Aller au contenu

CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

Messages recommendés

faut être stupide pour parier là-dessus ! à part quelques illuminés sur le forum ici, personne ne pense plus que le CHUM sera un jour construit !!

 

son prix de construction augmente supposément de 1 million par semaine...

 

Sans compter toutes les études-cadeaux faits aux avocats et ingénieurs proches du gouvernement actuel...

 

Tiens ils viennent de créer un nouveau 'comité d'experts indépendants' !!!

 

Ils sont payés quoi? 250$ de l'heure? ça coûte cher être indépendant !!!

 

Je serais prêt à parier pour l'annonce des travaux du CHUM au début 2011 comme je l'ai déjà mentionné dans le forum CRCHUM et un début des travaux quelques mois après. Le gouvernement est trop avancé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je serais prêt à parier pour l'annonce des travaux du CHUM au début 2011 comme je l'ai déjà mentionné dans le forum CRCHUM et un début des travaux quelques mois après. Le gouvernement est trop avancé.

 

Good, je ne contredirais pas, par contre, il y a eu une annonce des travaux en:

2002

2003

2005

2007

2008

2009

2011?

 

J'avoue que les consultants en organisation de conférences de presse doivent avoir leur part du gâteau !! ça va bientôt faire 2 ans qu'ils n'ont pas eu de contrats!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y aura un CHUM. Ça c'est certain. Peu importe les délais (encore!), IL Y EN AURA UN. Vous croyez que le gouvernement laissera un méga-hôpital anglophone se faire SANS un équivalent francophone? Voyons donc.....

 

Ce sera comme la Guerre de Cent Ans: personne ne croyait à sa fin, mais elle finit bien par arriver. Ici, c'est le contraire, on ne croit pas au début. Mais ça arrivera....:relieved:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

CHUM : un siècle de gaspillage de temps et d’argent

20 septembre 2010 | 12h57

 

 

 

Jean-Marc Gilbert

Agence QMI

 

Pendant que la première pelletée de terre pour la construction du nouveau Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) se fait toujours attendre, deux des acteurs principaux du projet lancent un ouvrage qui trace un bilan tragique de cette saga qui dure depuis 83 ans. :yikes:

 

 

Le livre de 300 pages qui sera disponible sur les tablettes des librairies dès mardi qualifie le projet du CHUM de « tragédie québécoise ». Il a été rédigé par Robert Lacroix, recteur de l’Université de Montréal entre 1998 et 2005 et Louis Maheu, représentant de cet établissement sur le conseil d’administration du CHUM.

 

« Cela fera donc bientôt un siècle que Montréal attend son hôpital universitaire francophone, et rien ne laisse croire que celui-ci verra assurément le jour dans un avenir prochain », peut-on lire dans l’ouvrage.

 

En effet, avant le projet actuel qui est discuté depuis le début des années 2000, quatre autres projets ont avorté par le passé.

 

Le passé garant de l’avenir?

 

Le premier a été élaboré en 1927, lors de la construction du pavillon principal de l’Université de Montréal. Il a finalement été abandonné notamment en raison de la crise économique qui a sévi dès 1929.

 

L’idée renaît après la Deuxième Guerre mondiale, en 1945, mais en raison de dettes accumulées, le projet est freiné par le premier ministre de l’époque, Maurice Duplessis, qui place l’Université sous tutelle.

 

Après avoir essuyé deux autres échecs dans les années 1990, le cinquième projet est maintenant sur la table.

 

Pourquoi?

 

Désolés par ce constat, les deux auteurs posent la question suivante en introduction : « Pourquoi la plus grande université québécoise ne dispose-t-elle pas d’un hôpital universitaire à la hauteur de sa mission? »

 

Ils ont tenté d’y répondre eux-mêmes en entrevue à 24, quelques jours avant le lancement du livre.

 

« Il y a eu trop de dérive, de jeu politique de la part de nos élus (notamment en raison des groupes de pression et des médias). Mais ultimement, ce sont les hommes politiques qui sont responsables de ces échecs répétés », constate M. Maheu.

« Des centaines de personnes ont gaspillé leurs énergies pour des projets qui n’ont pas encore vu le jour. On a aussi perdu un temps précieux qui aurait pu servir à la recherche et au développement de meilleurs soins de santé », renchérit M. Lacroix. !!!!!!

 

Les experts s’inquiètent aussi que ces échecs puissent nuire à la reconnaissance de la province.

 

« Force est de constater que c’est le prestige de Montréal comme grand centre de savoir francophone qui est menacé, donc le rayonnement du Québec lui-même, sur le plan international », écrivent-ils dans le bouquin.

 

Refusant de s’attarder sur le débat du mode de construction en partenariat public-privé (PPP), sujet qui n’est presque pas abordé dans le bouquin, les auteurs soulèvent une seule priorité : que le CHUM soit construit au plus vite.

 

Rappelons que la semaine dernière, le Conseil du Trésor a confirmé que la construction du CHUM ne sera pas entamée avant 2011, puisque le gouvernement a demandé à un comité de réévaluer si le mode de construction en PPP représente réellement la meilleure option.

 

Cette décision a été prise à la suite de la publication d’un rapport incendiaire du vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, qui remettait en doute la décision du gouvernement, en juin dernier.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

Poursuite de 47 millions contre le CHUM

 

 

Les groupes d'architectes et d'experts en génie-conseil reprochent au CHUM de ne pas avoir respecté les conventions de service. Ils auraient conséquemment perdu des millions de dollars.

 

 

 

Un groupe d'architectes et d'experts en génie-conseil intentent deux poursuites totalisant 47 millions contre le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). Les deux groupes, qui avaient obtenu en 2006 des contrats d'architecture et de génie mécanique et électrique, reprochent au centre hospitalier de ne pas avoir respecté les conventions de service, ce qui aurait engendré des pertes qui se chiffrent en millions.

 

Les deux groupes, qui ont engagé des poursuites distinctes, sont, d'une part, BPTH (formé des firmes de génie Bouthillette Parizeau et Teknika HBA) et, d'autre part, BPYA (formé de quatre firmes d'architectes: Birtz Bastien Beaudoin Laforest; Provencher Roy + Associés; Yelle Maillé; Arcorp).

 

Dans leurs requêtes, que La Presse a obtenues, ils font état de la chronologie des événements à partir de 2006, année du lancement de l'appel d'offres public. Ils détaillent point par point comment le CHUM aurait failli à ses engagements et soulignent au passage l'attitude du CHUM dans la préparation du projet.

 

Le groupe BPYA, qui réclame 37 millions, reproche notamment au CHUM de ne pas lui avoir «donné toute l'information pertinente et nécessaire» et d'avoir omis de préciser que le mandat serait «réduit ou retiré» si le projet se réalisait en partenariat avec le secteur privé (PPP). C'est cette formule qui a finalement été retenue sous l'ancien ministre de la Santé Philippe Couillard, à un coût d'abord évalué à 848 millions.

 

 

En conséquence, BPYA réclame environ 78 millions en honoraires perdus. Il affirme aussi avoir perdu des employés chevronnés qui, en raison d'une clause d'exclusivité qui les limitait dans l'exercice de leur profession, ont préféré aller travailler ailleurs. Le groupe cite des extraits du rapport rendu en 2009 par le Vérificateur général du Québec, qui avait vertement critiqué le choix du PPP, et affirme que le CHUM «n'a pas agi de bonne foi et a exercé ses droits de façon déraisonnable» dans le choix du mode de construction.

 

Une deuxième poursuite

 

L'autre consortium, BPTH, qui devait fournir des services de génie mécanique et électrique dans la modernisation du CHUM (à l'époque il n'était pas prévu de démolir l'hôpital Saint-Luc), réclame 9,6 millions. La poursuite, qui s'appuie sensiblement sur les mêmes arguments que celle de BPYA, met en lumière «les fautes et le laxisme» du CHUM et de l'ancienne Agence des partenariats public-privé. BPTH précise que son mandat aurait été beaucoup plus large sans le recours au PPP.

 

Fait à noter, selon BPTH, le coût des travaux de mécanique et d'électricité dans un projet de l'envergure de ceux du CHUM et de son centre de recherche représentent normalement 45% du coût total. Le groupe estime donc que les coûts (mécanique et électrique) doivent être respectivement évalués à 679,5 millions et 167,4 millions, soit 45% de la dernière évaluation des coûts totaux du projet (1,510 milliard).

 

Me Guy Gilain, de la firme d'avocats De Grandpré Chait, qui représente les deux groupes, a expliqué que, étant donné l'avancement du dossier, ses clients ne pouvaient pas commenter. Les poursuites pourraient déboucher sur un procès si aucun règlement n'intervient.

 

À la direction du CHUM, on a dit à La Presse que l'on avait toujours agi de «bonne foi» et fait preuve de «transparence» au sujet du mode de construction, qui n'avait pas été arrêté en 2006. On a ajouté que le CHUM est toujours partenaire des deux groupes dans le projet de modernisation.

 

Ce n'est pas la première fois que des grands projets provinciaux se retrouvent devant les tribunaux. On n'a qu'à penser à Nalcor, société énergétique de Terre-Neuve-et-Labrador, qui poursuit Hydro-Québec pour mauvaise foi dans l'administration du contrat du barrage hydroélectrique du Haut-Churchill. Il y aussi le bras de fer opposant Birdair et la Régie des installations olympiques, pour la fameuse toile déchirée, qui s'est terminé par une entente à l'amiable en 2007.

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201010/13/01-4332261-poursuite-de-47-millions-contre-le-chum.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Nouveau CHUM

Un échéancier qui pourrait maintenant dépasser 2018

Agence QMI Josianne Desjardins

18/10/2010 17h54

 

MONTRÉAL – Bien que le début des travaux de construction du nouveau CHUM soit prévu pour mars prochain, le directeur général de l’établissement ne peut confirmer si le projet sera bel et bien terminé en 2018.

 

Selon le grand patron du CHUM, la transition des patients ne sera pas achevée quatre ans après la fin projetée de la construction du nouveau pavillon de l’hôpital.

 

Lundi, dans le cadre de la remise d’un don de quatre millions $ au CHUM et au CUSM, Christian Paire, directeur général du CHUM, a avoué vouloir être « discret » sur les questions de l’échéancier prévu, concernant l’aboutissement du projet dans son ensemble.

 

Ce dernier a indiqué qu’il y a « trop d’incertitudes » pour avancer une date précise, en raison de la durée de transition des patients de l’hôpital Notre-Dame vers l’hôpital Saint-Luc reconstruit.

 

« Il faut comprendre que la plus grande partie du projet, qui est la première phase, sera complétée en 2014 », s’est défendu M. Paire.

 

La première phase des travaux consiste en la construction d’une tour haute de 85 mètres logée derrière l'hôpital Saint-Luc actuel, qui inclura le centre de recherche, ce qui représente « la plus grande partie » des travaux, selon le directeur général du CHUM.

 

La deuxième phase, celle qui semble poser le plus de complications, comportera deux volets : le transfert des patients de l'ancien hôpital vers la nouvelle construction, et ensuite, la démolition et la reconstruction de l'hôpital Saint-Luc.

 

Appelée à réagir sur le dossier, la porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux, Karine Rivard, a précisé que l’échéancier du gouvernement pour la fin des travaux du CHUM est fixé pour 2018.

 

Cependant, cette dernière spécifie qu’il reste à voir certaines possibilités d’après les propositions des deux consortiums impliqués dans l’affaire.

 

D’ici la fin de l’année, le CHUM recevra les offres des deux soumissionnaires. À moins d’un imprévu, la construction devrait débuter en mars.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...