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franktko

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Tout ce qui a été posté par franktko

  1. Ça ressemble plus à Laval que la rive-nord ?
  2. C'est parce que Westmount n'a pas de secteur industriel comme la plupart des villes. Ce n'est sûrement pas l'endroit le plus dense de la région... https://censusmapper.ca/maps/591#13/45.4968/-73.5893
  3. Minime? Je dirais plutôt optimal, non? Il semble, d'après les plans de la passerelle que les usagers n'auront même pas à aller à l'extérieur entre le métro et le centre... à peine 200 m de distance. Un meilleur accès au métro que la Place Ville-Marie. Ça prendrait quoi pour que tu ne qualifies pas de minime l'offre de TEC de ce site? Deux stations de métro? Un tramway qui traverse le site?
  4. J'imagine que c'est Blue Bonnets le prochain sur la liste - on se casse pas la tête: PARC!!
  5. Ouain ils nous en ont en passé une petite ville avec cette dalle-parc - c'est tout le développement potentiel (400,00m2) qui devient un parc... Ils commencent à me tomber sur les nerfs avec leurs parcs ? On passe de ceci à cela:
  6. Je trouve plutôt qu'on s'en occupe pas vraiment pour l'instant... en espérant que la promesse de s'en occuper se concrétise.
  7. Les murs aveugles que je préfèrent sont ceux comme le M2 (685 Saint-Jacques) Simple, efficace et peu coûteux. https://www.google.com/maps/@45.4986158,-73.5588772,3a,75y,343.24h,92.36t/data=!3m6!1e1!3m4!1sjf4LYsBufg6cnv47j5q-6w!2e0!7i13312!8i6656
  8. https://twitter.com/MTQ_Turcot/status/1009829545690718209
  9. Hier soir... espoir... ?
  10. Secteur du pont Saint-Jacques, 21 juin 2018
  11. http://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201806/20/01-5186614-condominiums-une-nouvelle-tour-de-300-millions-au-centre-ville.php --- Publié le 21 juin 2018 à 00h00 | Mis à jour à 00h03 Condominiums: une nouvelle tour de 300 millions au centre-ville Agrandir Le projet CentraCondos sera situé au 1000 de la Montagne. IMAGE TIRÉE DE FACEBOOK ANDRÉ DUBUC La Presse La ligne d'horizon du centre-ville connaîtra un nouveau pic. Le promoteur des condos Centra entreprendra sous peu son projet le plus ambitieux à ce jour : une tour de 45 étages et de 680 unités d'une valeur marchande d'environ 300 millions de dollars. Avec le nombre élevé de ses logements, Centra rejoint en termes d'envergure les tours L'Avenue, YUL, Rocabella et Tours des Canadiens, qui ont profondément changé la silhouette du centre-ville au cours des dernières années. La Presse a rencontré hier Fouad Eldick, responsable des ventes, à son bureau de la rue Crescent. Le bureau des ventes de la rue de la Montagne ouvrira plus tard cet été. La tour Centra aura pignon sur rue au 1000, rue de la Montagne, juste de l'autre côté de la rue du Centre Bell. Le futur bâtiment aura sa façade sur la rue Lucien-L'Allier et sera voisin de l'édicule de la station de métro du même nom. Le promoteur Groupe immobilier Premium, propriété de la famille Ghreiwati, a acheté le terrain pour 12,25 millions à la fin de 2012 de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM). Au début des années 2000, ce terrain devait recevoir les phases subséquentes de la Cité du commerce électronique qui n'ont finalement jamais vu le jour. La tour de 45 étages constitue la 4e phase des condos Centra du Groupe immobilier supérieur à Montréal, tous situés dans la partie ouest du centre-ville : 1181, Bishop (77 unités) ; 1190, MacKay (140 unités) et 1180, Crescent (118 unités). L'entrepreneur général est Omnia Technologies, de Jean-François Beaulieu. DES AIRES COMMUNES GÉNÉREUSES Outre la forme distinctive de sa silhouette, le futur complexe se démarque par la générosité des aires communes qui s'étalent sur plus de 30 000 pieds carrés : piscine intérieure et extérieure, gym, salle de cinéma, salle de réception, salle de divertissement, baignoire à remous, terrain de jeux pour enfants, jardin, lieux de rencontres, tentes pour se mettre à l'abri du soleil. « Les installations collectives qui promettent d'être superbes constituent l'un des points forts du projet. » - Le consultant Gilles Ouellet, président de Groupe Solutions, marketing immobilier, qui a eu l'occasion d'analyser ce projet dans le cadre d'un mandat pour un client Deux étages, soit environ 30 000 pieds carrés, seront réservés pour des boutiques ou des services. Le lobby, immense, sera aménagé sur l'équivalent de deux étages. Environ 65 % des unités sont des studios ou des logements de une chambre, 35 % sont des logements de deux chambres et plus. La grande majorité des unités comptent moins de 1000 pieds carrés. Les studios les plus abordables commencent à 279 000 $, taxes incluses. À l'autre bout du spectre, les appartements terrasses (penthouses) des derniers étages se vendent 1 million et plus. De par sa taille et son emplacement, près de l'Université Concordia, le produit saura attirer les investisseurs. La location à long terme des unités est permise, mais la location à court terme de style Airbnb y sera interdite, contrairement à ce qui se passe à la Tour des Canadiens. « Pour les parents qui veulent aider leur enfant étudiant à acheter son premier condo, on est à 300 mètres de Concordia et à moins de 1,5 kilomètre de McGill. Dans nos phases 2 et 3, on avait une importante clientèle estudiantine comme propriétaire occupant », dit M. Eldick. Une étude de la Société canadienne d'hypothèques et de logement publiée hier indique qu'environ 12 % des condos au centre-ville en 2016 avaient été achetés par des étudiants ayant des revenus de moins de 30 000 $. La vente des 270 unités de la phase 1, situées aux étages 5 à 20, est commencée. Le début de la construction est prévu en septembre 2019. Si les unités de la phase 1 se vendent plus rapidement que prévu, la construction pourrait être devancée en avril 2019. Les premières livraisons sont prévues pour novembre 2022.
  12. Well, I have to ask. What is that JGF acronyme? ? Thanks for the tour Flynnster ?
  13. Bon. Je pense que c'est la façon de construire des autoroutes et des ponts dans l'avenir... De toute façon, je crois qu'il est temps que les usagers de la route payent pour les infrastructures tout comme les usagers des TEC. ---- Publié le 20 juin 2018 à 00h00 | Mis à jour à 00h11 Péage du pont de l'A25: plus de 100 millions en direction de Québec Selon des prévisions de revenus produites par le ministère des Transports pour l'année 2017-2018, les revenus de péage du pont de l'A25 se seraient établis à environ 75 millions, alors que la part du gouvernement du Québec devrait atteindre les 27 millions. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE BRUNO BISSON La Presse Le gouvernement du Québec a récolté plus de 100 millions provenant des revenus de péage du pont de l'autoroute 25 (A25), entre Laval et Montréal, depuis la mise en exploitation de cette infrastructure construite et exploitée en partenariat public-privé (PPP), en mai 2011. En sept ans, cette infrastructure à péage, qui a officiellement changé de propriétaire la semaine dernière, a généré des revenus totalisant plus de 400 millions, selon les données colligées par La Presse. Les revenus annuels ont été multipliés par trois depuis la première année d'exploitation, et le quart de tous ces revenus se sont retrouvés dans les coffres du gouvernement du Québec. Selon des prévisions de revenus produites par le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports (MTMDET) pour l'année 2017-2018, qui s'est terminée le 31 mai dernier, les revenus de péage se seraient établis à environ 75 millions, alors que la part du gouvernement du Québec devrait atteindre les 27 millions. À cette somme, qui constituerait un record si elle se confirme, il faut ajouter une part des revenus s'élevant à « près de 79 millions » confirmée par le Ministère pour les six premières années d'exploitation, entre mai 2011 et mai 2017. L'entente de partenariat public-privé a donc rapporté à ce jour un peu plus de 100 millions au gouvernement du Québec. Il est difficile d'être plus précis dans l'estimation des revenus totaux de péage et de la part du gouvernement du Québec parce que les données publiques sur les activités de ce PPP sont incomplètes. Le dernier rapport annuel publié par le MTMDET est celui pour l'année 2014-2015. En vertu de l'entente de PPP conclue en 2007 entre Québec et la société australienne Macquarrie, principal partenaire privé, le gouvernement touche une part des revenus du péage lorsque ceux-ci dépassent un certain niveau prédéterminé dans l'entente. Or, dès sa première année d'exploitation, les revenus du péage sur l'A25 ont dépassé ce seuil préétabli, et le gouvernement a hérité d'une somme de 5,3 millions à la fin de l'année. Depuis, le montant de la quote-part de Québec n'a jamais cessé d'augmenter d'année en année, pour dépasser les 20 millions en 2016-2017. *** PART DU GOUVERNEMENT DANS LES REVENUS DE PÉAGE DE L'A25 2011-2012 : 5,3 millions(1) 2012-2013 : 10,2 millions (1) 2013-2014 : 11,3 millions(1) 2014-2015 : 15,0 millions(1) 2015-2016 : non disponible(3) 2016-2017 : 20,1 millions(2) 2017-2018 : 27,0 millions(2)* (*) Les revenus pour 2017-2018 sont estimés Sources : (1)Rapports annuels Autoroute 25 en PPP (2)Étude des crédits du MTMDET pour 2017-2018. (3)Le MTMDET ayant confirmé des revenus de près de 79 millions jusqu'en 2016-2017, on peut déduire que les revenus de 2015-2016 se situent à près de 17 millions. *** 840 MILLIONS Le pont à péage de l'A25 est un grand succès d'achalandage, et ce, même s'il y a six autres ponts gratuits entre Laval et Montréal. En 2014-2015, soit la dernière année pour laquelle on possède des données de circulation, plus de 16,3 millions de voitures et de camions ont utilisé le pont à péage. Avec un débit quotidien estimé à près de 50 000 véhicules en 2016, le pont de l'A25 est au cinquième rang des ponts les plus utilisés pour franchir la rivière des Prairies, entre Montréal et Laval, après sept ans d'exploitation. Il est presque deux fois plus fréquenté que les ponts Viau et Lachapelle, et sa circulation quotidienne est comparable à celle du pont Papineau-Leblanc, sur l'autoroute 19, un pont public et gratuit qui existe depuis la fin des années 60. Ce sont sans doute des données semblables qui ont convaincu la société australienne Transurban d'offrir 840 millions CAN à la firme Macquarrie Infrastructure Partners pour acquérir cette infrastructure à péage. Transurban assumera de plus des frais de transaction de 18 millions, et va prendre en charge une dette à long terme de 377 millions contractée par Macquarrie au moment de la construction des infrastructures à péage entre 2007 et 2011. La dette doit être refinancée en 2023. En mars dernier, lors de l'annonce de cette transaction, la firme Transurban justifiait l'acquisition du PPP de l'A25 en évoquant « des débits de circulation exceptionnels au fil de sept ans d'exploitation ». *** REVENUS ANNUELS DU PÉAGE SUR L'AUTOROUTE 25 2011-2012 : 24 487 000 2012-2013 : 39 072 000 2013-2014 : 61 484 000 2014-2015 : 59 850 000 2015-2016 : 67 511 000 2016-2017 : 77 018 000 2017-2018 : 75 000 000(1)* TOTAL : 404 422 000 (*)La somme est estimée Sources : Rapports annuels de gestion du ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports de 2011 à 2016 (1) Étude des crédits du MTMDET pour 2017-2018. *** LA VENTE NE CHANGE RIEN La semaine dernière, dans une note confirmant la clôture du financement pour l'A25, Transurban affirme, dans un communiqué, que « cette acquisition marque un pas important dans [sa] stratégie d'affaires pour établir un second marché en Amérique du Nord ». Transurban possède des intérêts dans deux tronçons routiers à péage dans l'État de la Virginie, près de Washington, aux États-Unis, et exploite 13 autres ponts et autoroutes à péage en Australie. « La dynamique dans la région de Montréal, ajoute Transurban, concorde avec notre direction stratégique, et le gouvernement du Québec a montré son intérêt à aller de l'avant avec des nouvelles solutions de transport multimodales afin de répondre aux besoins en infrastructures de la grande région de Montréal. » Le bureau du ministre des Transports, André Fortin, n'a pas voulu commenter cette affirmation de Transurban. Pour le Ministère, ce transfert de propriété ne change en rien les termes de l'entente signée en 2007 avec la société Macquarrie, valable jusqu'en 2042. Le Ministère, a indiqué un porte-parole, Benoît Lachance, « n'avait pas vraiment une marge de manoeuvre dans cette transaction. Par contre, on devait s'assurer qu'il s'agit bien d'un changement de contrôle au sens de l'entente de partenariat. Ainsi, malgré le changement de propriétaire, l'entente de 2007 demeure ». M. Lachance ajoute que la vente du pont à péage de l'A25 « ne change rien non plus pour les usagers. Les modalités de paiement, le système de perception, le service à la clientèle, l'entretien, l'exploitation de l'infrastructure, tout cela ne changera pas de façon perceptible pour les usagers ». DES TARIFS EN HAUSSE DE 30 À 40 % Les augmentations du tarif de péage sur le pont de l'autoroute 25 ont largement contribué à la hausse constante des revenus de cette infrastructure depuis mai 2011. À l'ouverture du pont, le conducteur d'un véhicule de promenade qui empruntait l'A25 à midi, en dehors des pointes du matin et du soir, devait payer 1,80 $ par passage. Ce tarif, qui s'élève aujourd'hui à 2,34 $, a augmenté de 30 % depuis les débuts. Une grande part des utilisateurs du pont de l'A25 paient toutefois un tarif plus élevé parce qu'ils traversent la rivière des Prairies en période de pointe, le matin de 6 h à 9 h ou en fin de journée entre 15 h et 18 h. Le tarif pour ces plages horaires était de 2,40 $ en 2011. Il est aujourd'hui de 3,34 $ par passage. C'est une augmentation de 40 %. À cela, il faut ajouter des frais administratifs élevés pour les utilisateurs qui ne sont pas abonnés au système de paiement automatique de Concession A25. Ces frais étaient de 5 $ par passage pour la production et l'envoi d'une facture postale à l'ouverture du pont. Ils sont maintenant de 5,55 $ par passage, en sus du tarif de péage.
  14. Toujours Pierre Laporte, je pense que je suis passé sur le pont de Québec une seule fois. J'avoue que je ne vais pas très souvent à Québec - j'y suis allé peut-être 15-20 fois dans ma vie (j'ai atteint le demi siècle en âge)? Mais ça prends une seule fois pour en vouloir la peine Que veux-tu, je suis comme un enfant et je suis toujours émerveillé devant une belle skyline. Je suis allé à NYC presqu'aussi souvent qu'à Québec et chaque fois que je traverse le GWB ou le Verrazano, j'ai le pouls qui accélère et la tête qui fait non pendant que j'essaie de regarder la vue et la route en même temps. C'est de même sur le pont Champlain qui lui, j'ai traversé à quelques centaines de reprises étant un natif des cantons de l'est. J'ai aussi traversé le Golden Gate une fois... Comme je disais, une seule fois en vaut la peine.
  15. https://twitter.com/melissapeneycad/status/1009081117297840128
  16. Quelle a été la réaction du public en place? A bunch of NIMBYs or YIMBYs? Moi j'aimerais bien voir ce projet se réaliser. Je m'en fou que ça soit plus haut qu'à Montréal, je vais juste tripper en traversant le pont ?
  17. Vous m'avez perdu avec votre EDM...? C'est-tu les gens d'Edmonton qui foutent le trouble??
  18. Complex Desjardins is a huge madre-penetrar complex and I'm glad you guys now know it.
  19. Tu mélanges vieux port et vieux Montréal ?
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