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Le Quartier des spectacles


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Le bâtiment a déjà trouvé ses locataires, ils sont déjà plus nombreux que le nombre de pieds carrés disponibles.

 

Ajoutez un étage !!

 

 

L'édifice Redlight serait la clé de la revitalisation du quartier, martèle Christian Yaccarini, PDG du Technopôle Angus et instigateur du projet.

 

Ce n'est plus Clément Demers du QIM qui s'occupe du quartier des spectacles ???

 

Faire du tronçon Saint-Laurent entre René-Lévesque et Sherbrooke celui du commerce équitable. Installer au 2e étage des entreprises de création à proximité de l'UQAM.

 

Faire de l'îlot Balmoral la grand-place des Festivals. L'hiver, y aménager une patinoire comme au Rockefeller Center. Utiliser le système de réfrigération caché sous les marches de la Place des Arts.

 

J'aime ces idées !

 

«La prise de conscience est faite, mais elle doit se faire à Québec ou Ottawa, le maire Tremblay, s'il l'avait, le fric, il les ferait, les affaires», ajoute-t-il.

 

+1 pour Gérald

 

 

«Le scandale, c'est qu'Alain Simard soit obligé de se battre pour faire son festival même après 28 ans, alors qu'il devrait mettre toutes ses énergies à convaincre les plus grands artistes de jazz de venir à Montréal, pas de se demander où il peut installer ses kiosques», dit-il.

 

D'où l'importance de sacrer l'Ilot Balmoral comme place des festivals

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  • Administrateur

Merci pour l'article, il est très intéressant!

 

Ajoutez un étage !!

 

Personnellement, je préfère qu'ils construisent plusieurs édifices plus bas que quelques'uns plus hauts. J'aimerai qu'ils refassent ce quartier avec plusieurs projets!:)

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Je pense la même chose!!! bouchons les trous! D'ailleurs, à mon humble avis au lieu de reconstruire le théâtre Qatsous sur le même site, on aurait du le déménager dans le quartier des spectacles.

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Frédérique Doyon

Édition du mercredi 17 octobre 2007

Mots clés : Red Light, Union des artistes, Centre Saidye-Bronfman, Culture, Montréal

 

L'ex-galerie du Centre Saidye-Bronfman compte s'y installer aussi

 

Deux pas de plus vers la réalisation du Red Light. L'Union des artistes (UDA) et l'ex-galerie du Centre Saidye-Bronfman bonifient la liste des aspirants locataires de l'édifice que la Société de développement Angus (SDA) souhaite ériger au croisement des deux Mains de la métropole. Et tout pointe vers une entente hors cour imminente entre la Ville et les commerçants du bâtiment actuel, dernier obstacle à l'expropriation.

 

La défunte galerie Liane et Danny Taran, qui a logé à l'enseigne du Centre Saidye-Bronfman jusqu'en décembre dernier, compte rouvrir ses portes dans le futur édifice du Red Light au centre-ville de Montréal, a indiqué Christian Yaccarini, directeur général de la SDA.

 

«On veut beaucoup de circulation», dit celui qui espère toujours pouvoir couper le ruban rouge au printemps ou à l'automne 2009.

 

L'UDA, qui cherchait la façon de s'inscrire dans le projet de Quartier des spectacles, envisage aussi de déménager ses pénates à l'angle du boulevard Saint-Laurent et de la rue Sainte-Catherine. Le syndicat pourrait servir d'option de rechange si la Maison de l'image et de la photographie, autre aspirant locataire, n'arrive pas à boucler son budget.

 

«Les deux sont intéressés, mais les deux ont encore des étapes à franchir avant de s'engager», signale M. Yaccarini, qui entrevoit aussi la possibilité d'intégrer les deux intéressés en réclamant des dérogations au plan d'urbanisme pour ajouter deux niveaux au bâtiment.

Avant même de voir le jour, les six étages du Red Light affichent donc plus que complet avec la billetterie culturelle, un bistro (géré par l'équipe du Petit Extra) et une librairie Olivieri au rez-de-chaussée, la galerie d'art visuel, la Société de musique contemporaine, la station de radio CIBL, la Maison de l'image et de la photographie et la Caisse d'économie Desjardins aux niveaux supérieurs.

 

Le projet immobilier à vocation culturelle est estimé à 16 millions et serait financé aux deux tiers par le secteur privé, alors que le reste serait partagé entre Québec, Ottawa et Montréal.

 

L'expropriation conclue sous peu

 

Pour le mener à terme, la Ville a pris possession du terrain en juin, et les démarches d'expropriation du bâtiment actuel, freinées par une poursuite, devraient débloquer sous peu. L'avocat des locataires qui gèrent les commerces érotiques du deuxième étage s'apprête à rencontrer ses vis-à-vis de la Ville pour tenter de régler le litige hors cour.

 

«Je dois rencontrer les avocats de la Ville et je pense bien qu'on devrait arriver à un règlement», indique Me Michel Dorais, sans se faire devin: «Ça doit se régler comme tous les dossiers d'expropriation. C'est urgent parce qu'on est expulsé des locaux.»

 

Les pompiers ont en effet évacué les lieux il y a quelques jours, déclarant le site dangereux pour la sécurité publique. Signe que l'expropriation doit suivre son cours? «Si on ne règle pas, il va se passer quelque chose, on va engager des procédures, on ne laissera pas les choses comme ça», poursuit l'avocat.

 

La Ville s'est pour sa part abstenue de faire des commentaires, rappelant qu'une poursuite en Cour supérieure était pendante.

 

Les locataires du 2, Sainte-Catherine Est avaient entamé des procédures judiciaires à l'annonce de l'expropriation en 2006. Démarches interrompues lorsqu'un élu municipal a proposé de déménager les activités érotiques des locataires dans la boutique Romance voisine. Mais comme le comité d'urbanisme n'a finalement pas entériné la proposition, les demandeurs ont repris la poursuite au début de l'été.

 

«Ce dossier d'expropriation a un volet plus litigieux parce qu'on tentait d'obtenir le transfert des permis [d'exploitation de commerces à caractère érotique] plutôt qu'un dédommagement», note M. Dorais. Une entente hors cour pourrait finalement pencher vers cette dernière solution.

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Je pense la même chose!!! bouchons les trous! D'ailleurs, à mon humble avis au lieu de reconstruire le théâtre Qatsous sur le même site, on aurait du le déménager dans le quartier des spectacles.

 

Oui et non... Je veux bien augmenter l'offre de lieux culturels au centre-ville pour se créer une meilleure masse critique mais je ne veux pas vider les autres quartiers de Montréal de leurs théâtres. Nous ne voudrions pas que le centre-ville devienne comme Toronto et qu'il prenne aux autres pour s'améliorer. De plus, le Quat’Sous n'est pas très loin des limites officielles du Quartier des spectacles, ça peut se faire à pied.

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signale M. Yaccarini, qui entrevoit aussi la possibilité d'intégrer les deux intéressés en réclamant des dérogations au plan d'urbanisme pour ajouter deux niveaux au bâtiment.

 

WOW, on parle de RAJOUTER des étages! C'est rare! C'est bon!

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Je pense la même chose!!! bouchons les trous! D'ailleurs, à mon humble avis au lieu de reconstruire le théâtre Qatsous sur le même site, on aurait du le déménager dans le quartier des spectacles.

 

je ne crois pas que la solution a tout les problemes de l'industrie du spectacles soient réglées en mettant tout les theatres dans le meme coin, c'est pas comme un magasin, tu va au théatre voir une piece parce qu'elle est intéressante, la majorité des gens vont etre pret a se deplacer, ils decideront pas sur un coup de tete d'y aller seulement parce qu'ils passent devant.

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jeudi 18 octobre 2007 La table est mise pour des développements concrets du Quartier des spectacles. Clément Demers devient le conseiller spécial du maire Gérald Tremblay à ce chapitre, a appris Le Devoir. Il mènera à terme, avec son équipe du Quartier international de Montréal (QIM) et en collaboration avec la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), l'avant-projet du Quartier des spectacles, notamment la place des Festivals.Lors de la réunion hebdomadaire du comité exécutif de la Ville de Montréal hier, le maire a donné le feu vert à la réalisation d'un premier secteur du Quartier des spectacles, sous la gouverne de Clément Demers, qui a conçu le plan d'urbanisme (PPU) pour ce secteur névralgique du centre-ville. Le QIM travaillera donc de concert avec la SHDM, à qui le maire donnait récemment la responsabilité de la fameuse place des Festivals afin que celle-ci voie le jour à l'été 2009, année du 30e anniversaire du Festival international de jazz.

 

Par ce geste, Gérald Tremblay complète la reprise de contrôle du centre-ville qu'il avait annoncée à la fin de l'été. Il se réapproprie les démarches amorcées par le maire d'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, qui a récemment démissionné du parti Union Montréal.

 

Politiquement, ce geste du maire permet d'éliminer des tensions potentielles en réunissant deux équipes -- SHDM et QIM -- dont le travail se recoupait.

 

Montréal a mis du temps à faire des gestes concrets en vue de la réalisation du Quartier des spectacles. Depuis 2003, le Partenariat du Quartier des spectacles a oeuvré à mettre en valeur les actifs culturels du secteur de la Place des Arts où se concentrent une trentaine de salles de spectacles et quelque 7000 emplois liés à la culture. Il a notamment élaboré une signalétique lumineuse pour identifier les lieux de spectacles et délimiter le quartier.

 

Montréal a finalement annoncé au printemps dernier une réserve de 55 millions de dollars pour développer le Quartier des spectacles et confié à Clément Demers le mandat de réaliser un programme particulier d'urbanisme (PPU). Un contrat de 350 000 $ dont on devrait voir la couleur sous peu, à l'approche du grand sommet de Montréal, métropole culturelle, qui se déroulera les 12 et 13 novembre.

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