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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. C'est ce projet au 1190, rue Drummond! @Fortier avait publié cette photo en janvier Page FB --> https://www.facebook.com/Gatsby-Condominiums-111051257318198/
  2. https://www.journaldemontreal.com/2020/07/09/immobilier-plus-de-600-unites-a-proximite-de-la-promenade-bellerive Immobilier: plus de 600 unités à proximité de la Promenade Bellerive Guillaume Picard Jeudi, 9 juillet 2020 16:44 MISE À JOUR Jeudi, 9 juillet 2020 16:44 MONTRÉAL – Un immense entrepôt abonné depuis une décennie va disparaître sur la rue Notre-Dame Est, à proximité de la majestueuse Promenade Bellerive dans le quartier Tétreaultville, à Montréal, où plus de 600 unités d’habitation vont être construites au cours des cinq prochaines années. L’ensemble immobilier Les Cours Bellerive, d’une valeur de 150 millions $, sera réalisé par la division Prével Alliance de Prével Urbain, en partenariat avec le constructeur Inovim. Il comprendra 624 unités, soit 516 condos, 20 maisons de ville de 88 logements sociaux. Après avoir obtenu l’appui des instances de l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve et un changement de zonage, les promoteurs proposent ainsi deux tours de 10 et 12 étages au cœur du site, ainsi que des condos et des maisons de ville. Prével, qui a l’habitude des grands projets au centre de l’île, croit beaucoup au potentiel du secteur, qui sera éventuellement desservi par un transport structurant de type tramway promis par le gouvernement Legault. La première des neuf phases de construction se mettra en branle cet automne, après la démolition de l’ancien entrepôt ayant déjà appartenu à Metro, étape qui doit se faire d’ici la fin août ou au début septembre. Le bureau des ventes vient d’ouvrir, un site internet a été lancé avec les plans et les résidents du quartier qui avaient déjà manifesté de l’intérêt ont été contactés. Les 74 condos de la première phase de cinq étages, donnant sur la rue Dubuisson, seront livrés à l’automne 2021. Les unités feront de 540 à 1084 pieds carrés, pour des prix variant de 182 000 $ à 377 000 $. La pandémie a légèrement décalé le lancement officiel des Cours Bellerive, qui sont en gestation depuis que Prével a acquis l’entrepôt du 9205, rue Notre-Dame Est, en 2018. «La logistique nous a freinés plus que le désir de lancer le projet», a dit la vice-présidente de Prével, Laurence Vincent, en entrevue avec l’Agence QMI. «Ça fait longtemps qu’on regardait ce site, qui a énormément de potentiel avec son joyau qu’est la Promenade Bellerive. Notre ambition, c’est de faire découvrir l’endroit à des acheteurs, mais aussi que des gens qui habitent déjà le secteur achètent chez nous», a-t-elle indiqué. Quand Prével a acheté l’entrepôt abandonné il y a deux ans, il n’était alors pas question d’un tramway reliant l’est de Montréal au centre-ville. «Ça vient bonifier l’intérêt des gens, car en plus les prix dans l’Est sont moins chers. Avec le tramway qui s’en vient, c’est un bon investissement pour les futurs propriétaires, surtout qu’on veut que les familles restent en ville», a ajouté la femme d‘affaires. Au total, la première phase comprendra d’ailleurs 13 unités de trois chambres et près d’une trentaine de deux chambres. «Le quartier actuel est un mélange de jeunes familles qui arrivent dans le secteur et de gens qui sont là depuis 20-30 ans, il y a une mixité de population qu’on cherche à recréer dans les Cours Bellerive pour que ce soit représentatif de la population», a indiqué de son côté Benoit Duhamel, directeur de Prével Alliance et conjoint de Laurence Vincent. Plus de 30 % du site sera gazonné et les familles n’auront qu’à traverser la rue Notre-Dame pour accéder au parc L.-O. Taillon – qui dispose d’une piscine publique –, et à la Promenade Bellerive. Cette dernière permet un accès direct au fleuve Saint-Laurent, une denrée rare pour beaucoup de Montréalais. Le nouvel ensemble immobilier comprendra à terme un gym, un gym pour enfants, une salle multifonctionnelle et une salle vouée au télétravail. Des terrasses seront aménagées sur les toits. Près de 340 cases de stationnement seront disponibles en souterrain. D’autres projets en cours et en vue Prével finalise ses ensembles immobiliers 21e arrondissement, Bassins du Havre et Union sur le Parc, en plus de proposer aux acheteurs les projets Quartier général dans Griffintown et Esplanade Cartier à proximité du pont Jacques-Cartier. «Les choses sont plus lentes avec la crise sanitaire, notamment au chapitre des négociations avec plusieurs groupes pour de nouveaux projets. On a trois-quatre dossiers en cours pour des projets à venir», a révélé Laurence Vincent.
  3. J'avoue que j'ai toujours préféré passer par la rue Ottawa où il n'y a pas ces tunnels, car même en plein jour c'est assez sombre.
  4. Dans le PPU du Quartiers des gare, il y avait une proposition d'ouvrir les murs pour faire des tunnels piétonniers sur Notre-Dame comme sur William. Je me demande si la CDPQi ira de l'avant avec cette proposition Page 38 : https://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_VMA_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PPU DU QUARTIER DES GARES VERSION FINALE.PDF Maintenant Proposition
  5. L'article de Radio-Canada mentionne que 450 bateaux s'y amarrent https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1718319/transformation-port-plaisance-lachine La marina de Lachine cessera ses activités cet automne Le site sera transformé en parc municipal, et une aire de baignade pourrait être aménagée éventuellement. Les propriétaires de bateaux amarrés à Lachine devront se trouver un autre port de plaisance pour la saison estivale 2021. PHOTO : REUTERS / CHRISTINNE MUSCHI Jérôme Labbé Publié hier à 23 h 02 L'un des rares ports de plaisance de Montréal fermera ses portes à la fin de l'été. L'administration Plante a annoncé mercredi que la marina de Lachine cessera ses activités cet automne. Le port de plaisance, situé entre les berges de Lachine et le parc René-Lévesque, sera converti en parc municipal – un projet évalué à 20 millions de dollars. Les travaux de transformation devraient s'étendre de façon progressive jusqu'en 2025, mais des activités transitoires auront lieu dès l'an prochain, a indiqué le cabinet de la mairesse dans un communiqué accompagné de maquettes. Le site permettra la pratique de nombreuses activités : voile, kayak, canoë, planche à rame, aviron, pêche... À terme, une aire de baignade pourrait même être aménagée, a précisé l'administration, précisant que la Ville entend mener des analyses de la qualité de l'eau. « À terme, les aménagements incluront une passerelle 4 saisons reliant le parc René-Lévesque au nouveau parc, des promenades flottantes, des quais pour la baignade [et] la création de milieux humides », a fait savoir l'équipe de la mairesse d'arrondissement Maja Vodanovic, mercredi. PHOTO : VILLE DE MONTRÉAL Cette conversion constitue un geste concret en matière de transition écologique et s'inscrit dans la stratégie montréalaise de lutte et d'adaptation aux changements climatiques, a fait valoir le cabinet. De toute façon, la Municipalité n'avait plus le choix, a-t-elle fait valoir. Suite aux inondations printanières de 2017 et 2019, les installations de la marina, qui datent de plusieurs dizaines d’années, ont été lourdement endommagées, a expliqué Robert Beaudry, responsable du dossier au comité exécutif de la Ville de Montréal. Considérant la désuétude des infrastructures et l’importance des investissements requis pour le maintien des activités actuelles, le choix a été fait de redonner une valeur écologique au site. — Robert Beaudry, responsable des grands parcs au comité exécutif Des investissements d'environ 16,5 millions de dollars auraient été requis pour maintenir les activités actuelles, a précisé sur Facebook l'équipe de la mairesse d'arrondissement Maja Vodanovic, en promettant des consultations ainsi que des rencontres avec les clubs nautiques. Les plaisanciers déçus Les propriétaires des 450 bateaux amarrés à la marina de Lachine ont appris la nouvelle en même temps que tout le monde, mercredi. Dans le courriel qu'ils ont reçu, le Service des grands parcs, du Mont-Royal et des sports était sans équivoque. Nous vous remercions d'avoir participé à la vie de la marina et dont nous garderons tous d'agréables souvenirs, disait la missive. Il s’agit d’un coup dur pour la navigation de plaisance et le tourisme nautique, a fait savoir mercredi Nautisme Québec, un organisme sans but lucratif qui regroupe et représente les plaisanciers du Québec. Les plaisanciers ont déjà de la difficulté à trouver une place à quai, ceci n’aidera pas, a déploré son directeur général, Sylvain Deschênes, dans une déclaration transmise à Radio-Canada et sur les médias sociaux. M. Deschênes espère que l'administration Plante acceptera de revoir sa décision. Chez Nautisme Québec, nous croyons que dans le cadre de ce projet, la cohabitation est possible et réalisable, a-t-il écrit. Le futur parc municipal sera situé entre les berges de Lachine et le parc René-Lévesque. PHOTO : VILLE DE MONTRÉAL Montréal compte une douzaine de marinas en tout. Le port de plaisance le plus proche de celui de Lachine se trouve à Dorval, une dizaine de kilomètres à l'ouest.
  6. https://www.journaldemontreal.com/2020/07/08/coup-fumant-pour-un-promoteur Coup fumant pour un promoteur: des dizaines de millions $ empochés Un homme d’affaires s’apprête à revendre 114 M$ le quart d’un terrain payé 42 M$ à Radio-Canada il y a trois ans Hugo Joncas et Jean-Louis Fortin Mercredi, 8 juillet 2020 01:00 MISE À JOUR Mercredi, 8 juillet 2020 01:00 Radio-Canada assure qu’elle a obtenu le juste prix en revendant ses immenses terrains du centre-ville de Montréal en 2017, pour 42 M$. Pourtant, moins de trois ans plus tard, un promoteur s’apprête à en revendre seulement le quart pour 114 M$, a appris notre Bureau d’enquête. Vincent Chiara, un des plus gros joueurs de l’immobilier à Montréal, est celui qui avait remporté l’appel d’offres en 2016 pour acheter le quadrilatère où se trouve la vétuste tour brune qui abrite les studios et bureaux du diffuseur public. Il a ensuite morcelé ce terrain et conclu une entente avec le promoteur Devimco pour lui en vendre une partie, qui correspond aux stationnements dans la partie sud-ouest du terrain. « Je dirais que tu as de bonnes sources ! » dit Vincent Chiara à notre Bureau d’enquête, sans vouloir confirmer le montant de la transaction à venir parce qu’il est tenu par un accord de confidentialité. Chose certaine, le promoteur convient qu’il s’apprête à réaliser un important profit. Le Groupe Mach, de Vincent Chiara, et Devimco devraient passer chez le notaire en septembre pour officialiser leur « entente ferme », qui comprend des déboursés progressifs selon le nombre d’unités construites. Devimco entend y ériger d’abord un immeuble de condos de 15 étages, baptisé Auguste & Louis. Les deux parties n’avaient rien divulgué du coût d’acquisition au dévoilement du projet, en février dernier. « Le marché en notre faveur » Vincent Chiara refuse de chiffrer son investissement dans le site jusqu’à maintenant. « Le montant que j’ai mis n’est pas important », dit-il. Selon lui, la qualité du plan de développement que Mach a mis en place a largement contribué au bon prix qu’il a obtenu. « Il y a aussi une partie de ça dont nous, on n’est pas responsables : c’est le marché, convient Vincent Chiara. C’est pas parce qu’on est des génies : le marché est en notre faveur... » L’homme d’affaires détient plusieurs gratte-ciel avec la famille Saputo-Borsellino au centre-ville de Montréal. À Radio-Canada, le directeur des relations publiques, Marc Pichette, défend toujours la vente du site à Vincent Chiara. « L’offre de Groupe Mach a été acceptée au terme d’un processus d’appel d’offres robuste et elle était la meilleure d’un point de vue financier et qualitatif, écrit-il dans un courriel. Des facteurs avaient été considérés [...] comme la nécessité de décontaminer la propriété et le fait que la revitalisation de la tour et du site achetés [...] ne pourrait débuter qu’après le déménagement de CBC/Radio-Canada dans la nouvelle Maison. » L’offre de Devimco est conditionnelle à la finalisation des discussions entre Mach et la Ville de Montréal sur les infrastructures à construire dans le nouveau quartier. « Nous devons signer des ententes, dit Vincent Chiara. L’une ou l’autre des parties pourrait se retirer si elles ne sont pas signées en juillet. » Devimco, à l’origine du DIX30 et du boom immobilier dans Griffintown, travaille ici avec son partenaire habituel, le Fonds de solidarité FTQ. Devimco n’a pas souhaité répondre à nos questions. Radio-Canada quitte son ancienne tour pour s’installer d’ici 2021 dans sa nouvelle maison à l’angle de René-Lévesque et Papineau. Les coûts d’aménagement de ce nouvel immeuble et les finances du diffuseur public ont souvent défrayé la chronique au cours des dernières années. En 2016, le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il octroyait un financement supplémentaire de 675 M$ sur cinq ans à Radio-Canada. En novembre 2019, Michel Bissonnette, vice-président de la société d’État, affirmait que l’aménagement de sa nouvelle maison coûterait 287 M$, soit 17 M$ de plus que prévu. Radio-Canada payera en plus 22 M$ par année pour y loger, car le bâtiment ne lui appartient pas. En avril, un porte-parole de la société d’État a expliqué avoir dû rappeler à l’ordre certains de ses vendeurs qui auraient fait baisser le prix des publicités et ainsi exercé une concurrence excessive sur les diffuseurs privés. 1,2 M$ de loyer pour rester dans la tour Selon Vincent Chiara, Radio-Canada paye 1,2 M$ de loyer net par année pour rester dans sa tour en attendant que la nouvelle « maison » soit terminée. Un loyer « pas très élevé », estime-t-il. La société publique refuse de confirmer ce montant. En comparaison, Radio-Canada devra payer plus de 1,8 M$ par mois, soit 22 M$ par an, pour loger dans le nouvel immeuble que lui construit Broccolini. Ce montant inclut cependant l’électricité et les taxes municipales. Chiara assure que le terrain qu’il a acquis lui coûte plus cher que le loyer que lui verse Radio-Canada jusqu’à ce que la société d’État quitte définitivement les lieux. Il affirme que son entreprise débourse environ 2 M$ en intérêts par an sur le prêt contracté pour acheter le site. Long déménagement Le déménagement de la société d’État dans son nouvel immeuble a débuté au printemps dernier. Il devrait s’achever au printemps 2021, avec l’arrivée des équipes d’information dans la nouvelle maison. Pourquoi un tel retard ? « Le calendrier initial était ambitieux. Afin de minimiser les risques inhérents à la transition technologique et assurer la pérennité de nos opérations, le choix d’étaler le déménagement sur une plus longue période a été fait », dit la porte-parole, Julie Racine. Bien sûr, la COVID-19 a aussi contribué aux retards ces derniers mois. Dans les faits, Radio-Canada et le constructeur de son nouvel immeuble, Broccolini, sont en litige au sujet de ce déménagement. La société publique juge que sa nouvelle maison n’est pas entièrement terminée, alors que le promoteur assure que tout était prêt pour accueillir toutes ses équipes au 31 décembre dernier, comme prévu au contrat. « Un bon investissement ! » Mach de Vincent Chiara a obtenu un très bon prix pour les terrains qu’il s’apprête à revendre à Devimco. « À première vue, ça me semble très cher, dit Pierre Laliberté, évaluateur et consultant en immobilier. Si ça se confirme, ça aura été un bon investissement pour lui ! » Courtier chez CBRE, Benoît Poulin se dit lui aussi étonné par le prix. L’acheteur compte construire 2000 condos sur le site, ce qui revient à environ 57 000 $ la porte juste pour l’achat du terrain. « Le marché est rendu très cher au centre-ville de Montréal », dit-il. Plusieurs facteurs pourraient expliquer ce prix élevé : Mach peut avoir offert des conditions de financement intéressantes. « Si le terrain revendu est complètement desservi en infrastructures et décontaminé, ça contribue également », dit Pierre Laliberté. Chose certaine, en revendant la partie sud-ouest du site, Vincent Chiara se départit des « bijoux de la Couronne » : plus près du centre-ville, pas de structures à démolir ou à adapter... Le promoteur a risqué gros en achetant le site par appel d’offres, avec les défis considérables que représente la présence de la tour, des studios et des énormes espaces souterrains, dit Pierre Laliberté. « En 2017, personne n’en voulait, de ce site-là. »
  7. La Ville refait le tracé de la rue Rioux : élargissement du trottoir Ouest, ajout d'un trottoir en bordure du parc, aménagement d'une placette dans l'extrémité Nord avec un changement de l'angle au croisement de la rue de la Montagne. https://www.amenagermontreal.ca/griffintown-avis-de-travaux-et-nouvelles/news_feed/travaux-damnagement-de-surface
  8. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-06/le-cirque-du-soleil-invite-ses-creanciers-aux-encheres.php Le Cirque du Soleil invite ses créanciers aux enchères PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE Les créanciers du Cirque du Soleil ont mal digéré la convention d’achat intervenue avec les actionnaires actuels, le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). (Montréal) Alors que le plan de relance du Cirque du Soleil est critiqué par ses créanciers, l’entreprise de divertissement les invite plutôt à participer aux enchères s’ils tiennent à ce point à en devenir les nouveaux propriétaires. Publié le 6 juillet 2020 à 17h12 JULIEN ARSENAULT LA PRESSE CANADIENNE Dans le cadre d’une audience qui s’est déroulée jeudi dernier devant un tribunal des faillites au Delaware, les avocats de la compagnie québécoise ont répliqué à certaines des doléances exprimées par le groupe formé de 13 institutions, dont la firme torontoise Catalyst Capital Group, qui détient sa dette garantie d’environ 1 milliard US. « Il y a une solution très simple ici, ils peuvent participer au processus et nous les invitons, fait valoir l’un des avocats qui représentent le Cirque, Aparna Yenamandra, dans une transcription. C’est exactement ce pour quoi le processus a été mis sur pied. » Au Canada, le Cirque, qui est privé de revenus en raison de la pandémie de COVID-19, s’est tourné vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), une décision qui s’est notamment soldée par 3480 licenciements. En territoire américain, une protection similaire a été sollicitée — et obtenue — auprès des tribunaux. Les créanciers de la société ont mal digéré la convention d’achat intervenue avec les actionnaires actuels, le fonds texan TPG Capital, la firme chinoise Fosun et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Les prêteurs estiment que cette proposition ne devrait pas être considérée comme le point de départ des enchères. Ils estiment que c’est plutôt leur offre, qui ne prévoit pas de soutien financier de l’État québécois et maintiendrait le siège social du Cirque à Montréal, qui devrait être privilégiée. C’est ce qu’ils veulent notamment faire valoir lors de la prochaine audience prévue le 10 juillet devant la Cour supérieure du Québec. Si l’entreprise de divertissement s’est placée à l’abri de ses créanciers, ce n’était pas pour couper l’herbe sous le pied à ses créanciers, mais parce que ses finances seraient encore plus serrées à la fin du mois de septembre, lorsque le processus actuel doit culminer, puisque les liquidités s’amenuisent à chaque semaine. « La réalité est que nous n’avions tout simplement plus suffisamment de temps devant nous pour faire avancer leur proposition [aux prêteurs] », a fait valoir Me Yenamandra. Pas d’urgence De son côté, l’avocat qui représente le groupe de créanciers, Evan Fleck, a plutôt fait valoir que le Cirque n’avait pas besoin de faire appel aussi rapidement à la LACC — une décision qu’il a qualifiée de « choquante » pour ses clients — en rappelant qu’un financement d’urgence de 50 millions US avait été obtenu mai dernier. Étant donné qu’il y a toujours de l’argent dans les coffres, Me Fleck s’est demandé pourquoi l’entreprise de divertissement avait décidé de conclure, de manière précipitée, une convention d’achat avec ses actionnaires actuels. L’offre des propriétaires du Cirque, qui valorise la compagnie à environ 420 millions US, propose l’injection de 300 millions US, notamment grâce au prêt de 200 millions US offert par Investissement Québec. En échange d’une restructuration de la dette, les créanciers obtiendraient 45 % du Cirque ainsi qu’une dette non garantie de 50 millions US, alors que les actionnaires actuels se partageraient les 55 % restants. Ils mettront sur pied deux fonds totalisant 20 millions US pour épauler les travailleurs du Cirque et payer les pigistes qui attendent toujours. « Jusqu’à maintenant, la débitrice n’a fourni aucune justification, à notre avis, qui semble crédible pour justifier ce qui semble être une négociation [de gré à gré avec ses actionnaires] », a fait valoir Me Fleck. Pour sa part, le groupe de créanciers proposait une conversion de la dette garantie en actions pour mettre la main sur la totalité du Cirque, ce qui aurait écarté les actionnaires actuels. D’après un document déposé auprès de la Cour supérieure du Québec, les prêteurs étaient prêts à bonifier leur mise en injectant 375 millions US d’argent neuf, par rapport à 300 millions US initialement.
  9. La Ville a acheté deux terrains vacants dans ce secteur pour y construire des logements sociaux et abordables http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=32831 Stratégie de développement de 12 000 logements sociaux et abordables : La Ville de Montréal collabore au développement de plus d'une centaine de logements sociaux et communautaires dans Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce 3 juillet 2020 Montréal, le 3 juillet 2020 - Robert Beaudry, responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, annonce l'achat de deux terrains dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce afin d'y développer des logements sociaux et communautaires. Les deux terrains vacants, situés à l'angle de la rue Mackenzie et de l'avenue Mountain Sights, pourraient accueillir deux projets, respectivement d'environ 50 et 70 logements. « La Ville de Montréal a innové et multiplié ses outils afin de développer davantage de logements sociaux, abordables et communautaires sur le territoire. L'achat des deux terrains à Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce est un bon exemple des actions prises par la Ville pour bonifier et diversifier le parc immobilier montréalais et ainsi améliorer la qualité de vie de toutes les Montréalaises et de tous les Montréalais », a affirmé Robert Beaudry. « Les besoins en matière de logements abordables sont importants dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce et il est primordial pour nous d'aider la population de notre territoire à se trouver un toit accessible et sain. Nous sommes heureux de collaborer au développement de plus d'une centaine de logements pour favoriser la mixité sociale et consolider la trame urbaine du quartier », a ajouté M. Beaudry. Les terrains ont été achetés par la Ville pour un coût global de 1,5 M$. Ceux-ci seront vendus à un organisme à but non lucratif au cours des deux prochaines années afin d'y développer des logements sociaux et communautaires.
  10. Après le Time Out qui annonce son réouverture le 8 juillet, le Cathcart réouvre aujourd'hui https://tastet.ca/2020/07/06/reouverture-cathcart-place-ville-marie/ Réouverture du Cathcart : formule simplifiée et adaptée Mis à jour le 6 juillet 2020 | Publié le 6 juillet 2020 C’est aujourd’hui, lundi 6 juillet, que l’équipe du Cathcart commence à accueillir progressivement les Montréalais à nouveau dans son Biergarten unique en son genre. Situé en plein cœur de la ville, le Cathcart est une foire gourmande regroupant plusieurs comptoirs offrant divers styles de cuisine. Depuis le début d’année, ce nouveau food court est un lieu convivial niché dans la Place Ville Marie, en plein centre-ville. Rappelons que ce projet mis sur pied par les créateurs d’Aire Commune avait vu le jour il n’y a pas si longtemps, en janvier 2020. D’ailleurs, le succès de l’endroit était dû en grande partie aux soirées propulsées par l’équipe d’Aire Commune. Aujourd’hui, les propriétaires, qui ont dû réaménager eux aussi leur espace, souhaitent évidemment protéger la santé de leurs clients sans toutefois mettre de côté cette ambiance festive et décontractée qui s’était installée auparavant. En effet, le retour progressif des évènements dans cette magnifique terrasse couverte reprendra tranquillement, toujours selon les mesures d’hygiène et de distanciation mises en place. Aussi, des activités et évènements seront offerts à nouveau au Cathcart, tels des brunchs et des soirées spéciales avec chefs invités. Pour ce qui est de la commande de la nourriture et des boissons, elle pourra s’opérer de deux façons, soit au comptoir réaménagé ou via l’application Cathcart, qui est désormais disponible sur l’App Store et sur le Google Play Store. La formule est simplifiée, de sorte à ce que certains des restaurants tels Uniburger, Karma Poké, Dirty Greens, Chikin et Brasserie Mirabel offrent uniquement les plats favoris, les coups de cœur. Ces derniers seront désormais préparés dans une seule et même cuisine centrale. Il sera donc possible de manger une bouchée et de siroter un cocktail sous le superbe pavillon de verre tous les jours à compter de 11h.
  11. C'était sur sa page Facebook. Il en a parlé dans une chronique à la radio aussi
  12. Tania m'a dit que c'est le pont tournant qu'elle devait illustrer, mais avec la publication de François Cardinal à ce sujet, le REM ne voulait pas en ajouter à la controverse
  13. 1850 rue Notre-Dame n'est pas dans Saint-Henri..., Saint-Henri commence à l'Ouest d'Atwater J'ai changé le titre
  14. 2020-07-05 Les fouilles archéologiques Selon un employé de l'ÉTS qui a parlé avec l'équipe d'archéologues de la firme Ethnoscop, ce serait la chambre à combustion d'un four.
  15. Ce terrain là appartient à la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM). La Ville de Montréal leur loue pour entreposer les sels de déglaçage. La SHDM est aussi propriétaire du bâtiment gris. https://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CM/CM_ODJ_LP_ORDI_2019-10-22_09h30_FR.pdf
  16. Aussi le nombre d'inscriptions peut être dû au fait que les agents immobiliers n'ont pas pu vraiment exercer pleinement leur profession en mars et avril...
  17. P-ê une distorsion de la photo ou du rendu? Il y a un arbre à chaque poteau environ dans les deux cas Voici la réponse du responsable des infras au comité exécutif sur l'utilité du petit poteau
  18. Si on compare au rendu, il manque les bancs. On n'y voit pas de supports à vélos, mais il aurait de la place entre les abres, où les chenillettes ne pourraient pas les briser lors des opérations de déneigement. Ça va prendre de vrais supports si la Ville veulent que les gens aillent magasiner sans leur auto sur Saint-Hubert.
  19. Les cyclistes utilisent le 2e poteau de soutien de la marquise comme supports à vélo. C'était ça le concept, ou c'est pour autre chose? Sur Facebook
  20. Photos sur la page FB de la STM... L'intro du texte est juste un peu drôle En période de canicule, les bus électriques (nom scientifique : autobus electricus) se dirigent vers le point d'eau le plus proche afin de se rafraîchir. Voyez ces rares images d'un spécimen dans son milieu naturel. Plus sérieusement, gardant le cap vers l’électrification du réseau de surface, nos équipes ont poursuivi les tests et essais sans clientèle sur la tête de série du bus électrique à grande autonomie New Flyer afin de s’assurer que les performances du véhicule respectent nos exigences. Ainsi, plus de 13 000 km ont déjà été parcourus, soit l’équivalent de la distance séparant Montréal et Le Cap en Afrique du Sud. Les bus circulant dans les rues de Montréal étant soumis aux intempéries, dont des accumulations d’eau parfois importantes, Nous visons à ce que les composantes situées sous les véhicules soient hermétiques, pour assurer leur bon fonctionnement. Pour évaluer cet aspect, un test mené la semaine dernière sur circuit fermé au centre d’essais PMG à Blainville visait à faire circuler le bus sur plusieurs dizaines de mètres dans une imposante mare d’eau profonde de 30 cm, soit jusqu’au niveau du plancher. La bonne nouvelle : aucun code d’erreur ou arrêt impromptu du véhicule n’ont été enregistrés. La baignade fût un succès! 📸 : J-F Savaria
  21. Photos du journaliste René Saint-Louis sur Twitter « Le Grand séminaire de Montréal déménage. Il quitte le centre-ville pour s'installer dans Rosemont-La-Petite-Patrie. Voici quelques photos de l'avant de de l'après. Je vous en parle à 15h20 au 95,1FM @le1518 » Le reportage ici : Déménagement du Grand séminaire de Montréal : Reportage de René Saint-Louis https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/episodes/467365/rattrapage-du-jeudi-2-juillet-2020/4 Il n'y a pas d'intention de vendre le site!
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