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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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Le Dr Barette est un chialeur. Outremont avait des avantages en termes de contrainte spatiale mais il ne faut pas non plus oublier que le nouveau site s'inscrit dans un projet de revitalisation du centre ville... Oui Mr Barette, il n'y a pas QUE les médecins dont l'opinion compte.

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La direction du CHUM réaffirme le choix du site au centre-ville

Presse Canadienne

Montréal

 

La direction du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) a réitéré que le nouvel hôpital universitaire sera bel et bien érigé au 1000 de la rue Saint-Denis, soit l'actuel emplacement de l'Hôpital Saint-Luc.

 

Le président du conseil d'administration, Patrick Molinari, a affirmé mercredi que ce dossier était définitivement clos, lors d'une conférence de presse qui avait pour but de faire le point sur les nombreuses questions et critiques que le projet sa soulevées dernièrement.

 

La direction a souligné que le plan fonctionnel et technique (PFT) était complété à plus de 95 pour cent et qu'il sera prêt pour le lancement des appels d'offre à la fin de l'automne. Elle a annoncé du même souffle que c'est le Dr Guy Breton qui sera chargé de l'adéquation du plan direction clinique au programme fonctionnel et technique.

 

On entend conserver un total de 1000 lits au centre-ville, en tenant compte des 700 lits du CHUM et des 300 lits du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) Jeanne-Mance.

 

Quant aux effectifs, on prévoit une réduction de 10 pour cent des effectifs au CHUM, en comptant entre autres sur les retraites d'ici 2013.

 

Quant aux spécialités, on maintient que 35 disciplines seront présentes et que chaque étape du plan de direction clinique a fait l'objet de consultation et de consensus, en plus d'être approuvée par le ministère de la Santé et des services sociaux.

 

M. Molinari a rappelé que même si on ne ferme pas la porte à certaines améliorations qui pourraient être soumises avant l'appel d'offres d'ici trois mois, la direction veut, pour l'essentiel, garder le cap afin de ne pas s'éloigner de son échéancier ni de son budget.

 

Il a avoué ne pas être étonné par les réactions suscitées récemment par le projet, puisqu'à cette dernière étape, celle la cohérence et de la cohésion selon ses termes, tout le monde veut s'assurer de voir ses attentes comblées.

 

Par ailleurs, la direction s'est refusée à commenter les propos tenus dernièrement par le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, le Dr Gaétan Barrette, à savoir que le nombre de lits n'était pas suffisant, que l'endroit n'aurait pas de capacité d'expansion et que le nouvel établissement n'en sera pas un de pointe.

 

Elle s'est également limitée à dire qu'actuellement, elle n'avait pas encore de lien avec des initiatives privées, telles que celles mises de l'avant par le chanteur Garou.

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Le choix du centre-ville pour le nouvel hôpital universitaire est un pis-aller. Le projet serait acceptable «si on rasait tout le quadrilatère». Or, c'est bien loin d'être le scénario envisagé par le gouvernement, «qui veut faire du raboudinage» en rénovant l'hôpital Saint-Luc.

 

Je vois pas c'est quoi le problème avec le raboudinage, les vieux hôpitaux du C-V, c'est des exemples de raboudinage et ça fonctionne, la plus vieille partie de St-Luc date du début des années 30, il a été agrandi au milieu des années 50 sur René-Lévesque, Notre-Dame à été agrandi plusieurs fois, ainsi que l'Hôtel-Dieu. Encore une fois le Dr Barette dit n'importe quoi.

 

Mon opinion sur le site est que St-Luc est un site acceptable, mais je crois que construire le CHUM par dessus l'autoroute Ville-Marie aurait été idéal, le terrain est immense et c'est un coin du C-V qui est sous-développé. En plus le terrain appartient au MTQ. Ça aurait donné un hôpital plus étendu et moins haut.

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La direction du CHUM brise le silence

 

Le Devoir

Kathleen Lévesque

Édition du jeudi 18 septembre 2008

 

Mots clés : Patrick Molinari, direction, CHUM, Hôpital, Québec (province)

 

Le projet se réalisera à l'adresse prévue et dans le respect du budget et de l'échéancier

Que les détracteurs se le tiennent pour dit: le CHUM se fera au 1000, rue Saint-Denis dans le respect du budget et de l'échéancier prévus. C'est ce qu'ont affirmé pour une énième fois les dirigeants du CHUM lors d'une conférence de presse exigée par Québec pour ramener le calme dans le dossier.

 

Sans directeur général au CHUM depuis juillet dernier, c'est le président du conseil d'administration, Me Patrick Molinari, qui a défendu l'établissement et son projet de modernisation. «Que n'a-t-on pas dit depuis un certain temps au sujet du CHUM centre-ville: il a pris beaucoup de retard, il défonce les budgets. Il n'aura pas assez de lits, de médecins, de blocs opératoires, il sera coincé dans son quadrilatère sans possibilité d'expansion et, mieux encore, il ne se fera pas», a rappelé Me Molinari, qui a ajouté que le projet est à trois mois d'être lancé officiellement.

 

C'est en décembre prochain que doit être lancé l'appel de propositions auprès des consortiums privés qui se sont qualifiés lors d'une étape précédente. Ces consortiums auront à construire et à entretenir l'hôpital pour les 35 prochaines années avec un budget estimé pour l'instant à 1,518 milliard de dollars. Ce scénario prévoit que le CHUM ouvrira ses portes en décembre 2013.

 

«Chaque jour que nous reportons le démarrage du projet CHUM, il en coûte 100 000 $; 36 millions par année en pures pertes», a prévenu M. Molinari.

 

Il y a trois semaines, la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) a réclamé un temps d'arrêt pour réfléchir à ce que le CHUM devrait être. La FMSQ se dit inquiète de la trajectoire empruntée par le projet. Dès lors, le nouveau ministre de la Santé, Yves Bolduc, a ouvert la porte à des changements possibles.

 

Mais attention, a dit hier Me Molinari, il n'est pas question de revoir la nature du projet. De toute façon, le programme fonctionnel et technique (PFT) est achevé à plus de 95 %, a-t-il précisé.

 

Afin de finaliser le PFT, le CHUM bénéficie de l'expertise du Dr Guy Breton qui a orchestré le PFT dès 2000 lorsque le projet était prévu au 6000, rue Saint-Denis. Le deuxième mandat de ce dernier sera de rallier tous les médecins au projet, qui en est maintenant à sa phase de réalisation. «Nos collègues avec toute la saga, le cynisme, les critiques, l'ambiguïté, ont cessé d'y croire en partie. Mais ça va se faire. C'est angoissant: ce n'est pas un déménagement, c'est une transformation», a expliqué le Dr Breton, qui estime que le projet a été décrié.

 

Ce dernier a défendu la redistribution du nombre de lits, de médecins et des soins offerts entre le futur CHUM et le pavillon Notre-Dame, qui deviendra un hôpital de proximité avec 300 lits et où seront transférés 50 % des urgences traitées actuellement au CHUM, de même que le tiers des chirurgies d'un jour. Cette situation fait dire au député péquiste Bernard Drainville, porte-parole en matière de santé, que peu importe les discours rassurants, le CHUM sera écartelé sur deux sites et fera augmenter les investissements requis. Le gouvernement n'a prévu jusqu'à maintenant aucune rénovation du futur hôpital Notre-Dame.

 

Pour ce qui est de la question d'une éventuelle croissance de l'hôpital, la direction a indiqué avoir 50 000 mètres carrés disponibles, soit environ 20 % de la superficie du projet. Le Dr Breton a mentionné que le principal potentiel d'expansion du CHUM est interne. Par exemple, la réduction de 10 % de la durée moyenne de séjour à l'hôpital correspondrait à 70 lits supplémentaires. «Plus gros, ce n'est pas toujours le mieux», a-t-il dit.

 

Quant au développement d'un véritable quartier de la santé autour du CHUM, avec cliniques privées, centres médicaux associés et autres pharmacies,

 

Me Molinari s'en réjouit. Il refuse de «se flageller» parce que le CHUM servira de pôle d'attraction. D'ailleurs, le Dr Breton a affirmé que l'Université de Montréal menait des discussions serrées avec le ministère de la Santé pour faire avancer le projet d'une école de santé publique aux abords de l'autoroute Ville-Marie.

 

Mais d'ici là, il faudra que le CHUM comble le poste de directeur général, occupé actuellement de façon intérimaire par Serge Leblanc. Le conseil d'administration doit recevoir ces jours-ci l'autorisation gouvernementale pour ouvrir le concours, et mettra en place un comité de sélection dès la semaine prochaine.

 

http://www.ledevoir.com/2008/09/18/206181.html (18/09/2008 8H47)

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Hospital project still not so super, doctors say

CHUM officials admit they have selling job

 

The Gazette

Published: 9 hours ago

 

A plan to build a 700-bed French-language superhospital is a mistake and will shortchange patients looking for specialized care, the president of the federation representing Quebec's medical specialists said last night.

 

"You can't say that 1,000 beds for specialized medicine will be made up for by 700 beds for specialized medicine," said Gaétan Barrette, the president of the Fédération des médecins spécialistes, "That's a drop in service.

 

"I didn't hear a thing today that contradicted anything I've said; the only thing that was new was that they're happier with less.

 

"But I don't know if the public will be as happy when they discover they'll have less service in their francophone university hospital."

 

Barrette's comments follow a news conference held by the board of the unbuilt CHUM - the Université de Montréal's superhospital. The briefing was held in the wake of several weeks of criticism - from Barrette and others - and to counter what CHUM officials described as "a thousand rumours and theories" and "information that's incomplete if not completely inaccurate."

 

Barrette said the hospitals used as teaching centres by the Université de Montréal now offer about 1,000 specialized care beds. CHUM officials said yesterday that their superhospital would contain 700 specialized care beds, and 300 beds for non-specialized care would be available at nearby Notre Dame Hospital.

 

The CHUM officials see it as maintaining the level of service in the area served by the superhospital. But Barrette sees it as a net loss of 300.

 

Even while they repeated the project's vital statistics - a $1.5 -billion budget, construction on a downtown stretch of St. Denis St., 700 beds, 51 emergency room beds, 30 operating rooms and completion deadline of 2013, the people trying to complete the French-language superhospital acknowledged they have a communications problem.

 

"I must confess that there is reason for us to react more quickly, to provide information more quickly, rather just read what's being said in the papers every morning," CHUM interim-director Serge Leblanc told reporters.

 

"We have a lot to say at the CHUM. There's a lot going on and we need to keep the public informed and avoid the false information that's being circulated."

 

Guy Breton, a physician, executive vice-rector of Université de Montréal and, for the next three months, a special adviser to the CHUM board, said that if he's encountering criticism from within the medical community, it is because of controversy that has surrounded the project since its inception eight years ago.

 

"Our colleagues, faced with all of this saga, the cynicism, the criticism, the ambiguity ... have difficulty believing this will happen," he said.

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Québec envisage de raser l'hôpital Saint-Luc

 

Pour affranchir le CHUM du «raboudinage» et des rénovations aux coûts toujours difficiles à prévoir, le gouvernement Charest envisage de faire raser carrément l'hôpital Saint-Luc actuel une fois que la nouvelle aile de l'hôpital universitaire sera construite.

 

C'est ce qu'a confirmé, hier, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, par l'entremise de son attachée de presse, Marie-Ève Bédard. Le ministre Bolduc a demandé il y a plus d'un mois que les spécialistes du CHUM planchent sur un scénario où «Saint-Luc serait complètement reconstruit plutôt que rénové».

 

Une réflexion avait déjà eu cours dans l'équipe du CHUM, «mais M. Bolduc a demandé d'approfondir pour en arriver à une décision», a expliqué Mme Bédard. Les fonctionnaires «nous ont dit qu'ils seraient en mesure de soumettre un projet qui fait une démolition-reconstruction plutôt qu'une rénovation», résume-t-elle. La décision sera prise «dans les prochaines semaines».

 

«C'est peut-être nouveau pour le public, mais le ministre Bolduc en avait parlé au directeur exécutif, Clermont Gignac, il y a plus d'un mois». «Il y a des scénarios à l'étude, on vous fera part des décisions au moment de l'appel de propositions», se bornait à dire hier Julie Masse, porte-parole du CHUM.

 

Pour le Dr Bolduc, s'il y a «un petit bout supplémentaire à faire sur l'enveloppe financière, on est prêts pour se doter du meilleur projet possible», résume la porte-parole du ministre.

 

Ce scénario «où on reprend tout à neuf» n'a pas de simulations quant aux coûts, souligne-t-elle. Mais ce changement radical de cap ne devrait pas modifier l'échéancier; «les appels de proposition pour le PPP devraient tout de même être lancés avant les Fêtes», insiste-t-elle.

 

La semaine dernière, le président de la Fédération des spécialistes, Gaétan Barrette, soulignait que le problème de la rénovation était un boulet pour le projet d'hôpital universitaire. Il soutenait que le site du 1000 Saint-Denis (l'hôpital Saint-Luc actuel) pouvait être un site acceptable pour un hôpital universitaire, «à condition de raser le quadrilatère». Le projet actuel, qui prévoit une rénovation assez superficielle du bâtiment de Saint-Luc, n'était pas souhaitable, «du raboudinage», avait lancé le Dr Barrette. L'idée de la démolition d'une aile de Saint-Luc, l'aile sud, avait déjà circulé le printemps dernier, mais cela ne représente que le cinquième du bâtiment qui sera finalement rasé si Québec adopte cette voie.

 

Selon les sources de La Presse, le nouveau responsable du projet, nommé pour les trois prochains mois, le Dr Guy Breton, a approché plusieurs médecins et cadres du CHUM au cours des dernières heures, leur indiquant que Québec penchait désormais pour un hôpital universitaire flambant neuf, d'un mur à l'autre.

 

L'édifice de Saint-Luc est passablement désuet, «aux normes de 1950». Le projet sous sa forme actuelle présente une lacune importante. On sait d'avance que la partie Saint-Luc sera toujours mal adaptée à la médecine de pointe, qu'elle n'aura pas une espérance de vie de 50 ans.

 

La rénovation nécessiterait de véritables prouesses d'ingénierie - du dynamitage sous un édifice existant - et suppose qu'on ne peut prévoir tous les coûts. C'est pourquoi le gouvernement restait en mode «conventionnel» plutôt qu'en «partenariat public-privé» pour cette «rénovation» qui coûtait environ 75 millions, une charge marginale sur un projet de plus de 1 milliard. Québec était bien loin d'un «curetage» pour l'ancienne bâtisse, pas question de retoucher aux structures et de ne garder qu'une coquille. On allait plus loin qu'une simple couche de peinture neuve, mais la rénovation envisagée était passablement «superficielle», explique-t-on.

 

Aussi, avec une construction totalement neuve, les coûts grimperaient probablement à 125 ou 150 millions, mais on ferait taire bien des critiques puisqu'on pourrait augmenter sensiblement le nombre de places de stationnement et augmenter le nombre de salles d'opération.

 

Pour faire le choix de la construction plutôt que de la rénovation, le gouvernement n'a pas à remettre à plus tard son appel d'intérêts toutefois. Le projet se fait dans tous les cas de figure en deux phases, la première est de construire la nouvelle partie, en PPP. Elle accueillera les patients de Saint-Luc, quel que soit l'avenir du bâtiment existant.

 

Si on décidait de raser Saint-Luc, la fin du chantier serait reportée dans le temps, confirmera une source proche du projet. Actuellement on s'attend à ce que la partie PPP soit «livrée» fin 2013, et par la suite, on projetait de relocaliser temporairement les activités de Saint-Luc, le temps de rénover l'hôpital existant. La reconstruction nécessiterait clairement plus de temps que la simple rénovation, prévient-on.

 

Mais en rasant l'ancien hôpital, le gouvernement pourrait obtenir l'appui des groupes de médecins, comme les spécialistes, qui y verraient l'occasion d'avoir un édifice «à leur main» mieux adapté à leurs attentes. Aussi les milieux d'affaires seraient peut-être plus entichés, et plus intéressés à contribuer à un projet flambant neuf, plus intéressant pour leur image corporative.

 

Actuellement la Fondation du CHUM est encore bien loin de son objectif de contribution - 200 millions. La loterie qu'elle a lancée le printemps dernier pour susciter du financement a tout juste fait ses frais.

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080923/CPACTUALITES/809230754/1019/CPACTUALITES

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D'un point de vue de financement de projet, c'est la meilleure chose à faire, surtout en PPP. La rénovation d'un édifice comporte de gros risques et beaucoup de contraintes et de travail supplémentaires alors si le bâtiment n'a pas de valeur patrimoniale, mieux vaut le mettre à terre et repartir à zéro.

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Le plus gros problème que j'avais avec le site St-Luc était le fait qu'on essayait de faire du neuf avec du vieux. On rentabiliserait très rapidement un nouvel édifice par rapport à une rénovation de l'édifice actuel.

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:thumbsup: Pas de doute la reconstruction à neuf de St-Luc est une excellente décision, ainsi l'ensemble des bâtiments aura une facture moderne et le tout sera mieux adapté aux véritables besoins présents et futures. Idéalement on pourrait en même temps lui donner du recul sur René-Lévesque, prendre de la hauteur et qui sait construire quelque chose de vraiment original côté design.

 

On a ici une occasion unique de planifier un projet audacieux qui pourrait inspirer les autres projets complémentaires en créant une surenchère d'esthétisme architectural.

 

Une fois les travaux amorcés il y aura certainement un effet d'entrainement majeur dans tout le secteur puisque je suis convaincu que plusieurs promoteurs (particulièrement de condos) attendent le début officiel de ce chantier pour profiter de la nouvelle demande de logements, de cliniques et de bureaux qui s'ajouteront indéniablement tout autour.

 

Ce projet aura été un accouchement très difficile et on ne pourra jamais dire que c'est un prématuré. Mais tout donne l'impression que le bébé finalement fera consensus et les deux parents (gouvernement et médecins) en seront fiers en lui cherchant des ressemblances.

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