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Nouvelle Maison Radio-Canada - 8 étages (2020)


loulou123

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XCLUSIF

Publié le 29 mai 2014 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

 

Un PPP pour la transformation de la Maison de Radio-Canada:

 

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Le site de la maison de Radio-Canada est appelé à changer.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

=author%3AKathleen+L%C3%A9vesque&sort=recent"]KATHLEEN LÉVESQUE

La Presse

 

 

La direction de Radio-Canada s'en défend, mais le président du conseil d'administration l'admet: la transformation de la maison de Radio-Canada (MRC) se fera en partenariat avec le secteur privé (PPP).

 

«Le PPP va nous coûter moins cher que de rester dans les installations actuelles, qui ne répondent plus aux besoins de la société», a affirmé à La Presse Rémi Racine, président du conseil d'administration de Radio-Canada.

 

Selon les documents de mise à jour présentés en avril dernier aux administrateurs de la société d'État, que La Presse a obtenus, le recours au PPP se justifie par le fait que «la structure de financement de CBC/Radio-Canada rend l'acquisition peu souhaitable». «L'immobilier n'est pas une activité fondamentale de CBC/Radio-Canada», peut-on lire.

 

À la direction de Radio-Canada, on assure malgré tout que le projet qui consiste à construire un nouvel édifice pour la Société ainsi qu'à réaménager la tour et les immenses terrains de stationnement n'est pas un PPP. «Radio-Canada va être locataire et ne reprendra pas possession des installations à la fin du bail à long terme», soutient Hélène Forest-Allard, responsable des communications pour le projet de la MRC.

M. Racine affirme toutefois que Radio-Canada a bel et bien choisi de fonctionner en PPP. D'ailleurs, a-t-il souligné, l'agence fédérale PPP Canada a apporté son soutien dans le dossier, notent les documents transmis au conseil d'administration. PPP Canada affirme toutefois le contraire.

 

Quoi qu'il en soit, le déménagement de la MRC est retardé, notamment à cause de problèmes de financement. Radio-Canada estimait le coût du projet à 27 millions (seuil d'abordabilité), mais il semble que les deux consortiums pressentis fassent des calculs différents.

 

Selon Rémi Racine, les compressions du gouvernement Harper n'ont pas joué dans le report du projet (de 18 à 24 mois). «Ça n'a rien à voir. Les compressions du gouvernement remontent à deux, trois ans. Quant aux compressions actuelles, elles sont liées essentiellement à la perte de revenus publicitaires et à la perte de la diffusion des matchs de hockey», a précisé M. Racine.

 

Il croit tout de même que Radio-Canada aura de nouvelles infrastructures.

 

Le député du NPD, Pierre Nantel, porte-parole en matière de patrimoine, ne partage pas cet enthousiasme. S'il ne conteste pas la nécessité d'un lieu «mieux adapté» aux nouvelles technologies, notamment, il estime que le projet se fait «dans la panique et le tâtonnement». Le recours au PPP n'a rien pour le rassurer.

«L'acharnement du gouvernement Harper sur Radio-Canada fait en sorte qu'on se retrouve devant une «vente de feu» improvisée. Le silence qui entoure quelque chose d'aussi public que Radio-Canada, une icône du développement culturel francophone, est désolant», a déclaré M. Nantel.

 

 

Je verrais bien radio-canada dans la tour du quartier des spectacles !

 

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Membres prolifiques

Moi aussi, mais l'idée de la SRC c'est de garder leurs méga-studios!

Mais sinon, dans le projet au nord de la Maison de la danse, dévoilé à Montreal du futur... ça serait pas mal cool!

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Je verrais bien radio-canada dans la tour du quartier des spectacles !

 

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Essayer pas de voler nos emplois dans la Cité des ondes!

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  • 3 mois plus tard...

La Maison de Radio-Canada diminue de taille

 

19 septembre 2014 |Stéphane Baillargeon | Médias

image.jpgPhoto: Paul Chiasson La Presse canadienne

 

Radio-Canada voit encore à la baisse ses besoins en espace de travail. La tour de Montréal ne lui convient plus. Trop vieille, elle est aussi devenue trop grande au fur et à mesure des mises à pied. La nouvelle échéance prévoit une nouvelle permanence radio-canadienne en 2019. Les employés parlent du «début du démantèlement» du diffuseur public.

 

La famille radio-canadienne, de compressions en manques à gagner, rétrécit, alors la future Maison de Radio-Canada (MRC) à Montréal diminue de taille. Dans la nouvelle mouture du projet, les espaces planifiés sont réduits du quart (en fait de 23 %) et trois des quatre studios de production d’abord planifiés disparaissent.

L’échéancier est aussi modifié par une prolongation d’environ 24 mois. Les propositions des consortiums intéressés par le partenariat auront jusqu’au printemps 2015 pour déposer leurs concepts. La construction débuterait à l’été 2017 avec une prise de possession en 2019, soit deux ans de retard par rapport à la planification précédente, datée de juin 2013.

«Notre infrastructure de production d’émissions de divertissement a été établie à une époque où seuls les grands diffuseurs avaient les moyens d’assumer la production de ces contenus, explique Louis Lalande, vice-président principal des services français, dans une note interne dont Le Devoir a obtenu copie. Aujourd’hui, comme nous avons la possibilité d’acquérir ces émissions auprès de plusieurs producteurs indépendants, nous pouvons alléger notre infrastructure et réduire nos coûts fixes. Rappelons d’ailleurs que cette relation étroite avec le milieu de la production indépendante est monnaie courante à Radio-Canada. Notre production d’émissions de divertissement sera orientée là où l’expertise radio-canadienne apporte une forte valeur ajoutée au contenu.»

Le lien est évidemment fait avec les réductions d’effectifs de plus de 1000 postes annoncées en avril et en juin dernier. L’entreprise a connu trois vagues de compressions en cinq ans.

Concrètement, le centre montréalais conservera un seul studio sur les quatre d’abord planifiés au début de la décennie. «Radio-Canada maintiendra un grand studio multiplateforme qui lui accordera la flexibilité nécessaire pour produire des contenus variés pouvant être destinés à différentes plateformes (télévision, numérique, mobile, etc.)», explique la chef du service de communications de la MRC, Hélène Forest-Allard. La documentation ajoute que des «espaces polyvalents» offriront«d’autres espaces de tournage» dans la future résidence institutionnelle.

Cette externalisation encore plus poussée inquiète les employés. «C’est le début du démantèlement du diffuseur public», dit Isabelle Montpetit, directrice (Montréal) du Syndicat des communications de Radio-Canada, qui représente notamment les journalistes du Québec. «La direction de Radio-Canada élimine, sans aucun mandat, des installations qui appartiennent à tous les Canadiens. Elle fait en sorte que, même si son financement était restauré, sa capacité physique de produire des émissions de télévision d’envergure n’existera plus. De telles décisions ne peuvent pas être prises sans qu’il y ait un débat public sur la question. C’est d’ailleurs une des revendications de la campagne Tous amis de Radio-Canada.»

Cette campagne a été lancée par le syndicat en 2011. Elle demande un moratoire sur les compressions et une commission parlementaire sur l’avenir du diffuseur public.

Le projet de développement de la Maison de Radio-Canada, développé depuis des années, vise la modernisation des installations montréalaises et leur réduction à la mesure des «besoins réels». Le diffuseur souhaite vendre sa tour et ses immenses terrains du sud-est de Montréal à des promoteurs immobiliers qui pourraient les développer.

Les consortiums intéressés doivent concevoir un nouvel espace locatif pour la MRC, rénover la tour et lui trouver une nouvelle vocation. Les partenaires doivent aussi prévoir la construction de nouveaux immeubles résidentiels ou commerciaux, tout en verdissant et reconnectant l’îlot bétonné avec le reste de la ville.

Modifié par IluvMTL
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Le projet de la MRC à Montréal reflètera Un espace pour nous tous

 

17 septembre 2014, MontréalLa demande de propositions pour le projet de la MRC à Montréal a été revue et certains éléments ajustés afin de refléter les grandes orientations du plan Un espace pour nous tous. L’échéancier du projet a conséquemment été prolongé pour permettre aux consortiums de revoir leur concept en fonction des nouveaux besoins exprimés par la Société. Les propositions sont maintenant attendues au printemps 2015.

Dans cette version ajustée de la demande de propositions, la nouvelle MRC occupera moins d’espace que prévu initialement mais demeurera un lieu de production important. C’est notamment à la production d’émissions de divertissement télé que s’effectuera une réduction de superficie additionnelle.

« Notre infrastructure de production d’émissions de divertissement a été établie à une époque où seuls les grands diffuseurs avaient les moyens d’assumer la production de ces contenus, explique Louis Lalande, vice-président principal des Services français. Aujourd’hui, comme nous avons la possibilité d’acquérir ces émissions auprès de plusieurs producteurs indépendants, nous pouvons alléger notre infrastructure et réduire nos coûts fixes. Rappelons d’ailleurs que cette relation étroite avec le milieu de la production indépendante est monnaie courante à Radio-Canada. Notre production d’émissions de divertissement sera orientée là où l’expertise radio-canadienne apporte une forte valeur ajoutée au contenu.»

Des quatre studios de production télé initialement prévus à la demande de propositions, CBC/Radio-Canada conservera un seul grand studio multiplateforme, jumelé à une conception d’espaces polyvalents qui permettront des tournages à plusieurs endroits dans la future MRC. Les besoins fonctionnels et techniques de la nouvelle Maison ont donc été ajustés, en tenant aussi en compte les réductions d’effectifs annoncées en avril et en juin derniers.

Tel que prévu au plan Un espace pour nous tous, notre infrastructure sera plus modeste mais la nouvelle MRC vibrera au rythme de la création Radio-Télé-Internet-Mobilité et sera tournée vers le public et les nouvelles tendances de l’industrie. Ce sera le carrefour d’offres innovantes et multiplateformes, en lien avec l’auditoire; un lieu névralgique pour l’industrie de la culture et de la création, affirme Louis Lalande. »

Des espaces en fonction des besoins réels de CBC/Radio-Canada

 

Le projet de développement de la Maison de Radio-Canada à Montréal s’inscrit dans une démarche initiée il y a plusieurs années et qui vise à doter l’entreprise d’installations modernes qui correspondent à ses besoins réels, en transférant les risques immobiliers à un développeur privé. Cet objectif demeure inchangé. Il faut se rappeler que l’actuelle Maison de Radio-Canada nécessite des rénovations majeures qui représentent des dépenses importantes pour la Société dont le rôle n’est pas d’investir dans l’immobilier.

Le projet de la MRC, c’est aussi le développement de l’ensemble du site

La construction de la Maison de Radio-Canada à Montréal s’intègre au vaste projet de développement de l’ensemble du site. Concrètement, ceci signifie que les consortiums doivent, en plus d’élaborer un concept pour la nouvelle MRC, prévoir une nouvelle vocation pour la tour actuelle, la construction de logements sociaux, communautaires et abordables et proposer une mixité d’usages sur le site (commerces, immeubles à bureaux ou résidences). Ils doivent également concevoir des espaces verts et une façon de reconnecter le site au quartier.

Échéancier et processus revisités

Dans ce contexte, la modification au processus de la demande de propositions annoncée en mai dernier et le prolongement de l’échéancier du projet, vont permettre à CBC/Radio-Canada de mettre en place les conditions nécessaires à sa réalisation.

Voici un résumé des prochaines étapes :

[TABLE=class: chart, width: 539]

[TR]

[TD=bgcolor: CCCCCC]Printemps 2015[/TD]

[TD]Dépôt des propositions par les consortiums[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=bgcolor: CCCCCC]Été 2015[/TD]

[TD]Évaluation/sélection d’un concept par CBC/Radio-Canada[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=bgcolor: CCCCCC]Automne 2015 - Hiver 2017[/TD]

[TD]Discussions/collaboration entre le consortium choisi, Radio-Canada et la Ville de Montréal en vue de la concrétisation et de l’approbation du plan d’ensemble du site incluant la MRC[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=bgcolor: CCCCCC]Printemps 2017[/TD]

[TD]Approbation finale du projet par le Conseil d’administration et ultimement par le Conseil du Trésor[/TD]

[/TR]

[TR]

[TD=bgcolor: CCCCCC]Été 2017 - 2019[/TD]

[TD]Construction de la nouvelle MRC[/TD]

[/TR]

[/TABLE]

À propos de CBC/Radio-Canada

CBC/Radio-Canada est le radiodiffuseur public national du Canada et l'une des plus grandes institutions culturelles du pays. La Société est un leader pour joindre les Canadiens sur de nouvelles plateformes et livre une gamme complète de services de radio, de télévision, sur Internet et par satellite. Profondément enracinée dans les régions, CBC/Radio-Canada est le seul radiodiffuseur national qui offre divers points de vue régionaux et culturels en français, en anglais et en huit langues autochtones.

Un espace pour nous tous est la nouvelle stratégie de CBC/Radio-Canada pour moderniser le diffuseur public et s’assurer qu’il continue de remplir son mandat auprès des Canadiens pour les générations à venir. Jusqu’en 2020, la Société augmentera ses investissements dans la télévision aux heures de grande écoute, continuera de créer des émissions de radio d’une très grande qualité tout en favorisant le développement des plateformes et contenus numériques et mobiles.

Pour plus d’information concernant le projet de la MRC, visitez cette page.

Pour plus d'information, veuillez communiquer avec :

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  • 3 mois plus tard...

http://www.ledevoir.com/societe/medias/429013/le-projet-de-la-maison-de-rc-malmene

 

Le projet de la Maison de Radio-Canada est malmené

15 janvier 2015 11h34 |Stéphane Baillargeon | Médias

La nouvelle permanence de CBC/RC a été beaucoup réduite en taille au fur et à mesure des compressions de personnel et de besoins actuelles et projetées.

Photo: Michaël Monnier Le Devoir

La nouvelle permanence de CBC/RC a été beaucoup réduite en taille au fur et à mesure des compressions de personnel et de besoins actuelles et projetées.

Au moins un des trois consortiums qui était toujours en lice pour la réalisation de la nouvelle Maison de Radio-Canada (MRC) à Montréal se retire du concours, selon les informations obtenues par Le Devoir.

 

L’équipe formée autour de Broccolini Constructions juge que ce projet ne peut plus être assez rentable notamment parce que la nouvelle permanence de CBC/RC a été beaucoup réduite en taille au fur et à mesure des compressions de personnel et de besoins actuelles et projetées. Le dépôt des propositions concrètes était alors projeté pour le printemps 2015.

 

Le retrait du constructeur majeur est confirmé dans une lettre datée du 12 janvier, estampillée « stricly confidential » et envoyée par le vice-président principal de Broccolini à une haute gradée de Radio-Canada. « Nous regrettons de vous informer qu’étant donné la position de CBC/Radio-Canada, nous nous retirons maintenant du processus de sélection de la compétition », écrit Roger Plamondon, en anglais, à France Binette, directrice des approvisionnements stratégiques.

 

Le reste de la courte missive assure que la compagnie va respecter les consignes de confidentialité contenues dans les documents du concours.

 

La décision et les conséquences de ce retrait pourraient être annoncées officiellement plus tard aujourd’hui par la haute direction de la société fédérale.

 

Il a été impossible d’obtenir des informations sur les intentions des deux autres consortiums de constructeurs réputés toujours en lice.

 

Le document de 2012 du concours prévoit que le projet peut être modifié par le donneur d’ouvrage en tout ou en partie et à tout moment. CBC/RC pourrait donc procéder autrement à partir de maintenant, soit en continuant l’étude de faisabilité du projet, soit en arrêtant le processus en cours pour chercher d’autres solutions.

 

Projet lancé en 2013

 

Le projet de la nouvelle Maison de RC a été concrètement lancé en 2013 par un appel de propositions auprès d’un trio de constructeurs. « Notre infrastructure sera plus modeste mais la nouvelle MRC vibrera au rythme de la création Radio-Télé-Internet-Mobilité et sera tournée vers le public et les nouvelles tendances de l’industrie », expliquait le communiqué.

 

Le diffuseur projetait alors une ouverture en 2017. Un nouvel échéancier adopté l’an dernier visait 2019. La version révisée réduisait les espaces occupés par la MRC.

 

La tour radio-canadienne érigée il y 40 ans dans l’Est de Montréal nécessite des rénovations et ne correspond plus aux besoins réduits de l’entreprise. La société a fait disparaître le quart de ses quelque 10 000 postes en cinq ans au pays et prévoit en éliminer encore au moins 1500 d’ici deux ans. Les plans initiaux de la nouvelle permanence prévoyaient quatre grands studios de production. Il n’en reste plus qu’un seul dans les projections de besoins.

 

Le projet repose en partie sur la vente de la tour et des grands terrains de stationnements, vestige d’un autre âge de l’aménagement urbain. Le partenaire choisi au terme du concours devrait pouvoir y bâtir des habitations et des commerces en échange de la construction de la MRC qui serait louée par RC.

 

« Il faut concentrer les activités du diffuseur public autour de sa mission première, qui est d’informer, éclairer et divertir les Canadiens, déclarait Hubert T. Lacroix, président-directeur général de CBC/Radio-Canada, dans le communiqué dévoilant la nouvelle étape du vaste chantier le 8 juin 2013. Le rôle de CBC/Radio-Canada n’est pas d’investir dans l’immobilier. C’est pourquoi, à l’échelle du pays, nous voulons faire une meilleure utilisation de nos espaces et nous libérer du risque lié à la gestion immobilière. »

 

Trois consortiums se montraient alors intéressés : SNC-Lavalin/Prével, Consortium Média (mené par Busac) et Partenaires du développement de la Maison (autour de Broccolini Constructions). Il a été impossible ce jeudi matin d’obtenir des entrevues pour connaître les intentions des deux joueurs restants.

 

sent via Tapatalk

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Je vois d'un bon oeil que ce projet soit retardé/annulé. Je n'aime pas ce qui y était planifié. Idéalement, il aurait fallu que ce projet s'appuie sur un prolongement du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie et/ou une ligne de SLR/tram sur René-Lévesque.

 

Plus on attend, plus ça devient possible.

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