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Je n'ai jamais insulté qui que ce soit. J'ai seulement fait remarquer que quelqu'un sur ce site est aveuglé par je ne sais quoi et qu'il est incapable d'empathie et de dépasser l'idéologie colonialiste dont il est lui-même un parfait exemple -sinon il comprendrait et se joindrait aux concert de protestation. Au lieu de cela, il préfère jeter de l'huile sur le feu en nous invitant à lire un indigne brûlot qui ne fait que me réconforter sur ce que je sais déjà sur ce que beaucoup d'anglos du Canada pensent de nous : que nous sommes des emmerdeurs qui ne sont jamais contents.

 

Étienne : nous sommes en minorité dans ce pays et serons toujours traités comme tel. C'est parce que nous n'avons jamais eu le courage en tant que groupe ethnique de prendre notre destin en main que nous sommes l'objet de si peu de respect de la part de la majorité -qui se conduit comme toutes majorités face à une minorité. C'est la nature humaine. Comme nous n'avons jamais eu le courage de forcer la main du destin -notre destin- et deux fois plutôt qu'une !! nous en sommes là : on va se faire mettre le nez dans notre merde sur les Plaines d'Abraham. Ça ne peut que mal tourner.

 

acpn : ton dernier message est très joliment écrit mais un peu utopiste et profondémment teinté d'angélisme. Je n'arrive pas à comprendre ce que ça vient faire dans le débat !!?? Le message d'Expo '67 ? :duh:

Tu ne serais un peu jovialiste sur les bords ? :confused:

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Les 250 ans des plaines - D'inutiles jeux de guerre

 

Bernard Descôteaux

Édition du lundi 02 février 2009 - Le Devoir

 

 

Les esprits s'échauffent autour du projet de reconstitution, l'automne prochain, de la bataille des plaines d'Abraham pour en marquer le 250e anniversaire. Pour calmer le jeu, la Commission des champs de bataille se propose de repenser son programme de célébrations. Très bonne idée.

 

Ce jour du 13 septembre 1759 n'est pas à passer sous silence, tant s'en faut. C'est l'une des grandes dates charnières de l'histoire du Canada. Pour les Québécois francophones, elle a la même importance que la déportation a eue pour les Acadiens. C'est le début de la fin de la Nouvelle-France. Le chevalier de Lévis sauvera l'honneur de la France en remportant la bataille de Sainte-Foy le 28 avril 1760, mais, bientôt, le gouverneur Vaudreuil scellera la capitulation finale à Montréal le 8 septembre suivant. Par le Traité de Paris de 1763, le Canada et l'Acadie passeront à l'Angleterre.

 

Toutes ces dates pourraient être l'objet de commémorations, mais le souvenir populaire s'est fixé sur celle du 13 septembre. Elle a valeur de symbole. Québec était le siège du gouvernement de la colonie et la porte d'entrée du continent. Sa capitulation rendait la victoire britannique possible. Pour les Anglais du Canada, ce fut la pierre angulaire de ce qui allait devenir leur pays. Pour les Français du Canada commençait une autre partie de leur histoire et le début de nouvelles et ardues batailles pour la reconnaissance de leurs droits et l'obtention d'un statut qui n'est toujours pas complètement acquis. Rappelons-nous l'acte constitutionnel de 1982 imposé au Québec.

 

Ce 250e anniversaire de la bataille des Plaines est l'occasion de se rappeler le passage du régime français au régime britannique. L'occasion de faire des bilans. Sérieusement! Il faut le faire par la publication de livres, par des expositions, des conférences et des colloques, comme le préparent quelques institutions de Québec pour informer, faire comprendre et provoquer une réflexion sur le sens de cet événement. Contrairement à ce que peut penser le maire de Québec, Régis Labeaume, ce n'est pas là «radotage».

 

La reconstitution de la bataille du 13 septembre ne peut être d'aucun apport valable à un tel exercice, d'autant plus qu'elle a été conçue dans une forme festive et commerçante. La Commission des champs, qui a préparé le programme des fêtes, s'est laissé imprégner par l'esprit imposé par Ottawa aux fêtes du 400e anniversaire de Québec l'an dernier: du pain et des jeux. Comme pour la fondation de Québec, on veut éviter la politisation de l'événement en le banalisant. Une autre fois, célébrons l'amitié de deux peuples plutôt que de s'interroger sur la solidité de ses fondements. Deux fois de suite, c'est trop!

 

Curieux tout de même que les membres de la Commission des champs de bataille n'aient pas vu venir les protestations surgies de toutes parts depuis quelques semaines. La reconstitution de la bataille n'était dans leur esprit que d'innocents jeux de guerre. Consciemment ou non, ils concourront, s'ils persistent, à dénaturer le sens d'un événement marquant de l'histoire du Québec.

 

La Commission, comprenant qu'elle a mis le pied sur un terrain glissant, indiquait hier qu'elle consulterait des historiens de l'Université Laval pour l'aider à rectifier le tir. En fait, elle doit faire plus. Elle doit battre en retraite et abandonner ses innocents jeux de guerre qui sont devenus inutilement provocants. Si elle tient à faire un geste officiel, suggérons-lui de faire comme en 1959, pour le 200e anniversaire, où l'on s'était contenté d'émettre un timbre.

 

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Je n'ai jamais insulté qui que ce soit. J'ai seulement fait remarquer que quelqu'un sur ce site est aveuglé par je ne sais quoi et qu'il est incapable d'empathie et de dépasser l'idéologie colonialiste dont il est lui-même un parfait exemple -sinon il comprendrait et se joindrait aux concert de protestation. Au lieu de cela, il préfère jeter de l'huile sur le feu en nous invitant à lire un indigne brûlot qui ne fait que me réconforter sur ce que je sais déjà sur ce que beaucoup d'anglos du Canada pensent de nous : que nous sommes des emmerdeurs qui ne sont jamais contents.

 

Étienne : nous sommes en minorité dans ce pays et serons toujours traités comme tel. C'est parce que nous n'avons jamais eu le courage en tant que groupe ethnique de prendre notre destin en main que nous sommes l'objet de si peu de respect de la part de la majorité -qui se conduit comme toutes majorités face à une minorité. C'est la nature humaine. Comme nous n'avons jamais eu le courage de forcer la main du destin -notre destin- et deux fois plutôt qu'une !! nous en sommes là : on va se faire mettre le nez dans notre merde sur les Plaines d'Abraham. Ça ne peut que mal tourner.

 

acpn : ton dernier message est très joliment écrit mais un peu utopiste et profondémment teinté d'angélisme. Je n'arrive pas à comprendre ce que ça vient faire dans le débat !!?? Le message d'Expo '67 ? :duh:

Tu ne serais un peu jovialiste sur les bords ? :confused:

 

:) Merci pour ton observation mais je ne suis pas plus jovialiste qu'utopiste, simplement réaliste. Si chacun respecte la culture et l'opinion de l'autre on évitera plein de conflits comme ils se produisent trop souvent inutilement dans ce forum. Pas besoin d'adhérer pour respecter.

 

Je préfère me baser sur des faits et l'expérience est là (comme tu le dis toi-même plus haut) pour nous montrer que c'est l'insensibilité aux autres et l'absence d'empathie qui est à l'origine d'une foule de conflits. La réaction de protestation bien légitime d'une grande partie des québécois, dont moi-même, face à ce projet de commémoration vient de cette même attitude négative, que je viens de décrire, de la part de certains ''canadiens''.

 

Quant à Expo 67, je voulais simplement souligner que c'était l'événement phare qui a accéléré le mouvement de modernité au Québec et qui a servi de bougie d'allumage en redonnant aux québécois leur fierté perdue. Depuis ce temps nous n'avons cessé de nous tenir debout et de réclamer le respect de nos droits et ce de plus en plus fort parce que le message passe encore difficilement, même aujourd'hui.

 

Cette histoire de pseudo-fête en est l'exemple patent de l'obstination crasse, du parti au pouvoir, à vouloir nous imposer cette provocation en guise de punition, pour avoir omis de voter en bloc pour lui. Nous sommes peut-être une minorité culturelle au Canada mais nous demeurons une majorité culturelle au Québec et ici nous resterons maitre-chez-nous en exigeant le respect des autres comme on l'a toujours offert nous-mêmes.

 

Et cette protestation ne cessera pas tant que cette ''fête'' ne sera pas totalement annulée sous toutes ses formes. 1759 est effectivement une année mémorable et n'a aucunement besoin d'être davantage soulignée pour que nous disions haut et fort '' je me souviens''.

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Moi aussi j'aimerais que tout le monde soit beau que tout le monde il soit gentil. Dans la réalité du monde imparfait dans lequel on vit malheureusement ça ne fonctionne pas comme ça. Il y a de plsu forts qui sont tentés de dominer les plus faibles. Les pays du nord riches contre les pasy du sud pauvres. Les majorités dominent les minorités. Les sédentaires exècrent les nomades parce qu'ils ne peuvent pas les contrôler. Les compagnies imposnet leur agenda en dépit du gros bon sens qui voudrait qu'on protège la planète et ainsi de suite....

Je suis conscient de l'impact qu'Expo '67 a pu avoir. J'avais douze ans cette année-là et j'étais là-bas chaque jour pendant tout l'été !! C'était il y 42 ans quand même. Les effets d'Expo '67 se sont tout de même dissipés depuis tout ce temps. Reste tout de même la fierté....

Nous sommes peut-être une minorité culturelle au Canada mais nous demeurons une majorité culturelle au Québec et ici nous resterons maitre-chez-nous en exigeant le respect des autres comme on l'a toujours offert nous-mêmes.

Là tu parles plus mon language. Malheureusement, ça ne se traduit pas vraiment par une prise en charge de notre destin en tant que peuple. D'ailleurs selon moi nous n'aurons le droit de nous qualifer de peuple que si nous avons le courage de nous émanciper du Canada.

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Retour sur les Plaines

 

Publié le 03 février 2009 à 07h18 | Mis à jour à 07h20

André Pratte

La Presse

 

Le projet de commémoration de la bataille des plaines d'Abraham continue de susciter la controverse. L'opposition à l'initiative de la Commission des champs de bataille nationaux est vive et répandue. Cela ne la rend pas plus justifiée. En effet, cette opposition repose sur des mythes et sur des informations incomplètes.

 

On ne fête pas une défaite, a-t-on beaucoup dit. Ce n'est pas la Commission qui a décidé de «fêter» la victoire du général Wolfe; ce sont ses critiques qui lui ont prêté cette intention. Sur son site web, l'organisme fédéral ne parle nulle part de fête. Il y est plutôt question de «ne pas oublier ces événements historiques marquants». La commémoration ne porte d'ailleurs pas seulement sur la bataille des plaines mais aussi sur celle qui a eu lieu à Sainte-Foy quelques mois plus tard, gagnée celle-là par les Français.Une défaite? Une résolution adoptée par les militants du Bloc québécois samedi affirme que la bataille des plaines d'Abraham «explique encore aujourd'hui notre cheminement vers la souveraineté». Dans l'esprit de beaucoup de Québécois, la Nouvelle-France était destinée à devenir un état francophone indépendant en Amérique; la victoire de Wolfe serait venue saper ce rêve. Cette vision fait abstraction de ce qu'était vraiment le Canada de l'époque: une colonie pauvre, spoliée par ses gouvernants français. Une colonie marginale dont le retard démographique, économique et politique par rapport à l'Amérique anglaise s'accroissait d'année en année. «L'agriculture languit, la population diminue», déplorait le marquis de Montcalm. Ce Montcalm qui méprisait ouvertement les miliciens canadiens à son service.

 

Si le bon marquis avait gagné, l'avenir du Canada français, son éventuelle indépendance n'aurait-elle pas été assurée? Rien n'est moins certain. Qu'a fait Napoléon de la Louisiane? La Guadeloupe et la Martinique, que le traité de 1763 redonnait à la France, ne sont-elles pas encore aujourd'hui, 246 ans plus tard, sous la tutelle de Paris?

 

Certains s'élèvent contre la reconstitution d'un événement aussi tragique qu'une guerre. On peut trouver la chose de bon ou de mauvais goût mais il n'y a pas là matière à indignation. Les reconstitutions de grandes batailles sont choses communes. La bataille de Gettysburg (1861, 50 000 morts) est recréée chaque année, tout comme celle de Waterloo (1815, 63 000 morts).

 

Il y a 10 ans, quelques centaines de résidants de Québec ont participé à une reconstitution de la bataille des plaines d'Abraham, à l'occasion du 240e anniversaire de l'affrontement. Le Parti québécois était alors au pouvoir mais les archives ne gardent aucune trace d'une quelconque controverse.

 

En 2001, le premier ministre, Bernard Landry, a participé à une cérémonie à l'occasion du déménagement des restes de Montcalm dans un nouveau mausolée. À l'issue de cet événement haut en couleur, M. Landry déclarait: «Nous commémorons une guerre qui a brutalement changé le cours de notre destin collectif et celui de tout le continent américain.» Pierre Falardeau ne s'est pourtant pas emporté contre cette commémoration de «l'acte de fondation de notre malheur».

 

Ce rappel des faits montre bien que la présente controverse n'a pas lieu d'être. Il n'y a pas de raison de s'élever contre la commémoration des batailles des plaines d'Abraham et de Saint-Foy, sinon à des fins politiques contemporaines. Il faut plutôt souhaiter qu'à la faveur des fouilles archéologiques, expositions, reconstitutions et colloques prévus, les Québécois auront l'occasion d'enrichir leur connaissance de l'histoire. Une histoire qu'inévitablement, chacun continuera à voir à travers son prisme politique.

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  • 2 semaines plus tard...

La chicane a raison de la bataille des Plaines

 

Michel Hébert

14/02/2009 04h00

 

Devant le risque réel d’affrontements violents entre souverainistes et fédéralistes, les autorités fédérales abandonnent l’idée d’une reconstitution en bonne et due forme de la bataille des plaines d’Abraham.

 

Ottawa recule d’un pas, mais ne bat pas en retraite : la Commission des champs de bataille nationaux soulignera tout de même le 250e anniversaire de l’affrontement Wolfe-Montcalm au moyen de diverses activités éducatives dédiées à l’histoire.

 

André Juneau expliquera, mardi prochain, comment il entend procéder, mais selon nos informations, le président de la CCBN estimait essentiel d’accomplir son «devoir de mémoire» à l’égard de ce moment charnière de l’histoire canadienne.

 

Par ailleurs, aucune organisation responsable ne tiendrait une telle activité après les propos extrémistes et les menaces entendues ces derniers jours, ont dit au Journal des personnes impliquées dans cette décision. «Nous ne voulons pas mettre en danger la vie ou seulement l’intégrité physique de figurants ou de spectateurs parmi lesquels il y aurait eu de nombreux enfants», nous a-t-on dit, hier.

 

Toute simulation de bataille est donc écartée, de même que les activités «festives» risquant d’être mal interprétées.

 

Il y aura toutefois une commémoration au cimetière voisin de l’Hôpital général où ont été ensevelis des miliciens morts au combat il y a 250 ans.

 

Controverse tapageuse

 

Cette initiative d’André Juneau avait soulevé une controverse tapageuse ayant finalement attiré l’attention du premier ministre Stephen Harper.

 

Selon nos informations, il a fait savoir aux autorités compétentes qu’il ne voulait pas que cet événement amène de l’eau au moulin souverainiste. Il voulait une solution respectueuse aussi des convictions des fédéralistes. Depuis quelques jours, les deux camps s’enguirlandaient à qui mieux mieux, par courriels, sur les blogues, dans les pages des journaux et à la radio.

 

En première ligne, le Réseau résistance du Québec, l’aile radicale des souverainistes, semblait ne plus pouvoir contenir les débordements. Certains jeunes patriotes se promettaient de se rendre à Québec pour refaire la bataille des Plaines avec des fusils à «paint balls», des couteaux et des machettes. D’autres lançaient de véritables «appels au meurtre».

Menaces de mort

 

Patrick Bourgeois, du RRQ, recevait, de son côté, des menaces quotidiennes. Par courriel, on le traitait d’enfant de chienne, de crotté. On lui promettait la matraque et les gaz lacrymogènes. Hier, on lui a adressé une photo d’un faux soldat portant une mitraillette.

 

Sur les ondes du FM 93, hier matin, Patrick Bourgeois a signalé avoir reçu «des menaces de mort». Il n’a toutefois pas porté plainte à la police. «Ce n’est pas à moi à faire la job des policiers», nous a-t-il dit.

 

Bombardée de courriels, au moins une agence de voyage britannique a retiré de son offre de service touristique une visite des Plaines l’été prochain, de crainte que les choses ne tournent mal pour ses clients londoniens.

 

Discrètement, les policiers commençaient à s’intéresser à l’affaire. «Les policiers sont là-dessus», nous a dit une source digne de foi au ministère de la Sécurité publique, hier.

 

La CCBN était aussi en relation avec des corps policiers, vraisemblablement la GRC, nous avait affirmé aussi le directeur de la sécurité de la CCBN, Jean St-Pierre.

 

«Nous recevons beaucoup de menaces chaque jour. Des gens qui sont contre l’événement. On va savoir ce qui arrive, mardi», nous a-t-il expliqué, hier.

 

La pagaille risque d’éclater ce jour-là puisque les jeunes souverainistes comptent se rendre à Québec pour assister à la conférence de presse d’André Juneau. «Si on ne nous laisse pas entrer, on va attendre dehors», assure Patrick Bourgeois.

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La reconstitution pourrait avoir lieu en Ontario

 

Bataille des Plaines d'Abraham

La reconstitution pourrait avoir lieu en Ontario

La Presse Canadienne

15/02/2009 08h10

 

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090215-081034.html

 

 

 

Même si la Commission des champs de bataille nationaux a décidé de larguer la reconstitution de la bataille des plaines d'Abraham, l'événement pourrait avoir lieu quand même, possiblement en Ontario.

 

 

C'est ce qu'a confié au quotidien Le Soleil Horst Dresler, ex-résidant du Québec qui vit maintenant au Vermont, et qui est à la tête du Corps historique du Québec.

 

M. Dresler, qui a souvent interprété le général Wolfe dans de précédentes reconstitutions, affirme qu'il ne faut pas gaspiller deux ans de préparation et qu'il faut commémorer cette bataille.

 

Horst Dresler se dit surpris de la réaction populaire, rappelant que des reconstitutions similaires avaient déjà été faites à Québec en 1994, 1998 et 2004 et qu'aucune polémique n'avait été soulevée.

 

Le leader du Corps historique du Québec attribue la bisbille au Réseau de résistance du Québécois, qu'il qualifie d'extrémiste.

 

Il soutient que le Réseau a donné de fausses informations et que les médias et la population les ont crus.

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