La plupart des grands quais du Vieux-Port sont perpendiculaires au fleuve, la vue y est donc limitée puisqu'elle donne sur la Cité-du-Havre. Le quai de l'Horloge a la particularité d'être parallèle au fleuve et d'offrir une vue dégagée sur le pont Jacques-Cartier et La Ronde au loin. En ce moment, ce bassin est occupé par la marina du Yacht Club de Montréal, entourée de grands stationnements. Victor Balsis estime que la marina devrait déménager. Il propose que ce soit situé quelque part entre les autres grands quais du Vieux-Port. Il existe déjà une petite marina, le Port d'escale, entre les quais Jacques-Cartier et King-Edward, qui pourrait, selon lui, être agrandie. Le président des AmiEs du courant Sainte-Marie, Victor Balsis, devant la marina du Port d'escale située entre les quais Jacques-Cartier et King-Edward. PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS En ce qui concerne les stationnements, il faudrait aussi les déplacer. Les voitures devraient stationner à l'extérieur de l'emplacement, selon Victor Balsis. Le Vieux-Port et le Vieux-Montréal sont déjà trop achalandés. Il y a trop d'autos, il y a de la circulation, ça ne bouge pas. Alors, s'il y avait un stationnement hors site, peut-être en sous-sol ou étagé, là les gens pourraient stationner et venir au Vieux-Port à pied ou en navette. — Victor Balsis, président des AmiEs du courant Sainte-Marie Vue actuelle du bassin et du Yacht Club de Montréal PHOTO : RADIO-CANADA / BERNARD BARBEAU Une proposition, pas un projet... Victor Balsis préfère pour l'instant qualifier sa plage de proposition plutôt que de projet. Ce pourrait devenir un projet si la Ville et les Montréalais décidaient de l'appuyer, souligne-t-il. Or, ni l'administration Plante ni l'opposition n'ont voulu commenter l'idée d'une grande plage dans le Vieux-Port. L'élu du district Saint-Jacques, qui inclut le Vieux-Montréal, Robert Beaudry de Projet Montréal, a bien reçu les croquis de la plage, mais n'a pas encore rencontré Les amiEs du courant Sainte-Marie. Il est donc trop tôt, selon lui, pour se prononcer. De son côté, le porte-parole de la Société du Vieux-Port de Montréal, Jean-Philippe Rochette, rappelle qu'il existe déjà une plage dans le secteur même si la baignade y est interdite... pour l'instant. Il faut comprendre qu'il y a déjà une plage, la plage de l'Horloge qui est ouverte depuis plusieurs années déjà. On remercie ces gens-là de l'intérêt qu'ils portent au développement du Vieux-Port. Cependant, il faut comprendre qu'on travaille déjà avec la Ville de Montréal sur l'implantation possible d'un bain portuaire au bout du quai de l'Horloge. – Jean-Philippe Rochette, responsable des relations publiques à la Société du Vieux-Port de Montréal Victor Balsis tient à rappeler que la Société du Vieux-Port relève du gouvernement fédéral et qu'à ce titre les terrains appartiennent aux citoyens. Alors, pourquoi ne pas en utiliser une petite partie pour répondre aux besoins des Montréalais en ayant un lieu de baignade digne de ce nom?
  18. Sur la page FB du REM Vue de la future station Ville-de-Mont-Royal près du parc Connaught. Au cœur de Ville-de-Mont-Royal, l'ancien pont Cornwall laissera place à un nouveau pont.
  19. Sur la page FB du REM Passerelle de la station Du Quartier enjambant l'autoroute 10.
  20. Les autres photos publiées sur la page FB du REM aujourd'hui Au centre-ville, aperçu du Viaduc Sud sur lequel le REM circulera entre les stations Griffintown-Bernard-Landry et Gare Centrale Passage de la structure aérienne du REM au-dessus de l'autoroute 30, à Brossard.
  21. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1729719/aide-centre-ville-montreal-quartier-spectacles-gouvernement-quebec Québec vole à la rescousse du centre-ville de Montréal L'achalandage dans les commerces du centre-ville de Montréal a grandement diminué en raison du confinement. PHOTO : RADIO-CANADA / DANIEL THOMAS Nabi-Alexandre Chartier 2020-08-27 | Mis à jour hier à 20 h 59 La pandémie a frappé fort le coeur de la métropole, déserté par les travailleurs, les étudiants et les touristes. Lors d’une visite dans le Quartier des spectacles, la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la région de Montréal et de la Métropole, Chantal Rouleau, a confirmé une aide financière de 800 000 $ qui vient s’ajouter aux 400 000 $ annoncés cet été par Montréal. Cet investissement servira à créer de l’animation culturelle et à mettre en place une série de réaménagements. Pour la ministre, il était important de faire un geste fort pour soutenir le secteur. Notre métropole a été durement touchée par la pandémie. Notre appui au Partenariat du Quartier des spectacles, qui propose une foule d’activités originales dans des espaces extérieurs qui le sont tout autant, est nécessaire pour assurer sa vitalité culturelle, économique et touristique, explique Chantal Rouleau. Le plan de relance comprend l’aménagement de parcours de déambulation, de rues piétonnières et de terrasses communes. À travers quelque 200 prestations surprises, il met de l'avant plus de 150 artistes ainsi que 50 compagnies et organismes artistiques. Le plan est chapeauté par le Partenariat du Quartier des spectacles. C’est extrêmement difficile pour toutes les salles de spectacle et les artistes [qui] ne travaillent pas. Ce dont je suis fier, c’est qu’on a réussi à faire travailler des artistes, souligne Monique Simard, présidente du conseil d’administration du Partenariat du Quartier des spectacles. Ce projet de relance du centre-ville a débuté le 31 juillet et se poursuivra jusqu’à l’hiver. Il y a un mois, la Ville de Montréal avait annoncé une aide d’urgence de 400 000 $ pour organiser des activités sur le territoire délimité par le pont Jacques-Cartier, la rue Atwater, la rue Sherbrooke et le fleuve Saint-Laurent. Un été catastrophique Les choses vont mal pour les commerçants du centre-ville. Selon le président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Michel Leblanc, l’impact des derniers mois pourrait être catastrophique pour plusieurs commerçants du secteur. C’est très, très, très difficile, il y a une immense inquiétude chez les commerçants du centre-ville. Les tours à bureaux sont encore loin du taux d’occupation de 25 % autorisé par Québec, il faut prendre des moyens pour attirer les travailleurs, soutient M. Leblanc. Il espère que les nouveaux fonds débloqués par Québec permettront d’attirer les Montréalais dans le secteur. Michel Leblanc espère par ailleurs que l’aide au loyer sera prolongée et rendue plus flexible. Il demande également à la Ville de baisser la taxation foncière pour donner un coup de pouce aux restaurateurs, hôteliers et commerçants. Certains quartiers de la métropole ont pu tirer leur épingle du jeu en misant sur le commerce de proximité. Ce n’est pas le cas du centre-ville, dont l’essor dépend majoritairement des visiteurs et des travailleurs, qui tardent à revenir. Luc Rabouin, maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal et responsable du développement économique et commercial et du design au comité exécutif de la Ville de Montréal, croit que ce genre de mesures est une des clés, sans être la panacée. Il n’y a pas de recette miracle et ça ne va pas régler tous les problèmes. Il manque les 300 000 travailleurs qui, habituellement, font vivre le centre-ville. On est encore dans l’urgence et le centre-ville va être encore dans l’urgence pendant plusieurs mois, résume-t-il. Selon le chef de projet en aménagement urbain pour le Quartier des spectacles, Marc-André Carignan, la priorité est de créer des espaces conviviaux et sécuritaires. Il faut que ce soit intuitif, pour que les gens se distancient de façon intuitive, parce qu’on veut éviter les rassemblements et autres, dit-il. Montréal a acquis une expertise dans le domaine des placottoirs et autres espaces de rassemblement extérieurs, qui permettent aux promeneurs de se poser et de profiter de la ville, tout en respectant la distanciation physique. Avec cette nouvelle annonce, le gouvernement du Québec espère donner un coup de pouce aux commerçants du centre-ville pour les aider à traverser l’automne et pour inciter les citadins à revenir dans le secteur pour faire leurs achats des fêtes.
  22. Entrevue avec la propriétaire de la Librairie Gourmande qui s'apprête à vendre sa boutique. https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/194840/livres-cuisine-recettes-alimentation-nourriture La Librairie Gourmande du marché Jean-Talon change de mains Publié à 15 h 28 Rattrapage du 26 août 2020 : Pépinière espaces collectifs et boycottage de commerces 17 h 44 Entrevue avec Anne Fortin, propriétaire Librairie Gourmande du Marché Jean-Talon Durée :7:20 La Librairie gourmande se spécialise dans les livres de recettes et les ouvrages portant sur la nourriture. PHOTO : LIBRAIRIE GOURMANDE/FACEBOOK Après 15 années passées à conseiller les consommateurs à la recherche de livres sur la nourriture, Anne Fortin s'apprête à vendre la Librairie Gourmande. Elle précise que cette décision a été prise bien avant la pandémie de COVID-19. « On voulait laisser la place à quelqu'un d'autre, avec une nouvelle énergie, une nouvelle orientation, tout en gardant la mission de la librairie », indique-t-elle. Anne Fortin insiste sur ce dernier point : « Je veux vraiment vendre la librairie à quelqu'un qui va respecter sa mission. »
  23. 10M$ de moins pour le MBAM... Quelle tristesse toute cette histoire https://montrealgazette.com/news/local-news/quebec-walks-back-its-10m-contribution-to-riopelle-wing-at-montreal-museum/wcm/d488bff2-6092-424c-a0b8-3b5696675fbd/ Quebec walks back its $10M contribution to Riopelle wing at MMFA Move comes after the firing of Nathalie Bondil as director and chief curator. The future of the project, scheduled for 2023, could be in jeopardy. Author of the article: Susan Schwartz • Montreal Gazette Publishing date: Aug 27, 2020 • Last Updated 5 hours ago • 4 minute read There has been a lot of "he said, she said" when it comes to the Montreal Museum of Fine Arts' firing of Nathalie Bondil. But governance expert Michel Nadeau says a key point is that the board of trustees never saw the HR report that is alleged to have cited a toxic workplace. PHOTO BY JOHN MAHONEY /Montreal Gazette In the widening ripple of fallout from the dismissal of Nathalie Bondil as director and chief curator of the Montreal Museum of Fine Arts in July, the Quebec government has walked back its $10-million commitment toward the construction of a new wing dedicated to the work and legacy of Montreal-born artist Jean-Paul Riopelle. And key private donors have not yet committed themselves financially to the project because “the degree of instability in the governance of the museum has made us pause,” collector and patron Michael Audain told the Montreal Gazette this week. He said he was advised by the museum that “the Quebec government has suspended or requested their funds back.” The museum said it would not comment. Bondil was crucial in bringing the Vancouver philanthropist on board for the proposed $20-million Riopelle wing. Without her, the future of the project, planned for a 2023 opening to coincide with the centenary of the legendary artist, could be imperilled. “We have deferred entering into a financial agreement with the museum to support the project until we have a better grasp of the governance situation going forward,” Audain said of the plan, which involves fellow art patrons and collectors Pierre Lassonde and André Desmarais. “Before we conclude our agreement, we need to be assured of stability at the governance and management level.” There are conflicting narratives around Bondil’s dismissal. In his July 13 announcement of her immediate departure, board of trustees president Michel de la Chenelière cited a report by an external human-resources firm saying she had fostered a toxic work environment and failed to address or even acknowledge the existence of problems. For her part, Bondil said she was sacked because she disagreed with de la Chenelière’s pick for the new post of director of the curatorial division — a member of the influential Desmarais family, who are important museum donors — and refused to tell staff, as he wished, there had been a rigorous selection process. Many high-profile Quebecers and members of the museum community expressed outrage that someone who had put the museum on the world map had been so brutally axed. Culture minister Nathalie Roy commissioned Daniel Beaupré, a management professor at the Université du Québec à Montréal, to look into governance issues at the museum and to clarify the roles and responsibilities of the board of directors and the director. His report is expected in September. Meanwhile, governance expert Michel Nadeau, who is involved with the museum’s foundation, said in an open letter this week that by involving himself in the day-to-day business of running the museum, de la Chenelière committed “the greatest ill of governance.” “It is Governance 101 that when you are on the board, you should never, never be involved in the operations of an organization,” he said. The role of a board is not to manage, but rather to uphold a vision for the organization’s culture and future, Nadeau said. The union approached the board last October about a meeting to discuss “a delicate and persistent situation.” Ordinarily, one would have expected the president to involve the director, Nadeau said. Instead, de la Chenelière consulted an outside firm. What should have been a manageable problem “was transformed by Michel to show the board that there is a big crisis that led ultimately to the firing of Madame Bondil and the destruction of our museum.” There has been a considerable amount of “he said, she said” in this affair. But the central point, as Nadeau sees it, is that the trustees never saw the HR report. “The president kept the only copy of the report, a very unusual practice in governance, where the board must have access to all information,” he writes. To trustee Joe Battat, “there was no proper due process in the handling of the whole question of Nathalie Bondil and her firing.” What was relayed verbally to trustees by de la Chenelière contained only “unspecified generalities” and nothing that, to him, justified dismissal. The board “failed in its duty to insist on seeing the HR report,” he observed in an email to other board members. Battat was the lone trustee to vote against Bondil’s dismissal; there was one abstention. He said she was given no warning or opportunity to be heard at the board and there was no evidence she had failed to address the concerns cited in the report. Besides, he observed, the report was commissioned in December and delivered in late February, days before COVID-19 closed the museum. The way in which the matter has been handled “has tarnished the reputation of the museum” and is creating lasting damage among members, supporters and donors,” Battat said. Commenting on Nadeau’s letter, published Tuesday in La Presse, Bondil said: “He wants to put back some rationality, some wisdom, in this whole process, which has been very brutal, unexpected and violent — not just for me, but so many people and the reputation of the museum.” She said she remains “confident and positive” as she awaits the government report. Audain is also waiting. “Our position is that we are on hold until we hear from the ministerial report because we are concerned.”
  24. https://www.lapresse.ca/affaires/2020-08-27/la-valeur-des-immeubles-a-commence-a-baisser-au-centre-ville.php La valeur des immeubles a commencé à baisser au centre-ville PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Selon des données du Groupe Altus, les espaces de travail dans les tours de bureaux au Québec seraient actuellement utilisés dans une proportion de 5 % à 10 %. La pandémie laisse des traces. La valeur des immeubles a commencé à baisser au centre-ville, soutient l’Institut de développement urbain du Québec (IDU) dans son mémoire déposé à la Ville de Montréal dans le cadre des consultations prébudgétaires. Publié le 27 août 2020 à 6h00 ANDRÉ DUBUC LA PRESSE C’est en particulier le cas des boutiques et autres immeubles commerciaux, mais les tours de bureaux ne sont pas immunisées elles non plus contre une possible baisse de valeur. La pandémie se traduit pour les propriétaires du centre-ville par des défauts de paiement de loyer, une inoccupation à la hausse et la signature de baux de courte durée (souvent un an), avance l’organisme de représentation des propriétaires et des promoteurs immobiliers. Tous ces facteurs influent sur la valeur des immeubles. Selon des données du Groupe Altus, les espaces de travail dans les tours de bureaux au Québec seraient actuellement utilisés dans une proportion de 5 % à 10 %. En outre, la crise pourrait avoir des effets durables sur la demande de pieds carrés en raison de la popularité du travail à domicile. « Ce fléchissement [dans la valeur des immeubles] est amorcé : des propriétaires d’immeubles commerciaux et gestionnaires membres de l’IDU ont commencé à noter à leur bilan une dépréciation de leurs actifs », avance l’IDU dans son mémoire, que La Presse a obtenu. Plus grande foncière québécoise, la fiducie de placement immobilier (FPI) Cominar a connu une perte de valeur de 321 millions sur ses centres commerciaux et ses bureaux dans l’ensemble de son portefeuille au premier semestre. La diminution a été de 121 millions pour ses centres commerciaux de Montréal et de 26 millions pour ses immeubles de bureaux montréalais. À Québec, où Cominar est un acteur dominant, la perte de valeur a été de 104 millions et de 6,5 millions respectivement. Les 26 millions retranchés sur ces bureaux montréalais représentent une perte de près de 2 % de la valeur de son portefeuille de bureaux de Montréal. La baisse de la juste valeur du portefeuille d’immeubles de bureaux provient principalement de l’incidence de la COVID-19 sur l’estimation des pertes de crédit attendues, des taux d’occupation et de la croissance des loyers. — Extrait des états financiers de la fiducie de placement immobilier diffusés le 7 août dernier Au centre-ville de Montréal, Cominar détient le Complexe de la Gare Centrale, la Place Alexis-Nihon, le 2001 McGill College et le 1080 Beaver Hall. Son cas n’est pas unique. Ivanhoé Cambridge a reconnu une perte de valeur sur les actifs des catégories bureaux et centres commerciaux au premier semestre, sans en quantifier l’ampleur publiquement. « Pour ce qui est des bureaux, la perte a été prise sur des propriétés aux États-Unis », précise toutefois la filiale de la Caisse de dépôt, qui détient les centres commerciaux Centre Eaton et Place Montréal Trust au centre-ville. Si le mouvement à la baisse est amorcé dans les propriétés de commerces de détail, ce n’est pas le cas dans les autres catégories d’actif, assure Sylvain Leclair, vice-président directeur, Québec au Groupe Altus. « Il n’y a pas vraiment eu encore de baisse de valeur réelle dans les bureaux du centre-ville et les exigences de rendement des investisseurs n’ont pas nécessairement augmenté. » Il ajoute néanmoins que la COVID-19 a un impact à la baisse sur les revenus de la présente année, puisque le stationnement souterrain de l’édifice de bureaux est vide et que les locaux déjà vacants avant la pandémie le restent plus longtemps que prévu. Le propriétaire essuie une perte temporaire de revenus qui influe sur la valeur de la propriété, mais ce n’est pas une perte de 5 %. C’est bien moindre. Par contre, pour les espaces commerciaux, c’est une tout autre paire de manches. — Sylvain Leclair, vice-président directeur, Québec au Groupe Altus « Cette situation est extrêmement préoccupante, écrit l’IDU dans son mémoire, puisque ces baisses de valeur surviennent quelques mois après l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2020, d’un nouveau rôle foncier établi à partir des valeurs enregistrées au 1er juillet 2018. « L’écart entre la valeur marchande et la valeur imposable viendrait pénaliser des propriétaires immobiliers au moment même où leurs revenus pourraient être affectés par une augmentation probable du nombre de personnes, particuliers et commerçants, qui auront peine à payer leur loyer. » Baisse de taxes demandée En conséquence, l’IDU recommande que la Ville réclame du gouvernement le pouvoir d’instaurer un taux de taxe réduit pour certaines catégories d’immeubles non résidentiels du centre-ville. « Une telle mesure viserait à atténuer l’écart entre la valeur marchande et la valeur réelle, amortir le choc de la crise, et faciliter la réalisation de projets de relance dans le secteur immobilier non résidentiel », soutient l’Institut. Le groupe de pression fait valoir que le taux de taxation atteint 72,92 $ le pied carré pour les commerces de la rue Sainte-Catherine. Ce taux a connu une augmentation de 57 % en cinq ans, souligne l’organisme s’appuyant sur des données des évaluateurs spécialistes du Groupe Altus. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE La rue Sainte-Catherine, à Montréal Suspendre le règlement 20-20-20 Dans une autre de ses recommandations, l’IDU demande à la Ville de surseoir à l’entrée en vigueur du règlement contesté sur l’inclusion des logements sociaux, abordables et familiaux (aussi appelé règlement 20-20-20), prévue le 1er janvier 2021. Le groupe joint sa voix à celle de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, qui réclamait la même chose mardi. Sur ce dernier point, la Ville semble inflexible. « L’échéancier [pour sa mise en vigueur] est toujours le même, répond Geneviève Jutras, attachée de presse principale au cabinet de la mairesse Valérie Plante. Nous arriverons au cours des prochaines semaines avec des modifications à la partie “abordabilité” du règlement comme on l’avait dit lors du dépôt du rapport de l’OCPM. »
×
×
  • Créer...