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L'Économie du Québec


Habsfan

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On peut s'astiner longtemps sur la definition d'austérité. Une chose que je constate les ordres de medecins , pharmaciens , infirmieres on jamais autant fait de pub pour le bien commun du peuple.

 

J'en ai la larme a l'oeil c'est tellement touchant toute cette compassion qu'ils éprouvent.:tearsofjoy:

 

 

 

Définition d'austérité : Une politique de rigueur est une politique économique qui prône la hausse de la fiscalité et/ou la baisse des dépenses publiques dans le but de réduire le déficit.

 

Donc, oui, ''coupé dans les services'' est de l'austérité (en fait, le PLQ coupe dans la croissance des dépenses...)

Mais augmenté l'impôt des plus riches pour atteindre un budget équilibré est aussi de l'austérité.

 

C'est tellement un non-débat.

Modifié par andre md
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J'aimerais bien savoir quelle est la charge de travail des médecins, infirmières et autres aux ÉU et dans le ROC, comparent-on des pommes avec des pommes?

 

Chose est sûre, le PLQ est arrivé au pouvoir avec une patate chaude qui est renvoyée depuis trop longtemps. Le PLQ a au moins le courage d'affronter la situation, on pourrait dire qu'ils n'avaient pas le choix mais le PQ trouvait encore moyen de pelleter en avant, je me demande bien ce qu'ils auraient fait s'ils étaient encore là...

 

Se plaindre de l'austérité c'est comme voir un impact arriver et ne pas être d'accord avec une manœuvre d'évitement ou, pire, de vouloir rien faire. Évidement, les anarchistes n'attendent que ça, foncer dans un mur, c'est leur fantasme suprême. On peut argumenter sur les moyens et être inquiet des dérapages qu'une situation sans issues peut apporter mais c'est le prix à payer quand on baisse la garde et qu'on attend une situation impossible pour réagir. Comme citoyens, nous avons le droit mais surtout le devoir de juger nos représentants, c'est la base de la démocratie. Cependant, faut-il un minimum d'implication et de compréhension du système, ce que le réseau scolaire s'efforce peu de mettre en valeur mais surtout mal, disons de manière biaisée. Je me rappel très bien de mes années d'études, ce n'était que promotion de la gau-gauche et enfirouapage des étudiants au profit des professeurs. Quelques un osaient aller à contre-courant mais le mirage gauchiste est tôt implanté dans l'esprit des tous petits. Surtout, et je crois que ce qui est le noeud du problème, c'est qu'on omet consciemment de parler des devoirs du citoyen, mettant l'emphase sur les droits, attisant le fantasme de l'enfant roi et du citoyen bénéficiaire. En gros, on tue littéralement le modèle dès l'enfance. Peut-être n'est-ce simplement pas ou plus le bon modèle pour nous, des fois il ne faut pas chercher très loin et être honnête avec nous en faisant la part des choses entre ce que l'on dit et ce que l'on fait.

 

Un modèle de redistribution de la richesse et d'équité sociale ne peut fonctionner quand sa population n'y voit que des avantages personnels et non sociaux (oui, ils vont parler de "social" mais c'est surtout si ça leur revient directement).

 

Peut-être qu'un passage à droite est nécessaire afin d'être plus en phase avec les aspirations réelles des québécois qui, en analysant leurs comportements, sont beaucoup plus capitalistes que ce qu'ils disent. Ce passage à droite permettrait probablement de mieux évaluer nos besoins comme société, comme on dit, il faut souvent perdre quelque chose pour vraiment l'apprécier. Finalement, peut-être serions-nous très satisfait avec ce réalignement, il faut arrêter de faire peur au monde et casser ce statu quo qui n'entretient inévitablement que médiocrité.

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J'aimerais bien savoir quelle est la charge de travail des médecins, infirmières et autres aux ÉU et dans le ROC, comparent-on des pommes avec des pommes?

 

 

Je pourrai donner l'exemple de l'ex copine d'un de mes ami qui est infirmière, elle est parti travailler en Californie (elle a de la famille la-bas) . Selon ce qu'elle lui a dit elle gagne plus cher par contre la charge de travail est beaucoup plus grande qu'au Quebec et surtout elles doivent etre tres tres attentives au besoin des clients que sont les patients.

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http://journalmetro.com/actualites/economie/760678/augmenter-le-nombre-detudiants-et-de-diplomes-etrangers/

 

20/04/2015 Mise à jour : 20 avril 2015 | 20:33

Augmenter le nombre d’étudiants et de diplômés étrangers

Par Jeff Yates

Métro

 

 

Yves Provencher/Métro Selon Dominique Anglade, attirer le talent étranger est «le nerf de la guerre pour l’avenir de la métropole».

Montréal doit réussir à attirer et à retenir davantage d’étudiants et de travailleurs spécialisés étrangers, a plaidé hier la PDG de Montréal International, Dominique Anglade, devant le Cercle canadien de Montréal.

 

C’est que, si Montréal est la deuxième ville nord-américaine qui accorde le plus de diplômes universitaires – après Boston –, seulement 26,5% des habitants détiennent un diplôme post-secondaire, contre 42,6% à Boston. Cela laisse entendre que des gens obtiennent un diplôme à Montréal et s’en vont ensuite.

 

Selon Mme Anglade, seulement un sixième des étudiants étrangers et la même proportion de travailleurs temporaires étrangers font une demande de résidence permanente au Québec, et ce, même si 60% d’entre eux affirment qu’ils aimeraient rester dans la province.

 

«Nous devons attirer et retenir davantage de talents stratégiques et d’étudiants internationaux, a-t-elle déclaré. L’innovation et la créativité proviennent du choc des cultures et des idées innovatrices que l’on met de l’avant. C’est cette diversité qui est source d’innovation.»

 

À preuve, 75% des brevets issus d’universités américaines proviennent d’étrangers, et 50% des doctorats au Canada sont remis à des étrangers, affirme-t-elle.

 

«Si nous voulons continuer à croître ou à créer de la richesse, il nous faut davantage de diplômés universitaires.» – Dominique Anglade, PDG de Montréal International

 

Montréal a besoin, entre autres, de diplômés dans certains secteurs-clés, dont l’industrie du jeu vidéo et de l’aérospatiale et aéronautique, des secteurs qui sont susceptibles d’attirer les étudiants et les diplômés étrangers.

 

«Ces étudiants-là ne vont pas en sciences humaines. Ils vont étudier en mathématiques, en génie, en technologie, a-t-elle lancé. Je suis d’accord avec les gens qui veulent étudier en philosophie, mais on a davantage besoin de personnes qui étudient en sciences. Et la réalité, c’est que ces étudiants étrangers investissent davantage ces secteurs porteurs que nous, les Canadiens.»

 

Selon la PDG de Montréal International, le but devrait être de faire passer le taux de diplomation de la métropole de 26,5% à 31,5%, ce qui augmenterait de 5000$ la contribution au revenu par habitant et ajouterait 20G$ au produit intérieur brut (PIB) de la province.

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Even if those students leave, i see a positive point, they could do some good publicity for montreal in a certain way. But of course we should do something to keep them. About the language i don't think it's the main issue. The problem we got here we just don't have jobs for them because on behalf on what they were asking. They would like to stay but if there is not opportunities for them, they will just leave.

 

Bingo the crux of the problem - Montreal has a tough told holding on to top talent to poor job prospects, and onerous linguistic requirements. Interesting that students come to our city only to leave.
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Maybe in the rest of Quebec but in Montreal you could work in english. Maybe it's an anecdote, but my boss barely speak french and he can't write or read in french. He's from montreal by the way.

 

If you work at bombardier in engineering everything is done in english. If you work in biotech everything is done in english.

 

Of course french could be a hold down for many people but let me remind you that close to 40% of the words in english having french or latin origin. I don't think it's so much difficult to learn it if you compare with another language like arabic or mandarin. French isn't a language only speaked in 1 country by 300 000 persons like islandic.

 

Also many people that are studying here are not allowed to stay, due to immigrations rules thanks mr. Harper.

 

 

It absolutely is a main issue. If you don't speak french, you won't get a job in Montreal plain and simple. To be very honest (and without any disrespect), the majority of people outside Quebec don't see the need to speak French or undertake the effort to speak French in an ever growing anglo international business world.

 

I'm not sure what the solution is. If our language laws were perhaps a little more lenient, and there was more career opportunity, we could hold on to the brains we train here in Montreal.

Modifié par andre md
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