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1355, Blvd René-Lévesque O - (30/6/23)


Doctor D

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il y a 27 minutes, mtlurb a dit :

Aussi, est ce que mon compteur reste en vie?

C'est une approbation par la ville mais on attend maintenant que le promoteur en fasse l'annonce officielle, ce qui n'est pas encore le cas pour le moment. 

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Il y a 4 heures, Brick a dit :

On pourrait marquer la date et le laisser aller quand même juste au cas...

Oui on va faire ça car une approbation ne signifie rien en soi. À titre de rappel le Livmore2 a été approuvé depuis belle lurette et c'est toujours le néant. Donc on note la date d'approbation qui servira de référence si le projet se réalise éventuellement. 

Pour qu'il n'y ait pas de zone grise, on pourrait écrire au dessus de compteur 

120m+, dernière approbation => projet réel

Pour la date

Capture d’écran, le 2023-07-03 à 19.54.11.png

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On est dans une tempête parfaite où la crise de la main-d’oeuvre, l’endettement des ménages, les taux d’intérêts, les immenses retards dans la participation des gouvernements et l’inflation en général (incluant les prix des matériaux et autres obstacles de nature diverse), font que les villes n’arrivent plus à améliorer leur bilan d’offre de logements, particulièrement dans le segment abordable et social.

On le voit bien, cette crise n’est pas propre à Montréal mais à tout le Québec. En conséquence elle met un frein à une majorité de projets ou en réduit l’ampleur, qui a leur tour contribuent à la rareté et au déséquilibre de l’offre. Nous sommes donc dans un cercle vicieux qui sera difficile à briser sans l’intervention déterminée des gouvernements supérieurs.

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il y a 2 minutes, acpnc a dit :

On est dans une tempête parfaite où la crise de la main-d’oeuvre, l’endettement des ménages, les taux d’intérêts, les immenses retards dans la participation des gouvernements et l’inflation en général (incluant les prix des matériaux et autres obstacles de nature diverse), font que les villes n’arrivent plus à améliorer leur bilan d’offre de logements, particulièrement dans le segment abordable et social.

On le voit bien, cette crise n’est pas propre à Montréal mais à tout le Québec. En conséquence elle met un frein à une majorité de projets ou en réduit l’ampleur, qui a leur tour contribuent à la rareté et au déséquilibre de l’offre. Nous sommes donc dans un cercle vicieux qui sera difficile à briser sans l’intervention déterminée des gouvernements supérieurs.

Ou l'abolition du catastrophique 20-20-20.

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il y a 33 minutes, acpnc a dit :

Nous sommes donc dans un cercle vicieux qui sera difficile à briser sans l’intervention déterminée des gouvernements supérieurs.

Ciel ! Valérie sors de corps ! 

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Il y a 5 heures, Brick a dit :

Ou l'abolition du catastrophique 20-20-20.

La crise du logement sévit partout au Québec pas seulement à Montréal et n'a rien à voir avec la politique municipale montréalaise puisqu'elle n'est pas appliquée ailleurs.

Crise du logement | Les voyants au rouge partout au Québec

Patrick MacIntyre


De Gatineau à Gaspé, en passant par Granby, la crise du logement sévit partout au Québec. Toutes les municipalités de la province présentent un taux d’inoccupation qui avantage les propriétaires, à l’exception de Mont-Laurier.

Mis à jour le 1er juillet

Porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme parle d’une situation « extrêmement difficile » dans toute la province. « Les gens sont très, très, très inquiets, voire découragés de ne pas trouver de logement. Même des gens qui ont un peu plus de moyens ont de la difficulté. »

https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/15d1d872b6bb3f67b2d16b1e18fd6fc1.jpg

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU

Le taux d’inoccupation demeure le meilleur outil pour dresser un bilan. Il indique le pourcentage de logements locatifs vacants dans une région. Au taux d’équilibre de 3 %, l’offre de logements est suffisante pour répondre à la demande. Un pourcentage plus bas signifie une pénurie de logements. Et qui dit pénurie de logements dit hausse des loyers, comme c’est le cas actuellement.

Le taux est inférieur à 3 % dans 40 des 41 villes du Québec où cette statistique a été compilée. Ce sont donc 40 villes sur 41 où les propriétaires sont avantagés par rapport aux locataires. Les plus récentes données de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), publiées en janvier dernier, soulevaient déjà des inquiétudes. La situation n’ira qu’en empirant, selon l’économiste de l’organisation, Francis Cortellino. « Les taux vont rester bas. »

Le 1er juillet est souvent le moment où les pires symptômes de la crise font surface, mais la crise est bien présente à longueur d’année, souligne Véronique Laflamme.

Les chiffres au 1er juillet, ça demeure la pointe de l’iceberg.

Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU

Les « meilleurs » et les « pires »

Le palmarès des cinq taux les plus bas permet de constater que, dans certaines municipalités, aucun logement locatif n’est disponible. Comme à Roberval, Gaspé et Sainte-Sophie, où le taux affiche 0,0 %.

Parmi les cinq municipalités qui présentent les « meilleurs » taux d’inoccupation, quatre enregistrent des hausses de loyer importantes : Val-d’Or, Saint-Hyacinthe, Montréal et Mont-Laurier. Même à Mont-Laurier, unique région qui affiche un pourcentage supérieur au taux d’équilibre, « les gens vous diraient qu’il y a quand même de graves problèmes de logement », précise Véronique Laflamme.

Une seule municipalité a vu son loyer moyen baisser : Matane.

Statistique imparfaite

La situation sur le terrain pourrait être encore pire que ne l’indiquent les statistiques, pourtant inquiétantes. « Il n’y a pas nécessairement d’adéquation directe entre le taux d’inoccupation et le nombre de locataires qui se retrouvent sans logis ou qui sont accompagnés par un service d’aide, parce qu’il n’y a pas de services d’aide d’urgence partout au Québec », note Véronique Laflamme.

Un nombre grandissant de municipalités sont dotées de services d’urgence. En réponse à la crise actuelle, le gouvernement a fait passer le nombre de services d’aide à la recherche de logement (SARL) de 10 à 35 en l’espace d’un an. Ce service est le dernier filet avant qu’un ménage se retrouve à la rue. À l’heure actuelle, 93 ménages sont hébergés temporairement.

Le tourisme en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine, dans les Laurentides et dans certaines villes de l’Estrie ajoute « une couche de difficulté » pour quiconque cherche un logement dans ces régions, signale Véronique Laflamme.

Mais peu importe la mesure, le constat demeure le même. « Le coût social est important. Ça affecte la santé physique, la santé mentale et le tissu social des communautés », indique la porte-parole du FRAPRU.

De l’aide pour les sans-logis à Montréal

Le service d’aide au logement de la Ville de Montréal accompagne toujours 95 ménages à la recherche d’un logement pour le 1er juillet. De plus, 13 ménages sont actuellement hébergés à l’hôtel ou dans des logements temporaires, en attendant de trouver un toit. Depuis le début de 2023, 470 ménages dans le besoin ont contacté la Ville pour des enjeux de perte de logement ; 197 d’entre eux ont bénéficié d’un accompagnement tandis que 47 ménages ont dû être hébergés temporairement. Les personnes qui craignent de se retrouver à la rue peuvent demander de l’aide en signalant le 311.

Isabelle Ducas, La Presse

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il y a 38 minutes, acpnc a dit :

La crise du logement sévit partout au Québec pas seulement à Montréal et n'a rien à voir avec la politique municipale montréalaise puisqu'elle n'est pas appliquée ailleurs.

Crise du logement | Les voyants au rouge partout au Québec

Patrick MacIntyre


De Gatineau à Gaspé, en passant par Granby, la crise du logement sévit partout au Québec. Toutes les municipalités de la province présentent un taux d’inoccupation qui avantage les propriétaires, à l’exception de Mont-Laurier.

Mis à jour le 1er juillet

Porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme parle d’une situation « extrêmement difficile » dans toute la province. « Les gens sont très, très, très inquiets, voire découragés de ne pas trouver de logement. Même des gens qui ont un peu plus de moyens ont de la difficulté. »

https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/15d1d872b6bb3f67b2d16b1e18fd6fc1.jpg

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU

Le taux d’inoccupation demeure le meilleur outil pour dresser un bilan. Il indique le pourcentage de logements locatifs vacants dans une région. Au taux d’équilibre de 3 %, l’offre de logements est suffisante pour répondre à la demande. Un pourcentage plus bas signifie une pénurie de logements. Et qui dit pénurie de logements dit hausse des loyers, comme c’est le cas actuellement.

Le taux est inférieur à 3 % dans 40 des 41 villes du Québec où cette statistique a été compilée. Ce sont donc 40 villes sur 41 où les propriétaires sont avantagés par rapport aux locataires. Les plus récentes données de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), publiées en janvier dernier, soulevaient déjà des inquiétudes. La situation n’ira qu’en empirant, selon l’économiste de l’organisation, Francis Cortellino. « Les taux vont rester bas. »

Le 1er juillet est souvent le moment où les pires symptômes de la crise font surface, mais la crise est bien présente à longueur d’année, souligne Véronique Laflamme.

Les chiffres au 1er juillet, ça demeure la pointe de l’iceberg.

Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU

Les « meilleurs » et les « pires »

Le palmarès des cinq taux les plus bas permet de constater que, dans certaines municipalités, aucun logement locatif n’est disponible. Comme à Roberval, Gaspé et Sainte-Sophie, où le taux affiche 0,0 %.

Parmi les cinq municipalités qui présentent les « meilleurs » taux d’inoccupation, quatre enregistrent des hausses de loyer importantes : Val-d’Or, Saint-Hyacinthe, Montréal et Mont-Laurier. Même à Mont-Laurier, unique région qui affiche un pourcentage supérieur au taux d’équilibre, « les gens vous diraient qu’il y a quand même de graves problèmes de logement », précise Véronique Laflamme.

Une seule municipalité a vu son loyer moyen baisser : Matane.

Statistique imparfaite

La situation sur le terrain pourrait être encore pire que ne l’indiquent les statistiques, pourtant inquiétantes. « Il n’y a pas nécessairement d’adéquation directe entre le taux d’inoccupation et le nombre de locataires qui se retrouvent sans logis ou qui sont accompagnés par un service d’aide, parce qu’il n’y a pas de services d’aide d’urgence partout au Québec », note Véronique Laflamme.

Un nombre grandissant de municipalités sont dotées de services d’urgence. En réponse à la crise actuelle, le gouvernement a fait passer le nombre de services d’aide à la recherche de logement (SARL) de 10 à 35 en l’espace d’un an. Ce service est le dernier filet avant qu’un ménage se retrouve à la rue. À l’heure actuelle, 93 ménages sont hébergés temporairement.

Le tourisme en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine, dans les Laurentides et dans certaines villes de l’Estrie ajoute « une couche de difficulté » pour quiconque cherche un logement dans ces régions, signale Véronique Laflamme.

Mais peu importe la mesure, le constat demeure le même. « Le coût social est important. Ça affecte la santé physique, la santé mentale et le tissu social des communautés », indique la porte-parole du FRAPRU.

De l’aide pour les sans-logis à Montréal

Le service d’aide au logement de la Ville de Montréal accompagne toujours 95 ménages à la recherche d’un logement pour le 1er juillet. De plus, 13 ménages sont actuellement hébergés à l’hôtel ou dans des logements temporaires, en attendant de trouver un toit. Depuis le début de 2023, 470 ménages dans le besoin ont contacté la Ville pour des enjeux de perte de logement ; 197 d’entre eux ont bénéficié d’un accompagnement tandis que 47 ménages ont dû être hébergés temporairement. Les personnes qui craignent de se retrouver à la rue peuvent demander de l’aide en signalant le 311.

Isabelle Ducas, La Presse

Il est difficile d'ignorer que le 20-20-20 est un échec.

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4 hours ago, Brick said:

Il est difficile d'ignorer que le 20-20-20 est un échec.

Bof, le 20-20-20 a pris effet en fin de pandémie, à l'horizon annoncée d'une possible récession, avec une explosion des coûts de construction et des taux d'intérêt, au même moment que le provincial décide de mettre au rencart le programme AccèsLogis sans remplacement concret...

Il faut en effet se mettre la tête dans le sable pour penser que le 20-20-20 a même eu une chance de faire ses preuves...

Modifié par mtt
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