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Nouvelle Maison Radio-Canada - 8 étages (2020)


loulou123

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Je comprends pas en quoi Radio-Canada contribue à la vitalité du quartier? N'a t'elle pas des cafétérias pour les employés? Y'a t'il tant d'employés qui vont manger dans les restos du coin?

 

La réponse est un gros oui. Va faire un tour le midi et suis tout le monde qui sort. Do it. You'll see.

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Membres prolifiques

Le vrai danger c'est que Radio-Canada parte et que rien ne remplace. Ce serait économiquement mauvais, c'est le moins que l'on puisse dire. Ça ne fait aucun doute.

 

Alors, si on est assuré qu'un projet important vient, avec des centaines, voire des milliers de logements, des logements sociaux, une partie commerciale, une reconnexion avec les rues du quartier, donc une redynamisation, je pense que c'est très vivable. C'est juste qu'en ce moment, tout est flou, imprécis, indécis. Et il est safe de dire que personne ne souhaite ce site complètement abandonné pendant dieu sait combien d'années. D'où les passions pour s'assurer que ça n'arrive pas. Le quartier n'a pas besoin de ça. Imaginez un peu si le CHUM n'avait pas été là où il est maintenant. St-Luc abandonné. Gare Viger? Remise à plus tard, pas mal. De nombreuses années, au moins, avant de s'en remettre.

 

Ce pourrait être le cas ici, sans solution de remplacement viable et immédiate.

 

Pour la tour, je crois qu'elle mérite d'être conservée. Elle est unique. Elle ne ressemble à aucune autre. Si le silo no.5 est du patrimoine, je ne vois pas en quoi la tour RC ne le serait pas.

 

Phyllis Lambert doit probablement défendre la préservation du silo, en plus.

 

Une autre incohérence de plus de sa part. Elle semble déterminer ses interventions récentes (RC, Maison Alcan) ou non-interventions (maisons victoriennes détruites du Musée) par la nature des amis ou ennemis qu'elle y trouve ou de ses lubies du moment (j'aime ça : PATRIMOINE / j'aime pas ça : MERDE).

 

Elle est dû pour une maudite bonne retraite. Bon vent.

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[...] Quand les ministres/sous-ministre/directeurs seront aussi imputable pour les finances publiques que les dirigeants du secteur prive, là on pourra en discuter.

 

Si je puis me permettre une parenthèse: le secteur privé est justement... privé. On repassera pour l'imputabilité face au public. (Les dirigeantEs des grandes entreprises ne sont redevables qu'à leur actionnaires.)

 

Le vrai danger c'est que Radio-Canada parte et que rien ne remplace. Ce serait économiquement mauvais, c'est le moins que l'on puisse dire. Ça ne fait aucun doute.

 

Alors, si on est assuré qu'un projet important vient, avec des centaines, voire des milliers de logements, des logements sociaux, une partie commerciale, une reconnexion avec les rues du quartier, donc une redynamisation, je pense que c'est très vivable. C'est juste qu'en ce moment, tout est flou, imprécis, indécis. Et il est safe de dire que personne ne souhaite ce site complètement abandonné pendant dieu sait combien d'années. D'où les passions pour s'assurer que ça n'arrive pas. Le quartier n'a pas besoin de ça. [...]

 

Pour la tour, je crois qu'elle mérite d'être conservée. Elle est unique. Elle ne ressemble à aucune autre. Si le silo no.5 est du patrimoine, je ne vois pas en quoi la tour RC ne le serait pas.

 

Phyllis Lambert doit probablement défendre la préservation du silo, en plus.

 

Une autre incohérence de plus de sa part. Elle semble déterminer ses interventions récentes (RC, Maison Alcan) ou non-interventions (maisons victoriennes détruites du Musée) par la nature des amis ou ennemis qu'elle y trouve ou de ses lubies du moment (j'aime ça : PATRIMOINE / j'aime pas ça : MERDE).

 

Elle est dû pour une maudite bonne retraite. Bon vent.

 

Trop d'acc pour tes observations face à Mme Lambert! :highfive:

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Je publie ici la bibliographie intégrée dans une des présentations à OCPM au moment des consultations publiques pour la revitalisation du site. Assez révélateur. Cela démontre que la décision de déménager du centre-ville ouest vers est a coule beaucoup d'ancre.

 

http://ocpm.qc.ca/sites/dev2015-v2.ocpm.qc.ca/files/pdf/P31/3l.pdf

 

6. BIBLIOGRAPHIE

 

SOURCES PRIMAIRES

 

Articles de presse (articles choisis par ordre chronologique)

 

« CBC Plans 12-Storey Additions », The Gazette, 8 novembre 1955.

 

« À Radio-Canada. @ ailes de 12 étages ajoutées à l’édifice de la rue Dorchester », La Patrie,

8 novembre 1955.

 

« Who Owns What on Dorchester ? », The Gazette, 10 novembre 1955.

 

« CBC Eyeing Slum Site ? Corporation Urged To Deny Report », The Gazette, 5 juin 1957.

Laliberté, Jean-Marc,

 

« Dans le secteur Dozois : zone d’habitation ou centre artistique ? Le

Projet de Radio-Canada est sérieux », Le Devoir, 5 juin 1957.

 

« Secteur Dozois. Radoi-Canada n’a pas gardé el silence ! », La Presse, 6 juin 1957.

 

« Multi-million Dollar Development. TV And Radio Center Planned Here By CBC », The

Montreal Star, 26 mars 1958.

 

« Radio-Canada s’établira dans l’est de Montréal », Le Devoir, 26 mars 1958.

 

« Nouvel édifice pour Radio-Canada dans un vaste quadrilatère allant de Sainte-Catherine à

Vitré ? », Montréal-Matin, 26 mars 1958.

 

« Un vaste projet de Radio-Canada », La Presse, 26 mars 1958.

Negru, Myer, « CBC Planning Huge Centre Near Bleury », The Gazette, 26 mars 1958.

 

« Du rapport Dozois à la Cité des Ondes », Le Devoir, 27 mars 1958.

 

« New TV Deal ? Area Protected For CBC Centre », The Gazette, 27 mars 1958.

 

« L’établissement de Radio-Canada : un projet loin de la réalisation ? », Le Devoir, 27 mars

1958.

 

« Le ville offre un secteur à la société Radio-Canada », La Presse, 27 mars 1958.

MAISON DE RADIO-CANADA 32

 

« Letter to Mayor Fournier. CBC Clarifies Views On Construction Site », The Montreal Star, 28

mars 1958.

 

« Radio-Canada invité à dire quel emplacement lui conviendrait le mieux », La Presse, 12

avril 1958.

 

« Le site futur de Radio-Canada. La Cité de Montréal ne s’en tient plus seulement au secteur

déjà offert », Le Devoir, 12 avril 1958.

 

« Signature des ententes pour Radio-Canada », Le Devoir, 6 avril 1963.

 

« Montréal emprunte $12 millions », Montréal-Matin, 19 avril 1963.

 

« Fermeture des rues du secteur de Radio-Canada », Le Devoir, 15 février 1964.

Dery, Gerard,

 

« CBC Site Cleared For Headquarters », The Montreal Star, 19 mars 1964.

 

« $6,597,639 To CBC Site », The Montreal Star, 9 avril 1964.

 

« Crédit additionnel de $3 millions pour les expropriations du secteur de Radio-Canada », Le

Devoir, 29 mai 1964.

 

Kervin, Roy, « Faubourg A la Mélasse …Victim of Progress », The Montrealer, juin 1964.

 

« Un secteur de l’Est de Montréal devient la Place Radio-Canada », Métro Express Montréal,

1er octobre 1964.

 

Laliberté, Jean-Marc, « La place Radio-Canada sera digne de Montréal, Le Devoir, 1er octobre

1964.

 

« Nombreux obstacles au projet de la place Radio-Canada », Journal de Montréal, 2 octobre

1964.

 

« Radio-Canada 1968. Une tour de 25 étage et des boîtes enfoncées dans le sol », PhotoJournal,

14 octobre 1964.

 

« La cité des Ondes, c’est l’espoir assuré pour l’est de la ville », La Patrie, 21 octobre 1964.

 

« Officieusement, Radio-Canada a déjà décidé de ne pas déménager dans l’est de

Montréal », La Presse, 4 septembre 1965.

 

« Le rapport Fowler sur la radiodiffusion », La Presse, 10 septembre 1965.

MAISON DE RADIO-CANADA 33

 

Nadeau, Roger, « Une pluie de millions va bientôt tomber sur l’est de la Métropole », Le Petit

Journal, 12 septembre 1965.

 

Lesage, Gilles, « M. Lamontagne annonce la mise en œuvre d’une recommandation du

rapport Fowler », Le Devoir, 14 septembre 1965.

 

Champoux, Roger, « En attendant, c’est le désert », La Presse, 15 septembre 1965.

 

Gariépy, Gilles, « La Cité des Ondes : pourquoi Ottawa a remis sa décision à plus tard », La

Presse, 16 septembre 1965.

 

Pratte, Gilles, « Cité des ondes : Montréal fera des démarches après les élections – M.

 

Lucien Saulnier », La Presse, 6 octobre 1965.

 

Pigeon, Jacques, « Pearson : Radio-Canada va grouper tous ses services à Montréal », La

Presse, 3 novembre 1965.

 

« M. Gabriel Grégoire ne lâche pas prise facilement. Il déménagera Radio-Canada dans

l’Est », Montréal-Matin, 5 novembre 1965.

 

Nadeau, Roger, « Les dessous d’une sale histoire. On voulait Radio-Canada ; on a un

…dépotoir », Le Petit Journal, 6 mars 1966.

 

Sauriol, Paul, « Le futur immeuble de Radio-Canada à Montréal », Le Devoir, 22 mars 1966.

 

Bernard, Florian, « Radio-Canada mettra en chantier la cité des ondes au mois d’août », La

Presse, 3 juin 1966.

 

Newnham, Don, « Ready by 1970. CBC Unveils Building Plan », The Montral Star, 3 juin

1966.

 

« Premier appel d’offres pour la Cité des Ondes », Le Devoir, 4 juin 1966.

 

« Mainville est convaincu que Radio-Canada ne bâtira pas », Métro-Express, 4 juin 1966.

 

« Radio-Canada construira à l’automne », Montréal-Matin, 4 juin 1966.

 

Mamo, Oswald, « Le secrétaire d’État dévoile la maquette de la Place Radio-Canada », La

Presse, 22 juin 1966.

 

Mathoson, Struan, « CBC’s Place Radio-Canada Plans Unveiled », The Gazette, 22 juin 1966.

 

Archambault, Maurice, « Radio-Canada : $71 millions », Montréal-Matin, 22 juin 1966.

MAISON DE RADIO-CANADA 34

 

« La Place Radio-Canada coûtera $71 millions aux contribuables », Journal de Montréal, 22

juin 1966.

 

 

« La Place Radio-Canada sera érigée au coût de $71 millions », La voix de la construction ,

30 juin 1966.

 

Les Services de publicité et des relations avec l’auditoire, Place Radio-Canada, Montréal.

Communiqué, Montréal, Radio-Canada, juin 1966..

 

« La Ville ne s’opposera pas à l’érection d’un motel sur la place Radio-Canada, s’il est

temporaire et ne retarde pas le début des travaux, fixé au 15 octobre, Le Devoir, 19

septembre 1966.

 

« Place Radio-Canada. Devant un projet de motel », Le Devoir, 20 septembre 1966.

 

« Les travaux de la Cité des Ondes sont commencés », Le Devoir, 5 octobre 1966.

Masson, Claude, « Une fois de plus, la construction de la Place Radio-Canada est retardée »,

La Presse, 18 0ctobre 1967.

 

Brown, Clément, « Feu vert pour la Place Radio-Canada », Montréal-Matin, 25 mai 1968.

 

Bernard, Florian, « Radio-Canada s’installe dans l’est, « cette fois c’est vrai ! », La Presse, 25

mai 1968.

 

Tard, Louis-Martin, « Enfin Radio-Canada dans l’est de Montréal », Le Devoir, 25 mai 1968.

 

Gendron, Claude, « Radio-Canada : les travaux seraient terminés en 1971 », Le Presse, 15

octobre 1969.

 

« M. Pierre Dallaire, délégué aux relations extérieures de Radio-Canada. « Les échéances

seront respectées et le tout sera terminé à l’automne 1971 », L’Est Central, 4 novembre

1969.

 

« Genèse de la Place Radio-Canada », L’Est Central, 9 décembre 1969.

Constantineau, Gilles, « La maison de la radiodiffusion. Radio-Canada adoptera en 1972

l’automation… et ses problèmes », Le Devoir, 10 juin 1970.

 

Julien, Pierre, « Radio-Canada adopte le chauffage de l’avenir…Ses bureaux de Montréal

seront réchauffés par les lumières et les cœurs des employés », La Patrie, 19 juillet 1970.

MAISON DE RADIO-CANADA 35

 

Bercier, Rhéal, « Huit ans d’attente », La Presse, 13 septembre 1970.

 

Haimerl, Duncan, « Most of Building Hidden. CBC unit Costs $66.2 million », The Montreal

Star, 18 septembre 1970.

 

Bieler, Zoe, « CBC’s New Home - $66 million of Snags », The Montreal Star, 9 septembre

1972.

Chartrand, Maurice, « La maison de Radio-Canada », Commerce, mai 1973.

 

« Le premier ministre Trudeau inaugure le somptueux édifice Ici Radio-Canada », MontréalMatin,

6 décembre 1973.

 

Articles de périodiques

 

Canadian Broadcasting Corporation station, Royal Architectural Institute of Canada Journal,

1938 Oct., v. 15, p. 219.

Déry, Jacques, « Montréal : le passé ou le futur ? », Bâtiment, vol. 50, n˚ 1, janvier 1975, p.

22-23.

 

« Enfin !... Place Radio-Canada devient une réalité », Bâtiment, vol. 46, n˚ 3, mars 1971, p.

26-27, 29 et 34.

 

« La conception architecturale de la Maison de Radio-Canada », Bâtiment, vol. 48, n˚ 7,

juillet 1973, p. 12-18.

 

« Le chauffage électrique. Radio-Canada récupère la chaleur produite par l’éclairage »,

Bâtiment, vol. 47, n˚ 2, février 1972, p. 30.

Services Techniques-T.V. et Service de l’information intérieure, « Place de Radio-Canada »,

Bulletin technique, n˚ 1, 11 p.

 

« Projects », The Canadian Architect, vol. 15, n˚ 4, avril 1970, p. 6-7.

Radio Canada Building, Montreal, Quebec, Royal Architectural Institute of Canada Journal,

1952 Mar., v. 29, p. 64-66.

 

« Revue », Architecture Canada, vol. 43, n˚ 10, octobre 1966, p. 37.

Robert, Guy, « Le blockhaus », Architecture concept, vol. 26, n˚ 297, septembre 1971, p. 30-

33.

MAISON DE RADIO-CANADA 36

 

« Tendances 70 : Constructions commerciales », Bâtiment, vol. 45, n˚ 7, juillet 1970, p. 19-

25.

Tessier-Lavigne, Andrée, « Place Radio-Canada », Architecture concept, vol. 26, n˚ 297,

septembre 1971, p. 24-29.

 

Waters, Mackenzie, CBM broadcasting studio, Marieville, Que., Royal Architectural Institute

of Canada Journal, 1941 Apr., v. 18, p. [9]-10.

 

Waters, Mackenzie, Broadcasting stations, Royal Architectural Institute of Canada Journal,

1938 Oct., v. 15, p. 215-219.

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  • 1 mois plus tard...

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201605/17/01-4982379-maison-de-radio-canada-des-conditions-de-vente-redigees-en-anglais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_la-presse-affaires_1243376_section_POS1

 

Publié le 17 mai 2016 à 06h31 | Mis à jour à 06h31

Maison de Radio-Canada: des conditions de vente rédigées en anglais

 

La Société Radio-Canada a ajouté une condition lors de la deuxième phase de l'appel d'offres concernant la vente de la Maison de Radio-Canada, à la mi-avril : la société d'État se garde une option à sa discrétion pour conserver une partie des terrains mis en vente.

 

Photo Robert Skinner, La Presse

Ma Presse

 

Radio-Canada a imposé à la mi-avril de nouvelles conditions à la douzaine d'acheteurs potentiels pour la Maison de Radio-Canada à Montréal dans une lettre d'intention rédigée uniquement en anglais, a appris La Presse.

 

Dans cette lettre d'intention, Radio-Canada, qui veut déménager dans de nouveaux locaux à Montréal, se réserve le droit de garder une partie des terrains actuellement mis en vente, par exemple pour y installer ses nouveaux locaux. La société d'État prévoit aussi la possibilité de rester dans sa tour actuelle pour une période allant jusqu'à six ans.

 

Jusqu'à présent, cette lettre d'intention est l'un des documents les plus importants du processus de vente de la Maison de Radio-Canada. Elle contient les conditions à respecter pour la douzaine d'acheteurs intéressés afin de soumettre une offre valide à la date limite de la fin d'avril. En ce qui concerne le fait que la lettre d'intention aux acheteurs potentiels soit rédigée seulement en anglais, Radio-Canada soutient qu'il s'agit « d'une pratique courante pour ce type de transaction ». Radio-Canada précise que les autres communications entourant la vente des installations « ont eu lieu dans les deux langues [officielles] ».

 

« Il est à noter qu'aucune demande pour une version française n'a été soumise à CBC/Radio-Canada. Le cas échéant, nous l'aurions fournie avec diligence », a indiqué Marc Pichette, directeur des relations publiques de Radio-Canada, par courriel. C'est la firme Brookfield qui s'occupe de la vente des installations actuelles pour le compte de Radio-Canada. Brookfield a dirigé nos questions à Radio-Canada.

 

DEUX NOUVELLES CONDITIONS

 

En février dernier, Radio-Canada a officiellement mis en vente ses installations montréalaises. Dans le document rendu public en février, la SRC souhaitait « solliciter des offres pour l'acquisition de 100 % des intérêts de la propriété ». Au moins 12 acheteurs potentiels souhaiteraient poursuivre le processus.

 

Or, selon nos informations, la SRC a ajouté une condition lors de la deuxième phase de l'appel d'offres, à la mi-avril : la société d'État se garde une option à sa discrétion pour conserver une partie des terrains mis en vente. Les acheteurs potentiels ont ainsi dû déposer leurs offres en prévoyant la possibilité que Radio-Canada garde une partie du terrain à la fin du processus - par exemple si Radio-Canada décide d'installer ses nouveaux locaux sur ce même site.

 

«L'objectif de Radio-Canada est de vendre l'ensemble de sa propriété pour devenir locataire de ses nouvelles installations et se départir du risque lié à la gestion immobilière. Toutefois, certaines propositions visent une nouvelle Maison de Radio-Canada sur le site actuel. Nous devons en tenir compte dans l'éventualité où cette option était retenue.

 

»

Marc Pichette

Directeur des relations publiques de Radio-Canada

 

La lettre d'intention à la mi-avril annonçait aussi à la douzaine d'acheteurs potentiels que Radio-Canada se garde le droit de rester dans ses locaux actuels pour 1 $ de loyer jusqu'à six ans. Les conditions initiales de février prévoyaient de telles conditions (Radio-Canada paie 1 $ de loyer, mais assume toutes les dépenses d'entretien) pour trois ans (jusqu'au 31 décembre 2019). La lettre d'intention à la mi-avril ajoute une autre option supplémentaire de trois ans aux mêmes conditions, au cas où les nouveaux locaux de Radio-Canada ne seraient pas prêts.

 

La société d'État a déjà indiqué son intention de quitter sa grande tour (1,3 million de pieds carrés) car elle estime n'avoir besoin que de 400 000 pieds carrés à Montréal.

 

Parallèlement au processus de vente de ses terrains actuels (environ 1,05 million de pieds carrés) par Brookfield, Radio-Canada a aussi mandaté une autre firme, Avison Young, pour déterminer différentes options pour les nouveaux locaux de Radio-Canada à Montréal. Trois options sont sur la table : déménager dans des bureaux existants, s'installer dans de nouveaux bureaux ailleurs au centre-ville ou s'installer dans de nouveaux bureaux ailleurs sur le même terrain (actuellement en vente).

 

UNE RÉUNION DU C.A.

 

Le conseil d'administration de Radio-Canada, qui doit éventuellement statuer sur la question, se réunit aujourd'hui et demain. Il doit « prendre connaissance des [...] différents scénarios » et « identifier les propositions à retenir pour la prochaine phase du processus ». Cette dernière phase devrait comprendre au moins deux propositions finales - les acheteurs en question passeraient alors les prochains mois à négocier avec Radio-Canada, qui choisira une offre finale.

 

Le Nouveau Parti démocratique a dénoncé hier à la Chambre des communes le « secret » entourant la vente de la Maison de Radio-Canada à Montréal. « Six mois après l'élection des libéraux, le conseil d'administration est toujours "bourré" de conservateurs, et il prend toujours des décisions majeures dans le secret le plus total, a dit le député Pierre Nantel. La ministre trouve-t-elle acceptable que notre diffuseur public opère dans l'ombre ? » La ministre du Patrimoine canadien Mélanie Joly a répondu qu'elle suit le dossier « de très près » et qu'elle s'affaire « à faire en sorte que le processus soit rendu public au cours des prochaines semaines ».

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Attention malgré son titre piège, ce n'est pas sur la question de la langue qu'il faut faire dévier le débat, mais bien sur le reste du texte qui apporte des éléments nouveaux.

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Attention malgré son titre piège, ce n'est pas sur la question de la langue qu'il faut faire dévier le débat, mais bien sur le reste du texte qui apporte des éléments nouveaux.

 

Si, comme suggéré par ProposMontreal, s'ils relocalisent sur le site du Quais de Lorimier, ils resteront dans le secteur du Quartier des Ondes et seront à cote des studios de Télé-Quebec. Je me demande s'il y a assez d'espace dans les deux cubes au dessus les commerces...Aussi, avec Radio-Canada comme locataire, ceci aidera l’acceptabilité sociale du projet.

 

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/23963-Quais-de-Lorimier

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Si, comme suggéré par ProposMontreal, s'ils relocalisent sur le site du Quais de Lorimier, ils resteront dans le secteur du Quartier des Ondes et seront à cote des studios de Télé-Quebec. Je me demande s'il y a assez d'espace dans les deux cubes au dessus les commerces...Aussi, avec Radio-Canada comme locataire, ceci aidera l’acceptabilité sociale du projet.

 

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/23963-Quais-de-Lorimier

 

Comme la proposition Quais de Lorimier est préliminaire, ils pourront certainement changer les plans initiaux qui ne sont que des esquisses actuellement, afin de les adapter à leurs futurs occupants, la SRC ou quelqu'un d'autre. C'est sûr qu'en restant dans le secteur, on parle d'un compromis plus qu'acceptable pour Radio-Canada. Donc histoire à suivre...

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