Aller au contenu
publicité

STM: Remplacement des voitures du Métro


loulou123

Messages recommendés

Es tu en traîn de me dire que les metros avec rails sont plus silencieux que les métros avec des pneus? J,ai bien de la misère à te croire! J'ai pris le métro à Toronto et NYC et dans les deux cas, c'était 10 fois plus bruyant...et ça brassait beaucoup plus que notre métro!

 

Essaye le métro sur rail de Londres, Paris ou Hong Kong ( nouvelles lignes bien entendu) et tu réaliseras qu'en effet, Montréal mise sur une technologie désuète.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

publicité
Essaye le métro sur rail de Londres, Paris ou Hong Kong ( nouvelles lignes bien entendu) et tu réaliseras qu'en effet, Montréal mise sur une technologie désuète.

...Prague, Madrid, Barcelone, Beijing, Shanghai aussi ont un métro sur rail plus confortable et moins bruyant que le nôtre.

 

 

Le métro très bruyant à New York et Toronto dont Habsfan parle est pas mal vieux.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai essayé les métros de Toronto, New York, Chicago, San Francisco, Mexico City, Moscou, Saint-Pétersbourg, Beijing, Séoul et Busan, tous sur rails, sauf Mexico City. C'est vrai que certain roule "doux", mais même dans les plus "doux" je ne voyais par un si grand décalage face à Montréal, sauf dans les segments qui sautille (je pense que le pire c'est la ligne verte entre Berri et Pie-IX). Pour ce qui est du bruit, celui de Montréal demeure relativement silencieux, surtout qu'il aurait certaines améliorations faciles à y apporter... comme changer les grilles sur les portes de certains wagon pour des fenêtres, ajuster la ventilation et le mécanisme qui fait Tac Tac Tac Tac de façon périodique sur certains wagons. Je ne crois vraiment pas que la technologie sur pneumatique soit désuète.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Publié le 17 décembre 2009 à 10h46 | Mis à jour à 10h51

 

La STM dit non aux Chinois

 

Catherine Handfield

La Presse

 

La Société de transport de Montréal (STM) a rejeté de façon catégorique hier la demande d'une société d'État chinoise qui souhaite soumissionner le contrat de remplacement des voitures du métro de Montréal.

 

Par l'entremise de ses avocats, la STM a envoyé une réponse sans appel à la société Zhuzhou Electric Locomotive Company (ZELC). «La position mise de l'avant ne peut être prise au sérieux», a écrit l'avocat Guy Du Pont, de Davies Ward Phillips&Vineberg.

 

Lundi, la compagnie ZELC a envoyé une mise en demeure à la STM afin qu'elle suspende pour deux mois les pourparlers qu'elle a entrepris avec Bombardier/Alstom depuis plus d'un an pour le remplacement des voitures M-63 et MR-73.

 

Dans sa mise en demeure, ZELC demande à la STM de lui envoyer davantage d'information sur le contrat. Elle lui reproche de ne pas avoir organisé un véritable appel d'offres international.

 

Allégations

 

Plus précisément, ZELC allègue que la STM n'a pas respecté le jugement rendu en janvier 2008 par la Cour supérieure du Québec, qui lui ordonnait de procéder par appel d'offres pour le contrat de renouvellement des voitures.

 

Les avocats de la STM, qui avaient 48 heures pour répondre à la mise en demeure, ont balayé ces accusations d'un revers de main. «Le processus suivi par la STM s'est déroulé dans ce dossier avec un rigoureux souci de transparence et d'ouverture et en conformité avec le jugement de la Cour supérieure du Québec et toutes les règles applicables», écrit Me Du Pont.

 

La société ZELC avait déploré qu'on ne l'ait pas mise au courant de l'appel d'offres. La STM réplique que le contrat a été affiché en bonne et due forme dans deux revues spécialisées. «Ces tactiques dilatoires et vexatoires, qui visent manifestement à faire dérailler un long processus rigoureusement mené dans le but d'assurer un service public, tiennent de l'abus», poursuit l'avocat de la STM, qui souligne que ZELC n'a démontré aucun intérêt pendant le processus d'appel d'offres.

 

Qui plus est, l'offre de la société chinoise ne correspond pas aux besoins de la STM, selon les avocats. ZELC a l'intention de soumettre une proposition moins coûteuse, mais les voitures seraient munies de roues d'acier, et non pneumatiques. «Au surcroît, pour accommoder ZELC, la STM devrait modifier ses infrastructures et même installer des voies ferrées sur tout son réseau», écrit Me Du Pont.

 

La STM soutient que la proposition de ZELC ne peut être «prise au sérieux» puisque la société n'a «ni usine, ni employé au Canada».

 

Une réponse «ridicule»

 

Glen Fisher, qui agit à titre de représentant de ZELC dans ce dossier, a qualifié de «ridicule» la réponse des procureurs de la STM. Il soutient que les infrastructures actuelles peuvent très bien accueillir des voitures dotées de roues d'acier. M. Fisher entend faire pression sur les politiciens québécois.

 

Rappelons que Bombardier avait d'abord obtenu le contrat en totalité en 2006, mais la Cour supérieure l'avait annulé en janvier 2008 en raison d'une poursuite d'Alstom. Les deux entreprises ont été les seules à faire une soumission commune. La STM a espoir d'annoncer une entente d'ici à la fin de l'année.

 

Au départ, la STM avait estimé devoir payer 1,2 milliard de dollars pour 342 voitures de métro. Elle veut maintenant 765 voitures. La facture sera acquittée par Québec (75%), la STM (12,5%) et la Ville de Montréal (12,5%).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

 

Bonjour Mme Corriveau,

 

Bravo pour votre excellente synthèse de la situation.

La question qui se pose maintenant porte plus sur le choix de la technologie avec laquelle la STM doit s'engager pour les 40 prochaines années (pneus ou roues fer) que sur le choix du constructeur. En effet, Bombardier et Alstom maitrisent aussi la technologie des roues fer et peuvent proposer une variante avec cette technologie, s'ils le souhaitent.

Le point dur est que Bombardier et Alstom auront du mal à renoncer aux marges bénéficiaires énormes qu'ils comptaient faire sur le dos des contribuables québécois avec la technique du métro sur pneus, très peu répandue dans le monde et maintenant dépassée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour Mme Corriveau,

 

Bravo pour votre excellente synthèse de la situation.

La question qui se pose maintenant porte plus sur le choix de la technologie avec laquelle la STM doit s'engager pour les 40 prochaines années (pneus ou roues fer) que sur le choix du constructeur. En effet, Bombardier et Alstom maitrisent aussi la technologie des roues fer et peuvent proposer une variante avec cette technologie, s'ils le souhaitent.

Le point dur est que Bombardier et Alstom auront du mal à renoncer aux marges bénéficiaires énormes qu'ils comptaient faire sur le dos des contribuables québécois avec la technique du métro sur pneus, très peu répandue dans le monde et maintenant dépassée.

 

veux tu dire que les trains sur pneus sont moins cher a construire ?..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

, très peu répandue dans le monde et maintenant dépassée.

 

Je n'y connais rien donc je me dois de poser la question.

 

Qu'est ce qui fait que les trains sur pneu est désuet? c'est pas tout simplement une autre technologie? un ou l'autre, c'est quoi la vraie différence?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

Le contrat du métro de Montréal plus important que prévu

19 janvier 2010 | 15h49

 

Olivier Bourque

Argent

 

Toute la saga entourant le remplacement du métro de Montréal tire à sa fin. La négociation entre Alstom et Bombardier est terminée si bien qu’une annonce serait maintenant imminente. Mais le contrat sera plus important que prévu, a appris Argent.

 

 

La balle est maintenant dans le camp du gouvernement. L’entente n’avait toujours pas été présentée au Conseil des ministres la semaine dernière ce qui devrait être fait rapidement. Selon nos sources, Québec voudrait s’assurer de ne pas payer trop cher pour ce contrat alors que s’ouvre une période d’austérité économique.

 

Le gouvernement qui visait initialement le remplacement de 342 voitures du métro de Montréal prévoit maintenant faire l’acquisition de 932 wagons en vertu de ce nouveau contrat.

 

Ces wagons supplémentaires font évidemment augmenter la valeur du contrat pour Québec. Le projet réalisé par la Française et la Québécoise qui était au départ évalué à 1,2 milliard $ atteindrait maintenant 3,4 milliards $ d’après des sources dignes de foi.

 

Selon les documents étudiés par Québec, le contrat s’échelonnerait sur 12 ans avec quatre années où le gouvernement pourra exercer ses options.

 

Autre changement notable : le groupe chinois Zhuzhou Electric qui avait fait grand bruit à la fin de l’année 2009 n’est plus dans le coup. L’entreprise voulait notamment avoir l’occasion de soumissionner pour ce vaste contrat.

 

L’annonce de Québec pourrait donc venir rapidement après le Forum économique du premier ministre Jean Charest qui commence demain, chuchote-t-on du côté des intervenants impliqués.

 

Sorel et La Pocatière gagnantes

 

Une chose est sûre, si le gouvernement va de l’avant, deux régions du Québec vont obtenir leur grosse part du gâteau. À Sorel où est établi Alstom Hydro, une usine sera construite pour accueillir la production.

 

Avec ce contrat, la Française emploiera une quarantaine d’employés directs durant les prochaines années. Alstom va réaliser les parties inférieures des wagons et la propulsion.

 

L’autre gagnante est La Pocatière. La région permettra de créer et maintenir 300 emplois pour les dix prochaines années, a confié le président du syndicat Mario Lévesque. «Il s'agit d'une des meilleures nouvelles depuis les quatre ou cinq dernières années. La survie de l'usine de La Pocatière était clairement en jeu», a-t-il souligné.

 

L’usine de Bombardier qui peut accueillir jusqu’à 1200 employés travaillera à l’assemblage et la finition des wagons. À l’heure actuelle, environ 250 personnes sont employées à temps plein dans les installations.

 

Bombardier a déjà annoncé plusieurs investissements au fil des années pour cette usine du Bas-du-Fleuve. Mais l’attente a «été très longue» soulignent certains acteurs régionaux.

 

La Société de Transport de Montréal (STM) n’a pas voulu faire de commentaires sur l’imminence d’une annonce. Selon plusieurs sources consultées, la négociation du contrat aura été «complexe» surtout au niveau juridique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


publicité


×
×
  • Créer...