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  1. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i6Fva0ns1hS4JeI-yGHAxzwkXwew De Bernard Barbeau (CP) MONTREAL — Le consortium qui a réalisé l'étude d'impact du projet de construction d'un pont suspendu enjambant la rivière Saguenay à la hauteur de la route 138 privilégie le mode de financement en partenariats public-privé (PPP), même si son coût serait de 143 millions $ plus élevé. Le projet pourrait ainsi coûter jusqu'à 903 millions $. Cette différence pourrait être comblée par la combinaison du "facteur d'efficience du secteur privé" et de la "quantification des risques transférés", estime cependant le consortium composé des firmes SNC-Lavalin et Génivar dans son rapport rendu public mercredi. Or, depuis que la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a quitté ses fonctions, le gouvernement de Jean Charest semble avoir passablement refroidi ses ardeurs à l'égard des PPP. Le pont relierait les municipalités de Baie-Sainte-Catherine, dans la région de la Capitale-Nationale, et Tadoussac, sur la Côte-Nord. Il s'agirait d'une structure de quatre voies d'une longueur totale de deux kilomètres, ce qui en ferait le plus long pont suspendu en Amérique du Nord, et le cinquième au monde. Le projet comprend aussi l'aménagement de routes d'approche à deux voies. Les travaux dureraient sept ans. Actuellement, le lien entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac se fait par traversier, ce qui occasionne de longs moments d'attente à la fois en période d'affluence et hors des périodes de pointe. Le "syndrome de la traverse", selon lequel des conducteurs normalement prudents adoptent des comportements dangereux d'abord pour se réserver une place sur le traversier et ensuite pour reprendre le temps perdu, serait aussi en partie responsable de nombreux accidents. "L'aménagement d'un pont en remplacement de la traverse de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine se révèle l'intervention la plus appropriée à long terme pour répondre à la demande de déplacements entre la Côte-Nord et le reste du Québec", souligne au passage le rapport. Il note également qu'une telle structure aurait un impact positif sur la situation économique de la région, qui "est intimement liée à l'industrie touristique". Toutefois, dans les deux municipalités directement concernées, Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, on s'inquiète de la disparition d'emplois liés au service de traversier. Le maire de Baie-Comeau, Ivo Di Piazza, ne s'en fait aucunement. "Il y a un certain nombre d'emplois, aussi, qui vont se créer ne serait-ce que par le fait qu'il y ait un pont", fait valoir celui qui est aussi préfet de la MRC de Manicouagan, vice-président de la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, et porte-parole du groupe Nord-Côtiers unis pour l'avenir. "L'effet des emplois qui seront perdus sera compensé par une activité économique plus importante." Au point de vue environnemental, le consortium est d'avis que, puisque "le projet ne touche pas significativement le milieu marin, les principaux impacts négatifs du projet affectent le paysage". "Les piliers du pont seraient en rives de part et d'autre du Saguenay, donc on ne parle pas de piliers dans la rivière", précise Marc Larin, de la Direction de la Côte-Nord de Transports Québec. Des mesures d'atténuation et de suivi sont néanmoins proposées. "Actuellement, ce n'est pas très agréable, au plan environnemental, d'avoir assez souvent des kilomètres de voitures dont le moteur tourne, fait d'autre part valoir M. Di Piazza. Et si on pensait ajouter d'autres traversiers sur la rivière Saguenay, ce serait un trafic supplémentaire et les écosystèmes en seraient d'autant fragilisés à la longue. Le pont m'apparaît la solution environnementale la plus efficace." De plus, "en période d'exploitation, l'arrêt du service de traversier occasionnera un impact positif, en réduisant le niveau de bruit ambiant à l'embouchure du fjord", indique-t-on dans le rapport. La réalisation de cette étude d'impact avait été confiée au consortium SNC-Lavalin-Génivar à l'automne 2002 pour un montant de 2 millions $. Le ministère des Transports attend maintenant de voir quelles réactions suivront la publication du rapport. "L'objectif est vraiment de permettre aux gens de prendre connaissance de l'étude, qui est quand même assez volumineuse, et à la suite des discussions qu'il y aura avec les différents groupes concernés, il y aura une position qui sera prise", indique M. Larin.
  2. Les principaux projets de développement miniers prévus sur la Côte-Nord au cours des prochaines années devraient se réaliser malgré la crise financière et la chute des titres des ressources naturelles en bourse. Pour en lire plus...
  3. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que la construction d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine, en Minganie, est un projet majeur pour la Côte-Nord, qui générera une énergie renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre. Pour en lire plus...
  4. Un Lavallois originaire de Port-Cartier est poursuivi par l'Autorité des marchés financiers pour avoir dupé plusieurs investisseurs de la Côte-Nord. Pour en lire plus...
  5. L'organisme observe une légère diminution du nombre de dommages cette année sur la Côte-Nord, au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie et aux Îles comparativement à une hausse pour l'ensemble de la province. Pour en lire plus...
  6. Projet minier de 500 M$ sur la Côte-Nord 19 juin 2007 - 12h45 LaPresseAffaires.com Agrandir Fermont et son célèbre mur. Le projet annoncé se situera à 13 km de la ville nordique. La société torontoise Consolidated Thompson (CLM) projette d’investir près d'un demi-milliard de dollars pour aménager et exploiter une nouvelle mine de fer sur la Côte-Nord sur sa propriété à Lac Bloom. Située dans la MRC de Caniapiscau à 13 km au nord-ouest de la ville de Fermont, la nouvelle mine produira annuellement 7 mégatonnes de concentré de fer de haute qualité, a-t-elle fait savoir mardi, dont 5 au moins seront vendues en Chine. «C'est le premier projet minier qui voit le jour sur la Côte-Nord depuis 1974. L'implication des milieux locaux et régionaux a été déterminante pour sa mise en place et nous sommes heureux de pouvoir annoncer aujourd'hui un projet générateur d'emplois et de retombées à long terme», a déclaré par voie de communiqué le PDG de Consolidated Thompson, Richard Quesnel. Les travaux de construction seront entrepris dès que les autorisations auront été reçues, afin de commencer la production minière durant le premier trimestre de l'année 2009. 250 emplois directs Le projet minier du Lac Bloom représente un investissement initial de l'ordre de 400 M$. Quelque 400 emplois seront générés par les activités de construction et environ 250 emplois directs créés par la suite lors de l'exploitation de la mine. Consolidated Thompson prévoit d’extraire 17 Mt de minerai de fer annuellement, qui sera concentré sur place puis acheminé par chemin de fer ou par convoyeur à Wabush, au Labrador, et, de là, au port de Sept-Îles. L'entreprise entend exploiter la mine et le concentrateur sur une période de 34 ans. Partenariat avec un groupe chinois Consolidated Thompson a d'ailleurs signé récemment une entente de principe avec un partenaire chinois pour la vente de 5 Mt de sa production totale annuelle de 7 Mt. L'augmentation de la fabrication de l'acier (le minerai de fer est le principal composant de l'acier) en Chine s'est accrue de 33% au cours des trois dernières années et la hausse du prix pour le métal rend le projet intéressant pour l’entreprise. Identifiant une synergie opérationnelle bénéfique à l'entreprise, Consolidated Thompson a proposé la semaine dernière une entente en vue d'acquérir Wabush Mines. L'action de Consolidated Thompson reculait de 5 cents (0,89%) mardi à 13h30 à la Bourse de croissance de Toronto, à 5,55$. Depuis un an, elle s'est cependant appréciée de plus de 2,50$.
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