ville-marie 1825-1849 ave. De Lorimier - 8 étages

[IluvMTL]

Sursis pour un immeuble centenaire de l’avenue de Lorimier

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/910783/sursis-pour-un-immeuble-centenaire-de-lavenue-de-lorimier/

 

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[IluvMTL]

http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/02/06/002-projet-immobilier-opposition-ville-marie-urbanisme-histoire.shtml

 

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[acpnc]

Je n'ai aucune confiance dans le promoteur, de toute façon comment prendre une décision éclairée quand on a même pas vu le projet de remplacement? Je me demande aussi comment il respectera l'intégrité du bâtiment avec son nécessaire recul sur la rue, puisque les escaliers arrivent déjà au bord du trottoir? On peut aussi supposer que la négligence d'entretien venant du proprio et révélée par les locataires, représentait une volonté de démolir planifiée depuis un certain nombre d'années.

 

Encore une fois on risque de se retrouver devant un fait accompli. Je considère ces façons de faire comme une sorte de vandalisme insidieux qui détruit peu à peu la personnalité et l'image unique de la ville.

[IluvMTL]

Pour prendre conniassance du projet, il aura fallu se présenter à l'audition public pour la démolition (qui a ete annulle), ou bien en se présentant à l'arrondissement à partir du moment que l'avis est publié.

 

En principle les projets ne sont pas public avant d'être approuvé par l'arrondissement, ou bien s'ils requièrent une approbation par le conseil...ou dans un cas comme ceci pour une demande de démolition

 

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[FrancSoisD]

Je n'ai aucune confiance dans le promoteur, de toute façon comment prendre une décision éclairée quand on a même pas vu le projet de remplacement? Je me demande aussi comment il respectera l'intégrité du bâtiment avec son nécessaire recul sur la rue, puisque les escaliers arrivent déjà au bord du trottoir? On peut aussi supposer que la négligence d'entretien venant du proprio et révélée par les locataires, représentait une volonté de démolir planifiée depuis un certain nombre d'années.

 

Encore une fois on risque de se retrouver devant un fait accompli. Je considère ces façons de faire comme une sorte de vandalisme insidieux qui détruit peu à peu la personnalité et l'image unique de la ville.

 

Tellement d'accord!

 

Ces victoriennes sont majestueuses et rappellent aux visiteurs de notre métropole qu'elle est un lieu riche en histoire. Il y a bien des terrains vagues tout près qui se prêteraient à merveille à plus de densité, voire plus de hauteur, juste au sud de Ste-Cath...

[UrbMtl]

Je suis passé en auto sur de Lorimier aujourd'hui. Il y avait un avis de la demande de démolition sur la porte de l'un des bâtiments. Il semblait y avoir un rendu.

Quelqu'un en sait plus?

[Né entre les rapides]

Je suis passé en auto sur de Lorimier aujourd'hui. Il y avait un avis de la demande de démolition sur la porte de l'un des bâtiments. Il semblait y avoir un rendu.

Quelqu'un en sait plus?

 

Peut-être s'agissait-il du «vieil» avis de demande de démolition, qui n'avait pas été retiré?

 

Désolé pour la platitude de mon commentaire, mais comme j'ai reproduit ton message, tu ne perdras pas la possibilité d'obtenir une réponse plus instructive de la part de quelqu'un qui est vraiment au courant.

[acpnc]

Il faut arrêter le saccage de la ville avec des politiques approximatives distinctes pour chaque arrondissement. D'un côté un zèle exagéré pour conserver des édifices sans intérêt, et de l'autre un laisser-faire qui ressemble à de la complicité déguisée. Nous avons besoin d'une véritable politique globale de développement, d'entretien-rénovation et de conservation dirigée par des professionnels qui ont une vision à long terme.

 

Commençons par cesser le cas par cas et le développement partisan, selon la couleur politique de l'arrondissement. Montréal est une ville à part entière et doit être administrée par un pouvoir central comme elle le fut avant l'explosion de sa gouvernance. Je dis oui à une direction locale pour des services de proximité et non pour des décisions à la pièce qui font de la métropole une entité à plusieurs têtes, dont les politiques s'affrontent plutôt que de s'harmoniser.

 

Ceci ne veut pas dire de diminuer le pouvoir d'opposition, mais plutôt de l'encadrer et ramener le tout à l'Hôtel de ville.

 

Ainsi le citoyen, le commerçant, comme l'entrepreneur, n'auront pas à magasiner leur quartier en fonction de l'ouverture ou la permissivité d'une administration par rapport à une autre. Il est donc impératif que nous revenions le plus près possible du modèle standard caractéristique des grandes villes modernes, où la gestion est un outil efficace de développement et non un bar ouvert où chacun choisit son menu selon sa couleur politique.

 

Les libéraux ont foutu le bordel à l'époque Charest. Ils doivent maintenant s'amender et corriger le tir, pour que la métropole retrouve sa capacité à faire réellement compétition aux autres villes du continent, au lieu de perdre une précieuse énergie à le faire entre arrondissements et pouvoir central. Le temps de la récréation est terminé, passons aux vraies affaires. En agissant ainsi on n'aura plus à chercher à se battre de manière différente dans chaque dossier, car les règles seront connues, transparentes et appliquées également sur tout le territoire.

[UrbMtl]

Peut-être s'agissait-il du «vieil» avis de demande de démolition, qui n'avait pas été retiré?

 

C'est certain que c'est le "vieil" avis, mais il y a un rendu. Jusqu'à maintenant, on a rien vu mais on sait que c'est un scandale.

 

Quelqu'un habite proche ou passera dans le coin?

[yarabundi]

Les libéraux ont foutu le bordel à l'époque Charest.

 

Et ils continuent leur travail de démolition !!! mais ça c'est une autre histoire !!

 

Qui est donc le maire de l'arrondissement de Ville-Marie qui fait si mal son travail ???? C'est le même maire qui en tant que maire de la Ville cette fois-ci est venu foutre le bordel sur le Plateau en autorisant la construction d'une trottoir à nain le long du parc Laurier !!!

 

Grâce à Coderre, nous sommes revenus à des pratiques dignes de l'ère de Jean Drapeau. Nous n'avançons pas : nous régressons.