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Technopole Angus - Projet global


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Projet de logements pour étudiants au Technopole Angus

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2397398/logement-etudiant-abordable-un-projet-de-22-m-verra-le-jour-dans-rosemont/

 

Logement étudiant abordable: un projet de 22 M$ dans Rosemont

10:07 13 novembre 2019
Par:  Henri Ouellette Vézina
Métro

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Un second projet de logement étudiant coopératif sortira de terre à Montréal dès 2020, au sein de l’écoquartier du Technopôle Angus, dans Rosemont– La-Petite-Patrie. L’immeuble, évalué à 22 M$, comprendra 122 unités à des prix de 15 à 25% inférieurs au marché privé.

L’administration Plante soutiendra le projet à hauteur de 5,3 M$.

«En ce moment, le besoin de logement abordable est tellement énorme chez les étudiants. On pourrait en faire dix fois plus encore», explique à Métro le coordonnateur général de l’Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE), Laurent Levesque.

Son groupe, qui entend surtout construire des studios et des appartements à deux chambres, veut faire de ce nouveau bâtiment un exemple d’écoresponsabilité.

«On vise à obtenir la certification LEED en habitation, poursuit le porte-parole. Au niveau de la conception, de la gestion sur le chantier, bref dans toutes nos opérations, on veut réduire notre empreinte environnementale au maximum.»

Une enveloppe extérieure «à haute performance énergétique» sera d’ailleurs intégrée au logement. Avec pour objectif de réduire sa consommation de 25% par rapport à un bâtiment du même genre.

160 Environ 160 étudiants pourront s’y installer. Quelque 36 appartements à deux chambres et 86 studios seront bâtis. Le début du chantier est prévu en 2020, et sera livré «au plus tard» en 2022.

«On estime que le besoin à Montréal est d’à peu près 4000 lits pour les étudiants. Et la demande ne fait qu’augmenter avec le resserrement du marché locatif, analyse Laurent Levesque. Notre objectif est, à terme, de construire 10 000 logements du genre au Québec. Nos chiffres montrent que la population étudiante se renouvelle sans cesse. Elle est donc très vulnérable à son évolution sur le marché.»

«Double valeur», dit la Ville

Appelé à réagir, le responsable de l’habitation au comité exécutif, Robert Beaudry, a indiqué que le projet de l’UTILE est «très innovant, parce qu’il est gouverné localement». «Ça nous permet d’avoir un projet par et pour les étudiants. C’est une façon supplémentaire d’affirmer notre caractère étudiant a Montréal», a-t-il précisé à Métro.

«Autant au niveau des enjeux sociaux qu’économiques, c’est important de répondre aux besoins des étudiants. Souvent, ils n’ont pas les moyens de se payer un logement dans les grands centres.» -Robert Beaudry, responsable de l’habitation à la Ville

Selon lui, l’investissement a une «double valeur», car il permet à la Ville de «libérer du parc locatif pour les familles sur l’île de Montréal, ce qui se fait de plus en plus rare». «L’enjeu n’est pas quantifié. Mais on sait que ça existe. Le resserrement du marché fait aussi en sorte que des grands logements familiaux sont utilisés par plusieurs étudiants en même temps», observe l’élu.

En plus de l’administration Plante, le Chantier de l’économie sociale et la Société Angus injecteront chacun 1,5 M$ dans le projet. Le Fonds d’investissement pour le logement étudiant (FILE) et la Caisse d’économie solidaire pourraient aussi être de la partie.

Si la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) soutient le projet, la Ville pourrait revoir sa contribution «à la baisse», prévient toutefois Robert Beaudry. L’élu envisage à long terme la création d’«un programme plus défini» pour le logement étudiant abordable.

Montréal poursuit l’objectif d’aménager 12 000 logements sociaux et abordables sur son territoire d’ici 2021.

L’UTILE avait annoncé un premier projet de logement étudiant coopératif évalué à 18 M$, en avril dernier. L’immeuble de quatre étages composé de 90 logements pourra accueillir 144 étudiants, sur la rue Papineau. Il en serait «à la moitié de sa construction» à l’heure actuelle. La location des unités commencera dès le mois de janvier prochain, selon M. Levesque.

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  • 6 mois plus tard...
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Il y a 8 heures, louisleonardo a dit :

À déplacer En Construction?

En fait, il s'agit du fil global pour le Technopole. D'autres projets qui s'y trouvent ne sont pas en construction. 

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  • 1 mois plus tard...

Autre projet dans Angus :

https://estmediamontreal.com/college-maisonneuve-construction-importante-infrastructure-recherche-innovation-technopole-angus/?fbclid=IwAR2HV0t4lGgFD4L_QOmgxX84QCyxhysm2pQAczZGIboylYFX__bAaafiAJg

26 JUILLET 2020

LE COLLÈGE DE MAISONNEUVE ENVISAGE LA CONSTRUCTION D’UNE IMPORTANTE INFRASTRUCTURE DE RECHERCHE ET D’INNOVATION AU TECHNOPÔLE ANGUS

André Bérubé

La nouvelle est maintenant officielle : le Collège de Maisonneuve a confirmé ces derniers jours à EST MÉDIA Montréal qu’une entente est intervenue entre l’institution collégiale et la Société de développement Angus pour l’analyse de la faisabilité d’une nouvelle infrastructure de recherche et d’innovation d’envergure, sur le site du Technopôle Angus, dans le quartier Rosemont.

Le projet évalué pour l’instant à 40 M $ est lié au développement de deux des trois Centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT) du Collège de Maisonneuve, soit le Centre d’études des procédés chimiques du Québec (CÉPROCQ) et l’Institut de technologie des emballages et du génie alimentaire (ITEGA), situés au 6220, rue Sherbrooke Est. Rappelons que la mission principale des CCTT est de faire de la recherche appliquée pour les entreprises (en majorité des PME) et de les accompagner dans leurs projets d’innovation, tout en fournissant de la formation de pointe dans des secteurs d’activités bien précis.

La rumeur d’un tel projet pour le Collège de Maisonneuve circulait depuis quelques temps mais l’entente entre la SDA et le cégep, qui prévoit un bail emphytéotique, vient finalement concrétiser, en quelque sorte, les assises du prochain pôle de recherche et d’innovation en chimie verte et développement durable que la direction de l’institution nomme pour le moment Hall Pré-Commercial Intégré (HPCI).

Un centre unique au pays

La grande particularité du projet de HPCI réside dans le fait qu’il deviendra le seul au Québec, et même au Canada dit-on, à offrir aux entreprises, surtout dans les secteurs alimentaires, pétroliers, et de la chimie verte, toutes très présentes dans l’est de Montréal, de fabriquer des petits lots de produits innovants pour tester les marchés avant une commercialisation à grande échelle. «Ce qui est fantastique avec ce projet, c’est que l’on vient vraiment combler une lacune importante dans la chaîne d’innovation. Lorsque l’on est impliqué dans un développement de produit actuellement, nous faisons la recherche, nous fournissons les équipements de laboratoire et l’expertise pour produire le produit à l’échelle pilote, mais habituellement notre intervention s’arrête là. Avec le HPCI, nous serons alors en mesure de produire des quantités suffisantes de ces produits-pilotes pour que nos clients puissent tester véritablement leurs marchés, et prendre ensuite la décision de produire, ou non, le produit à large échelle. Nous serions parmi les rares au pays à offrir cette étape cruciale dans nos secteurs d’expertises, qui est finalement le nerf de la guerre pour les entreprises qui innovent et qui veulent lancer de nouveaux produits. Nous pourrons dorénavant accompagner les entreprises à partir de l’idée jusqu’au marché», explique Yacine Boumghar, directeur du CÉPROCQ.

Toujours selon M. Boumghar, le HPCI aura également un impact majeur sur le développement des deux CCTT technologiques du Collège de Maisonneuve dans l’est de Montréal, mais aussi au Québec. «Ça va nous permettre de diversifier et d’augmenter considérablement nos activités, de les adapter encore plus aux besoins des entreprises et d’offrir ainsi un accompagnement optimisé», dit-il.

Le HPCI pourra aussi servir de vitrine pour les entreprises qui voudront démontrer la pertinence de leurs nouveaux produits ou de leurs solutions technologiques à des investisseurs potentiels, le tout appuyé par l’expertise scientifique du CÉPROCQ ou de l’ITEGA.

Projet majeur pour l’est de Montréal

Plus de revenus certes pour le Collège de Maisonneuve, mais l’investissement reste toutefois très important pour une institution collégiale. Selon Malika Habel, directrice générale de l’établissement, le ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI), selon ses programmes de financement en cours, pourrait assumer jusqu’à 80 % du financement du projet de HPCI, alors que le cégep et ses partenaires privés devront assumer le 20 % restant. «Il faudra effectivement trouver cet argent-là, probablement via des donations et des partenariats avec des grandes entreprises de l’est, notamment dans les secteurs de la pétrochimie, de l’alimentation et aussi dans le secteur bancaire. Des approches en ce sens ont déjà été entamées et nous espérons les voir se conclure d’ici peu», affirme Mme Habel.

Il faut dire également que le projet de HPCI, qui circule dans les officines de l’est montréalais depuis deux ou trois ans, bénéficie déjà de nombreux appuis officiels, dont ceux de la ministre et députée de Pointe-aux-Trembles Chantal Rouleau, de la mairesse de Montréal Valérie Plante, de plusieurs autres élus locaux et organismes, ainsi que du milieu des affaires via la Chambre de commerce de l’est de Montréal, qui a d’ailleurs inscrit le projet dans son livre blanc lancé en octobre dernier. «C’est un projet très important pour l’est de Montréal car il s’inscrit parfaitement dans le cadre des plans de revitalisation du territoire annoncés par Québec et Montréal, particulièrement dans leur volonté de stimuler et de créer des pôles d’innovation et de savoir dans la région. De plus, on parle ici d’innovation en procédés industriels qui sont en lien direct avec deux secteurs d’activités que veulent promouvoir les instances gouvernementales dans l’est de Montréal au cours des prochaines décennies, soit la chimie verte et l’industrie agroalimentaire», explique Malika Habel.

Le HPCI devrait donc occuper un vaste espace «plus grand qu’un terrain de football» voisin du siège social de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, rue Molson sur le site du Technopôle Angus. À noter qu’à propos du type d’équipements visés par le HPCI, l’institution pourrait aussi recevoir une aide financière, cette fois du gouvernement fédéral, qui subventionne depuis quelques années et de façon assez généreuse l’achat d’équipements pour fin de formation et d’innovation, notamment dans les secteurs technologiques et industriels.

Si le Collège de Maisonneuve n’en est pas encore à la première pelletée de terre, sa direction espère toutefois pouvoir débuter les travaux dès 2021, en autant que la Covid-19 ne vienne pas bousculer le calendrier. «Nous travaillons actuellement tout le volet des plans d’architecture et sur le montage financier, et prévoyons présenter l’ensemble du projet au MEI à l’automne 2020. Si tout suit son cours normalement, et que le projet est encore dans les priorités du ministère, nous devrions avoir une réponse cet hiver, ce qui nous permettra de débuter les travaux», avance Mme Habel, qui ajoute que «si l’est est prêt à recevoir ce projet, nous on est prêt à l’implanter.»

Pourquoi avoir choisi le Technopôle Angus, dans Rosemont, alors que le Collège de Maisonneuve est historiquement lié au secteur de l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve? «Parce qu’il n’y a pas de terrain propice à notre projet dans MHM actuellement. Il y aurait eu peut-être le secteur de l’Assomption-Sud d’intéressant, mais l’administration municipale en a encore pour des années à requalifier le site industriel, ce qui nous amenait trop loin dans le temps. Angus, qui est à quelques minutes des installations principales du Collège, et qui est aussi évidemment dans l’Est de Montréal, s’avérait intéressant pour sa situation géographique, mais également pour la synergie d’entreprises technologiques et innovantes qu’il abrite, avec beaucoup de panache d’ailleurs», explique la directrice générale.

Une phase II déjà en réflexion

Le développement du créneau de pré-commercialisation des CCTT du Collège de Maisonneuve, selon les plans d’avenir de l’institution, risque d’être fort impressionnant avons-nous appris lors de l’entrevue avec Mme Habel et M. Boumghar. La mise sur pied du HPCI, au Technopôle Angus, ne serait qu’une première phase du projet. «Nous sommes convaincus que le service de pré-commercialisation prendra une importance telle dans les prochaines années que nous devrons acquérir de nouveaux espaces et équipements pour fournir à la demande. Dans notre vision, nous aimerions éventuellement opérer un centre de recherche et d’innovation spécialisé uniquement en agroalimentaire, probablement dans le secteur Assomption-Sud, et un autre spécialisé en pétrochimie et chimie verte plus à l’est, au cœur des entreprises de ce secteur d’activité», affirme Malika Habel. On parlerait ici d’un horizon de 10 à 15 ans pour initier une deuxième phase du HPCI.

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Selon ce que je comprends, c'est sur ce terrain :

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Les futurs parcojours sont «trop chers» selon la Société de développement Angus
Journal Montréal  |  Rosemont  |  17:14  |  7 août 2020  |  mise à jour le: 7 août 2020 à 17:14 - temps de lecture: 3 minutes  |  Par:  Zoe Magalhaes, Journal de Rosemont

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Photo: Josie Desmarais/Métro  |  Les nouveaux parcojours seront installés à l’automne.

De nouveaux parcojours seront installés cet automne sur plusieurs rues du secteur du Technopôle Angus. Si l’intention est bonne selon la Société de développement Angus (SDA), les tarifs doivent absolument être revus à la baisse.

Les parcojours prévus par l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie seront installés dans un premier temps sur les rues William-Tremblay, Augustin-Frigon, Molson, André-Laurendeau et Midway. D’autres seront aménagés plus tard sur la rue Place-Chassé.

Offrant la possibilité de stationner à la journée, contrairement aux parcomètres, ces nouveaux parcojours seront au tarif de 3 $ de l’heure ou 12 $ la journée.

Pour l’arrondissement, l’objectif est de permettre un partage plus juste des espaces de stationnement alors que la demande dans le quartier a augmenté ces dernières années.

«En effet, l’augmentation du nombre de résidents, des activités commerciales et la présence de travailleurs journaliers engendrent parfois des défis de cohabitation quant à l’accessibilité au stationnement», souligne Laura Boily-Auclair, chargée de communication à l’arrondissement.

Un prix trop élevé

Mais justement, selon Christian Yaccarini, président et chef de la direction de la SDA, le tarif proposé par l’arrondissement est trop élevé pour les travailleurs qui stationnent chaque jour dans le secteur d’Angus.

Alors que le prix est de 1,50$ de l’heure sur la rue Masson, M. Yaccarini s’étonne que les résidents et travailleurs de Angus doivent payer le double. Le tarif est pourtant avantageux selon l’arrondissement, puisqu’au-delà de quatre heures, il ne dépasse pas les 12$. Des parcomètres à 3$ de l’heure existent d’ailleurs déjà dans le secteur.

«Je ne suis pas contre la création de stationnement payant pour inciter à utiliser plus les transports en commun. Mais, pour un travailleur qui vient tous les jours dans Angus, ça ferait 240 $ par mois. Ça me semble excessif pour des rues qui ne sont pas commerciales», précise M. Yaccarini.

Il déplore aussi un manque de communication de la part de l’arrondissement qui n’a pas tenu la SDA informée.

«Personne ne nous a appelés et c’est dommage parce qu’on aurait pu travailler sur un plan de communication. Avec un tarif comme celui-ci et aucune information, on peut être sûr que ça va créer de la grogne», explique M. Yaccarini .

Il prévoit de se rendre au prochain conseil d’arrondissement qui aura lieu le 17 août afin de faire part de son avis aux élus de l’arrondissement.

https://journalmetro.com/local/rosemont-la-petite-patrie/2495957/les-futurs-parcojours-sont-trop-chers-selon-la-societe-de-developpement-angus/

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