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Membres prolifiques

13 minutes ago, budgebandit said:

It's two separate lots and neither owner is interested in selling right now. 

Sur Infolot, c'est 5 lots et les 4 au nord ont 4 différents propriétaires au rôle d'évaluation. Je ne sais pas qui est proprio du lot PC-*** (ruelle ville?)

Parking Metcalf.jpg

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52 minutes ago, budgebandit said:

1 338 891 and 1 338 921: owner #1

1 338 923 and 1 338 925: owner #2

PC-03257 is a servitude if I remember correctly, nothing can be built on it. 

J'imagine que c'est le cas et que tu es au courant.

Les propriétaires enregistrés au rôle foncier:

Numéro de lot : 1338891
2. Propriétaire
Nom : IMMEUBLES RIVETTA INC
Adresse postale : 11629 AV HURTEAU , MONTREAL-NORD QUEBEC, H1G 3W8

Numéro de lot : 1338921
2. Propriétaire
Nom : KRAVITZ, ELLIOT
Adresse postale : 4217 AV NORTHCLIFFE , MONTREAL QUEBEC, H4A 3L2


Numéro de lot : 1338923
2. Propriétaire
Nom : 166888 CANADA INC
Adresse postale : 597 AV LANSDOWNE , WESTMOUNT QUEBEC, H3Y 2V7

Numéro de lot : 1338925
2. Propriétaire
Nom : GESTIONS DIVERSIFIEES ATLANTIS INC.
Adresse postale : 6500 RTE TRANSCANADIENNE 207, SAINT-LAURENT QUEBEC, H4T 1XR

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Avec la pression immobilière ces terrains sous-développés suivront un jour le même chemin que les autres qui les ont précédés, c'est-à-dire faire partie d'un futur projet. En attendant ils sont en quelque sorte une réserve officieuse pour développement ultérieur.

En même temps on ne peut pas se surprendre que les propriétaires les considèrent comme un placement garanti, puisqu'avec les taux d'intérêt quasi à zéro, il n'y a pas beaucoup de véhicules de placement sûr pour faire fructifier son argent.

Ainsi avec la rareté des terrains disponibles, ces derniers sont littéralement assis sur une petite mine d'or, qui prend rapidement de la valeur sans qu'ils aient besoin de lever le petit doigt. 

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1 hour ago, acpnc said:

Avec la pression immobilière ces terrains sous-développés suivront un jour le même chemin que les autres qui les ont précédés, c'est-à-dire faire partie d'un futur projet. En attendant ils sont en quelque sorte une réserve officieuse pour développement ultérieur.

En même temps on ne peut pas se surprendre que les propriétaires les considèrent comme un placement garanti, puisqu'avec les taux d'intérêt quasi à zéro, il n'y a pas beaucoup de véhicules de placement sûr pour faire fructifier son argent.

Ainsi avec la rareté des terrains disponibles, ces derniers sont littéralement assis sur une petite mine d'or, qui prend rapidement de la valeur sans qu'ils aient besoin de lever le petit doigt. 

Et puis en même temps, en développant dans différentes plages de temps, on s'assure d'avoir une architecture variée. L'architecture de 2020 est différente de celle de 1980, qui était différente de 1960, elle-même différente des années 1920, etc.... 

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Il y a 14 heures, Rocco a dit :

Et puis en même temps, en développant dans différentes plages de temps, on s'assure d'avoir une architecture variée. L'architecture de 2020 est différente de celle de 1980, qui était différente de 1960, elle-même différente des années 1920, etc.... 

Excellente observation, j'approuve totalement. C'est d'ailleurs une raison de plus de ne pas  s'inquiéter de la résistance au développement de certains propriétaires. Ces derniers en voulant attendre le bon moment, permettent par défaut de renouveler justement les styles en fonction des décennies.

Il faut dire que ce phénomène est la conséquence directe des nombreuses démolitions des années 60 aux années 80, qui ont multiplié les espaces vacants et les stationnements de surface.

Maintenant que la ville a repris du tonus au niveau économique, ces terrains se transforment en autant d'opportunités de constructions nouvelles, suivant les tendances de l'architecture du moment.

Ainsi ce que l'on aura perdu dans le passé sera en partie compensé par le renouvellement du paysage urbain qu'apportent ces nouveaux immeubles récents.

Bien sûr je déplorerai toujours les démolitions sauvages, la plupart du temps spéculatives qui ont gangréné Montréal durant plusieurs décennies. Mais comme on ne peut pas refaire le passé, au moins on peut essayer d'en tirer profit pour le présent et le futur. 

A cet effet la grande majorité des édifices de remplacement ont contribué à augmenter la densité et la démographie du coeur de la ville, par l'ajout de bâtiments plus imposants et généralement plus hauts, qui ont littéralement changé la ligne d'horizon de la métropole.

Tandis que la mouture actuelle dépasse tout ce qui a été construit dans les boums précédents, autant en nombre qu'en élévations. Elle promet de surcroit de révolutionner durablement l'image de la ville, en la projetant dans une deuxième phase de consolidation économique (après les années 60) et de modernité retrouvée, qui fait de plus en plus la fierté des montréalais.

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