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  1. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  2. Serais-ce une petite récompense pour avoir envoyé une majorité de fédéralistes à Ottawa ? Nouvelle distribution des sièges aux Communes Des députés fédéraux de plus pour le Québec Agence QMI 18/10/2011 19h47 OTTAWA — Pour détendre l’atmosphère et éviter les contestations judiciaires, Ottawa envisage un nouveau scénario dans le dossier de la redistribution des sièges aux Communes. Selon des sources gouvernementales sûres, le Québec (75 sièges) pourrait finalement hériter de deux sièges de plus alors que l’Ontario et la Colombie-Britannique devraient se contenter de moins de sièges que prévu. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le premier ministre ontarien Dalton McGuinty vendredi dernier. On ne parlerait donc plus de 30 sièges supplémentaires aux Communes, mais plutôt de 26. L’Ontario devrait gagner 13 sièges de plus, l’Alberta, six, et la Colombie-Britannique, cinq. Le nombre total de députés aux Communes passerait de 308 à 334 et non plus à 338. La dernière version du projet de loi C-12, mort au feuilleton lors de la dissolution des chambres, prévoyait 18 sièges pour l’Ontario, sept pour la Colombie-Britannique et cinq pour l’Alberta. Le premier ministre McGuinty a reconnu que sa province devrait peut-être se contenter de moins de sièges. Le calcul final dépend des résultats du recensement de 2011, attendus en janvier ou février prochain. Entre-temps, le NPD a proposé mardi que le poids politique du Québec aux Communes ne tombe jamais sous la barre de 24,35 % des sièges. Un projet de loi a été déposé à cet effet. Dans cette configuration, le Québec gagnerait environ quatre sièges. Le député néo-démocrate Thomas Mulcair, candidat à la course à la succession de Jack Layton, a estimé que c’est la meilleure façon de donner «un contenu réel» à cette idée de «nation québécoise au sein d’un Canada uni» proposée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper et adoptée à l’unanimité aux Communes en 2006.
  3. Publié le 03 juin 2009 à 18h44 | Mis à jour à 18h46 La loi 101 ne sera pas appliquée aux entreprises fédérales du Québec Marie Vastel La Presse Canadienne Ottawa Une majorité de députés fédéraux s'est prononcée mercredi contre un projet de loi du Bloc québécois, qui proposait l'application de la loi 101 aux entreprises fédérales du Québec régies par le Code canadien du travail. Comme l'avaient laissé pressentir mardi le chef libéral, Michael Ignatieff, et son lieutenant québécois, Denis Coderre, les députés libéraux présents lors du vote se sont prononcés à l'unanimité contre le projet de loi C-307, déposé aux Communes en février dernier par le leader parlementaire du Bloc, Pierre Paquette. Les conservateurs, qui s'étaient déjà opposés à la proposition des bloquistes lorsque ceux-ci ont présenté un premier projet de loi similaire en 2007, ont réitéré leur position mercredi après-midi. Comme il s'agissait d'un projet de loi privé, les députés n'étaient pas tenus de respecter la ligne de parti. Mais les votes cumulés des libéraux et des conservateurs, qui sont tous demeurés fidèles à la prise de position de leurs chefs, ont bloqué le projet de loi des bloquistes. Les élus du Nouveau Parti démocratique ont de leur côté, comme la première fois, appuyé l'initiative du Bloc. Le chef bloquiste, Gilles Duceppe, a déploré l'issue du vote et reproché aux conservateurs et libéraux, dont les deux chefs étaient par ailleurs absents en Chambre, de dire une chose et de faire son contraire. «Ca démontre que les conservateurs et les libéraux, quand ils reconnaissent la nation québécoise, ce n'est que symbolique. Mais dès que l'on propose des choses concrètes à cette reconnaissance, comme la langue - on ne peut pas reconnaître une nation sans reconnaître sa langue - ils sont contre», a-t-il scandé à sa sortie des Communes. Les libéraux se contredisent également, selon M. Duceppe, puisqu'ils affirment appuyer la loi 101, mais s'opposent à son application dans les institutions fédérales. Le porte-parole du Parti libéral en matière de Langues officielles, Pablo Rodriguez, a cependant rétorqué qu'une telle application de la loi serait tout d'abord anticonstitutionnelle, puisqu'une loi provinciale - comme la loi 101 - ne peut pas avoir préséance sur la loi fédérale qui ordonne le respect des deux langues officielles. «Ce projet de loi-là, en plus de brimer les droits de la minorité anglophone (du Québec), vient ouvrir la porte et permettre aux autres provinces de dire qu'elles aussi ne veulent plus offrir de services en français. (...) Et à cause de cela, on risque de ne pas avoir plus de français, au contraire, on risque d'avoir moins de français à travers le Canada. Et c'est pour cela qu'on s'y oppose», a-t-il justifié. Mais le chef bloquiste a rejeté cette explication. «La loi 101 n'empêche d'aucune façon qu'il y ait des services en anglais. Mais elle dit que la langue officielle, la langue de travail, doit être le français. Dans les hôpitaux et les CLSC il y a aussi des services en anglais, mais la langue de service est le français», a-t-il détaillé. Puisque des banques, des aéroports ou même Poste Canada ne sont pas assujettis à la loi 101, leurs employés peuvent, par exemple, se faire imposer des réunions en anglais. Cette situation toucherait entre 200 000 et 250 000 travailleurs de la province, selon le Bloc.
  4. Les députés de la Colombie-Britannique adoptent une loi permettant à la ville de Vancouver d'emprunter un montant illimité afin de terminer la construction du village olympique. Pour en lire plus...
  5. Publié le 23 octobre 2008 à 11h48 | Mis à jour à 13h33 Deux adéquistes traversent la chambre Malorie Beauchemin La Presse (Québec) Deux députés de l'ADQ passent au Parti libéral du Québec. Il s'agit d'André Riedl, député d'Iberville, élu le 26 mars 2007, et Pierre Michel Auger, député de Champlain, aussi élu en 2007. Homme d'affaires d'Eastman, André Riedl était, avant de se lancer en politique, spécialisé en redressement d'entreprises et conférencier international. Sa philosophie de gestion était : «fun, passion, résultats». Lors de la dernière campagne électorale, en 2007, il avait été qualifié par le chef Mario Dumont comme l'une de «ses trois candidatures exceptionnelles du milieu économique», avec Gilles Taillon et Linda Lapointe. M. Riedl avait été sollicité pour être candidat adéquiste par M. Dumont lui-même, trois jours après le déclenchement de la campagne électorale, au moment où il s'apprêtait à partir en vacances. Porte-parole en matière d'affaires internationales, il avait été fort présent lors de la controverse entourant le départ précipité du délégué général du Québec à New York, Bruno Fortier. Le mois dernier, en pleine campagne fédérale, il n'avait pas caché son penchant pour le chef libéral Stéphane Dion, contrairement à plusieurs députés adéquistes qui s'étaient prononcés en faveur des conservateurs. Pierre Michel Auger, aussi homme d'affaires, était porte-parole en matière d'emploi. Jean Charest a confirmé la nouvelle lors d'un point de presse qu'il a convoqué à la dernière minute et durant lequel il a présenté ses deux nouveaux députés. Les deux transfuges ont d'ailleurs eu des mots durs à l'endroit de leur ancien chef. «Je me suis rendu compte que l'ADQ est le parti d'un seul homme», a indiqué M. Riedl, en point de presse aux côtés de M. Charest. Pour sa part, M. Auger a accusé M. Dumont de ne pas écouter ses députés. Ce rebondissement survient au moment où les travaux parlementaires reprennent à Québec dans un climat tendu. Mardi, l'élection du péquiste François Gendron au poste de président de l'Assemblée, à la suite d'une alliance entre le Parti québécois et l'ADQ, a irrité au plus haut point les libéraux. Malgré ces ajouts à son caucus, le premier ministre Charest est encore loin de détenir une majorité en Chambre. Les libéraux comptent désormais 48 sièges, les adéquistes 39 et les péquistes 36; deux sièges sont vacants. Pour détenir une majorité, le parti au pouvoir doit détenir au moins 63 sièges. Les transfuges sont rares à l'Assemblée nationale du Québec. En 1992, le député indépendant Richard Holden (élu en 1989 sous la bannière du Parti Égalité) s'était joint au Parti québécois, soulevant l'ire de ses électeurs dans Westmount. Il avait par la suite été battu en 1994. Avec La Presse Canadienne
  6. La privatisation des hippodromes du Québec et le choix de la firme Attractions Hippiques pour relancer cette industrie sont passés au peigne fin en commission parlementaire par les députés de l'opposition. Pour en lire plus...
  7. Un député français serait en poste à Montréal Canoë Bernard Plante 25/07/2008 16h47 © Corbis Le Congrès de Versailles (députés et sénateurs élus en France) a adopté, le 21 juillet dernier, une réforme constitutionnelle qui prévoit que les Français établis à l’étranger seront désormais directement représentés par un député à l’Assemblée nationale française. Le texte et la loi ont été adoptés selon la règle du 3/5 de la majorité requise. En entrevue, le conseiller élu à l’Assemblée des Français de l’Étranger pour le Québec, les Provinces atlantiques et le Nunavut, François Lubrina, explique que c’est le principe qui vient d’être adopté et que les modalités restent à définir. Mais, vraisemblablement a-t-il dit, douze députés seront élus par leurs concitoyens qui vivent, à travers le monde, à l’extérieur du territoire français. Du nombre, deux sièges devraient être réservés pour l’Amérique. L’un pour le Canada et l’autre pour les États-Unis et le Mexique. Le découpage n’est pas arrêté. Ça pourrait aussi être un siège pour l’Est du Canada et des États-Unis et l’autre pour l’Ouest des États-Unis et le Mexique. Ces premières élections directes se tiendront en 2012. En poste à Montréal Chose pratiquement certaine, un député devrait être basé à Montréal. M Lubrina explique que les Français sont 48 500 à vivre à Montréal et dans sa région. En importance, c’est la 4e communauté de la diaspora française après Londres, Bruxelles et Genève. On dénombre aussi 9 800 Français à Québec et 850 à Moncton au Nouveau-Brunswick. Actuellement, douze sénateurs français sont élus par un collège électoral pour représenter leurs compatriotes qui vivent à l’extérieur de la France. L’élection des douze nouveaux députés se fera, elle, par suffrage direct. Des pays comme l’Italie, le Portugal et l’Algérie ont des dispositions semblables. Le député français du Canada résiderait dans la métropole et siègerait à Paris en temps de session à l’Assemblée nationale française. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2008/07/20080725-164747.html
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