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La LNH à Québec?


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LNH : les gouverneurs parleront-ils de Québec?

 

Publié le dimanche 13 décembre 2009 à 21 h 49 - par Corusnouvelles

 

Le dossier de la vente des Coyotes de Phoenix et la possibilité de voir de nouvelles franchises faire leur entrée dans la Ligue nationale – comme la ville de Québec - risquent de meubler les discussions de la prochaine réunion des gouverneurs, qui se tiendra à Pebble Beach, les 15 et 16 décembre prochains.

 

Même si la vente des Coyotes sera probablement le sujet principal, la discussion devrait rapidement dévier vers les villes de Québec, Winnipeg ou Toronto - tous des marchés potentiels - si l'on se fie à Pierre LeBrun, du réseau ESPN.

 

Concernant la possibilité de voir une deuxième équipe s'établir près de la métropole torontoise, les avis seraient partagés. Plusieurs gouverneurs auraient montré leurs réticences alors que d'autres, au contraire, ont affirmé qu'ils seraient en accord avec l'ajout d'un nouveau club s'il est clairement démontré que les marchés de Buffalo ou Detroit n'en souffriraient pas.

 

Outre l'ajout de nouveaux marchés, l'avenir des Coyotes de Phoenix devrait également être un des sujets phares de la réunion. Les récents développements portent à croire que la franchise de Glendale sera probablement vendue au groupe Ice Edge, une société composée d' hommes d'affaires canadiens et américains, qui a été créée dans le but d'acheter les Coyotes.

 

Selon Pierre LeBrun, le dossier de la vente risque toutefois de soulever les passions, puisque plusieurs propriétaires seraient inquiets de l'état des finances du groupe Ice Edge. Certains propriétaires ont déjà souligner leur intention de s'opposer à la vente. Même s'il s'est dit conscient des inquiétudes, Daryl Jones, l'un des actionnaires du groupe, a affirmé à ESPN que les autres intervenants n'avaient pas à s'inquiéter puis «l'argent était le dernier des soucis du groupe.»

 

Le dossier des coups à la tête sera également débattu durant les deux journées de réunion.

 

Alexandre Lebrun/Corus Sports

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  • 4 semaines plus tard...

Hockey

Québec à la limite économique pour la LNH

 

- Albert Ladouceur

Le Journal de Québec

08/01/2010 08h27 - Mise à jour 08/01/2010 10h56

 

L'ambition de la ville de Québec d'accueillir à nouveau une équipe de la Ligue nationale de hockey relève-t-elle davantage du rêve que de la réalité?

 

À en juger par une étude nord-américaine de Bizjournals, la capitale se situe à la limite économique pour se payer ce luxe. Le risque serait élevé de ne pas pouvoir la faire vivre pendant une période de temps raisonnable, ce qui déboucherait sur un deuxième déménagement.

 

Bizjournals se veut la version en ligne de la chaîne American City Business Journals, qui publie 41 hebdomadaires dans plusieurs grands centres américains. La chaîne se spécialise uniquement dans la nouvelle économique et des analyses en profondeur de marchés et de produits. Ses journaux rejoignent quatre millions de lecteurs, en plus des milliers de clics sur le site Web.

 

Bizjournals a analysé 82 marchés américains et canadiens afin de déterminer leurs capacités à abriter une équipe professionnelle (expansion ou déménagement) de baseball, de basket-ball (NBA), de football (LNF), de hockey (LNH) et de soccer (MLS). L'étude se base sur le revenu annuel combiné des travailleurs de la ville (Total Personnal Income), ce qui traduit la capacité de payer. Nous le nommerons RAC. À un niveau moindre, elle prend en compte les infrastructures existantes et la proximité d'une équipe rivale.

 

Seule une cotation de 100 signifie que la ville peut accueillir une équipe dans un sport déterminé. Si la note varie entre 70 et 99, elle se situe économiquement à la limite. Bien entendu, les chances de réussite s'avèrent supérieures si la communauté affiche une note de 89 comparativement à 72.

 

Cette étude défavorise nettement Québec. Le revenu annuel combiné atteint 27,77 milliards, ce qui lui concède une note de 74 pour la LNH et la LNF. Les chances seraient légèrement supérieures avec la NBA (76) compte tenu du nombre de joueurs sous contrat. On oublie le baseball (32), mais on pourrait adopter le soccer, la seule note de 100.

 

Québec peut se consoler, car Hamilton et Winnipeg se trouvent dans la même position. La voisine de Toronto, avec un RAC de 29,34 milliards, obtient une note de 79 pour la LNH. Winnipeg se contente de 72 (RAC de 26,55 G$). Edmonton et Calgary ne sont pas cotées pour le hockey ayant déjà une équipe. Elles montrent des RAC de 49,93 G$ et de 55,30 G$. Rappelons que ces villes albertaines sont étiquetées petits marchés dans le circuit Bettman et qu'elles se battent quotidiennement pour survivre.

 

DU BASEBALL... À MONTRÉAL

 

Selon l'étude du Bizjournals, 16 des 82 villes analysées pourraient se payer la LNH. Toutefois, elle ne calcule pas l'attrait ou la passion pour le hockey comme dans le cas d'Honolulu et d'Austin, au Texas. Ces facteurs favoriseraient Québec toutefois. Curieusement, Hartford, qui a perdu ses Whalers, figure dans le groupe des 16 grâce à son RAC de 58,4 G$. Elle pourrait se payer tous les sports professionnels, sauf le baseball.

 

D'ailleurs, le baseball professionnel s'avère le sport le moins accessible, étant jugé le plus coûteux dans ses opérations (masse salariale et nombre de matchs). Se basant sur les revenus des organisations et du prix des billets, les auteurs de l'analyse chiffrent à 86,7 milliards le revenu annuel combiné pour espérer faire vivre une franchise de balle. Ils ne désignent que deux villes, Riverside/San Bernardino en Californie et... Montréal (RAC de 127,73 G$).

 

À l'opposé, le soccer de la MLS constitue l'acquisition la plus accessible avec 42 villes qui pourraient héberger une équipe du circuit. Une division canadienne serait facilement envisageable avec notamment Québec, Montréal, Hamilton et Winnipeg qui rejoindraient Toronto et, en 2011,

 

Vancouver. Le RAC déterminé n'est que de 13,9 G$ pour la MLS.

 

Possiblement le sport le plus populaire aux États-Unis, le football trouverait sa niche dans 18 marchés, incluant Montréal (note de 100), mais un doute subsiste à Toronto avec une cotation néanmoins élevée de 94. Celle-ci perd des points à cause de la division du dollar loisir entre les Raptors de la NBA et les Maple Leafs. L'étude ne tient pas compte de la LCF. Vancouver ne figure pas (77) parmi les candidates.

 

Green Bay reste un phénomène dans l'univers du sport professionnel. Cette petite ville réussit à faire vivre son équipe de football malgré un revenu annuel combiné de 10,98 milliards et une population de 101 025, selon le site Web de la Ville. Les Packers profitent des recettes astronomiques de la télévision, du partage des revenus et du grand nombre d'amateurs qui parcourent des centaines de kilomètres pour assister à un match.

 

L'étude spécifie également que Denver, Cleveland, Pittsburgh et Tampa Bay, quatre gros marchés sportifs, font vivre des équipes malgré un revenu annuel combiné inférieur aux exigences. Le nombre

 

d'équipes dans ces marchés et l'écartèlement de la clientèle pourraient causer la disparition éventuelle d'une de ces organisations.

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  • 2 mois plus tard...
Quebecor probing interest in Quebec City NHL team

 

Nicolas Van Praet, Financial Post Published: Monday, March 08, 2010

 

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The Quebec Nordiques was moved to Denver as the Colorado Avalanche in 1995, but Pierre Karl Péladeau, Quebecor chief executive says “the timing is getting better and better” for the return of the NHL ...

 

MONTREAL -- Quebecor Media Inc. has hired polling firm Leger Marketing to complete a detailed public opinion survey on the possibility of bringing a National Hockey League team back to Quebec City as hysteria builds in the provincial capital that their beloved Nordiques may be reincarnated.

 

Pierre Karl Péladeau, Quebecor chief executive, is keen on buying and relocating a team to Quebec City after being outbid by the Molson family for the Montreal Canadiens franchise last year. Cautioning that there is still no appropriate arena for games and no team, Mr. Péladeau said in October that "the timing is getting better and better" for the return of the NHL to the city.

 

"We believe strongly in the potential of Quebec City as a hockey city," Martin Tremblay, a senior adviser with Quebecor Media, said yesterday. "Right now, we're gaging the interest of both the local population and corporate partners in supporting an NHL franchise. The step we're at is evaluating the financial viability of such a project."

 

Under the Quebecor mandate, Leger will question more than 1,000 Quebec City area residents over the coming days to evaluate the potential market for a pro team. The survey questions include everything from their take on a potential arena site to how much they would pay for tickets.

 

"It's been 15 years since the Nordiques have left and 15 years that we've been dreaming about the return of the NHL to Quebec City," said André Richelieu, a sports marketing expert at Laval University. "This is the first time, at least publicly, that we've seen a company be this proactive in studying whether that move makes sense."

 

Last month, Canada's TV regulator approved a licence allowing Quebecor's TVA Group to operate a French-language speciality TV sports station. The station could be a natural home for broadcasts of a Quebec City NHL team.

 

In past conference calls with analysts, Mr. Péladeau argued passionately about the convergence possibilities between Quebecor's cable, TV and wireless businesses and the content that would come in owning the Canadiens. Some industry observers believe the profit potential that could come from leveraging hockey content across different media platforms is equally strong with a Quebec City team, which was moved to Denver as the Colorado Avalanche in 1995 because it lacked a suitable arena.

 

Nordiques merchandise remains popular. The team's jerseys, t-shirts and hats remain among the top sellers more than a decade after its demise, said the manager of Pulsion Sports in Quebec City's Galeries de la Capital, who declined to give her name. "It's nostalgia, pure and simple," she said.

 

Mr. Richelieu said his own informal survey of local sports store owners over the weekend found some retailers are selling more Nordiques merchandise now than when the team existed. "There is a frenzy about this. Everybody is talking about it."

 

nvanpraet@nationalpost.com

 

Read more: http://www.financialpost.com/story.html?id=2658621#ixzz0hehbdiIv

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Le retour de la LNH à Québec passe par Quebecor

 

QUÉBEC - Pierre-Karl Péladeau vise l’acquisition d’une équipe de la Ligue nationale pour la ville de Québec. Trop d’indices le confirment et beaucoup de tractations de l’homme d’affaires restent confidentielles dont, sans doute, celles avec les instances politiques.

 

À lire également:

Quebecor tire au but

 

Le nerf de la guerre reste l’annonce officielle de la construction d’un amphithéâtre. À compter du moment où ce projet majeur deviendra officiel, la machine pourra véritablement se mettre en branle pour l’achat d’une équipe en difficulté dans son marché. Le Colisée pourrait alors servir de solution temporaire pour une période de deux ans à la condition d’y apporter quelques rénovations importantes au niveau des vestiaires et de la technologie.

 

Le grand patron de Quebecor ne deviendra jamais copropriétaire d’un édifice à Québec. Il possède déjà son parc immobilier accompagné de sa part d’obligations financières dont le siège social de l’entreprise au centre-ville de Montréal. Mais il pourrait devenir le principal locataire des lieux assurant les autorités d’une soixantaine de journées avec son équipe de la LNH (entraînements exclus). Une association avec un promoteur de spectacles gonflerait le total que viendraient ensuite bonifier les Remparts.

 

Acheter une équipe du circuit Bettman exige plusieurs millions de dollars. La gérer avec succès demande également des reins très solides. Rares sont les propriétaires qui font d’une équipe professionnelle, au hockey ou dans une autre ligue majeure, leur seule entreprise. L’époque des jouets pour millionnaires est révolue. L’équipe doit faire partie d’un conglomérat. Ses activités génèrent des revenus pour d’autres business du ou des propriétaires.

 

Servir la cause

 

En ce sens, le retour des Nordiques - un nom incontournable - servirait la cause de Quebecor.

 

En obtenant la licence du CRTC pour implanter un deuxième réseau de sport au Québec, PKP a besoin d’une vache à lait, d’un produit majeur et vendeur pour sa station spécialisée qui entrera en ondes en 2011. Il ne peut s’en remettre au Canadien, car l’organisme fédéral a reconnu l’exclusivité des droits de diffusion à RDS jusqu’en 2013. Lorsqu’ils redeviendront négociables, rien n’assure un réseau de cette propriété. Les négociations seront corsées et onéreuses. Aussi bien posséder sa propre équipe.

 

L’obtention d’une licence pour une chaîne de sports par Quebecor ne constitue pas un pas en avant dans le dossier du retour de la LNH, mais elle devient un incitatif de plus pour le PDG à bouger dans cette direction.

 

Déjà propriétaire d’une télévision généraliste (TVA), Quebecor pourrait ressusciter le hockey du samedi soir à cette antenne sans chambouler sa grille horaire. La diffusion d’un match, plus dispendieuse à produire, rapporterait néanmoins davantage de recettes qu’un film déjà vu.

 

Pour avoir accès à TVA sport, le consommateur devra se tourner vers le câble. Vidéotron appartient au même propriétaire. Même s’il affronte la concurrence de Bell, Péladeau pourrait mettre en place une campagne de promotion alléchante pour cette entreprise impliquant son équipe.

 

La plateforme Internet représente un autre débouché. Pourquoi ne pas y offrir des matches moyennant un déboursé pour ceux qui, pour diverses raisons, n’auraient pas accès aux deux réseaux de télévision de l’empire? Bien entendu, le Journal de Montréal et, surtout, le Journal de Québec profiteraient de la présence d’une équipe dans la capitale.

 

Donc, outre l’affluence aux guichets, une équipe de hockey de la LNH appartenant à Quebecor pourrait générer des revenus pour deux stations de télévision, une entreprise de câble, une plateforme Internet, deux quotidiens et une multitude de magazines. Et il y a peut-être moyen de l’exploiter dans le monde de la téléphonie cellulaire.

 

Sondage révélateur

 

Il ne faut donc pas s’étonner de ce sondage commandé par Quebecor dont le journal a fait état, samedi. Il ne cible pas uniquement des clients potentiels de la région de Québec.

 

L’entreprise s’enquiert de leurs intentions.

 

Un segment porte sur le coût des billets individuels (50$ à 130$), des abonnements (2000$ à 5500$), de forfaits, de plans d’affaires. Un autre récolte des informations sur la consommation de nourriture et d’alcool, le prix du stationnement, et des intentions des gens pour d’autres spectacles qui pourraient être présentés dans le nouvel amphithéâtre (concerts, Disney, cirque, artistes locaux, etc.).

 

Quel nom devrait porter l’édifice? De gros partenaires comme Bud Light, Coca-Cola, SSQ Groupe Financier ou Red Bull sont suggérés. Est-ce citer des noms pour en citer ou est-ce que ces entreprises ont confidentiellement démontré de l’intérêt advenant la résurrection de la LNH?

 

Quebecor ne s’intéresse pas à ces sujets par simple curiosité.

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/lnh/archives/2010/03/20100308-223448.html

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Maudit que je suis heureux que PKP ne mettra pas la main sur les droits de télédiffusion du CH. Cet ostie de crosseur va essayer de nous charger 2.99$ la game pour pouvoir regarder ces matches.

 

JE remercie les dieux du hockey que RDS est toujours là! Si les gens de Québec veulent avoir PKP comme propriétaire je leurs souhaite bonne chance! Les matches des nordiques vont devenir des "productions" comme la série MTL-QUÉ (qui est une vraie joke)!

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Ce que je déplore à Québec et le contraire se passe à Montréal, qui n,est pas mieux.

 

Si à tu te pointes à Québec avec quelques millions, tu passes pour un héros et la tout à coup, il y à juste toi, regarde Red Bull, la compagnie est une déesse la bas et peut faire ce qu'elle veut de la ville. Ils sont sur le point de nommer une rue Red Bull tellement que Labeaume aime le produit. À quelques part, c'est un genre de prostitution que je n'aime pas trop voir. Ils sont en train de faire la même chose avec Québecor. Maintenant, plus personne ne peut arriver avec une idée d'équipe de hockey, c'est Vidéotron ou Rien.

 

Montréal c'est tout le contraire et c'est pas mieux. Quelqu'un arrive ici avec quelques millions et ont lui fait peur, ont lui pose tellement de questions et de conditions qu'ils se poussent dépenser son argent ailleurs.

 

Il n'y a pas de juste milieu ou quoi?

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Maudit que je suis heureux que PKP ne mettra pas la main sur les droits de télédiffusion du CH. Cet ostie de crosseur va essayer de nous charger 2.99$ la game pour pouvoir regarder ces matches.

 

JE remercie les dieux du hockey que RDS est toujours là! Si les gens de Québec veulent avoir PKP comme propriétaire je leurs souhaite bonne chance! Les matches des nordiques vont devenir des "productions" comme la série MTL-QUÉ (qui est une vraie joke)!

 

Réponse à ton inquiétude que je partage :

 

Y M'énarve!

 

Source: Canal Argent (Propriété de qui vous pensez)

 

Quebecor veut absolument le Tricolore pour sa chaîne

 

Une chaîne sportive sans les matchs du Tricolore semble difficilement envisageable pour Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Quebecor. Selon lui, cette situation ferait en sorte que les Québécois se retrouveraient devant une mesure «injuste» et «inéquitable».

 

 

/

TVA, filiale de Quebecor Média, a obtenu en février dernier l’autorisation par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de lancer sa chaîne de télévision sportive. Mais il y a un gros hic : cette nouvelle chaîne ne pourra diffuser les matchs des Habs… pour l’instant du moins.

 

Questionné à savoir si Quebecor pourrait décider de ne pas lancer cette chaîne sportive si elle n’obtient pas l’autorisation de présenter les matchs du Canadien, M. Péladeau s’est montré ferme.

 

«Ce serait étonnant que le Québec soit logé à une enseigne différente du reste du Canada. Pourquoi les Canadiens anglais ont plusieurs alternatives pour voir les matchs des Maple Leafs ou des Oilers ?», s’est-il demandé.

 

Selon lui, ce «carcan» qui va «enfermer les téléspectateurs québécois» ferait en sorte de créer une situation «injuste» et «inéquitable» à leur endroit.

 

«Partout dans le monde et notamment en Europe avec le football, plusieurs diffuseurs se partagent les matchs. Le fait de ne pas avoir de matchs de hockey dans un pays comme le Québec où ce sport est une ferveur nationale, cela nous mettrait dans une situation très délicate», a-t-il affirmé lors d’un entretien.

 

A l’heure actuelle, RDS possède les droits exclusifs de diffusion des matchs du Canadien ainsi que d’autres matchs d’un peu partout dans la LNH jusqu’en 2012-2013. RDS verse environ 20 millions $ par année pour conserver la main sur ces droits.

 

Lors de sa décision en faveur de l’autorisation de la chaîne sportive, le CRTC n’avait pas voulu intervenir «dans les relations contractuelles privées existantes» préférant se ranger du côté «des forces du marché».

 

Pour compliquer encore le portrait, deux actionnaires de la société qui détient RDS (CTVglobemedia) BCE et Woodbridge sont maintenant actionnaires minoritaires du Canadien.

 

Le dossier avance pour l’équipe à Québec

 

Un élément toutefois qui enthousiasme M. Péladeau est la perspective d’une équipe de hockey à Québec. Quebecor ne cache plus ses envies d’être propriétaire d’une formation de la LNH dans la Vieille Capitale.

 

Cette chaîne sportive de TVA présenterait à coup sûr les matchs de ces Nordiques nouvelle génération. A l’heure actuelle toutefois, M. Péladeau affirme que l’étape est celle du plan d’affaires.

 

«Ce plan sera présenté au conseil d’administration, à nos partenaires et ultimement à la LNH», a-t-il précisé.

 

Le patron de Quebecor croit aussi qu’il s’agit d’un projet porteur et qu’il «y a plusieurs signes positifs» quant à l’arrivée d’une telle équipe à Québec.

 

«Je crois en ce projet. Sinon, on n’y travaillerait pas», a-t-il lancé.

 

M. Péladeau affirme que plusieurs discussions se tiennent en ce moment avec différents partenaires… même des propriétaires d’équipe.

 

«Dans la perspective où on est intéressé on discute avec toutes sortes d’intervenants dont certains peuvent être des propriétaires. (…) C’est certain si on achète une équipe comme les Coyotes, ce n’est pas pour l’exploiter à Phoenix mais à Québec», a-t-il lancé.

Modifié par monctezuma
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Maudit que je suis heureux que PKP ne mettra pas la main sur les droits de télédiffusion du CH. Cet ostie de crosseur va essayer de nous charger 2.99$ la game pour pouvoir regarder ces matches.

 

JE remercie les dieux du hockey que RDS est toujours là! Si les gens de Québec veulent avoir PKP comme propriétaire je leurs souhaite bonne chance! Les matches des nordiques vont devenir des "productions" comme la série MTL-QUÉ (qui est une vraie joke)!

 

Moi je m'ennuie de radio-canada, ou le hockey était sur l'antenne et non sur le cable. Tout le monde pouvait regarder le hockey gratuitement sans avoir le cable. C'est la seule chose que je regarde à la télé...

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