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  1. un nouveau art (le mur de la paix ) dans le métro a vu le jour , dans la station Berri -uquam .http://www.stcum.qc.ca/info/infostm/2007/070926.pdf
  2. Le PARCOURS GALERIE BANQUE NATIONALE vise à mettre en valeur l’itinéraire qui relie l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau au centre-ville de Montréal à travers une oeuvre significative reflétant l’identité de la métropole. Dès l’arrivée à l’aéroport, les voyageurs seront plongés dans un environnement immersif comprenant des images du PARCOURS GALERIE BANQUE NATIONALE et de l’information liée à celui-ci. Tout au long du parcours, entre l’aéroport et le centre-ville, les interventions artistiques seront présentées sur le mur antibruit de 4,5 km. https://fairemtl.ca/fr/parcours-galerie-banque-nationale
  3. Bon bien j'ai pas trouve d'autre place ou mettre cela mais il y a des travaux de réfection dans ce parc et c'est tant mieux il en avait de besoin ! Le mur était tout détruit. De plus des arbustes ont été ajoute a la place du gazon qui arrivait pas a pousser.
  4. " Le projet Atlantic Rockland comporte 31 unités et une garderie. (...) La nouvelle partie "enveloppe" l'existant tout en laissant trois de ses façades exposées en presque totalité. La quatrième est exposée à l'intérieur car elle constitue le mur du corridor principal. "
  5. Un jeune graffiteur qui pratiquait son art un dimanche après-midi risque de payer le prix fort pour sa passion. Accusé de méfait pour avoir détérioré un mur, il risque 5000$ d'amende, en plus de se retrouver avec un casier judiciaire. Dans l'attente de sa comparution devant la cour municipale de Montréal le 10 mai prochain, le jeune homme reste toujours incrédule devant la sévérité de sa peine. «On parle d'un graffiti! Sur les forums où je suis allé, les gens disaient qu'ils n'en revenaient pas, explique-t-il. Je suis conscient que ce mur a un propriétaire mais, en même temps, le street art fait partie de l'esprit de la ville. Il faut lutter contre la grisaille de la ville.» Stéphane (nom fictif), 26 ans, a commencé à pratiquer le street art il y a un an. «L'idée du street art est super-intéressante: c'est de démocratiser l'art, de le rendre disponible à un grand public, de ne pas être soumis aux musées et aux contraintes pour être exposé. J'aime pouvoir offrir mes trucs à tout le monde.» Pris la main dans le sac Seulement voilà: la générosité de l'artiste qui crée pour tous semble laisser insensible le propriétaire du commerce de la rue Sainte-Catherine Est, sur le mur duquel Stéphane avait entamé un dessin au pochoir. «J'ai eu la chance de terminer avant que la police arrive. J'avais pris beaucoup de risques, c'était un dimanche à 3 h de l'après-midi», admet-il. Était-il conscient des risques associés à sa pratique? «Oui, mais je trouve que 5000$ et un casier judiciaire, c'est cher payé. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi intense, dit celui qui travaille avec de jeunes enfants. Un casier judiciaire me mettrait vraiment dans le pétrin.» Peu d'endroits légaux Contrairement à bien des artistes qui associent le graffiti à l'illégalité, Stéphane n'a rien contre les murs où il est légal de dessiner, mais ils sont encore beaucoup trop rares à Montréal, selon lui. «Ils se comptent sur les doigts de la main. Il y a quelques places pour en faire, mais dès que tu fais un truc, quelqu'un passe par-dessus, et on ne peut pas leur en vouloir parce qu'il n'y a pas de place», dit-il. La Ville pourrait faire plus pour les arts de la rue, croit-il, plutôt que de réprimer les artistes. «C'est naïf de penser que le graffiti va s'arrêter. Depuis sa création, le graffiti n'a pas disparu, et il ne s'arrêtera pas.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201103/30/01-4384534-un-graffiti-qui-pourrait-couter-cher.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
  6. Cinquante millions de travaux à Bordeaux Photo Archives La Presse Sara Champagne La Presse Malgré de multiples dérogations aux règles d'urbanisme, les élus de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville donneront leur bénédiction à l'agrandissement de la prison de Bordeaux à leur première séance du conseil de l'année, prévue lundi. Les citoyens qui s'y opposent, et qui vivent dans la zone visée, auront cette dernière journée pour signer un registre en vue d'obtenir un référendum et de renverser la décision. Les travaux de 50 millions, qui comprennent la rénovation d'une aile de détention, nécessiteront la démolition partielle d'un mur de pierre centenaire, pour faire place à un édifice en forme de «L», qui abritera d'un côté des services administratifs, et de l'autre côté une nouvelle buanderie, des ateliers et des salles de formation. Le nouveau pavillon comprendrait trois étages (14 mètres), au lieu des deux étages permis dans le secteur, ce qui aurait pour effet de masquer une partie du mur. Une nouvelle section de tunnel serait creusée. Le projet prévoit un nouveau de quai de chargement aménagé à l'avant, sur le boulevard Gouin, et une nouvelle entrée avec trois portes de garage, dont deux pour le transport des prisonniers et une pour de l'équipement. Lorsque le ministère de la Sécurité publique a annoncé son intention de faire construire un nouveau pavillon, il y a plus d'un an, il avait expliqué qu'il était nécessaire de désengorger l'entrée principale de la prison, et de sécuriser les lieux utilisés par le personnel. Depuis quelques années, la prison déborde, mais il n'est pas prévu de construire de nouvelles cellules, indique-t-on au ministère. «Il n'y a pas un manque de places en tant que tel à Bordeaux, mais c'est en quelque sorte un lieu de transfert, et il y a une forme de débordement, explique Réal Roussy, conseiller en communication au ministère. Le ministère privilégie donc l'autonomie régionale, et a déjà annoncé des sommes pour ajouter des cellules dans d'autres centres carcéraux du Québec.» Style «Pennsylvania» À la suite d'un avis du Conseil du patrimoine de Montréal qui voyait d'un mauvais oeil la démolition du mur de forme pentagonale, en maçonnerie, le ministère a demandé à des architectes d'étudier la valeur de la prison qui date du début du siècle dernier. Il appert que le centre de détention est l'un des seuls au Canada à être conçu selon le plan «Pennsylvania», où l'on favorisait l'isolement cellulaire, avec des ailes positionnées en forme d'étoile autour d'une rotonde. «La prison possède de nombreuses caractéristiques architecturales d'origine de grande qualité et de grande valeur, peut-on lire dans le projet qui sera approuvé par les élus, mais la rigidité du classicisme dans la composition constitue une contrainte de taille aux nouveaux besoins et rend l'insertion d'un nouveau bâtiment plus difficile.» En conséquence, notamment pour des raisons de sécurité et de coûts, la Société immobilière du Québec, qui est propriétaire du centre, n'a pas été en mesure de proposer un projet qui évite la démolition partielle du mur, et la diminution des hauteurs. http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120782/1019/CPACTUALITES
  7. Acculée au mur, la compagnie aurait encore des chances de survivre mais sous une forme très diminuée, suggèrent des analystes. Pour en lire plus...
  8. À Beauport, le premier McDo vert n'a pas de pelouse sur le toit. «Mais nous avons un toit Energistar et un mur solaire». Pour en lire plus...
  9. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
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