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Rock Denis n'a rien a se reprocher dans cette affaire, bien au contraire. L'UQAM avait besoin de ces locaux et la seule façon de faire avancer les choses c'est de foncer en obligeant les politiciens à sortir l'argent là ou il n'y a pas de capital politique pour eux. Le meilleur exemple de cette action du risque est Jean Drapeau avec le metro de Montréal. Dans les années 80, il a creusé des tunnels pour la ligne bleu du metro sans le consentement des gouvernements pour mettre tout le monde devant l'obligation d'agir. Les gouvernements ne voulaient plus investir dans le transport en commun. Résultat, les gouvernements ont du payer pour les stations. La ville de MTL a été dans le trou mais aujourd'hui nous avons une ligne de metro supplémentaire qui a couté une faction des couts d'aujourd'hui. Nous remerciez 100 fois Jean Drapeau pour cette acte de bravoure politique. Si l'on croit à l'importance de l'éducation autant qu'au transport collectif, l'investissement dans l'UQAM est un investissement qui rapporte à la société. Rock Denis a défié la politique provincial au nom de l'éducation et en a payé le prix de son poste, il n'avait pas la force politique de Drapeau. Le gouvernement libéral a créé ensuite un monstre au lieu de redonner à l'UQAM ses outils dont elle a besoin pour devenir une université francophone de classe mondiale. La presse, les gouvernements et l"opinion publique québécoise, tous ont condamné le gestionnaire au lieu de comprendre les intentions derrière le projet. Bravo à ceux qui risquent leur carrière et qui défi l'inertie du Québec!

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D'abord, foncer comme un taureau dans un magasin de porcelaine ne peut pas être un modèle en soi.

 

 

Peut-être, mais aujourd'hui, nous avons atteint l'autre extrême.

 

Quand on est rendu à faire des consultations sur le résultat des consultations, lesquelles ont été faites suite aux études des résultat des consultations sur les consultations, ces dernières étant basées sur les études environnementales, sociales, géo-graphico-politique, ça n'a plus de bon sens.

 

Un père de famille à de la difficulté à faire plaisir à ses deux enfants et Madame en même temps, pourtant, aujourd'hui, le politicien ne lancera pas un projet tant que tout le monde ne sera pas heureux.

 

"Qui risque rien n'a rien"

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On nous parle sans cesse du Montréal paralysé où il ne se ferait plus rien... Les chiffres montrent pourtant le contraire : l'investissement immobilier atteint ces temps-ci des records, au point où nous avons même pour quelques mois dépassé Toronto, pourtant bien plus grosse. Des projets bien pensés, après consultation, comme le quartier international et le quartier des spectacles, ont des effets à long terme bien plus valables que des projets autoritaires d'un seul homme. (Il y aurait sans doute des exceptions, bien sûr...)

 

Bien vrai! :)Il faut arrêter de répéter les perroquetteries de certains chroniqueurs de La Presse qui se sentent brillants pcq ils sont cyniques et crachent sur Montréal à tour de bras.

 

Ceci dit, à 5,5 millions d'habitants Toronto n'est pas tellement plus grosse que Mtl avec ses 4 millions..... Je sais qu'il n'y a pas que la population qui définit la "grosseur", mais tout de même.....

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Rock Denis n'a rien a se reprocher dans cette affaire, bien au contraire. L'UQAM avait besoin de ces locaux et la seule façon de faire avancer les choses c'est de foncer en obligeant les politiciens à sortir l'argent là ou il n'y a pas de capital politique pour eux. Le meilleur exemple de cette action du risque est Jean Drapeau avec le metro de Montréal. Dans les années 80, il a creusé des tunnels pour la ligne bleu du metro sans le consentement des gouvernements pour mettre tout le monde devant l'obligation d'agir. Les gouvernements ne voulaient plus investir dans le transport en commun. Résultat, les gouvernements ont du payer pour les stations. La ville de MTL a été dans le trou mais aujourd'hui nous avons une ligne de metro supplémentaire qui a couté une faction des couts d'aujourd'hui. Nous remerciez 100 fois Jean Drapeau pour cette acte de bravoure politique. Si l'on croit à l'importance de l'éducation autant qu'au transport collectif, l'investissement dans l'UQAM est un investissement qui rapporte à la société. Rock Denis a défié la politique provincial au nom de l'éducation et en a payé le prix de son poste, il n'avait pas la force politique de Drapeau. Le gouvernement libéral a créé ensuite un monstre au lieu de redonner à l'UQAM ses outils dont elle a besoin pour devenir une université francophone de classe mondiale. La presse, les gouvernements et l"opinion publique québécoise, tous ont condamné le gestionnaire au lieu de comprendre les intentions derrière le projet. Bravo à ceux qui risquent leur carrière et qui défi l'inertie du Québec!

 

Et il faudrait applaudir cettte attitude? Franchement!

 

Le Maire Labaume fait exactement la même chose avec son Colisée et mettons que le reste de la province s'impatiente un peu devant son attitude cavalière.

C'est enfantin et complètement ridicule, et c'est surtout donner de fausse intention noble à un homme qui voulait juste fasse sa marque dans l'histoire de l'UQAM.

 

Il l'a fait à merveille et Dieu merci, il n'est plus là pour faire payer les Québécois pour ses conneries.

Aujourd'hui, l'UQAM opte pour la rénovation de ses bâtiments pour les rendre plus efficaces. On peut me dire pourquoi on ne l'a pas fait avant de se lancer dans un projet suicidaire de 390M qui se résume finalement à un squelette de béton en plein centre-ville dont l'UQAM ne veut rien savoir une fois qu'il sera "terminé".

 

Non, franchement, aucun bravo à faire à cet homme.

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Rock Denis a peu de défenseurs. Il est donc rafraîchissant d'entendre une voix pour le soutenir.

 

Cela dit, j'ajouterais plusieurs points. D'abord, foncer comme un taureau dans un magasin de porcelaine ne peut pas être un modèle en soi. Jean Drapeau a eu des succès mais il a aussi entraîné tout le Québec dans des dettes colossales avec ses jeux olympiques mal administrés.

 

Tu divagues un peu, les jeux ont été très bien gérés sous Drapeau, les dérapages ont commencé lorsque le gouvernement provincial a décidé sans préavis de prendre le chantier en charge.

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