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Royalmount


denpanosekai

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La demande réelle ET la demande artificielle ce n'est qu'un !!  Appelle la comme tu veux, le local est loué? alors il y a demande.

Oubli les études, oubli les rapports, ... le local est loué? Alors il y a demande.

Nouveau paradigme, ou vieux paradigme, un vrai besoin, arttificiel, actuel, hypothétique, virtuel, évitable, équitable, échelle humaine, ou inévitable, démontrable, réel, ou pas,... le local est loué? il y a demande. point final.

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Il y a 3 heures, YMQ a dit :

This is easy to say when its not your capital. Frank - fork up a billion dollars of your own capital and then let's talk. 

This is the free market. Let the natural market forces determine the winners/losers. A montreal based business might succeed, and  that's fine by me.

I never said they wont succeed. We all really have to stop reading what we wish others had said. My point was too say that this project, in this form or another, wasnt inevitable as Toxic had claimed. Does it mean it wont succeed? No. Does it mean it cant be a good project? Well, lets hope not. 

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15:16 6 mai 2019Par : Zacharie Goudreault et Henri Ouellette-VézinaMétro

Royalmount: les citoyens appelés à commenter le projet

https://journalmetro.com/actualites/2317617/royalmount-les-citoyens-appeles-a-commenter-le-projet/

 

Les Montréalais auront l’occasion de se prononcer sur le controversé projet Royalmount alors que l’entreprise Carbonleo entend consulter par le biais d’une plateforme web et d’ateliers dont les détails seront dévoilés dans les prochaines semaines.

Le mégaprojet immobilier et commercial, à l’intersection des autoroutes 15 et 40, a été durement écorché en janvier dernier par la Commission sur le développement économique et urbain et l’habitation, qui avait recommandé «un temps d’arrêt» le temps de revoir en profondeur ce projet pour y inclure notamment des espaces verts et éviter que celui-ci ne contribue à augmenter la congestion routière dans ce secteur, qui est déjà problématique.

Afin de mieux comprendre les «aspects à bonifier» dans ce projet, l’entreprise Carbonleo a annoncé par voie de communiqué lundi qu’elle permettra prochainement aux citoyens de donner leur opinion sur le site web du Royalmount.

L’entreprise entend par ailleurs tenir des ateliers où seront conviés les 25 organismes et la trentaine de citoyens ayant déposé les quelque 76 mémoires qui ont nourri la réflexion de la commission municipale qui a été appelée à se pencher sur ce projet.

«Nous allons continuer à dialoguer […] Nous allons avoir une série de rencontres avec ceux qui ont participé à la consultation publique pour avoir leurs propositions», a indiqué lundi le président et chef de la direction de Carbonleo, Andrew Lutfy, lors d’une conférence tenue au Palais des congrès de Montréal dans le cadre du Forum stratégique sur les grands projets métropolitains de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

L’entreprise tiendra également des tables rondes auxquelles seront conviés notamment des experts  en urbanisme, en environnement, voire en «intelligence artificielle», a ajouté M. Lutfy.

«La balle est dans leur camp»
Appelée à réagir en marge d’une conférence de presse lundi, la mairesse de Montréal Valérie Plante a dit vouloir saluer la décision de Carbonleo de consulter la population.

«La balle est dans leur camp. On espère qu’ils vont arriver avec une décision et nous dire à quoi s’attendre pour qu’on avance ou non. Chose certaine, ce sera la décision du promoteur.» -Valérie Plante, mairesse de Montréal, à propos de la direction du promoteur Carbonleo

«On pourra réévaluer la situation rendu là, bien évidemment», a par ailleurs nuancé la chef de Projet Montréal. Contactée par Métro, l’attachée de presse de la mairesse, Geneviève Jutras, a confirmé que la Ville veut voir «jusqu’où le promoteur est capable d’aller», notamment en matière de mobilité, avant de se prononcer davantage.

Rappelons qu’en mars dernier, un comité de travail, composé notamment de la Ville de Montréal, de Ville Mont-Royal, du ministère des Transports du Québec et de la Société de transport de Montréal, a été créé pour repenser la mobilité dans le secteur Namur-De la Savane, où plusieurs projets immobiliers, notamment le Royalmount, pourraient rendre la circulation routière encore plus problématique dans les prochaines années.

«Nous nous inquiétons pour le trafic et nous voulons trouver des solutions», a affirmé Andrew Lutfy.

Selon le rapport de la commission permanente ayant étudié le projet, le projet Royalmount, qui prévoit entre autres l’aménagement d’hôtels, de bureaux et de deux salles de spectacle, générera «pas moins de 140 000 déplacements supplémentaires quotidiens, dont la grande majorité en véhicules automobiles». 

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Un promoteur aura une vision très circonscrite d'un développement. Ça s'arrête à tout ce qui le touche lui directement, avec les pour et les contre. Si l'équilibrage se fait en sa faveur, il estime être gagnant. Selon cette logique/système, c'est normal. Par contre une ville (ou une société) a une vue bien plus large du même projet, et surtout de ses conséquences. C'est normal aussi. Faire autrement serait de la mauvaise gestion.

Si un projet génère des effets négatifs (mettons, augmentation de la circulation du secteur, de la dangerosité pour les habitants des quartiers résidentiels et de l'augmentation de production de CO2. Mettons) qui ne viennent pas affecter négativement et outre mesure la rentabilité du projet, le promoteur n'en tiendra pas compte. C'est "normal", mais pas souhaitable car les conséquences ne disparaîtront pas d'elles-mêmes et engendreront des coûts réels à la ville/société, dans laquelle nous vivons tous.

Voilà pourquoi il ne faut pas laisser faire aveuglément les promoteurs, qui ne sont peut-être pas tous des méchants, mais qui, dans la logique de ce système, n'ont tout simplement aucun intérêt financier à élargir leur vision, sauf s'ils subissent des pressions de la ville/société.

Il y a donc ici un équilibrage sain qui devrait permettre un compromis viable. Du moins c'est souhaitable pour une ville/société saine. Car nous vivons dans la ville/société, pas uniquement dans le projet de développement hyper circonscrit.

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Il y a 18 heures, crosbyshow a dit :

Et oublions pas le mot magique à la mode et utilisez à toutes les sauces......:  durable...

Si le terme est si souvent utilisé, c'est parce qu'il concerne toutes les activités humaines et qu'il a pour but de limiter les impacts négatifs de nos actions sur l'environnement et la société en général. En d'autres mots c'est une volonté de développer de manière responsable.

"Le développement durable (anglais : sustainable development) est une conception de la croissance économique qui s'inscrit dans une perspective de long terme et qui intègre les contraintes liées à l'environnement et au fonctionnement de la société. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ».

Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Développement_durable

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Le débat sur le forum va dans tous les sens dans les dernières pages.

La rentabilité du promoteur et l'urbanisme sont deux choses. Je n'ai aucun doute que le promoteur va être rentable. Je n'ai aussi aucun doute que la même activité économique peut être générée de nombreuses façons. Il est possible d'avoir les mêmes services dans un contexte où 90% des déplacements sont en transport en commun ou en transport actif, tout comme on peut avoir la même chose avec 90% de déplacements automobiles beaucoup moins désirables. On le voit à Montréal, dans des secteurs à quelques kilomètres les uns des autres.

On contrôle la forme que prend l'activité économique sur notre territoire. Ce n'est pas une attaque contre celle-ci. C'est une planification de celle-ci pour le faire au meilleur coût et dans la meilleure efficacité.

Et si on veut que le gouvernement règle le problème de congestion sur les axes routiers proches de ce projet, j'ai une nouvelle à annoncer: on ne va rien régler en augmentant considérablement la quantité de véhicules sur ces routes, surtout si ce sont des déplacements carrément inutiles.

Mais tout ce débat va beaucoup plus loin que le Royalmount. Le Royalmount ne fait que profiter de l'incompétence d'aménagement de trop nombreux quartiers qui ne peuvent avoir des services complets et intéressants plus proche des consommateurs, dans la forme actuelle de ces endroits. Les habitants de ces quartiers doivent aller plus loin, pour plus cher, dans de plus gros centres pour assurer leur rentabilité et leur pouvoir d'attrait. Le Royalmount est là pour eux. Mais c'est complètement légitime de critiquer cet état. Ça nous coûte collectivement des milliards, c'est un enjeu écologique, de santé public, et économique (oui, gaspiller de l'argent en transport et en congestion, ça a un impact sur la rentabilité).

Aussi, le Royalmount ne vient pas s'opposer aux quartiers centraux de Montréal, ou les rues locales. Ça fait des années que les centres commerciaux font des ravages dans les banlieues même avant tout. Il faut être gros pour attirer les bonnes bannières, qui veulent se concentrer là où il y a le plus d'achalandage, et cet achalandage demande un territoire de consommateur beaucoup plus grand. Pendant ce temps les petits centres commerciaux et les boulevards sont des un état pitoyable, pas parce qu'ils sont indésirables pour les consommateurs, parce qu'ils ne sont pas stratégiques pour les grandes bannières, et il y a un effet d'entraînement vers ces centres. On se plaint de 20% de vacance sur Saint-Denis, allez voir Saint-Martin… *frisson*. À comparaison, les rues locales à Montréal sont capables de se transformer et se recentrer sur les besoins de proximité. Ce qui est une bonne chose, car ça veut dire que les gens peuvent avoir une offre pratique à côté de chez eux.

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Un individu qui rénove son duplex au détriment du voisin, c'est une chose. Des quartiers dévitalisés, c'en est une autre.

Je ne dis pas qu'il faut empêcher toute forme de nouveau développement pcq de précédents en souffrirait.  Il faut bien que les choses changent organiquement sans toujours protéger artificiellement des marchés qui se sont dévitalisés, en partie d'eux-mêmes j'imagine.

Mais ce que je dis, c'est quand un secteur complet est dévitalisé (à tort ou à raison), les conséquences sont autrement plus significatives qu'un seul mec qui nuit à son voisin pcq son duplex est plus beau.

Souvent, les pots cassés se retrouvent en partie payés par l'ensemble de la société.

C'est pour ça qu'il faut bien étudier ce genre de développements. Si le promoteur regarde ses avantages, la société doit faire de même. Parfois, ces derniers sont en contradiction avec les premiers.

Je ne dis pas que c'est le cas ici, mais je parle en terme général, par principe.

Je constate que la société (ville) a manifesté ses inquiétudes quant aux conséquences du projet 15-40. Il y avait manifestement des désavantages coûteux pour le grand ensemble.

Je constate aussi que le promoteur n'a pas fait la sourde oreille et est en train d'apporter des modifications, ce qui semble indiquer que les récriminations n'étaient pas tant superflues puisqu'il ne s'acharne pas à faire passer son idée première. Il peut donc faire différemment, sans nuire à son intérêt primaire, la rentabilité. Du moins, il semble le penser.

La preuve que c'était possible (on verra la nouvelle mouture, mais bon...). Et que le compromis était peut-être, finalement préférable à l'intégralité du projet initial.

Je jase là.

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