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  1. (Courtesy of The Montreal Gazette) :goodvibes: I remember bike riding through there practically every weekend when I was younger. Took a while, but it was a nice ride.
  2. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  3. Le Journal de Montréal 16/05/2007 Plus d'arbres et la fin du développement immobilier. C'est ce que le plan de protection de la Ville de Montréal prévoit pour l'avenir du mont Royal. La Ville a ainsi décidé de mettre sous son aile pratiquement tous les espaces verts de l'arrondissement historique et naturel. On prévoit ajouter entre 50 et 60 hectares de forêts afin de connecter les boisés déjà existants comme le parc Summit. Ces nouvelles règles permettront, espère la Ville, de protéger les espèces végétales et animales présentes dans le parc, dont la cinquantaine d'oiseaux nicheurs et la demi-douzaine d'amphibiens et de reptiles. Les terrains jouxtant les maisons cossues situées aux abords du parc seront répertoriés en vue d'une protection réglementaire. De nouvelles normes obligeront également les autorités à ajouter une zone tampon de 30 mètres entre les boisés et la vie urbaine. Les vues aussi Même les vues du mont Royal et les points de vue depuis la montagne jouiront d'un bouclier. La Ville a identifié 85 vues et elle visera à empêcher que des constructions au centre-ville ne viennent les obstruer. Il y aura également un resserrement des règles pour les maisons et les bâtiments collés au mont Royal afin de préserver l'aspect patrimonial de ces propriétés et pour rendre pratiquement impossibles les constructions d'envergure. «Ce plan nous donne des outils qui innovent autant sur le plan scientifique que sur celui de la gestion urbaine et des espaces verts», a souligné la responsable de ce dossier au conseil exécutif de la Ville de Montréal, Helen Fotopulos. L'identité montréalaise Des fonctionnaires de la ville ont passé une bonne partie de la journée d'hier à présenter ce plan d'action aux membres de la Table de concertation du Mont-Royal. Formé en 2004, cet organisme avait pour mandat de conseiller la Ville dans la mise en valeur du site et ce plan d'action est l'aboutissement de leur réflexion. «Le mont Royal est un élément central de l'identité de Montréal et nous devons le protéger au nom des citoyens, des visiteurs et des générations futures», a indiqué le président de l'organisme, Claude Corbo. Le nouveau plan de la Ville donnera une protection à 423 hectares du mont Royal, soit 57 % de sa superficie. La ville soumettra son plan lors d'audiences publiques l'automne prochain.
  4. http://www.clc.ca/fr/propriete/pointe-de-longueuil Le projet de réaménagement de la Pointe-de-Longueuil de la SIC n’en est qu’à la première étape, mais promet néanmoins de jouer un rôle important dans la revitalisation du secteur riverain de la Ville de Longueuil, sur la berge du fleuve Saint-Laurent qui fait face à Montréal. Avec ses panoramas spectaculaires, cette propriété de prestige voisine le centre-ville et le point d’accès au métro, ce qui présente une possibilité d’aménagement fantastique pour la SIC. En 2002, la SIC a conclu une entente d’achat avec Transports Canada portant sur 180 biens immobiliers du portefeuille de la Voie maritime du Saint-Laurent. De tailles variées, ces propriétés ont été désignées excédentaires aux besoins immobiliers du gouvernement du Canada. La SIC a formellement acquis la propriété en juin 2006 et a entamé des pourparlers avec la Ville de Longueuil au sujet des usages possibles du site à l’avenir. La propriété occupe un peu plus de 57 acres (23,1 hectares) et est dotée d’un zonage à la fois commercial et résidentiel. La SIC consulte actuellement la Ville de Longueuil et d’autres intervenants pour élaborer un projet qui engloberait des usages résidentiels et commerciaux, tout en donnant aux citoyens locaux l’accès à des nouveaux parcs et espaces récréatifs. Le calendrier d’aménagement du projet de la Pointe-de-Longueuil n’en est qu’à l’étape d’étude. La SIC verra en temps opportun à collaborer ou initier des consultations qui permettront aux parties intéressées de se prononcer sur les usages possibles de la propriété et sur la façon dont elle sera aménagée pour en tirer le bénéfice optimal, tant pour la collectivité locale que pour la Ville de Longueuil. http://www.clc.ca/properties/pointe-de-longueuil CLC’s Pointe-de-Longueuil redevelopment project is still at an early stage, but already promises to play a major role in the revitalization of the waterfront area of the City of Longueuil, which is located directly across the St. Lawrence River from Montréal. This prestigious property, with its spectacular views, is also adjacent to the city’s downtown core and subway node -- providing CLC with a great development opportunity. In 2002, CLC reached an agreement with Transport Canada to purchase approximately 180 properties located along the St. Lawrence Seaway. These properties, of varying sizes, were considered surplus to the real estate needs of the Government of Canada. CLC formally acquired the property in June 2006 and has begun discussions with the City of Longueuil on possible future uses for the site. The property totals just over 57 acres (23.1 hectares) and is zoned for both commercial and residential use. CLC is currently in consultations with the City of Longueuil and other stakeholders to develop a vision for the property combining residential and retail uses, while also giving local residents access to new parks and recreational space. The timeline for development of the Pointe-de-Longueuil project is currently only in the study stage. CLC intends to initiate consultations in the future to allow interested parties to have their say on appropriate uses for the property, which will allow for the value of the property to be optimized for both the local community and the City of Longueuil.
  5. Le samedi 03 mai 2008 Un immense quartier va surgir Éric Clément La Presse Dix fois plus grand que Griffintown et encore plus coûteux à créer, un immense quartier va naître dans des zones inexploitées de Pierrefonds-Roxboro, a appris La Presse. Ce projet de 1,7 milliard est greffé à la création d'un parc de 169 hectares. Situé près du parc-nature du Cap-Saint-Jacques, le projet permettra la création de 5300 habitations sur 184 hectares. Il s'étalera sur une quinzaine d'années. Montréal investira 40 millions pour créer des rues et des infrastructures souterraines. La Ville pense récupérer son investissement en neuf ans. Les promoteurs, Grilli et Développements Pierrefonds, possèdent la plupart des terrains. Depuis quelques mois, l'arrondissement, la ville centre et les promoteurs planchent sur le projet. Carole Tétreault, directrice de la mise en valeur de terrains au Groupe Grilli, dit que les promoteurs travaillent ensemble, de façon concertée, mais aussi avec la Ville, afin d'en arriver à une architecture générale harmonieuse. Le concept d'aménagement est en cours de définition. On regarde où seront situées les artères principales et les commerces, quels types d'habitation seront choisis, où se trouvera le noyau principal du quartier. On sait déjà que le boulevard Pierrefonds sera prolongé vers l'ouest en direction du Cap-Saint-Jacques. «Il y aura des petits commerces, comme des pharmacies, des dépanneurs, des cabinets de dentistes, au coeur de la zone résidentielle, dit la mairesse de Pierrefonds-Roxboro, Monique Worth. Et il y aura des zones de densité variable.» Un plan de drainage et un autre pour la circulation sont à l'étude, tout comme les besoins en logements sociaux. La Ville est très ambitieuse quant à la qualité du projet. «On se dit qu'on a un des derniers grands territoires montréalais à aménager, un territoire immense possédant des caractéristiques fantastiques en ce qui a trait aux milieux naturels et on veut vraiment en faire un projet exemplaire et novateur, dit Myriame Beaudoin, directrice aux Projets majeurs à la Ville et chef de ce projet. On veut prendre le temps de connaître tous les intrants et concevoir un projet qui réponde à tous les principes qu'on souhaite mettre de l'avant, des principes que les promoteurs acceptent aussi de mettre en oeuvre.» Le projet comprend de petits espaces verts sur 18 hectares au coeur du quartier résidentiel et un plan de protection de 10,6 hectares de milieux humides. «On a déjà fait un très bon travail avec le ministère de l'Environnement pour caractériser les milieux humides, déterminer ceux qu'il faudra protéger, mais il faut un plan pour être certain, concrètement, qu'on va les protéger malgré les ouvrages qu'on va construire», dit Mme Beaudoin. De plus, une bande de terrain partant de l'Anse-à-l'Orme et du parc-nature du Cap-Saint- Jacques jusqu'à Sainte-Annede-Bellevue deviendra une zone de conservation naturelle de 169 hectares. Mais ce parc ne fait pas partie directement du projet de 1,7 milliard. «La direction des parcs de Montréal réfléchit à la question de savoir comment on va l'aménager, dit Mme Beaudoin. Il y aura des parties sauvages et une partie d'occupation moyennement intensive où il y a notamment des ravages de chevreuils. Les aménagements nécessaires pour la protection des milieux naturels humides et le drainage de surface seront à la charge des promoteurs.» Une entente avec Environnement Québec et la Ville devra être signée pour assurer la protection des milieux humides. La Ville veut aussi trouver des arrangements avec les propriétaires des terrains concernés par le projet de conservation et qui seront cédés. «On essaie de faire en sorte que les promoteurs qui vont bénéficier du projet immobilier participent financièrement à l'acquisition de ces terrains afin que ce soit équitable, dit Mme Beaudoin. Mais ce n'est pas facile.» L'arrondissement dit que la Coalition verte, des écologistes de l'Ouest-de-l'île, est «associée au projet». Mais David Fletcher, porte-parole de la Coalition verte, a dit à La Presse que son organisme a décidé de ne pas faire partie du comité technique du projet, car il n'y est pas favorable, souhaitant que 100% des zones inexploitées soient protégées. Consciente que le projet aura quand même lieu et que la création du parc est une bonne chose, la coalition compte faire des suggestions afin que les impacts sur l'environnement soient limités. Convaincre le MTQ Par ailleurs, un boulevard comportant une voie réservée aux transports en commun, est prévu sur l'emprise de la 440 qui appartient au ministère des Transports et qui va du boulevard Gouin à l'autoroute 40. Il faudra créer un échangeur pour relier ce boulevard à l'A40. Montréal veut que Québec participe à sa construction, évaluée à 25 millions. Mais le MTQ se fait tirer l'oreille. Récemment, lors du lancement de la carte OPUS de la Société de transport de Montréal, la mairesse Worth a, sous les yeux de La Presse, remis une lettre à la ministre Julie Boulet lui demandant de régler cette question. Si le gouvernement Charest ne veut pas bouger, la mairesse demande qu'on leur donne l'emprise. «Cédez-la-nous et on fera nous-mêmes un boulevard, dit-elle. Ça fait 35 ans qu'on attend. Pour l'instant, ça ne retarde pas les travaux, mais il faudrait avancer quand même!» Jacques Gagnon, le sous-ministre adjoint au Transport, a dit à La Presse qu'il n'est pas question de céder l'emprise. «On va regarder le dossier, dit-il. On peut regarder l'utilisation, leur permettre de l'utiliser à leurs frais.» «Cet axe est essentiel au projet à cause des problématiques locales de transport, dit Myriame Beaudoin. Même si le projet n'est pas axé sur le transport en commun, on veut essayer de diminuer la dépendance à l'automobile. Il faut donc créer des emplois locaux ou accessibles par transports en commun.» Des séances publiques seront organisées pour «ajuster le projet s'il y a lieu». Le programme particulier d'urbanisme (PPU) devrait être présenté aux citoyens l'été prochain. En bref > Investissement total: 1,7 milliard > Part de Montréal: 40 millions > Part de Québec: 25 millions espérés > Près de 400 hectares au total > 184 hectares pour le résidentiel > 18,4 hectares d'espaces verts près des maisons > 5300 unités d'habitations > 169 hectares de milieux naturels protégés >10,6 hectares de milieux humides protégés
  6. La presse 11 janvier 2009 Contrairement à ce qu'affirmait à La Presse le maire Gilles Vaillancourt, Laval est loin de protéger 5% de son territoire, selon le Conseil régional de l'environnement de Laval, en s'appuyant sur un rapport du gouvernement du Québec. En février 2007, la Direction du patrimoine écologique du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP) a placé la région de Laval au tout dernier rang au Québec pour le pourcentage de son territoire consacré à la protection de l'environnement. Avec 0,73% d'aires protégées, Laval en comptait 6 fois moins que la moyenne québécoise, 20 fois moins que Montréal et 5 fois moins que la Montérégie. «On est rendus à 4,5% ou 5%», affirmait pourtant à La Presse le maire Vaillancourt, dans un dossier publié en décembre. L'enjeu a une certaine importance parce que les aires protégées sont plus difficiles à créer dans le sud du Québec, et c'est la région où il y a le plus de biodiversité dans la province. Et Laval n'est pas en reste à ce chapitre. Par exemple, dans l'ouest de l'île Jésus, la forêt de Sainte-Dorothée - non protégée - abrite sept des huit espèces de chauve-souris du Québec, 139 espèces d'oiseaux, dont une dizaine de rapaces, et aussi le petit polatouche, l'écureuil volant. Appelé à préciser comment Laval arrive à plus de 4% d'aires protégées, Gilles Benoit, assistant directeur au service de l'environnement, explique que la définition de la Ville diffère de celle du MDDEP. «La différence provient de la définition des aires et du terme protégé, dit-il. Par exemple, sur la rivière des Mille-Îles, on a des grandes zones inondables non bâties et non bâtissables. Nous les considérons comme des zones protégées.» Il y en aurait pour 600 hectares, dit-il. «Si la Ville n'en est pas propriétaire, comment peut-elle prétendre que ces aires sont protégées? répond Guy Garand, directeur général du CRE de Laval. Il peut y avoir de la coupe de bois, par exemple.» M. Benoit ajoute qu'une forêt de 43 hectares sauvegardée à Fabreville, dans le nord-ouest de l'île, ne fait pas non plus partie de l'inventaire provincial. Selon M. Garand, il y a une bonne raison: le zonage n'offre pas une protection suffisante. «Le terrain pourrait être dézoné par la simple volonté de l'administration municipale, après consultation», dit-il. Les deux hommes ne s'entendent pas non plus sur la superficie totale des réserves fauniques et naturelles de Laval. M. Benoit en compte pour 200 hectares, et M. Garand un peu plus d'une centaine. Acte de foi Mais la Ville de Laval demande un acte de foi encore plus grand pour 300 hectares de terrains qu'elle possède et qu'elle compte dans sa liste, sans vouloir dire où ils sont. «Ces terrains sont à des endroits stratégiques pour la conservation, dit M. Benoit. On sait que ces terrains vont être en grande partie utilisés à des fins de conservation. On ne spécifie pas où ils sont pour éviter d'être poursuivi pour expropriation déguisée par les propriétaires des terrains voisins.» Ce raisonnement ne tient pas la route, dit Guy Garand. «Comment risque-t-on d'être accusé d'expropriation déguisée, si on agit sur son propre terrain? Je ne comprends pas. En attendant, ils peuvent s'en départir à leur guise. Tout est fait en cachette. Les citoyens ont le droit de savoir où sont dépensés les deniers publics.»
  7. lundi 28 mai 2007 L'étalement urbain menace le territoire agricole du Québec, particulièrement dans la grande région de Montréal, selon la Coalition pour la protection du territoire agricole (CPTAQ). L'organisme, piloté par l'Union des producteurs agricoles (UPA), regroupe aussi des syndicats, des scientifiques et des groupes environnementalistes. Il lance un cri d'alarme au gouvernement du Québec pour calmer la frénésie du dézonage agricole. Près de 3000 hectares de terres agricoles ont fait l'objet de demandes de dézonage dans la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) durant la seule année 2003. La superficie visée est égale aux demandes des 10 années précédentes. La CPTAQ précise que 50 000 hectares ont été dézonés au Québec depuis 1994. Les experts estiment que c'est l'équivalent de l'île de Montréal - quelque 4000 hectares - qui est dézoné chaque décennie au Québec. Or, seulement 2 % du territoire québécois est cultivable. Les meilleures terres se retrouvent dans la plaine du Saint-Laurent à l'intérieur de laquelle se situe la CMM. La CPTAQ s'explique mal la frénésie du dézonage puisque 30 000 hectares du territoire de la CMM ne sont pas en zone agricole et sont disponibles pour la construction. Le potentiel résidentiel oscille entre 800 000 et 1 million de personnes. Les municipalités périphériques, qui n'ont plus d'espaces, seraient tentées de mettre la main sur les terres agricoles pour augmenter leurs revenus fiscaux. Une terre cultivable sur laquelle on construit devient impropre à l'agriculture pour toujours. L'étalement urbain s'effectue au détriment de Montréal et des banlieues de la première couronne, selon le géographe de l'Université de Montréal, Claude Marois. Ce dernier souligne l'importance de protéger le territoire agricole. Il favorise le développement des terres non zonées, la revitalisation des vieux quartiers et la mise sur pied d'un plan de développement qui dépasse les cadres municipaux. La CPTAQ récupère ces recommandations qu'elle défendra lors des audiences publiques de la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire à Québec et Montréal.source http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles.shtml
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