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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Le maire veut se montrer à l'écoute de ses citoyens,... mais cela leur coûtera 5$ pour se faire entendre. REM et mesures d’atténuation: un scénario plus efficace? Le maire Denis Martin pense que oui Photo Benoît Bilodeau – Comme on peut le constater depuis une semaine avec les nombreuses pancartes accrochées ici et là, les élections fédérales sont bel et bien en cours… L'Éveil | 2019-09-18 | ACTUALITÉS | Benoit Bilodeau Reconnaissant que le temps de transport vers Montréal augmentera «considérablement» pour les usagers en partance de Deux-Montagnes, son maire, Denis Martin, est néanmoins d’avis que les mesures d’atténuation annoncées pour pallier les travaux du Réseau express métropolitain (REM) sont plus efficaces que celles mises sur la table en février dernier. Le maire réagissait ainsi à ces fameuses mesures qu’attendaient avec impatience ou appréhendaient les usagers de la ligne Deux-Montagnes. Selon le scénario envisagé, le trajet à parcourir pour se rendre au centre-ville, précisément à la station Bonaventure du métro, devrait prendre 65 minutes, plus le temps d’attente des correspondances, au lieu des 45 minutes actuelles. Cette ligne de train de banlieue doit, en effet, terminer (ou amorcer) son parcours à la gare Bois-Franc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent dès le mois de janvier prochain, avec la fermeture du tunnel Mont-Royal. Les mesures annoncées seront en vigueur jusqu’à la mi-2021, alors que la ligne sera complètement fermée jusqu’à la fin de 2023. Un «réseau transitoire de transport collectif» Selon ce qui a été annoncé le lundi 9 septembre dernier par les instances concernées, le «réseau transitoire de transport collectif» qui sera mis en place, au coût de 192 M$, comptera une navette ferroviaire entre Deux-Montagnes et Bois-Franc; des navettes d’autobus vers les lignes orange, verte et bleue du métro de Montréal, ainsi qu’une navette express qui partira des gares Grand-Moulin et Deux-Montagnes en direction du centre-ville en dehors des heures de pointe, et ce, sept jours semaine. Aussi, les usagers de la ligne Deux-Montagnes bénéficieront de la gratuité à bord de la navette ferroviaire entre Deux-Montagnes et Bois-Franc, de même que dans les navettes d’autobus entre la gare Bois-Franc et la station de métro Côte-Vertu. Également, les usagers actuels de la ligne Deux-Montagnes pourront profiter, dès janvier 2020, des quatre premiers mois gratuits sur l’abonnement annuel aux services de transport collectif sur l’île de Montréal et, par la suite, d’un tarif mensuel de 86,50 $. Un maire fier et… déçu «Je suis particulièrement fier de la création d’une navette hors période de pointe vers le centre-ville de Montréal. Il s’agit d’une mesure pour laquelle j’ai fortement milité. Les nouvelles mesures tarifaires représentent également un pas dans la bonne direction» , a déclaré, par voie de communiqué de presse, le maire de Deux-Montagnes. Cela dit, M. Martin partage l’insatisfaction des usagers du train qui, reconnaît-il sans détour, verront leur qualité de vie diminuer pendant la longue période des travaux. «Je suis néanmoins déçu par les délais de construction qui s’étirent bien au-delà de l’échéancier initial. Assurons-nous de limiter les répercussions négatives des travaux en réduisant au minimum le temps où les usagers devront vivre avec des contraintes de mobilité majeures» , d’espérer celui-ci. Rencontre d’information le 26 septembre Mentionnons, par ailleurs, que l’équipe du REM, de Mobilité Montréal et les sociétés de transport concernées tiendront une rencontre d’information à Deux-Montagnes le jeudi 26 septembre prochain pour présenter les travaux et répondre aux questions des citoyens. Cette rencontre se déroulera à la salle des Vétérans de la Légion royale canadienne, située au 141, chemin du Grand-Moulin, à Deux-Montagnes. À cette occasion, il y aura portes ouvertes de 18 h à 19 h, puis séance d’information et période de questions, de 19 h à 20 h. Et un moratoire demandé Enfin, un comité d’usagers de la ligne Deux-Montagnes mené par le Montréalais Robert Giguère a fait savoir qu’il compte demander un moratoire sur le REM. Ce groupe organisera, le mercredi 25 septembre, de 19 h 30 à 21 h (ouverture des portes à 19 h), un «rassemblement de la dernière chance» au Heritage Social Club, situé au 503, rue Cedar, à Deux-Montagnes. Lors de cette rencontre, à laquelle le maire Denis Martin doit assister, des témoignages pourront être entendus et une déclaration officielle militant pour ce moratoire sera lue. Aussi, toute personne voulant prendre la parole ce soir-là pourra le faire en s’inscrivant sur la liste à l’entrée, pourvu que cette personne, précise-t-on, adhère à l’idée d’un tel moratoire. Notons qu’un coût d’entrée de 5 $ sera demandé. Notons que les plus récentes informations sur les travaux du REM con- cernant la ligne Deux-Montagnes peuvent être consultées sur le [https://rem.info/fr/ligne-deux-montagnes]. https://www.leveil.com/actualites/rem-et-mesures-dattenuation-un-scenario-plus-efficace
  2. Très juste, @danny12345. Je crois qu'on prépare bientôt le bétonnage. Merci Devisubox !
  3. Bassins Chartier : un parc sur le point de voir le jour Photo: Félix Lacerte-GauthierLes conseillers Dominic Perri et Mario Battista. Derrière eux, le sentier permettra éventuellement aux résidents de se rendre à la gare Saint-Léonard – Montréal-Nord. Journal Métro | Saint-Léonard | 11:20 12 septembre 2019 | Par: Félix Lacerte-Gauthier Projet attendu depuis des années, le parc des bassins Chartier est sur le point de se concrétiser. Alors que les derniers travaux à y faire devraient s’y terminer en automne, Le Progrès a pu visiter les lieux. Sur place, plusieurs sentiers sont déjà aménagés et permettent de désenclaver les résidents de la rue J.-B. Martineau. Une piste cyclable permettra bientôt de relier le parc à la gare Saint-Léonard–Montréal-Nord, bien visible en arrière-plan. À terme, des plateformes d’observation seront également mises sur pied. « [Avec celle-ci], on sera au cœur du bassin, explique Johanne Couture, directrice de l’aménagement urbain et des services aux entreprises. C’est une manière sécuritaire d’amener les gens à faire des observations. Les matériaux ont aussi été choisis pour conserver le côté rustique et naturel. » Des bordures de bois accompagneront les sentiers, afin d’inciter les utilisateurs à rester sur le chemin. « On ne veut pas déranger la nature et la faune qui est ici, explique à ce propos le conseiller de ville Dominic Perri. Je pense que c’est un parc unique à Montréal, qui offrira un lieu de détente et un aspect éducatif. » Pour Mme Couture, la délimitation des espaces est aussi nécessaire pour la sécurité des utilisateurs, alors que les bassins peuvent être marécageux, surtout après de fortes pluies. Protéger la faune et la flore Une projection de ce à quoi ressemblera la plateforme d’observation. (Courtoisie arrondissement de Saint-Léonard) Tout sur le site est pensé en fonction de la faune locale à protéger. Une petite toile noire borde d’ailleurs l’endroit. « À certains endroits il y a une toile noire. C’est pour protéger les couleuvres brunes et les confiner à l’intérieur du bassin, révèle Mme Couture. On ne veut pas qu’elles se fassent écraser au cours des travaux. C’est une mesure de protection qu’on met en place vu qu’il s’agit d’une espèce à protéger. » Un peu plus loin, M. Perri s’émerveille du passage de quelques libellules. « Une faune s’est établie et on veut garder la végétation telle quelle pour favoriser la biodiversité, souligne-t-il. Je crois que ce sera aussi un lieu où les écoles pourront venir voir la nature et étudier les différents insectes et plantes. » « C’est comme une prairie, ça amène les oiseaux, papillons, insectes et pollinisateurs, s’enthousiasme Mme Couture. Il y a des enfants qui ne sont jamais en contact avec le milieu naturel, qui pourront s’y familiariser. Ça permettra aussi de faire de l’éducation. » Des critères précis Un aperçu de la configuration finale des sentiers. (Courtoisie arrondissement de Saint-Léonard) C’est grâce à une collaboration avec Hydro-Québec, qui possède une servitude sur le terrain, que le parc a pu être développé. En raison des pylônes électriques surplombant le site, les possibilités d’aménagements étaient limitées, pour des raisons de sécurité. « On ne peut pas aller en hauteur en raison de leurs exigences, révèle Mme Couture. On ne peut pas prendre n’importe quels matériaux non plus. [Hydro-Québec] voit à tout ce qui relève de la sécurité du lieu. » Exemple des compromis parfois nécessaires, l’éclairage du site sera assuré par des lampadaires de types « bollard ». Ceux-ci respectent les hauteurs maximales permises par la société d’État. De même, les végétaux plantés n’incluent pas d’arbres, qui, en raison de leur taille, pourraient être dangereux. Néanmoins, le chemin parcouru pour l’établissement du parc est important. « C’était devenu une place où les gens dompaient les déchets, se remémore le conseiller d’arrondissement Mario Battista. Les gens sont devenus plus sensibles ; on voit que c’est très propre maintenant. » Les derniers travaux devraient se terminer au cours des deux prochains mois. Des panneaux permettront à ce moment aux visiteurs de comprendre ce qu’ils observent sur le site et les guideront à travers les lieux. La genèse d’un parc Au coût de près de 2 M$, le bassin de rétention du Domaine Chartier a été bâti par l’arrondissement pour assurer une meilleure gestion de l’eau de pluie. Dès le début, l’idée était de créer un espace vert naturel – une « prairie sauvage » – au cœur d’un projet domiciliaire. En 2011, il a reçu un prix au Gala de reconnaissance en environnement et développement durable de Montréal. Or, l’aspect «sauvage» a sans doute été mal compris. Croyant le terrain vacant et en friche, des résidents et entrepreneurs l’ont utilisé comme lieu de dépôt pour leurs rebus de construction et déchets ménagers. En 2014, cette situation est révélée par Le Progrès à la suite d’une plainte faite par un résident du secteur. En 2016, les élus ont lancé l’idée d’y créer un parc-nature. L’objectif est de bâtir des aménagements pour permettre aux citoyens de profiter d’un milieu de vie où les espèces animales et végétales cohabiteraient avec les résidents du secteur. Dans la foulée, l’arrondissement a lancé des consultations publiques menées par Nature-Action Québec. Outre les investissements de l’arrondissement, le projet a obtenu un appui financier de la Ville de Montréal et Hydro-Québec. En 2018, un contrat de 355 000 $ est accordé pour l’aménagement de sentiers. L’année suivante, un contrat de 1,4M$ est accordé pour les structures de bois, l’éclairage et le mobilier urbain. Les travaux se terminent à l’automne. L’inauguration officielle pourrait se faire au printemps 2020. https://journalmetro.com/local/saint-leonard/2375825/bassins-chartier-un-parc-sur-le-point-de-voir-le-jour/
  4. Une plateforme citoyenne pour signaler les trottinettes Lime mal garées Photo: Josie Desmarais/Métro | Une trottinette Lime est ici stationnée sur le trottoir, à côté d'un espace désigné. Journal Métro | Montréal | 15:46 | 16 septembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina Une nouvelle plateforme citoyenne veut s’attaquer aux trottinettes électriques mal stationnées de Lime à Montréal. L’objectif: simplifier et rendre plus accessible les démarches de signalement d’un engin mal garé. Celles-ci seraient «trop complexes» actuellement sur l’application et le site web de l’entreprise américaine. «Le formulaire de Lime est très général et concerne tous les types de demandes, avec un texte à rédiger, un lieu à préciser. C’est long. Chez moi, ça ne prend que quelques secondes et avec le GPS, la localisation se fait automatiquement», indique le fondateur de SignalerLime, Pascal Robichaud, en entrevue à Métro. Son site rend aussi disponible l’ensemble des informations sur les signalements en données ouvertes. Cela permet de voir combien de signalements ont été rapportés à Montréal et, surtout, dans quels secteurs ils ont été faits le plus souvent. Le citoyen engagé dit ainsi vouloir «mettre de la pression» sur la Ville de Montréal pour que celle-ci traite les demandes au service de requêtes et de plaintes 311, ce qui n’est pas le cas actuellement. «Il manque quelque chose en ce moment au niveau municipal. Tant qu’à moi, il devrait y avoir une tuile carrément dédiée au signalement des trottinettes mal garées à la ville-centre. Je ne dis pas de traiter ces informations-là, mais au moins de les transférer à Lime.» -Le fondateur de SignalerLime, Pascal Robichaud Spécialisé en données ouvertes depuis 2005 – il détient notamment le compte DO101 MTL sur Twitter et y partage des centaines de données –, Pascal Robichaud estime qu’il faut revoir les règles en matière de signalétique notamment. «J’ai un peu l’impression qu’on a voulu faire ça simple. Le marquage au sol n’est pas suffisant dans les rues de Montréal. Ce n’est pas toujours évident pour les usagers de s’y retrouver. Ça prend des panneaux de signalisation», avance-t-il. Un règlement suffisant contre Lime? La Ville de Montréal a annoncé vendredi qu’elle modifiera en octobre le règlement encadrant les trottinettes électriques de Lime sur son territoire, afin de pouvoir punir plus facilement l’entreprise et ses clients lorsque ces engins sont mal garés. Les autorités remettront une amende de 50$ aux clients de Lime ayant mal stationné leur trottinette, s’ils sont pris sur le fait. Les sanctions seront remises tant par les inspecteurs du domaine public et de l’Escouade mobilité que par les policiers. Si l’usager fautif n’est pas sur place, c’est l’opérateur qui recevra une amende de 100$. Pour Pascal Robichaud, l’intention est bonne, mais pas suffisante. «Je n’y crois pas vraiment en réalité, tranche-t-il. Si personne ne rapporte d’infractions, ça ne servira à rien. Même les policiers qui en voient, je pense qu’ils ont d’autres préoccupations.» Celui qui est chargé de projet en informatique dans la vie envisage actuellement de développer un système semblable pour les vélos JUMP. «Un bon nombre» de ces engins seraient aussi mal stationnés ou mal compris selon lui. Cette seconde plateforme devrait voir le jour d’ici une ou deux semaines, promet M. Robichaud. Vifs débats au conseil municipal Lors d’un débat au sujet des trottinettes Lime, lundi au conseil municipal, la mairesse de Montréal Valérie Plante est revenue sur les problèmes de gestion entourant ces engins électriques. «Moi, je ne vais pas jeter le bébé avec l’eau du bain, a-t-elle insisté. Au contraire, on va continuer à travailler à améliorer les pratiques et responsabiliser les compagnies […] pour que les Montréalais aient l’offre de mobilité la plus intéressante possible.» Le chef de l’opposition, Lionel Perez, s’est quant à lui indigné que la Ville de Montréal veuille accroître le service de Lime dans des nouveaux arrondissements, dont Rosemont–La-Petite-Patrie, alors que la situation demeure instable. «L’administration parle des deux côtés de la bouche. On ne peut pas d’un côté parler de problématiques en droit civil et, de l’autre, s’étendre dans d’autres secteurs», a-t-il protesté, parlant d’une «incohérence totale». Appelée à réagir lundi, Lime n’a pas souhaité répondre aux questions de Métro. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2377956/une-plateforme-citoyenne-pour-signaler-les-trottinettes-lime-mal-garees/
  5. Essor de l’est: où seront investis les 100M$ promis par Québec? Photo: Archives Métro Média | L’est de Montréal et ses secteurs industriels de la Pointe-de-l’Île et Assomption-Sud-Longue-Pointe ont le potentiel de devenir de véritable pôle d’emploi et des accélérateurs du développement économique de Montréal, selon la Ville. Journal Métro | Économie | 18:30 | 12 septembre 2019 | Par: Amélie Gamache Des investissement majeurs sont prévus au cours des prochaines années pour revaloriser les espaces industriels de l’est de Montréal. Les acteurs économiques se mobilisent et présenteront bientôt des plans d’actions détaillés, où seront priorisés deux zones : les secteurs industriels de la Pointe-de-l’Île et de l’Assomption-Sud-Longue-Pointe. L’entente conclue en mars avec le gouvernement caquiste prévoit que 100M$ seront investis pour des travaux de décontamination, de réaménagement ou de revalorisation des terrains. De telles sommes ne seront pas dépensées sans tenir compte les enjeux de mobilité et de qualité de vie des résidents, assure Daniel Mathieu, du service du développement économique de Montréal. «Pour le secteur l’Assomption-Sud-Longue-Pointe, la vision est déjà allée en consultation via l’Office de consultation publique de Montréal, et le rapport a été déposé», rappelle-t-il. Avant d’aller de l’avant avec la création d’un écoparc dans ce secteur, l’organisme soulignait notamment dans son rapport que le transport collectif doit être amélioré, et incitait la ville à agir «dès maintenant» pour réduire les nuisances auprès des citoyens. Une vision à définir pour la Pointe-de-l’Île Dans le cas du secteur industriel de la Pointe-de-l’Île, la vision est toutefois en cours d’élaboration, admet M. Mathieu. Des discussions se déroulent actuellement avec différents partenaires, dont la Chambre de commerce de l’est de Montréal et le Conseil régional de l’environnement, afin d’unifier les visions sectorielles développées par les diverses instances. Un document portant sur cette vision préliminaire devrait être soumis en consultation au cours de l’automne. «On parle beaucoup d’une transition écologique dans ce secteur, mais il y a des actifs sur lesquels on peut miser, souligne-t-il. La logique d’économie circulaire fait sa place, par exemple.» Dans les deux cas, des plans d’actions concrets, détaillant où et quand seront investis les montants disponibles, doivent être déposés en mars 2020. Les terrains à décontaminer en priorité seront alors identifiés, et les dépenses liées aux infrastructures à construire seront précisées. Les investissements s’étaleront ensuite entre 2020 et 2024. Le secteur Assomption-Sud-Longue-Pointe S’étalant sur un territoire de 1km par 3km, le secteur Assomption-Sud-Longue-Pointe est délimité par l’avenue Souligny, les installations du Port de Montréal, la gare de triage Longue-Pointe et l’autoroute 25. On y retrouve notamment le quartier résidentiel Guybourg, des parcs industriels et une base militaire. On y prépare le projet de «Cité de la logistique», récemment redéfini et renommé «Écoparc industriel». Le secteur industriel de la Pointe-de-l’Île D’une superficie de 30 km2, le secteur comprend des territoires situés dans la ville de Montréal-Est ainsi que les arrondissements de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles et d’Anjou. Traversé par l’autoroute 40 et bordé au sud par la rue Notre-Dame, et au nord par le boulevard Maurice-Duplessis. Jadis le royaume des raffineries, le secteur est en redéfinition depuis quelques années. https://journalmetro.com/local/mercier-anjou/2376157/essor-de-lest-ou-seront-investis-les-100m-promis-par-quebec/
  6. Référendum pour le projet Marinier à Lachine Photo: Messager Lachine & Dorval - Archives | Un registre d’approbation référendaire a été ouvert concernant l’ajout du quatrième étage du projet immobilier Le Marinier, sur Saint-Joseph, dont la hauteur inquiétait déjà les voisins en mars. Messager Lachine & Dorval | Actualités | 08:59 13 septembre 2019 | Par: Olivier Croteau Près d’un an après avoir été présenté à la population de Lachine, le projet immobilier Le Marinier, prévu sur le boulevard Saint-Joseph en face de la Marina d’escale, ira en référendum. La hauteur des deux bâtiments, dont les plans pourraient être révisés, est au cœur des nombreuses contestations depuis des mois. Plusieurs voisins craignent notamment de perdre leur vue actuelle sur le fleuve. «Je ne comprends pas pourquoi le projet doit être si près de nous, a indiqué la Lachinoise Wendy Fisher, habitant derrière l’ancien restaurant Topaze. Je suis consciente qu’il y aura beaucoup d’arbres sur le terrain, mais au final, je me retrouverai à regarder une bâtisse.» Le projet de quatre étages, dont la hauteur dépasserait l’immeuble voisin d’environ un demi-étage, a toutefois déjà subi plusieurs changements imposés par l’arrondissement. Selon les plan, la nouvelle construction a notamment été reculée afin de libérer la vue des voisins. «Le projet initial présenté au conseil, il y a de cela trois ans, était complètement différent, révèle la mairesse d’arrondissement, Maja Vodanovic. Il prenait tout l’espace du terrain, jusqu’à la rue, et était plus volumineux. Les urbanistes ont travaillé fort pour créer le meilleur compromis pour tout le monde.» Respectant le zonage actuel, le promoteur Développement Lachinerye, serait pourtant dans ses droits de construire son complexe d’une soixantaine d’unités de condos plus haut que les immeubles actuels. Étage commercial La présence de commerces au rez-de-chaussée faisait également partie des inquiétudes soulevées lors de la dernière séance du conseil. Plusieurs autres locaux vacants de l’arrondissement pourraient servir à cette fin, selon Judith Bergeron, l’une des voisines. «Je me questionne sur la pertinence d’avoir un bâtiment […] à espace commercial étant donné que sur Saint-Joseph, il y a quand même des bâtiments qui sont [libres] depuis plus de dix ans, a-t-elle souligné. Il y a aussi une partie de la rue Notre-Dame dont les espaces commerciaux ne sont pas aménagés.» L’entente avec le promoteur, qui ne souhaitait pas faire de commercial, était dans l’intérêt de l’arrondissement d’accroître le commerce de proximité et de redonner un brin de vie près du parc de la marina. «On pensait que c’était une bonne idée, car on voulait garder la rue Saint-Joseph commerciale, précise Mme Vodanovic. D’où l’aspect du stationnement souterrain. Il y a aussi un corridor ouvert pour relier le projet à la rue Notre-Dame. On croyait avoir le meilleur des deux mondes, mais si les gens s’y opposent, ça n’aura pas lieu, c’est tout.» Ouverture de registre Après avoir recueilli plus de 74 signatures, excédant de loin les 12 nécessaires, un registre a été ouvert pour l’approbation référendaire concernant l’ajout du quatrième étage à la bâtisse. La date demeure inconnue pour l’instant. L’équipe de l’arrondissement est en attente de la documentation du Directeur général des élections du Québec. Le nombre de signatures requises et la date formelle seront annoncés au cours des prochaines semaines au moyen d’avis publics. Les gens pourront ensuite se rendre à l’hôtel de ville pour signer le registre. https://journalmetro.com/actualites/2376391/referendum-pour-le-projet-marinier-a-lachine/
  7. Chuck-A

    Golf Île-des-Soeurs

    Coup de théâtre au golf de L’Île-des-Soeurs Photo: IDS/Verdun Hebdo – Archives | Le bail emphytéotique est d’une durée de 40 ans, avec une possibilité de prolongation de 30 ans est en jeu dans le bras de fer qui oppose les gestionnaires du golf à l’administration Parenteau. Journal Métro | Verdun | 13:40 | 12 septembre 2019 | Par: Laurent Lavoie Le maire de l’arrondissement Verdun, Jean-François Parenteau, ne pourra entamer de démarches judiciaires pour résilier le bail du Golf Exécutif Montréal comme il souhaitait le faire au conseil de la semaine dernière. Dans un autre revirement, les gestionnaires du golf de L’Île-des-Sœurs ont déposé un avis d’arbitrage quelques heures avant la séance. À l’ordre du jour, une motion devait être votée pour mandater les Services juridiques de la Ville de Montréal. Ce point a été retiré à la suite des procédures au civil de Pierre Émond. Le bail, ratifié en 2007 par les deux partis, prévoit que si le golf ne respecte pas ses engagements, l’arrondissement est en droit de soumettre un avis de résiliation. Après avoir pris connaissance des intentions de l’arrondissement dans les médias, les gestionnaires de l’entreprise avaient vivement réagi. «On est là pour rester», avait dit en entrevue avec IDS/Verdun Hebdo le vice-président de Golf Exécutif Montréal, Guillaume Boulanger. Pour mieux comprendre la saga Le bail du Golf Exécutif Montréal à L’Île-des-Sœurs bientôt résilié ? – 3 septembre 2019 Déception autour du nouveau golf – 4 septembre 2018 Golf de L’Île-des-Soeurs : ouvert, mais déserté – 29 août 2018 Golf de luxe – 14 juin 2018 Mésententes Les points en litige sont nombreux. Les forfaits sont jugés hors de prix et le caractère public ne semble pas être respecté. Le mot «public » ne figure pas dans le bail et la définition est source de désaccords. Par ailleurs, le puissant éclairage le soir est considéré comme une nuisance pour le voisinage. Des mesures ont d’ailleurs été prises pour répondre aux critiques citoyennes. Toutefois, l’éclairage aurait été approuvé par l’arrondissement selon M. Boulanger. Une motion a toutefois été adoptée au dernier conseil du 3 septembre afin de soumettre une injonction pour régler la problématique. Finalement, Golf Exécutif Montréal ne se conforme pas aux exigences écologiques des termes du bail avec l’administration de Verdun. En plus d’arroser le terrain avec de l’eau potable, le golf refuse de défrayer une partie de l’installation d’une station de pompage. L’entente ratifiée en 2007 ou le certificat délivré par le ministère de l’Environnement ne font pas mention de l’obligation d’utiliser de l’eau brute du fleuve. De plus, les gestionnaires estiment que les 31 M$ investis compensent largement, ajoutant que le terrain dont ils ont pris possession a dû être décontaminé à grands frais. https://journalmetro.com/local/verdun/2375926/coup-de-theatre-au-golf-de-lile-des-soeurs/
  8. Tel que mentionné par @danny12345 sur un autre fil de discussion, on semble en effet préparer le bétonnage du tablier au-dessus du canal. J'imagine que cette procédure ressemblera bien à celle qui a été utilisée pour le viaduc du Quartier [Dix30] à Brossard, si on compare les photos du lien ci-dessous.
  9. Il est intéressant de voir comment ce viaduc a été coulé dans le béton (désolé pour les photos qui datent de quelques mois; on ne les trouvait pas sur ce fil...). Celui du REM au-dessus du Canal Lachine sera probablement conçu ainsi. À suivre sur un autre fil de discussion... Juin 2019 Juillet 2019 Juillet 2019 Juillet 2019 https://www.brossard.ca/services/chantiers-et-grands-projets/grands-projets/secteur-c/viaduc-du-quartier
  10. Moins d’arrêts de service, ça « métro » de bonne humeur! Salle de presse | 13 septembre 2019 Suite aux récentes campagnes de communication sur les arrêts de service, les efforts des clients et de la STM ont contribué à réduire de 17 % les interruptions liées aux clients. Les deux campagnes de sensibilisation sur les arrêts de service menées par la STM depuis l’automne 2018 sous le thème « Ensemble, faisons notre part pour diminuer les arrêts de service dans le métro », combinées aux efforts de l’entreprise, ont eu des effets probants. Ainsi, les interruptions de 5 minutes et plus liées à la clientèle ont été en baisse notable lors des six premiers mois de 2019 : Personne blessée ou malade : - 7 % Personne sur la voie : - 45 % Portes retenues : - 36 % Objets échappés sur la voie : - 17 % Au total, ce sont près de six heures, ou 353 minutes, d’arrêts de service qui ont pu être évitées sur une période de six mois. Cette réduction notable a ainsi eu un impact concret sur la qualité du service offert dans le métro. Face à ces résultats, la STM remercie ses clients de leurs efforts avec la troisième phase de la campagne « Les conseils de Michèle ». Michèle dit merci! Pour cette nouvelle itération, qui débute aujourd’hui pour une période de quatre semaines, la STM souligne les efforts de ses clients de façon positive et humoristique et les encourage à poursuivre dans la même voie, parce que « réduire les arrêts de service, ça MÉTRO de bonne humeur », comme le stipule un des messages. Les contenus seront déclinés en annonces sonores, affichage, placement média et sur les médias sociaux. Un concours est d’ailleurs prévu sur la page Facebook de la STM (STM – Mouvement collectif) à l’intention des plus créatifs, qui pourront concocter leur propre jeu de mots contenant le nom d’une station de métro. Chaque semaine, le public pourra voter pour sa proposition préférée et plusieurs prix intéressants seront à gagner, dont des produits issus de la boutique STM et le grand prix, un an de transport collectif gratuit. Le travail se poursuit La STM accueille favorablement ces résultats et remercie ses clients de faire leur part. De son côté, elle poursuit également son travail pour assurer un service de métro fiable, un des éléments fondamentaux pour assurer la qualité de l’expérience client. La mise en place des mesures prévues à la Phase 1 du Mouvement orange, l’accélération des investissements dans le maintien et le renouvellement des infrastructures souterraines et la livraison graduelle, à compter du printemps 2020, des 17 trains AZUR supplémentaires destinés à la ligne verte contribuent à cet engagement. Après une diminution de 9 % des arrêts de service (toutes causes confondues) en 2018, la tendance se poursuit pour les six premiers mois de 2019 avec une baisse de 18 %. Visuels de la campagne
  11. Merci beaucoup @KOOL d'avoir ajouté ce lien. Je croyais (possiblement à tort) que le lien FB pouvait tout de même s'offrir pour les forumeurs de Mtlurb afin qu'ils puissent y voir le vidéo, même s'ils n'étaient pas utilisateurs de facebook. Je le saurai pour la prochaine fois.
  12. Nouveau vidéo sur les travaux de modernisation du tunnel du Mont-Royal à venir sur la page FB du REM:
  13. Le projet de livraison urbaine écologique Colibri prend son envol MONTRÉAL, le 12 sept. 2019 /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Ville-Marie a donné le coup d'envoi au projet pilote de livraison urbaine écologique Colibri, sur le site de l'ancienne gare d'autocars de Montréal, situé sur le boulevard De Maisonneuve Est, entre les rues Berri et Saint-Hubert. Ce projet vise à améliorer la qualité de vie dans le centre-ville en réduisant les impacts du dernier kilomètre de livraison en troquant les camions de livraison pour des véhicules plus efficaces, plus économiques et plus écologiques. « Je suis ravie du lancement d'un projet novateur et soutenu par des partenaires motivés à tester les solutions de livraison de demain, plus respectueuses de l'environnement. Le projet Colibri contribuera non seulement à la transition écologique de notre métropole, mais aussi à l'amélioration de la sécurité des usagers de la route, en diminuant la présence des camions au centre-ville. Montréal se positionne comme un laboratoire logistique de premier plan et j'en suis très fière! », s'est réjouie Valérie Plante, mairesse de Montréal et de l'arrondissement de Ville-Marie. « Le développement des technologies vertes et la croissance du commerce en ligne créent un contexte favorable à l'émergence de nouvelles solutions de livraison. En expérimentant des méthodes de livraison de colis qui brisent les conventions, le projet Colibri réaffirme l'esprit d'innovation qui anime la ville de Montréal », a mentionné Robert Beaudry, conseiller de la Ville du district de Saint-Jacques et responsable du développement économique et commercial au comité exécutif. « Jalon mtl est très heureux d'accompagner le projet Colibri. Depuis bientôt deux ans, notre équipe travaille sur les problématiques de logistique urbaine avec grand intérêt. Accélérer l'innovation en logistique urbaine est un enjeu incontournable pour faire avancer nos sociétés vers une mobilité plus durable et partagée. En ce sens, la plateforme d'innovation qu'est le projet Colibri permettra d'évaluer des pistes de solutions concrètes sur le déplacement des biens », a souligné Jean-François Tremblay, président-directeur général de Jalon mtl. « Nous sommes fiers de nous associer à la Ville de Montréal afin de révolutionner la livraison urbaine grâce à des vélos cargo électriques qui peuvent sillonner facilement tous les recoins du centre-ville sans émettre le moindre gaz polluant. Ce projet s'inscrit dans notre plan d'investissement quinquennal de plus d'un milliard de dollars Offrir l'avenir, conçu pour assurer l'avenir de nos activités et transformer l'expérience de nos clients », a expliqué John Ferguson, président et chef de la direction de Purolator. Le projet Colibri Dès septembre 2019, diverses méthodes de livraison des colis par vélos cargos électriques seront testées en collaboration avec des partenaires transporteurs volontaires : Chasseurs Courrier Courant Plus La roue libre LVM Livraison Purolator L'Arrondissement souhaite aussi explorer d'autres pistes innovantes de livraison urbaine avec des partenaires privés et institutionnels. Le pôle d'expérimentation en mobilité qui verra le jour sur le site de l'ancienne gare d'autocars permettra d'évaluer l'efficacité de ces nouveaux modes de transit des marchandises. Ce projet transitoire permettra aussi de dynamiser le secteur en attendant la réalisation du projet mixte prévu sur le site. Aménagements du site Les aménagements du site comprennent un kiosque, conçu à partir de conteneurs recyclés, aux abords du boulevard De Maisonneuve Est. Actuellement utilisé comme zone de repos pour les livreurs, le kiosque deviendra une vitrine de la mobilité ouverte à tous. Des vélos BIXI et des voitures en libre-service car2go et Communauto sont accessibles à proximité du kiosque, créant un véritable pôle de mobilité pour les résidents. Les activités des partenaires transporteurs se tiennent à l'arrière du bâtiment, près de la ruelle de la Providence. Le projet Colibri est mené de concert avec le Service du développement économique de la Ville de Montréal et Jalon mtl, un organisme expert dans le domaine de la mobilité durable et intelligente. Ce projet pilote de livraison urbaine écologique s'inscrit dans le Plan local de déplacements (PLD) présenté à l'automne 2019, ainsi que dans le plan Bâtir Montréal de la Stratégie de développement économique. SOURCE Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie https://www.lelezard.com/communique-18926970.html
  14. Je ne sais pas si c'est CE tweet, mais en voici un avec plusieurs photos intéressantes !
  15. À la vitesse que les travaux progressent, j'ai bien l'impression qu'ils arriveront au tunnel du Mont-Royal avant Noël ! On semble être bien avancé au niveau de l'excavation de la galerie, qui devrait faire environ 20 mètres de longueur (avant de percer la paroi du tunnel). Ils seront prêts lors de la phase majeure de restauration du tunnel et de la construction de la station souterraine qui doivent débuter le 6 janvier prochain. On devrait également penser à installer une 3e caméra de ce chantier (genre "Édouard-Montpetit 3") sur Devisubox au niveau de la galerie. Il serait intéressant de voir ce qui se trame tout en bas de cet immense trou !
  16. Selon l'esquisse fournie en janvier dernier (voir ci-dessous), cette section de la station ne serait pas vitrée ni en bois. J'imagine qu'elle correspond à des salles électriques, mécaniques ou tout autre,... et nullement reliée au quai d'embarquement des usagers du REM...
  17. Amorce de la troisième phase des travaux et excavation des galeries UDEMNOUVELLES | LE 11 SEPTEMBRE 2019 | NATACHA MONNIER CRÉDIT : REM/NOUVLR EN 5 SECONDES - L’excavation du puits de la station Édouard-Montpetit atteint maintenant 58 m et sera bientôt terminée. La phase 3 des travaux débutera sous peu et se poursuivra jusqu’à l’hiver 2020. L’excavation du puits de la station Édouard-Montpetit arrive à son terme avec près de 60 m de profondeur. Cette deuxième étape des travaux commencée il y a un an a permis d’atteindre la profondeur requise pour entamer l’excavation des galeries horizontales. L’objectif de cette troisième phase de travaux, qui s’échelonneront jusqu’à l’hiver 2020, est de procéder à l’excavation horizontale des galeries (mezzanine, tunnel de ventilation, quais) afin de rejoindre le tunnel sous le mont Royal, dans lequel circuleront les trains du Réseau express métropolitain (REM). Microdynamitages L’excavation des galeries horizontales est caractérisée par des microdynamitages de tunnels (horizontaux). La durée de ce type de dynamitages est plus longue (de six à huit secondes) et la vibration ressentie est plus importante, bien qu’il n’y ait aucun changement dans la puissance de charge. Le bruit et les vibrations des microdynamitages sont plus perceptibles en raison de la longueur des dynamitages, de la résonance provoquée par la profondeur du puits, du déplacement d’air plus grand et du changement dans l’emplacement de l’équipement. Les quatre fenêtres potentielles de microdynamitage restent les mêmes, à savoir de 11 h à 11 h 15, de 15 h 30 à 16 h, de 19 h à 19 h 30 et de 21 h à 21 h 30. Les équipes à l’œuvre prévoient de deux à trois microdynamitages par jour. Mesures d’atténuation Les mesures de surveillance et le programme de suivi jour et nuit mis en œuvre lors de la deuxième phase des travaux restent en vigueur pour l’excavation des galeries. La présence des stations de mesure du bruit et de la qualité de l’air de même que les sismographes installés autour du chantier permettent de veiller au respect des normes de qualité, de santé et de sécurité auxquelles le projet doit se conformer. Le nombre de camions restera le même, soit environ deux camions par heure. Les heures d’interdiction de circulation des camions lourds seront maintenues, soit de 7 h 30 à 8 h et de 15 h à 15 h 20 en face de l’école primaire. Fin de l’interdiction de circuler L’interdiction de circuler autour du chantier durant les dynamitages est maintenant levée, en raison de la profondeur de l’excavation. Atteinte du seuil souterrain de 58 m de profondeur Depuis la période estivale, des microdynamitages de puits (verticaux, courts) et des microdynamitages de tunnels (horizontaux, longs) se produisent en alternance en vue de finaliser le puits principal, qui atteint maintenant 58 m de profondeur. À partir de la fin du mois de septembre, seuls des microdynamitages horizontaux seront effectués. Chaque microdynamitage est contrôlé et s’exerce sur de petites sections de roc afin de faciliter l’excavation et de réduire au maximum les effets de cette opération. Ces imposants travaux permettront d’atteindre 70 m de profond, soit l’équivalent de 20 étages, et d’installer des ascenseurs permettant de transporter près de 5000 personnes à l’heure. La station Édouard-Montpetit deviendra la deuxième en Amérique du Nord pour la profondeur (70 m), après Washington Park à Portland, aux États-Unis (79 m). Informations additionnelles sur le REM L’équipe du REM sera présente dans le hall d’entrée du pavillon Marie-Victorin le 12 septembre, de 11 h 30 à 13 h 30, pour répondre aux questions sur les travaux. Pour suivre l’évolution du chantier en images: https://rem.info/fr/albums/centre-ville. Pour accéder à la documentation présentée dans les comités de bon voisinage du chantier: https://rem.info/fr/evenements. Site Web du REM: rem.info/. https://nouvelles.umontreal.ca/article/2019/09/11/amorce-de-la-troisieme-phase-des-travaux-et-excavation-des-galeries/
  18. Et bien. Lime (filiale de Google) demande maintenant à ses usagers de faire ce qui peut s'apparenter à du "lobbying" auprès de la ville. Est-ce un début ? Pour le moment, c'est plutôt "soft" (i.e. par courriel). Verra-t-on un jour quelconques usagers d'un service se faire offrir de beaux t-shirts ou autres items afin qu'il soit ouvertement affiché en faveur d'un service... comme de simples hommes-sandwichs, du style : « Go Bixi Go !! » ou bien « Vive le [futur] REM !! » ? Trottinettes libre-service: Lime mobilise ses usagers PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE | Depuis le lancement des trottinettes noires et vertes, le 13 août dernier, plusieurs bolides à deux roues sont abandonnés en dehors des zones qui leur sont réservées. Lime a mobilisé ses utilisateurs, cette semaine par courriel, pour qu’ils encensent le service de trottinettes en libre-service auprès d’élus montréalais. La filiale de Google espère que les messages de ses usagers auront du poids dans la décision de la Ville de renouveler ou non le permis de l’entreprise au terme du projet pilote. Publié le 11 septembre 2019 à 14h46 | ÉMILIE BILODEAU | LA PRESSE «Nous avons besoin de vous pour que le conseil municipal de Montréal sache pourquoi vous appuyez les trottinettes électroniques Lime dans votre ville en envoyant un courrier électronique personnel», écrit Lime, dans le message envoyé à tous ses usagers, mardi. Les utilisateurs sont ensuite dirigés vers un formulaire où on leur rappelle qu’ils contribuent à réduire les embouteillages et la pollution et, surtout, où ils peuvent vanter les avantages de Lime. Leur message est automatiquement transféré à Valérie Plante, mairesse de Montréal, à Éric Caldwell, conseiller responsable de la mobilité et à Sophie Mauzerolle, conseillère associée à l’urbanisme et la mobilité. Depuis le lancement des trottinettes noires et vertes, le 13 août dernier, plusieurs bolides à deux roues sont abandonnés en dehors des zones qui leur sont réservées. La majorité des utilisateurs roulent également sans casque alors que celui-ci est obligatoire. OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE La première phase du projet-pilote doit se terminer le 15 novembre prochain et déjà, Lime prend les mesures pour que ses véhicules soient de retour au printemps prochain. «Nous espérons que la Ville va comprendre que nous sommes une entreprise responsable […] Nous espérons qu’elle va examiner ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas et que nous pourrons revenir avec la phase 2. Nous savons que le service est très populaire à Montréal», a déclaré Christopher Schafer, directeur principal, développement stratégique de Lime au Canada, lors d’une rencontre avec les médias, mercredi matin. Le 23 août dernier, la Ville de Montréal a en effet fait parvenir une lettre à l’entreprise Lime pour lui faire part de son mécontentement quant aux nombreuses trottinettes mal stationnées. Contactée par La Presse, la Ville tient toujours ce discours. Elle fera d’ailleurs le bilan du premier mois d’opération des trottinettes en libre-service plus tard cette semaine. Lime rappelle qu’en louant une trottinette, les utilisateurs reçoivent chaque fois un message leur rappelant les règles. Celles-ci sont également affichées sur un carton plastifié récemment ajouté au guidon des trottinettes. Pour le moment, aucun utilisateur n’a été sanctionné pour un mauvais stationnement. Lime affirme qu’elle est en «période d’éducation» et non de sanction. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201909/11/01-5240788-trottinettes-libre-service-lime-mobilise-ses-usagers.php
  19. Audio: Ce matin à l'émission Puisqu'il Faut Se Lever (au 98.5 FM😞 Mesure d’atténuations pour pallier aux travaux du REM: Sara Bensadoun, MTQ & Harout Chitilian, Caisse de dépôt et placement du Québec-Infra. Avec Paul Arcand https://www.985fm.ca/extraits-audios/opinions/248733/mesure-dattenuations-pour-pallier-aux-travaux-du-rem-sara-bensadoun-mtq-harout-chitilian-caisse-de-depot-et-placement-du-quebec-infra
  20. J'imagine que l'on en connaîtra un peu plus sur ce projet demain... Avis aux médias - Coup d'envoi du projet pilote de livraison urbaine écologique MONTRÉAL, le 11 sept. 2019 /CNW Telbec/ - En présence de la mairesse de Montréal et de Ville-Marie, madame Valérie Plante, et du conseiller de la Ville et responsable du développement économique et commercial au comité exécutif, monsieur Robert Beaudry, l'arrondissement de Ville-Marie vous convie au lancement officiel du projet pilote de livraison urbaine écologique. Vous assisterez au coup d'envoi d'un véritable pôle d'expérimentation en mobilité intégré au quartier qui façonnera le centre-ville grâce à des flux de marchandises totalement repensés. Les partenaires et les différents modèles de vélos cargos électriques seront également dévoilés. DATE : Le jeudi 12 septembre 2019 HEURE : 13 h 30 LIEU : Site de l'ancienne gare d'autocars de Montréal, devant le kiosque aux abords du boulevard De Maisonneuve Est, entre les rues Saint-Hubert et Berri SOURCE Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie https://www.lelezard.com/communique-18923690.html
  21. Trains de banlieue: exo montrée du doigt pour le manque de sécurité Photo: Josie Desmarais/Métro | Une série de mesures d’atténuation ont été annoncées hier pour plusieurs secteurs touchés par les travaux du Réseau express métropolitain (REM), dont Deux-Montagnes et Mascouche. Montréal | 16:02 | 10 septembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina | Métro Trains à pleine capacité, gens entassés «comme des sardines», quais remplis. Des usagers de la ligne Deux-Montagnes dénoncent une certaine insouciance de la part d’exo concernant la sécurité de sa clientèle. Mardi, 8h. Rémi Achkar partage deux clichés (ci-dessous) d’un événement survenu à la station Montpellier. On y voit des navetteurs entassés ayant du mal à même libérer les portes. La toile s’enflamme alors. Cédric Boileau, un résidant de Pointe-Calumet habitué des services de trains de banlieue, déplore que l’intégrité physique des usagers soit compromise. Il demande l’action immédiate de l’entreprise pour diriger les gens vers d’autres moyens de transport, dont le bus. «Même le bétail voyage dans des meilleures conditions. Qu’en est-il de notre sécurité?», dit-il. À ce sujet, le porte-parole d’exo, Louis-André Bertrand, indique à Métro des «comités tactiques quotidiens» suivent de près la situation d’engorgement des gares. Trois autobus arrivent «en boucle», chaque fois qu’un train descend à une station, afin de permettre une plus grande mobilité des usagers. Obstruction des voies C’est en raison d’un véhicule routier obstruant la voie ferrée que les trains ont eu 15 minutes d’intervalle avec l’horaire habituel, selon le porte-parole. «Ils sont arrivés à quatre minutes d’intervalle à la gare Montpellier. Du coup, les clients des deux trains se sont trouvés sur le quai en même temps», justifie-t-il. Il rappelle que la rentrée scolaire est, chaque année, «une période d’ajustement dans les transports collectifs» à laquelle exo n’échappe pas. «La situation se rétablit habituellement en quelques semaines quand les nouvelles habitudes de déplacement sont intégrées par les utilisateurs», poursuit M. Bertrand. La sécurité respectée, dit exo Exo assure aussi à sa clientèle que «des autobus en nombre suffisant sont prévus pour transporter l’ensemble des usagers». D’autres autocars seraient même en réserve, «au besoin». «On s’assure que les normes de charge et de sécurité soient respectées en tout temps..» -Louis-André Bertrand, porte-parole d’exo En matière de sécurité, l’entreprise affirme que le nombre de personnes à bord des trains «respecte les normes de charge». «Nos mesures de sécurité ont été ajustées à l’achalandage de la ligne et à différentes situation d’urgence», insiste-t-on également. La nouvelle a fait réagir toute la journée sur le groupe Facebook Mouvement/Rally Train Deux-Montagnes, qui comporte près de 3000 membres. «Les enfants avaient vraiment de la difficulté à trouver de la place pour entrer», y témoigne entre autres un internaute. Une action collective, des mesures de mitigation Une demande d’autorisation d’exercer une action collective contre exo est organisée par des résidants. L’objet concernerait surtout «les retards et les annulations de train depuis novembre 2017» pour les lignes Mascouche et Deux-Montagnes, qui ont eu lieu à plusieurs reprises depuis deux ans. La demande, qui sera présentée les 3 et 4 octobre prochains au tribunal, pourra faire l’objet d’une poursuite si elle est approuvée par un juge. Une série de mesures d’atténuation ont été annoncées hier pour plusieurs secteurs touchés par les travaux du Réseau express métropolitain (REM). Deux-Montagnes et Mascouche, qui n’atteindront plus le centre-ville à partir de janvier 2020, sont les plus concernés. Une navette gratuite ira notamment de Deux-Montagnes jusqu’à la gare de Bois-Franc, puis de celle-ci à la station de métro Côte-Vertu. Le trajet pour se rendre au centre-ville prendra ainsi 1h05, excluant le temps de correspondance. Un trajet pareil demanderait 1h50 en voiture. Dans les secteurs Mascouche et Terrebonne, la ligne 30 ainsi que des navettes par bus iront jusqu’à la station Radisson. En moyenne, le trajet jusqu’au centre-ville prendra 1h15. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2374695/trains-de-banlieue-exo-montree-du-doigt-pour-le-manque-de-securite/
  22. L'achalandage s'accroîtra considérablement à la station de métro Côte-Vertu Des navettes transporteront des passagers entre la station de métro Côte-Vertu et la gare Bois-Francs pendant la fermeture du tunnel Mont-Royal. | PHOTO : RADIO-CANADA Radio-Canada | Publié à 16 h 55 La fermeture du tunnel Mont-Royal, nécessaire à la construction du Réseau express métropolitain (REM), amènera 8000 personnes de plus à transiter par la station de métro Côte-Vertu aux heures de pointe, l'an prochain. Philippe Schnobb, président du conseil d'administration de la Société de transport de Montréal (STM), signale que des changements ont été apportés à la station Côte-Vertu de manière à ce qu'elle puisse accueillir plus de passagers. Nous avons mis en circulation deux trains de plus sur la ligne orange il y a quelques semaines, ce qui va augmenter la capacité, affirme M. Schnobb. À compter de janvier 2020, des navettes circuleront de 5 h 30 le matin jusqu'à 0 h 45 en fin de soirée afin de transporter des passagers entre la gare Bois-Francs et la station Côte-Vertu. Les navettes emprunteront des voies réservées sur la rue Grenet, et le trajet sera d'une quinzaine de minutes. M. Schnobb affirme que la STM évaluera la situation pour déterminer si des autobus supplémentaires seront nécessaires. Malgré tout, les capacités de la station de métro Côte-Vertu, qui clôt la ligne orange dans l'ouest de Montréal, seront mises à rude épreuve lorsque le tunnel Mont-Royal fermera pendant deux ans, soit jusqu'en 2022. Une fermeture inévitable pour mener à bien le chantier du REM. La station Côte-Vertu elle-même sera fermée pendant 11 semaines à compter de l'été 2020. La STM doit y construire un garage souterrain pour les autobus qui utilisent la station en guise de terminal. Lundi, le gouvernement du Québec, l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et CDPQ Infra (filiale de la Caisse de dépôt et placement) ont annoncé l'injection de 192 millions de dollars pour atténuer les répercussions des travaux sous le mont Royal. À lire aussi : La STM se donne des moyens de désengorger la ligne orange Découvrez l'impressionnant chantier du REM, le futur métro automatisé Une station fortement congestionnée À l'heure actuelle, une vingtaine de lignes d'autobus terminent leur trajet à Côte-Vertu, une station déjà fortement congestionnée, selon le maire de l'arrondissement de Saint-Laurent, Alan DeSousa. M. DeSousa affirme que le Train de l'Est et la ligne Mascouche pourraient emprunter des trajets de rechange qui seraient plus près de la station Du Collège que de la station Côte-Vertu. Des discussions à cette fin sont en cours avec le Canadien National, dit-il. Le REM doit entrer en activité en 2021, entre la Rive-Sud et la gare Centrale. Le tronçon entre la gare Centrale et la gare Du Ruisseau, à Ahuntsic-Cartierville, qui comprend le tunnel sous le mont Royal, doit être mis en service en 2022. Avec les informations de CBC https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1294587/rem-tunnel-mont-royal-fermeture-metro-cote-vertu-achalandage
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