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chl94

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Tout ce qui a été posté par chl94

  1. Merci! Trop souvent les gens interprètes les plans comme ils veulent et après crient à l’arnaque. C’était assez évident qu’il y avait plusieurs tons de couleurs! et d’ailleurs je trouve la bâtisse sublime !!
  2. S**t ça monte bein vite!
  3. C’est MonDev qui a acheté le bâtiment. J’imagine qu’on s’enligne vers du locatif. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2424084/le-281-fermera-en-septembre/ Le 281 fermera en septembre pour laisser place à un projet immobilier Le 281, mythique bar de danseurs de la rue Sainte-Catherine, fermera bientôt ses portes. L’immeuble l’abritant a été vendu pour faire place à un projet immobilier. «Ça fait déjà un an et demi que je réfléchis à ce que je vais faire dans le futur. Ça commence à être difficile, la vie de nuit», confie à Métro la propriétaire du bar érotique, Annie Delisle, qui a franchi le cap de la cinquantaine. Lorsqu’elle a été approchée par le promoteur Mondev, qui a racheté l’immeuble au 94, rue Sainte-Catherine Est, la femme d’affaires a tout de suite saisi l’occasion. Elle indique avoir reçu la confirmation d’achat «pendant le temps des Fêtes», après une période de négociations. «À 50 ans, même si on a un régime de vie très strict et qu’on s’entraîne, se coucher très tard, ça ne marche pas. Quand cette offre-là est arrivée, c’était le bon moment», ajoute-t-elle. Cette fermeture entraînera la mise à pied de 40 travailleurs, dont 14 danseurs. Mme Delisle se montre toutefois confiante que ceux-ci réussiront à trouver un nouvel emploi rapidement, compte tenu de la pénurie de main-d’oeuvre dans le secteur de la restauration. «C’est une entreprise familiale qui a duré 40 ans. Je pense qu’on peut partir la tête haute», a ajouté Mme Delisle. Contacté par Métro, le partenaire principal chez Mondev, Michael Owen, a refusé de commenter. Il n’a ainsi pas été possible d’avoir des détails sur le projet immobilier à venir dans cet immeuble, qui compte trois étages, dont un rez-de-chaussée commercial. Ce promoteur est derrière plusieurs projets immobiliers dans la métropole. Il entend notamment aménager plus de 200 logements près du site du Campus MIL, à Outremont. «On est le seul bar érotique dédié aux femmes au Canada. C’est un concept unique au pays.»-Annie Delisle, propriétaire du 281 Un nouveau 281? L’institution fermera ses portes le 5 septembre. La propriétaire indique toutefois que le fonds de commerce du bar est à vendre. Le cabaret érotique, qui était unique en son genre au pays lors de son ouverture en 1980, pourrait ainsi renaître ailleurs dans la métropole. L’acheteur potentiel conserverait entre autres le mobilier, le nom et le permis d’alcool du cabaret érotique. «Moi, ma carrière de nuit s’arrête le 5 septembre. Mais si quelqu’un veut l’acheter, je suis ouvert», précise Mme Delisle, qui a acheté les parts familiales du commerce en 2003. Elle souhaiterait que ce nouveau bar, s’il voit le jour, se situe idéalement dans Ville-Marie. Lors de son ouverture, le cabaret érotique était ouvert sept jours par semaine. Les femmes faisaient la file chaque soir pour entrer dans le commerce. Il n’est désormais accessible que trois jours par semaine. Le bar demeure toutefois populaire et rentable, assure la propriétaire du 281. «On ne ferme pas pour des raisons financières. Ça marche encore. On a un concept qui est unique et c’est pour ça que ça marche si bien», assure-t-elle. D’ici à la fermeture du bar, Mme Delisle promet de multiplier les événements festifs dès la mi-avril afin de célébrer le 40e anniversaire de l’institution. Le bar a ouvert ses portes le 14 avril 1980.
  4. Fini les trottinettes électriques à Montréal PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE À peine 20 % des trottinettes utilisées en 2019 étaient stationnées dans les aires dédiées, constate la Ville dans le bilan déposé mercredi matin au comité exécutif. Aucune trottinette électrique en libre-service ne circulera en 2020 dans les rues de Montréal. Le comité exécutif ne renouvellera pas l’expérience de l’été dernier compte tenu du « désordre » que les trottinettes ont provoqué à travers la ville. Publié le 19 février 2020 à 9h13 KATHLEEN LÉVESQUE LA PRESSE À peine 20 % des trottinettes utilisées en 2019 étaient stationnées dans les aires dédiées, constate la Ville dans le bilan déposé mercredi matin au comité exécutif. « On doit tirer un constat d’échec », a affirmé le conseiller municipal Eric Alan Caldwell, responsable politique du dossier. « Montréal ne veut pas se transformer en police des trottinettes. Si on veut un règlement qui fonctionne, c’est la responsabilité des opérateurs de faire en sorte que le déploiement se fasse de façon claire et ordonnée », a indiqué M. Caldwell. Ce dernier estime que ce moyen de transport a sa place dans une ville comme Montréal mais « pour que ça fonctionne, ça ne doit pas nuire aux autres modes de mobilité durable et c’est ça qui est arrivé ». Le taux de délinquance est trop élevé, selon M. Caldwell. Le comité exécutif adoptera une modification réglementaire. Les trottinettes ne seront plus permises mais les vélos électriques continueront à sillonner les rues montréalaises. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202002/19/01-5261539-fini-les-trottinettes-a-montreal.php
  5. You gotta be kidding. Ce taudis est classé patrimoniale ? EDIT : Pour tout ceux qui sont bien vexé par mon commentaire, grow up. Oui, c'est une ancienne forge, mais JUSTEMENT elle ne devrait pas être laissé dans un état aussi lamentable. Présentement c'est délabré et pas très invitant : un taudis. Qu'on la restaure où qu'elle fasse place a une construction beaucoup plus interessante et utile pour le secteur.
  6. Ils ont commencé à installer la nouvelle marquise cette semaine. Je voudrais pas dire désastreux, mais s’en est proche. C’est un océan de poteaux, vraiment triste. J’essaierai de prendre une photo demain matin, il faisait trop sombre ce soir.
  7. En quoi est-ce mal d'étudier des données prises dans le cadre d'un projet pilote pour améliorer le règlement et mieux encadrer les entreprises et les utilisateurs? Oui, y'a des trottinettes et des vélos qui se retrouvaient un peu n'importe où, mais clairement le système mis en place l'an passé, avec des endroits de dépôt pré-déterminé, n'a pas fonctionné. Pour ma part, je suis content que la ville cherche une solution plutôt que de bannir des modes de transports verts aussi rapidement. Faudrait pas non plus mélanger inutilement ce débat à la politique..
  8. Je suis pas certain que j'aimerais voir une structure en béton comme on voit sur la rive sud et dans l'ouest le long de la rue Notre-Dame. L'idée d'un tramway comme sur les schémas semble bien!
  9. Yep! I shot on this for two weeks, at Mels Studios and it was crazy amazing what they created, and how it transposed to the big screen!
  10. Faut pas oublier que tous les gens qui inonde la gare d’autobus du 1000 vont se retrouver à la gare centrale pour la majorité. Et on prend même pas en compte l’augmentation d’achalandage que va engendrer un meilleur service qu’un bus ou un train qui ne passe que quelques fois pas jour. Et aux deux minutes en heure de pointe, avec des trains provenant du nord et du sud en même temps, je suis vraiment pas sûr que l’impact sera si bien reparti sur le temps Avec en plus l’ajout du Vermonter qui est dans les plans, et l’amélioration du trajet Montréal-New-York avec le projet de douane à Montréal, les besoins de la gare vont vite excéder sa capacité. Mais tout ça pour dire qu’on a besoin de rénovations majeures dans cette gare, au minimum.
  11. Faut pas oublier la quantité de gens que ça va apporter de la rive-sud aussi. Je suis pas convaincu que ça va apaiser le problème tant que ça!!
  12. La gare suffit aux besoins? Peut-être à 23h le soir. Quand y’a des départs de trains, y’a même pas de place pour attendre, les files envahissent toute l’espace, et je parle même pas de l’heure de pointe avec les arrivés de train de banlieue. Cette gare a grand besoin d’amour.
  13. Le point était que les fondations n'étaient pas reliées, à part que par le mince corridor du réso qui longe la facade «nord»
  14. J’me demande s’ils vont tout enlever? Considérant que y’a le parc au milieu.. les fondations ne sont pas communes non?
  15. Les photos ne rendent pas justice à la majestuosité du trou. C’est impressionnant comment gros et profond, et à quelle vitesse ils sont parvenu à faire ça. Si ça monte aussi vite que ça l’a descendu, ça va être impressionnant 👌 est-ce qu’on sait si c’est du béton ou de l’acier?
  16. Quelle amélioration pour le coin! Ça et le nouveau look du maintenant Fairfield c'est beaucoup moins délabré que ce l'était.
  17. Le cœur de Montréal sur le point de se métamorphoser Offert par Les Affaires Édition du 23 Novembre 2019 PAR CLAUDINE HÉBERT LES GRANDS DE L'IMMOBILIER. Trois des cinq plus grandes transactions immobilières commerciales de notre classement ont eu lieu au coeur du centre-ville de Montréal. Que souhaitent faire les acheteurs de leur nouvelle tour de bureaux ? D'abord, on peut dire que Sun Life et le fonds canadien Prime la voulaient, leur tour. Jamais un immeuble de bureaux montréalais ne s'était négocié à un si fort prix que le 1250, boulevard René-Lévesque Ouest au printemps dernier. «C'est une belle acquisition. Il s'agit de l'un des plus beaux immeubles classés AAA du pays», signale Yves-André Godon, vice-président principal de la région de Montréal chez Bentall GreenOak, la filiale immobilière de Sun Life. Le rôle d'évaluation foncière de la Ville de Montréal attribuait une valeur de 418 millions de dollars à cet immeuble de 47 étages, anciennement connu sous le nom de la tour IBM-Marathon, lors de sa mise en vente. Elle a finalement été acquise pour la rondelette somme de 605 M$. Selon M. Godon, cette transaction très médiatisée place Montréal sous le feu des projecteurs de nombreux investisseurs hors Québec qui vont vouloir, eux aussi, bénéficier de l'effervescence du marché montréalais. «Cet achat est conséquent à notre vision à long terme, indique-t-il. Le centre-ville est en voie de changer. Bien que les principaux bureaux aient traditionnellement été occupés par les institutions financières, les cabinets d'avocats et les compagnies d'assurance, nous allons voir de plus en plus de jeunes entreprises spécialisées en technologie venir s'installer au coeur de la ville. Nous voulons faire partie de cette transformation.» En attendant, aucun investissement majeur n'est à l'ordre du jour pour l'immeuble qui a été construit en 1992. «Nous sommes en mode réflexion», précise M. Godon. Actuellement, 93 % de sa superficie, qui approche le million de pieds carrés, est louée. «La moyenne de nos baux de location est de neuf ans», tient à souligner M. Godon. L'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public (Investissements PSP), qui était un des actionnaires de l'immeuble avec le Groupe Oxford, demeure le principal locataire des lieux, avec plus de 275 000 pieds carrés de superficie. Parmi les autres locataires du deuxième plus grand immeuble de Montréal, on note entre autres PwC, le cabinet Langlois Avocats, ainsi que Wells Fargo, BMO et CBRE. Les tours jumelles vendues OEuvres de l'architecte américaine Sylvia Gottwald-Thapar, les tours des 600 et 700, rue de la Gauchetière Ouest - qui ont toutes deux été vendues au cours de l'année - entrent pour leur part dans d'importantes phases de transformations. C'est ce qu'ont fait savoir leurs acheteurs respectifs, la Corporation immobilière Kevric (600) et Allied Properties (700). Chacun compte investir plus de 50 M$ pour métamorphoser ces tours construites au début des années 1980. Deux immeubles qui avaient d'ailleurs besoin de beaucoup d'amour, de l'avis de plusieurs experts immobiliers. De passage à Montréal en septembre dernier, Michael Emory, PDG d'Allied Properties, a signalé son intention de transformer les vastes espaces publics et communs du 700, rue de la Gauchetière Ouest, connu anciennement sous le nom de tour Bell. «Nous souhaitons créer un environnement d'espace de travail urbain distinctif pour les organisations créatives et innovatrices qui misent sur la connaissance», a indiqué M. Emory. Il a d'ailleurs précisé que cette transformation se ferait en partenariat avec l'entreprise Moment Factory. «Ce sont des experts dans la réalisation d'expériences humaines mémorables. Ils vont nous aider à inspirer un sentiment d'émerveillement et de lien collectif», a souligné le gestionnaire immobilier. Mentionnons que cette acquisition représente la première tour de bureaux à intégrer le portefeuille d'Allied. Depuis sa création, au début des années 1990, cette entreprise torontoise était reconnue pour acheter des immeubles industriels qu'elle reconvertissait en espaces lofts-bureaux. Allied, qui a également acheté l'Édifice RCA, dans Saint-Henri, pour 80 M$, détient plusieurs immeubles de type lofts/classe industrielle dans les quartiers du Mile-Ex et du Vieux-Montréal. Le 425, rue Viger, qui deviendra en 2020 la nouvelle adresse de Google, lui appartient. En somme, Montréal représente désormais 43 % des actifs d'Allied, ce qui en fait le marché le plus important de cette fiducie de placement immobilier devenue publique en 2002. Du côté du 600, rue la Gauchetière, les travaux sont déjà commencés. «Une des premières phases est de déménager l'actuel hall d'entrée deux étages plus bas pour permettre un accès direct sur la place du Square Victoria», explique Richard Hylands, PDG de la Corporation immobilière Kevric. Le gestionnaire veut également changer les murs extérieurs, y compris la fenestration, qu'il souhaite encore plus présente sur l'immeuble. «L'objectif, dit-il, est de pouvoir exécuter les travaux avant que la Banque Nationale quitte la tour en 2023.» Rappelons que la banque occupe plus de 85 % des 700 000 pieds carrés disponibles. Un départ massif qui n'inquiète pas du tout le gestionnaire. «Nous avons déjà commencé à recevoir des appels d'au moins cinq entreprises intéressées à venir prendre place dans la tour», mentionne M. Hylands. La métamorphose du 600, de la Gauchetière Ouest n'est pas la seule grande transformation au calendrier de Kevric. Propriétaire de la Place Bonaventure, l'entreprise compte y éliminer les quelque 315 000 pieds carrés de surface d'exposition pour en faire de nouveaux espaces de bureaux que recherchent les milléniaux. «Le centre-ville de Montréal n'est plus un centre bancaire, soulève M. Hylands. Raison pour laquelle nous devons désormais nous tourner vers des locataires de la nouvelle économie.» Ce sont d'ailleurs ces entreprises qui sont les principaux acteurs d'une grande partie de la relance de l'actuelle économie immobilière montréalaise, conclut-il. https://www.lesaffaires.com/dossier/les-grands-de-l-immobilier/le-coeur-de-montreal-sur-le-point-de-se-metamorphoser/614283
  18. Moi, bien que j'ai trouvé l'endroit super beau et l'offre de restos vraiment bonne, c'est beaucoup trop petit et mal aménagé. La passerelle au milieu coupe l'ambiance en deux, les allées entre les tables sont beaucoup trop étroites, et il n'y a pas de places pour faire les immenses files de gens qui attendent pour commander. Et je doute que le nombre de place soit suffisante en saison estivale. C'est vraiment pas très grand.
  19. Mon premier appartement quand je suis arrivé à Montréal! Ils avaient refait toute la façade il y a quelques années, c'est curieux. J'imagine que le bâtiment a changé de main
  20. 9 octobre, 8h00 Ça semble être des tests de sol
  21. La nouvelle jeunesse du Germain Montréal PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Dans cette chambre prestige, le concept de rondeur a été exploité au maximum, avec des courbes jusque dans les murs divisant la chambre et la salle de bains. Une fenêtre sur ce même mur laisse passer la lumière par la douche. Un an et 30 millions de dollars plus tard, c’est dans un espace complètement repensé, transformé, et agrandi que Le Germain Montréal accueillera de nouveau ses visiteurs, lundi. Inspirée du bâtiment construit en 1967, la nouvelle signature visuelle de l’endroit vous donnera tout, sauf le blues de la métropole ! Publié le 30 septembre 2019 à 11h30 AUDREY RUEL-MANSEAU LA PRESSE « La ligne visuelle va être très forte, c’est typique de l’hôtel-boutique d’inspirer la décoration du milieu dans lequel il se trouve. Ici, nous sommes partis de l’année de construction de la bâtisse », explique Jacques-Alexandre Paquet, directeur général de l’hôtel Le Germain Montréal, au moment de dévoiler une partie des nouveaux espaces à La Presse. Les textures sont omniprésentes : des boiseries aux formes arrondies, une tapisserie ondulée, des tapis de laine sur planchers de bois, des fauteuils de velours ou encore des chaises de plastique. Le tout, inspiré des années 60 et 70, riches en rondeurs dans le design d’intérieur. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Les murs de chaque salle de bains sont recouverts d’une tapisserie unique réunissant de véritables archives des années 60 et 70 qui charmeront certainement les plus nostalgiques et retiendront l’attention des plus curieux. « Regardez cette chaise », montre M. Paquet en déballant une chaise noire Vitra, faite d’un unique morceau de plastique moulé arrondi. « Cette chaise fantôme démontre bien le style qu’on voulait donner avec les courbes, le plastique des années 70, mais avec un look actualisé. » Cette chaise se trouvera dans le foyer central des nouvelles salles de réunion. Jadis doté d’une seule salle de 475 pi2, l’hôtel aura dorénavant trois espaces consacrés aux réunions et événements au troisième étage, dont un lounge créatif plus ludique, où il est possible d’écrire sur les murs. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Oubliez la palette de brun-jaune-orangé typique des années 70, en revanche. Les couleurs sont actuelles : une chaise de velours bleu sarcelle dans une chambre, un tabouret jaune moutarde dans l’autre, un peu de rouge dans la tapisserie de la salle de bains, sans oublier les magnifiques chaises bulles. Le Germain ajoute également un bar dans le hall, le Flâneur, où les bulles, les huîtres et les cafés spécialisés seront à l’honneur. Il reprend aussi possession de l’espace de l’ancien restaurant le Laurie Raphaël. Rebaptisé Le Boulevardier, il pourra accueillir deux fois plus de clients et proposera un menu de style brasserie parisienne. Quatre étages de nouvelles chambres PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Quelques chambres seront équipées d’un lit rond. Le Germain de Toronto possède trois chambres avec un tel lit et la réaction des clients est très positive. « Les gens l’aiment à Toronto et on se disait que ça se prêtait parfaitement bien à notre thématique », a dit M. Paquet Grâce aux étages ajoutés en hauteur, l’hôtel passe de 101 chambres à 136 chambres, désormais classées en neuf catégories plutôt que trois. Chaque étage en compte plus ou moins huit, pour une ambiance plus intimiste, et chaque chambre comporte ses différences et particularités. « C’est quelque chose qu’on a toujours aimé, faire visiter les chambres à nos clients et noter leur préférence dans leur profil. Notre job, c’est de faire tout notre possible pour qu’ils se sentent bien et comme chez eux », dit le directeur général, qui travaille au sein de l’entreprise depuis 11 ans. Il explique, par exemple, que le personnel demande au client de quel côté du lit il dort, ainsi, lors du service de couverture — préparation de la chambre pour la nuit — les draps peuvent être ouverts du bon côté. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE L’hôtel Le Germain Montréal fête ses 20 ans. Construit en 1999, c’était le premier hôtel du Groupe Germain hors de la ville de Québec. « C’est vraiment très excitant. On le voit sur papier depuis des mois et là, ça se concrétise enfin. J’ai réellement hâte d’accueillir les gens ici et de voir les lieux habités ! » témoigne Jacques-Alexandre Paquet, directeur général de l’établissement. Une autre offre non négligeable pourrait charmer les voyageurs, gens d’affaires et autres clients aux horaires hors normes : ceux qui réservent directement auprès de l’hôtel peuvent bénéficier d’heures d’arrivée et de départ personnalisées, sans frais supplémentaires. « C’est une gestion très différente, mais l’effet wow est très apprécié. Donc, un client qui sort d’une réunion à 17 h et qui a un vol seulement à 21 h peut revenir à sa chambre, prendre une douche, envoyer des courriels et partir ensuite, sans avoir à payer une nuit supplémentaire. » Dès lundi, l’hôtel du Groupe Germain ouvre ses (nouvelles) portes à une quarantaine d’invités. Les autres chambres seront graduellement louées au fil des semaines pour une ouverture complète à la fin de l’année. Le nouveau restaurant, lui, sera fonctionnel vers la mi-octobre. Le tarif de réouverture est à partir de 167 $ (plutôt que 325 $) la nuit.
  22. J’espère que je ne bump pas le fils inutilement... mais je n’avais jamais remarqué la bannière à vendre sur la façade nord du bâtiment. Je vois ici qu’il était à vendre en 2012 alors peut être que c’est pas nouveau finalement 😅
  23. Est-ce qu'ils peuvent changer les grosses lettres bleues sur la façade sud maintenant? Et pourquoi pas un nouveau logo, tant qu'à y être.
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