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franktko

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  1. ...Et en espérant que ce ne soit pas ce petit projet timide Place University-Saint-Jacques!
  2. Le stationnement appartient à la ville, qui pourrait vouloir y voir un projet s'y développer... Pourquoi modifier l'inscription "juste" pour biffer l'adresse?
  3. D'après le lien que tu nous a donné, ils ont modifié l'inscription en rayant l'adresse sur Saint-Jacques et en étendant le territoire visé. Serait-ce possible que ça inclus le stationnement entre Saint-Jacques et Notre-Dame?
  4. franktko

    d

    Me semblait que j'avais déjà lu quelque chose de semblable avant... http://beta.radio-canada.ca/nouvelle/686111/metro-londres-recuperation-chaleur-chauffage-maisons
  5. Fait longtemps... webcam
  6. franktko

    Zenith - 20 étages

    C'est possible que les plans montrent l'arrière et la façade nord?? Quand même pas mal différent...
  7. Extrait du bulletin Turcot septembre 2017 https://www.turcot.transports.gouv.qc.ca/fr/nouvelles-multimedia/bulletin-articles/Pages/septembre-2017.aspx ... Le début de la fin d'un échangeur cinquantenaire L'échangeur Turcot, tel qu'on le connaît, sera considérablement transformé au cours des prochains mois. Des 12 bretelles que comportait l'échangeur originel, 3 seulement seront toujours en place d'ici la fin de l'année. Plus qu'un simple changement de configuration, voilà une étape charnière où l'usager devra oublier ce qu'il connaît de l'échangeur actuel et où il devra apprendre de nouveaux itinéraires. L'automne 2017 marque bel et bien le début de la fin du célèbre échangeur montréalais, celui que l'on qualifiait d'« immense spaghetti routier » lors de son ouverture en 1967. Parmi les changements à venir, notons la mise en service du nouveau corridor de l'autoroute 20 en direction ouest entre les échangeurs Saint-Pierre et Turcot, et celle d'une partie du nouveau pont « signature » de l'autoroute 15 au-dessus du canal de Lachine. Les nouvelles configurations ne se feront toutefois pas sans entraves, la plus importante étant la fermeture de la bretelle qui va de l'autoroute 15 en direction nord à l'autoroute 20 en direction ouest, et ce, depuis le 25 septembre. Sans contredit, le maintien de la circulation sera le principal enjeu pour la prochaine année. Afin de maintenir un maximum de liens ouverts et de limiter les répercussions sur la circulation, pas moins de 28 ouvrages temporaires seront mis en service. Le Ministère invite donc les usagers de la route à prêter une grande attention à la signalisation de chantier afin d'arriver à bon port. Rappelons que, dans ce contexte de grands changements, votre GPS pourrait ne plus être à jour puisqu'il pourrait ne pas tenir compte des derniers détours et ainsi transmettre des indications erronées. La signalisation de chantier, elle, sera toujours à jour. Le Ministère rappelle également à la population de planifier ses déplacements et de privilégier le transport collectif. Rappelons que 48,7 millions de dollars ont été investis dans le cadre de Mobilité Montréal pour financer des mesures d'atténuation en transport collectif. L'aménagement de la gare du canal de Lachine, l'ajout de service d'autobus et la création de voies réservées sont des exemples de mesures financées par Mobilité Montréal pour faciliter vos déplacements. Pour en savoir davantage sur les principaux changements à venir, voir sur le site Web du projet les présentations qui ont été faites lors de rencontres citoyennes au cours des dernières semaines.
  8. Le lien que tu as mis nous ramène toujours au début du mois d'août... utilise celui-ci pour avoir l'image courante: http://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&sRef=3VC5PZZ3H
  9. Deux réactions dans La Presse... ... http://plus.lapresse.ca/screens/c0ef3f30-5bc2-4886-ac4d-b7598da46b73|_0.html CHRONIQUE L’ENFIROUÂPAGE UBÉRISÉ YVES BOISVERTLA PRESSE Donc, Uber abandonnerait le marché québécois parce qu’on y forcerait ses chauffeurs à subir 35 heures de formation au lieu de… 25 ? C’est une sorte de blague, mais on dirait que de la Chambre de commerce aux écolos d’Équiterre, plein de gens prennent ça très au sérieux. Pour la Chambre de commerce, le départ d’Uber enverrait un « mauvais signal » aux investisseurs. Ce serait comme dire que le Québec est fermé à l’innovation et aux start-up. On peut se demander : à part des honoraires d’avocats et de la publicité, qu’est-ce qu’Uber a investi au Québec exactement ? Essentiellement, des clients du taxi ou d’autres moyens de transport ont payé des chauffeurs Uber, les profits allant à la maison mère plutôt qu’à Taxi La Salle, disons. En termes de création de richesse pour le Québec, ce n’est pas exactement la découverte de l’Amérique. Quelle terrible réputation nous fera-t-on ? Avez-vous peur, mesdames et messieurs ? *** Si c’est la même réputation que la très branchée ville d’Austin, Texas, je suis prêt à courir le risque… Austin, une ville universitaire où se tient chaque année South By Southwest, un festival de musique et de médias interactifs avec une forte composante techno, n’est pas devenue tout à fait un trou quand on y a mis Uber à la porte. Savez-vous quoi ? D’autres firmes de « partage » ont pris la place d’Uber. Soit en respectant les règles commerciales, soit en fonctionnant sans but lucratif pour faire du vrai covoiturage. Uber n’est pas l’alpha et l’oméga de la prétendue « Économie de partage » ni des start-updu transport. « Ce n’est pas vraiment difficile de créer une application de partage des courses qui respecte les règles », a dit au quotidien The Guardian un des patrons de RideAustin, qui a pris un bout du marché laissé vide par le départ d’Uber. Des pays pas spécialement arriérés comme le Danemark ont dit : ça suffit. Londres vient de les interdire. Y a pas juste au désert de Gobi qu’on les a bannis. *** Bref, ce n’est pas vrai qu’on n’a pas le choix entre, d’un côté, « des-taxis-pas-de-springs-vraiment-sales-avec des-chauffeurs-pas-fins-qui-vous-font-la-gueule-quand on-leur-montre-notre-carte-de-crédit »… … et, de l’autre, « des-voitures-tellement-propres-avec des chauffeurs-amènes-qui-vous-emmènent-au-bout-du monde et-au-bout-de-vos-rêves-pour-une-bouchée-de pain-et-dans-l’économie-du-partage-en-plus-c’est-le monde-de-demain-mon-vieux-j’en-pleure-c’est-trop beau ». Faux, archifaux. Je ris énormément en lisant que les gens d’Équiterre déplorent le départ de ce système de « covoiturage commercial ». L’expression elle-même est sublime : dès que deux êtres humains sont dans un véhicule, par définition, ils « covoiturent ». Si je prends un taxi, c’est-tu du covoiturage ? Je prendrais l’autobus, j’économiserais à l’environnement un déplacement en voiture, non ? Les chauffeurs d’Uber, que je ne blâme pas du tout ici en passant, ne font pas du « covoiturage ». Ils ne font pas monter quelqu’un qui se trouve sur leur trajet pour l’emmener avec eux et ainsi optimiser leur déplacement. Ils font… du taxi. Ils vont chercher des clients et les emmènent où ils veulent aller. J’aimerais bien savoir sur quelles données se fonde Équiterre pour affirmer qu’Uber contribue à « réduire les problèmes de congestion routière urbaine et les émissions de gaz à effet de serre ». On ne retire aucun véhicule. On peut même faire l’hypothèse que certains délaissent les transports en commun pour utiliser Uber (c’est vrai à l’aéroport), et donc augmenter la circulation. Quant à François Bonnardel de la CAQ, c’est encore plus comique. Selon lui, on envoie le message aux firmes de haute technologie venant s’installer ici qu’on les entrave. Encore une fois, Uber est venu chercher des clients, mais nullement installer sa haute technologie – sauf pour rouler l’impôt quand les gens de Revenu Québec sont entrés dans leur local, en faisant disparaître des données à distance. Ça, j’avoue, c’était de la super belle et haute technologie. Il y a d’autres options. *** Si les firmes high-tech s’installent ici, c’est parce qu’il y a des pôles de recherche et des secteurs d’excellence. L’intelligence artificielle à l’Université de Montréal et à McGill en est un exemple. Faut-il pour ça abolir l’environnement réglementaire ? Il est vrai que le taxi était figé dans l’ancien temps et avait besoin d’être secoué. Les années qui viennent vont bouleverser tous les secteurs, à peu près personne ne sera épargné. C’est vrai, il va falloir s’adapter. Il va falloir changer des habitudes. Il va falloir accepter que rien ne sera plus comme avant. Mais sous prétexte de nouveaux « modèles d’affaires » et de technologies révolutionnaires, l’État n’est pas obligé de s’écraser, d’abdiquer ses responsabilités, de laisser les revenus de taxes partir vers les paradis fiscaux. Encadrer les bouleversements qui s’annoncent, s’assurer de l’équité entre les concurrents, ce n’est pas résister au changement. C’est ne pas confondre économie du partage et intimidation technologique. Alors si 10 heures de formation de plus font fuir Uber, on ne me fera pas brailler. Je soupçonne que : 1) c’est des menaces pour soulever l’opinion publique (c’est très populaire !) ou 2) leur modèle fonctionne déjà moins bien au Québec, vu que les redevances y sont huit fois plus élevées que dans des villes ontariennes… ou les deux. Mais tout ça arrive comme par hasard en même temps que leur sympathique campagne de pub. M’est avis qu’ils se sont encore lancés dans une superbe manœuvre d’enfirouâpage du citoyen ubérisé. ... http://plus.lapresse.ca/screens/5f3d05f4-2bb0-4a68-930a-98bfce36466b|_0.html ÉDITORIAL À UBER DE SE CONFORMER… SINON, BYE-BYE ! FRANÇOIS CARDINALLA PRESSE Uber a lancé un ultimatum au gouvernement ? Pour quelques heures de formation ? Vraiment ? Eh bien si Uber veut s’en aller, qu’il s’en aille ! On préférerait qu’il reste ici pour toutes sortes de raisons, mais le devoir d’une entreprise est de se conformer à la réglementation du gouvernement, pas l’inverse. Et ce, même s’il s’agit d’une multinationale techno tout droit sortie de la Silicon Valley dont la capitalisation se chiffre en milliards US… Il est franchement de plus en plus difficile de se porter à la défense du bad boy californien, de son attitude de cowboy et de ses méthodes de négociation, comme si tout lui était dû, partout, tout le temps. Il était possible de comprendre son attitude de défiance des débuts, alors qu’Uber débarquait en zone hostile, confrontée à des monopoles d’entreprise qui bloquaient avec agressivité le moindre changement au transport des personnes depuis Mathusalem. Elle a donc dû marcher sur bien des orteils pour s’imposer dans les villes du monde, bousculer une industrie qui en avait besoin et réduire le recours à l’autosolo en s’intégrant au cocktail transport. Il aurait été difficile de faire autrement. Mais que cette entreprise profite aujourd’hui de la porte ouverte par un gouvernement volontaire pour imposer ses exigences impératives sans autre possibilité que son départ est un manque flagrant de décence. Uber a eu la chance de pouvoir négocier avec Québec l’implantation d’un projet-pilote unique, dont elle a par le fait même accepté chacune des clauses. Cette entente visait « à expérimenter » et « à innover en matière de services de transport par taxi ». Elle servait aussi « à étudier, à améliorer et à définir des normes applicables en telle matière ». En acceptant l’idée même du projet-pilote, on acceptait donc que des changements aient lieu un moment donné, en fonction des leçons tirées de l’expérience. C’est ce qui s’est produit à l’issue de la première période d’essai. Normal. Les chauffeurs avaient accumulé un certain nombre d’infractions. Des reportages ont été diffusés faisant état de chauffeurs accueillant des clients malgré leur dossier criminel. Et le travail d’harmonisation entre Uber et les taxis s’est poursuivi, si bien que les règles ont été ajustées pour assurer équité et sécurité : vérifications d’antécédents judiciaires par la police, inspection des véhicules aux 12 mois et formation de 35 heures (qui peut être livrée d’une manière ou d’une autre, par modules, internet ou autre). Rien pour écrire à son maire, convenons-en. Et pourtant, parce qu’on resserre un tout petit peu les règles, Uber crie à l’injustice et menace même de plier bagage ! Qu’il le fasse donc s’il est incapable de comprendre le contexte dans lequel il évolue et l’importance de la sécurité des usagers. Qu’il quitte le Québec s’il ne peut être aussi conciliant qu’Airbnb, qui a accepté les règles du gouvernement sans claquer de portes. Qu’il parte si son sacro-saint modèle d’affaires l’empêche de faire tout compromis sur la formation. Montréal, de toute façon, ne serait pas la première à se passer d’Uber, ni en Europe ni en Amérique du Nord. Des villes comme Londres, tout récemment, ou encore Vancouver et Copenhague lui ont montré la porte sans disparaître de la géopolitique urbaine. La popularité du service à Montréal montre qu’Uber répond clairement à une demande. Tant mieux, donc, si l’entreprise peut se conformer aux conditions et continuer de prospérer ici, au bonheur des clients et des chauffeurs qui en profitent. Sinon… bye-bye !
  10. C'est justement ça une campagne électorale, le temps d'annoncer toute sorte de projets aussi insensés les uns que les autres pour épater la galerie. C'est lorsqu'on est élu que c'est audacieux de se mettre derrière un projet.
  11. Si tu avais ajouté une dizaine de lignes à ton texte, tu aurais fini en disant: OK, je vais voter pour elle!
  12. Et puis c'est pratiquement juste le terrain qui a de la valeur. Un gros projet est dans l'avenir de ce site...
  13. Really? I though it was a taxi business... how many IT jobs you figure Uber has in Montreal?
  14. http://www.newswire.ca/fr/news-releases/montreal-favorable-a-ladoption-dune-politique-quebecoise-de-larchitecture-647752903.html Montréal favorable à l'adoption d'une Politique québécoise de l'architecture SOURCE Ville de Montréal - Cabinet du maire et du comité exécutif 16:28 ET MONTRÉAL, le 25 sept. 2017 /CNW Telbec/ - Le Conseil de ville de Montréal a adopté aujourd'hui une déclaration d'appui à la démarche de l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) pour l'adoption par le Gouvernement du Québec d'une Politique québécoise de l'architecture. C'est dans le cadre des consultations publiques menées par le ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle du Québec, dans un mémoire intitulé « La qualité architecturale, un chantier à poursuivre », que l'OAQ a plaidé pour que cette Politique contribue à une plus grande qualité architecturale. « La Ville de Montréal souhaite être un maître d'ouvrage exemplaire. En appuyant cette démarche de l'Ordre des architectes, on indique au Gouvernement qu'il est temps de réfléchir à ce qu'il peut faire pour améliorer la qualité architecturale des projets municipaux. Nous voulons qu'il se penche notamment sur la pertinence de maintenir dans la Loi sur les Cités et villes ce système qui oblige les municipalités à se tourner vers le plus bas soumissionnaire quand vient le temps de retenir les services de professionnels », a indiqué le maire Denis Coderre. « Les concours d'architecture permettent de stimuler le milieu du design et d'en tirer le meilleur talent. Les concours sont plus souvent qu'autrement l'occasion d'élargir l'accès à notre marché et de découvrir les architectes de la relève. En appuyant l'Ordre dans sa démarche, nous voulons témoigner de notre intérêt à ce que les Villes puissent davantage retenir les services de jeunes talents dans les processus d'octroi de contrat », a ajouté Manon Gauthier, responsable de la culture, du patrimoine, du design, d'Espace pour la vie et du statut de la femme au comité exécutif. Pour Russell Copeman, responsable de l'habitation, de l'urbanisme, de la gestion et de la planification immobilière et de l'OCPM « il est important que cette démarche se fasse dans le respect de la spécificité de Montréal. En cohérence avec le statut de métropole et le « réflexe Montréal », Le Bureau du design de la Ville de Montréal lancera prochainement un exercice de concertation avec les partenaires montréalais du milieu du design et de l'architecture, les arrondissements et les services centraux, pour élaborer les conditions de notre propre effort municipal, ce qui deviendra le chapitre Montréal de cette Politique ». Rappelons qu'en 2016, emboîtant le pas à l'arrondissement Saint-Laurent, des résolutions d'appui à cette démarche ont été adoptées par Anjou, Côte-des-Neiges--Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, LaSalle, L'Île-Bizard--Sainte-Geneviève, Montréal-Nord, Rivière-des-Prairies--Pointe-aux-Trembles, Rosemont--La Petite-Patrie, Outremont, Le Plateau Mont-Royal et Le Sud-Ouest. « C'est bien la preuve du dévouement des élus montréalais envers une plus grande qualité architecturale », s'est félicité Alan DeSousa, maire de l'arrondissement Saint-Laurent. SOURCE Ville de Montréal - Cabinet du maire et du comité exécutif Renseignements : Catherine Maurice, Directrice des communications, Cabinet du maire et du comité exécutif, 514 346-7598
  15. À la fin d'une balade nocturne exceptionnelle ce soir (27C à 22h30 aide énormément), en rentrant par le pont Champlain, j'ai fait un bout sur une nouvelle section de l'autoroute 15, aux alentours de la sortie Vérendrye. C'était fantastique. Pas de jump en passant sur les viaducs, belle surface... Étant un résident de ndg, vous pouvez pas savoir comment j'ai hâte que Turcot/Champlain aboutisse, c'est vraiment un big mess le trafic dans le quartier depuis une couple d'années. Et je suis certain que le résultat sera vraiment bon.
  16. Très curieux de savoir où tu étais pour prendre les photos? La passerelle du pont Victoria? NOTE pour admins/modérateurs: aucune idée comment mon message sur Poseidon s'est ramassé "Pinned Post" mais c'est fatiguant de le voir sur chaque page
  17. Tu peux compter les étages sur la maquette. Il y a 35-36 étages.
  18. Wow Martin, on te voit t'améliorer en tant que photographe vraiment rapidement! Très beau set
  19. Oui cite Toronto pour des exemples qui ne marchent pas mais n'oublie pas NYC pour les exemples qui fonctionnent.
  20. De quoi tu parles que c'est tout du 3 étages autour??
  21. Pour mieux faire disparaître l'Espresso!!!!! ...Et redescendre à 120m au Children's.
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