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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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Je crois qu'il serait plus facile de le relier au métro Champs-de-Mars, le centre de recherche sera vraiment très près. Et si on peut relié le tout à l'Berri-UQAM, via l'UQAM encore mieux ! Ça serait bien, les deux universités francophones de Montréal relié par un tunnel !

 

100% d'accord avec toi Atze! Vraiement génial comme hypothèse! Quant est-ce qu'ont commence à creusé! :rolleyes:

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Je crois qu'il serait plus facile de le relier au métro Champs-de-Mars, le centre de recherche sera vraiment très près. Et si on peut relié le tout à l'Berri-UQAM, via l'UQAM encore mieux ! Ça serait bien, les deux universités francophones de Montréal relié par un tunnel !

 

1. Dans les plans du CHUM, il est question de relié le métro Champs de Mars au centre administratif et enseignement du CHUM (Pavillon Vidéotron actuellement) Via des passerelles il sera possible de circuler dans l'ensemble du CHUM.

 

2. Relié le CHUM à l'UQAM est un jeu d'enfant, la distance séparent les 2 édifices et le même que Champs de Mars à vidéotron.

 

Mais cette 2ième option n'est pas dans les plans,

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Bon c'est pour quand la première pèletter de terre!!

Pour qu'ont puisse finalement voir le CHUM!

Trop de magouillage politique dans ce dossier, 10 ans d'études bidons, ... !

 

Pour ce qui est du tunnel reliant le CHUM à la station Berri-UQUAM je crois que ça vas bien prendre un autre 10 ans d'études bidon questions de bien garnir les poches des amis du ... ! :relieved:

 

«Pour connaître l'issue d'une

chose, voyez-en la racine.»

 

Si tout va bien,:stirthepot: le partenaire du PPP sera choisi à l'été 2010, et les travaux débuterons à l'automne 2010.

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:mad: Sans vouloir faire de politique on pourra dire que le gouvernement Charest se sera trainé les pieds dans le dossier des hôpitaux comme dans les meilleures années de Bourrassa, pathétique...
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  • 2 semaines plus tard...

Je ne crois pas qu'on ait vu ces images avant :

 

090330_interieur_g.jpg

 

090602-amenagement-securitaire.JPG

 

LES DEUX PHASES DE LA CONSTRUCTION DU CHUM AU CENTRE-VILLE

 

La première phase

de la construction est constituée de la partie à gauche de la ligne rouge sur le plan de phasage (cliquez sur l'image ci-contre pour voir l'agrandissement). Elle comprend:

 

• un minimum de 400 lits, y compris ceux du Centre de naissances et des soins intensifs, l’urgence

• les services diagnostiques et thérapeutiques

• le bloc opératoire

• les services de soutien, notamment la stérilisation, les archives, les services alimentaires. À la fin de la phase 1, prévue en 2013, le transfert des activités de l’actuel Hôpital Saint-Luc sera complété et les salles d’opération seront opérationnelles.

 

La deuxième phase

est constituée de la partie à droite de la ligne rouge sur le plan de phasage. Elle comprend les autres lits d’hospitalisation menant au total prévu de 772. Y seront transférés tous les services ambulatoires ainsi que les activités en provenance de l’Hôtel-Dieu et de l’Hôpital Notre-Dame. L’entrée en service est prévue pour 2018.

 

 

090602-phases-construction-grande.jpg

 

Dans les nouvelles installations, les activités seront regroupées en trois grands secteurs : l’hospitalisation ; les soins ambulatoires ; les services diagnostiques et thérapeutiques. Chacun de ces secteurs sera aménagé pour maximiser l’efficacité et la sécurité des soins, de même que le bien-être des patients et des employés.

 

Le modèle de référence accommode l’ensemble des fonctionnalités prévues au PFT :

 

• les activités d’hospitalisation sont regroupées dans l’aile ouest, soit le long de la rue Sanguinet;

• les activités ambulatoires sont regroupées dans l’aile est, soit le long de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque;

• la majeure partie des services diagnostiques et thérapeutiques sont regroupés à l’angle des rues Saint-Denis et Viger;

• au coeur même de l’hôpital, les fonctions essentielles sont reliées entre elles de manière à minimiser le temps de déplacement des patients;

• le modèle prend en compte l’ensemble des circulations recommandées (liens fonctionnels prévus entre les unités, circuits distincts pour les patients et le personnel, le matériel propre et souillé, etc.).

 

Les mouvements de circulation optimisés

 

Les liens de circulation qui relient les trois grands environnements et, à l’intérieur de ces ensembles, les différents services de l’hôpital, ont été pensés afin de maximiser le confort et l’intimité des patients, l’efficacité et la sécurité du personnel, le respect des normes de prévention des infections, la sécurité des équipements et des fournitures, et l’entretien approprié des lieux selon leur fonction.

 

Voici comment se traduit le concept de circulation réservée :

 

• la zone publique qui comprend des espaces accessibles par l’ensemble des usagers tels que le mail, les aires d’accueil, les salles d’attente, les aires de restauration;

• la zone clinique qui comprend des espaces de soins et de services aux patients tels que les salles d’examen et de traitement, les chambres de patients, les civières d’observation;

• la zone privée qui comprend des espaces réservés au personnel tels que les bureaux clinico-administratifs et les salles du personnel.

 

Dans l’ensemble de l’hôpital, des circuits de circulation distincts sont prévus pour les patients hospitalisés, les patients ambulants, les employés et le matériel, et les visiteurs. De même, des circuits distincts sont prévus pour le matériel propre et pour le matériel souillé. Ainsi, un patient pris en charge à l’hospitalisation ou par les services ambulatoires ne revient pas dans la zone publique avant la fin de sa période de traitement, qu’elle soit de quelques heures ou de quelques jours. Cette organisation favorise la quiétude, la sécurité et l’hygiène dans les zones réservées aux soins.

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  • 2 semaines plus tard...

CHUM: sans PPP, les travaux pourraient commencer

 

chu_xz_180609.jpg

La maquette d'une chambre du futur CHUM

 

Lisa-Marie Gervais

Édition du jeudi 18 juin 2009

 

«C'est tellement démotivant d'entendre dire qu'au Québec, on n'a pas l'expertise. C'est plutôt l'Agence [des PPP] qui ne sait pas comment gérer des projets.»

 

 

Attendre la fin de l'appel d'offres au printemps prochain avant de décider de construire ou non le CHUM en partenariat public-privé est une aberration, ont affirmé en choeur les présidents de l'Ordre des architectes (OAQ) et de l'Association des architectes en pratique privée du Québec (AAPPQ), déplorant cette «perte considérable de temps et d'argent». Selon eux, même si les plans et devis sont préliminaires, la construction du CHUM pourrait très réalistement commencer «dès cet automne» si le mode PPP était abandonné dès maintenant au profit du mode conventionnel.

 

Mardi, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, affirmait que «le PPP [n'était] pas une religion pour [le] parti», ce qui n'exclut pas le recours au plan B, recours évoqué en mars dernier par le premier ministre Jean Charest lors du lancement de l'appel de propositions. La présidente du Conseil du trésor, Monique Gagnon-Tremblay, avait elle aussi annoncé qu'elle ne fermait pas la porte à un retour au mode traditionnel pour le CHUM et l'échangeur Turcot, admettant que les avantages d'un PPP n'étaient plus les mêmes en période de crise économique. Mais au cabinet du ministre de la Santé, on dit continuer d'attendre la fin de l'appel de propositions en 2010 avant de prendre une décision sur le mode de réalisation du CHUM.

 

Une attente contre-productive, estime le président de l'OAQ, André Bourassa. «Plus on avance dans le processus, plus on fait travailler des gens longtemps sur des plans complets qui ne seront peut-être pas retenus. Par exemple, si on a trois entreprises qui doivent présenter des projets, ce sont trois équipes d'ingénieurs, d'architectes et de plein d'autres professionnels qui travaillent sur trois projets en même temps. C'est une perte de temps incroyable», a-t-il indiqué en suggérant qu'une seule équipe concentre toutes ses énergies dans le projet. Selon lui, la tâche des équipes qui conçoivent les plans et devis va bien au-delà de ce qui serait nécessaire pour commencer dès maintenant la construction d'un centre hospitalier universitaire. «Les équipes travaillent aussi à essayer d'évaluer les frais d'exploitation pour les 25 à 30 prochaines années et un paquet d'éléments dont on n'a pas besoin dans la vraie construction du projet, a-t-il expliqué. On est loin du syndrome de la pépine. Ça fait dix ans qu'on parle de ce projet-là. On n'a pas de temps à perdre!»

Des plans et devis utilisables

 

Quant au président de l'AAPPQ, Alain Fournier, il est d'avis que les plans et devis actuels, qui ont été élaborés par l'équipe maître après les consultations des médecins et des usagers, peuvent parfaitement conduire à la construction d'un CHUM qui réponde aux besoins de la population. «On pourrait commencer les travaux, par exemple l'excavation, et les plans se compléteraient au fur et à mesure. Si on y va en mode PPP et qu'on attend les propositions des consortiums, ça ne veut pas dire que les plans vont convenir», souligne-t-il.

 

Une façon de faire qui n'a rien de périlleux, assure André Bourassa. «Ça demande une expertise d'architecture très solide, car on commencerait à faire les fondations sans savoir comment le reste va être fait. Mais on l'a, cette expertise, au Québec», a-t-il assuré. Il a cité l'aéroport de Montréal, celui de Québec et les nombreux pavillons de l'Université de Montréal comme des exemples de projets réalisés en mode conventionnel qui ont été «livrés dans les temps et les budgets». «C'est tellement démotivant d'entendre dire qu'au Québec on n'a pas l'expertise. C'est plutôt l'Agence [des partenariats public-privé] qui ne sait pas comment gérer des projets», a-t-il insisté.

 

Les deux architectes, membres de la Coalition pour un CHU sans PPP, ont écorché au passage l'Agence des partenariats public-privé du Québec (PPPQ) qui, selon eux, n'a pas les compétences pour mener à bien un tel projet d'envergure. Ils ont également dénoncé son manque de transparence dans les processus d'appels d'offres. «Dans le cas de la salle de l'Orchestre symphonique, c'est la première fois que les propositions soumises ne sont pas présentées au grand public à l'issue d'un concours aussi important», a dit le président de l'AAPPQ. «Là, pour le CHUM, mis à part le petit bout qu'on sait sur le mode PPP, on est dans l'opacité totale.»

 

Ce n'est que l'année prochaine que le gouvernement se prononcera sur le mode de réalisation du CHUM, a maintenu l'attachée de presse de la présidente du Conseil du trésor. Au cabinet du ministre de la Santé, Yves Bolduc, on ne croit pas que la construction du CHUM pourrait commencer maintenant. «C'est faux de dire qu'on est capable de le faire. Les plans et devis sont préliminaires et on doit traduire ça en plans et devis définitifs. C'est ce que l'étape actuelle nous permet de faire», a soutenu Marie-Ève Bédard, attachée de presse du ministre. «Actuellement, on ne peut pas prendre la décision du mode d'organisation. Personne n'est capable de se projeter dans un an et dire ce que sera la situation économique. On passe par une étape qui, de toute façon, doit être faite.»

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