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Le Quartier des spectacles


mtlurb

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L'opération de «déforestation» a été effectuée hier par une vingtaine d'émondeurs afin de construire la future salle de concert acoustique de Montréal.

 

(..)

 

Le quadrilatère formé par les rues de Montigny, Clark, Ontario et Saint-Urbain où les arbres ont été abattus accueillera d'ici quelques mois l'Adresse symphonique, la future salle de concert acoustique de Montréal. des Arts et du Quartier des spectacles.

 

Encore un journaliste bien informé!

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Ça fait plusieurs fois que des journalistes se trompent de site, de projets où donnent des informations fausses, c'est un manque de rigueur où ils ne vérifient pas leurs sources, ils auraient intérêt à consulter mtlurb pour leurs informations, mais évidemment ils ne doivent pas connaître mtlurb...

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Quartier des spectacles

80M$ confirmés par Québec et Ottawa

Mise à jour : 16/04/2009 12h44

 

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Les gouvernements d'Ottawa et de Québec confirment qu'ils vont fournir chacun 40 millions $ pour le Quartier des spectacles.

 

Le projet doit devenir un lieu de création artistique et culturelle sans égal à Montréal.

 

Sur le terrain, le chantier va bon train. Entre autres, la Place du Quartier des spectacles prend forme et devrait être prête à temps pour accueillir les festivals dès cet été.

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  • 2 semaines plus tard...

(Je ne savais pas trop où mettre cet article. Désolé si ce n'est pas le bon endroit.)

 

 

Montréal aura son carnaval

 

Mario Cloutier

La Presse

 

Montréal, ville de festivals, aura aussi son carnaval. Le Grand Charivari aura lieu en septembre prochain, au moment de l'inauguration de la Place des festivals, dans le Quartier des spectacles, mais aussi ailleurs en ville.

 

Doté d'un budget de 1,3 million de dollars, l'événement se veut participatif. Sous la direction artistique de Danielle Roy, des citoyens des arrondissements collaboreront avec des artistes, tel Dominic Champagne, metteur en scène trois fois au Cirque du Soleil, à la création de tableaux vivants qui donneront vie à par un grand défilé populaire dans le Quartier des spectacles.

 

Selon le document approuvé par le comité exécutif de la Ville mercredi, le projet «permet à Montréal de jeter les bases d'un véritable carnaval permanent» en plus de faire participer activement «les citoyens dans des concepts et des réalisations artistiques de grande envergure», de favoriser «une démocratisation de la culture» et de «renforcer le leadership de Montréal comme métropole culturelle».

 

À terme, l'administration Tremblay estime même que le carnaval de Montréal sera «un produit touristique unique et une composante clé de la signature de Montréal».

 

 

Le Grand Charivari deviendra donc un événement annuel. Dès sa première année. l'OBNL bénéficie de 500 000 $ accordés par le comité exécutif. Le reste proviendra de commandites et du Festival Juste pour rire, 675 000 $, qui avait présenté, en projet pilote l'an dernier, le Grand Charivarir (NDLR: le «r» est disparu de la nouvelle organisation carnavalesque).

 

Le projet comprend d'ailleurs deux événements: un défilé de nuit qui mettra fin au 27e Festival Juste pour rire, le 27 juillet prochain, et un défilé de jour pour l'inauguration officielle de la Place des festivals en septembre, lorsque les travaux de la première phase du Quartier des spectacles seront complétés.

 

Les arts en tableaux

 

Auparavant, les citoyens devront créer neuf tableaux vivants, inspirés des diverses expressions artistiques: arts visuels, musique, théâtre, cinéma, etc. Ils le feront avec des artistes de la relève, mais aussi des professionnels comme les danseurs Pierre-Paul Savoie et Margie Gillis, en plus de Dominic Champagne.

 

«Le jour du défilé, les citoyens et les artistes se rassembleront dans plusieurs lieux de diffusion et défileront, ensuite, rassemblés en défilé artistique et citoyen, dans les rues du Quartier des spectacles», décrit-on dans les documents de la Ville.

 

L'an dernier, le Grand Charivarir de Juste pour Rire comportait quatre tableaux, un pour chacune des saisons. La directrice artistique, Danielle Roy, était alors assistée du spécialiste du papier découpé, Claude Lafortune.

 

Événement plus imposant

 

«Le Grand Charivari 2009 fait plus que doubler l'événement de l'an dernier et propose un processus de création et de production beaucoup plus élaborée, décentralisé dans des quartiers. L'oeuvre qu'est le Grand Charivari 2009 sera une création collective, fruit du travail conjoint d'artistes et de citoyens engagés dans un processus d'une durée de 20 semaines», indique-t-on également.

 

Afin d'être prêts en septembre, la production devra donc commencer sous peu, mais les préparatifs étaient déjà enclenchés depuis plusieurs mois.

 

En raison d'une entente de trois ans, la Ville de Montréal soutient financièrement Juste pour rire pour sa présentation de diverses activités d'animation urbaine. En retour, le festival fait l'achat d'une des deux représentations du défilé du Grand Charivari permettant de compléter le montage financier du premier carnaval de Montréal.

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LA PRESSE

 

Le Cirque de Montréal

Marc Cassivi

 

Le Cirque du Soleil est probablement le plus bel ambassadeur culturel de Montréal. L'entreprise de Guy Laliberté (prenez des notes, M. le ministre Moore) a des antennes partout. Le New York Times se félicitait justement hier de sa présence continue, dès 2010, dans la métropole américaine.

 

«Non content de se produire dans 271 villes et 32 pays pour 11 millions de clients l'an dernier, le Cirque du Soleil, l'empire du cirque dont le siège est à Montréal, compte s'établir de façon permanente à New York l'an prochain», écrit le quotidien.

 

Rien qu'on ne sache déjà. En février, le Cirque veut s'installer de manière récurrente, pour plusieurs mois, au Beacon Theater, avec un spectacle inspiré du vaudeville mis en scène par David Shiner. L'hiver, le Cirque du Soleil présente déjà Wintuk au Madison Square Garden, et compte proposer, dès l'été 2011, un spectacle mis en scène par René Simard au Radio City Music Hall. De beaux projets en perspective pour une entreprise florissante qui ne craint pas la crise outre mesure.

 

En lisant le long papier du Times, qui fait aussi état, selon certains observateurs du milieu, de l'«essoufflement créatif» du petit cirque avant-gardiste devenu multinationale du divertissement (7 milliards de ventes depuis ses débuts), j'ai eu une pensée pour Montréal.

 

 

Le Cirque du Soleil est la marque de commerce la plus prestigieuse de Montréal. Plusieurs parmi les 25 spectacles du Cirque depuis 25 ans ont été présentés en première mondiale à Montréal.

 

Toutes ses productions sont rodées au siège social montréalais de l'entreprise, dans le quartier Saint-Michel, où travaillent quelque 1800 de ses 4500 employés. Le Cirque est le terrain de jeu inespéré de nombre de metteurs en scène québécois parmi les plus talentueux, à qui Guy Laliberté offre en toute confiance les clés de sa Ferrari.

 

Or, lorsque Guy Laliberté confie au Times qu'il veut «quelque chose de solide et permanent à New York», où il espère «être présent 12 mois par année», je me dis: pourquoi pas Montréal?

 

Le mois dernier, le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre, a balayé d'un revers de main le projet de chapiteau permanent du Cirque à Montréal. «Le problème de Montréal, c'est les mois de décembre, janvier, février et mars...» a-t-il précisé, en ajoutant que la décision de ne pas construire de salle de spectacle à Montréal était «une décision irrévocable» et «un rendez-vous manqué». Il faisait évidemment référence au projet avorté de salle de spectacle dans un nouveau casino de Loto-Québec, dans le quartier Pointe-Saint-Charles.

 

Les dirigeants du Cirque du Soleil semblent toujours avoir en travers de la gorge l'échec de ce projet ambitieux. Daniel Lamarre parle de «rendez-vous manqué» et il n'a pas tort. Ce qu'il se garde bien de dire, par ailleurs, c'est que le projet de nouveau casino était bancal, mal ficelé et mal situé, comme l'a souligné à l'époque la Direction de la santé publique.

 

C'était en 2006. Je me souviens très bien de la moue boudeuse de Guy Laliberté, visiblement irrité, au Téléjournal, qui semblait dire sans le dire: «Si c'est comme ça, tant pis, moi je ne joue plus!»

 

Aujourd'hui, on sent chez les patrons du Cirque du Soleil des relents de cette rancoeur, que l'on pourrait qualifier de puérile. «Une décision irrévocable.» Comme si l'on voulait punir Montréal - et le Québec - de ne pas avoir déroulé le tapis rouge à l'enfant prodigue, sans plus de formalités. Sans poser de questions et sans se soucier des impacts sociaux.

 

C'est l'emplacement du casino qui posait problème à l'époque, pas l'idée même d'une salle de spectacle. Or, une salle permanente du Cirque à Montréal serait trop risquée, dit Guy Laliberté, qui estime qu'il n'y a pas assez de touristes pour assurer sa pérennité. Ce n'est pas ce qu'il disait il y a quatre ans, en conférence de presse, aux côtés d'Alain Cousineau, le PDG de Loto-Québec.

 

Je ne veux pas faire le procès du Cirque du Soleil, qui est un moteur économique et culturel essentiel à Montréal. Je regrette seulement que ce fleuron de notre culture ne soit pas mieux représenté dans sa propre ville. Dire qu'il n'y a pas assez de touristes à Montréal ne réglera pas le problème du tourisme. En revanche, proposer une vitrine du Cirque du Soleil au centre-ville de Montréal est certainement une façon d'encourager le tourisme.

 

Guy Laliberté s'est déjà beaucoup investi à et pour Montréal. Il aurait pu déménager ses pénates à l'étranger, ne pas faire appel aussi souvent à des artisans et artistes montréalais. Il a décidé de bâtir son empire à partir de Montréal, qui lui en est reconnaissant. Je reste de ceux qui estiment que M. Laliberté a encore beaucoup à donner à la métropole. Pas en achetant le Canadien, mais en revenant sur cette «décision irrévocable» de bouder en quelque sorte sa ville.

 

Établir un chapiteau permanent du Cirque du Soleil à Montréal n'est pas une décision d'affaires comme une autre, surtout en ces temps économiques incertains. C'est un geste qui relève de la symbolique, d'un investissement à long terme dans la revitalisation et la fierté d'une ville.

 

On construit en ce moment un Quartier des spectacles en plein coeur de Montréal. Il devrait y avoir une place pour le Cirque du Soleil. Ce que les anglos appellent un «landmark». Un lieu à l'image des idées foisonnantes du Cirque et de son fondateur. Dans un hôtel de luxe, avec un restaurant gastronomique ou un musée du cirque? Pour présenter un spectacle saisonnier, ingénieux et pas trop coûteux, plutôt qu'un spectacle permanent? Je n'en sais rien.

 

Ce que je sais, c'est qu'il faut mettre en valeur le Cirque du Soleil à Montréal. Parce que ce Cirque, c'est aussi notre Cirque.

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Suis-je le seul à penser que c'est une idée tout simplement GÉNIALE : instaurer un chapiteau - ou un building audacieux - du Cirque du Soleil à côté ou à la place du Wilder sur la Place des Festivals??? On cherche une façon d'animer la Place à l'année longue : pourquoi ce ne serait pas avec des artistes du Cirque du Soleil? Pourquoi ne pas créer un musée du Cirque dans l'édifice de la Place des Festivals? Ça aurait certainement un potentiel touristique énorme, et Laliberté n'aurait plus la même excuse que pour un spectacle permanent.

 

Il me semble que c'est le scénario idéal, non?

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Ça serait génial, il reste encore de la place pour une salle du cirque du soleil dans le quartier des spectacles, Guy Laliberté à fait beaucoup pour Montréal, mais il manque encore une présence permanente du cirque, ce serais une occasion à ne pas manquer.

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Le mois dernier, le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre, a balayé d'un revers de main le projet de chapiteau permanent du Cirque à Montréal. «Le problème de Montréal, c'est les mois de décembre, janvier, février et mars...» a-t-il précisé, en ajoutant que la décision de ne pas construire de salle de spectacle à Montréal était «une décision irrévocable» et «un rendez-vous manqué». Il faisait évidemment référence au projet avorté de salle de spectacle dans un nouveau casino de Loto-Québec, dans le quartier Pointe-Saint-Charles.

 

Les dirigeants du Cirque du Soleil semblent toujours avoir en travers de la gorge l'échec de ce projet ambitieux. Daniel Lamarre parle de «rendez-vous manqué» et il n'a pas tort. Ce qu'il se garde bien de dire, par ailleurs, c'est que le projet de nouveau casino était bancal, mal ficelé et mal situé, comme l'a souligné à l'époque la Direction de la santé publique.

 

C'était en 2006. Je me souviens très bien de la moue boudeuse de Guy Laliberté, visiblement irrité, au Téléjournal, qui semblait dire sans le dire: «Si c'est comme ça, tant pis, moi je ne joue plus!»

 

Lire ces deux paragraphes me fais envie de dire au osties de chialeux qu,ils sont des bons à rien, et qu'il sont une nuissance pour notre ville!

 

I feel like shipping them off inot outer space...they piss me off!

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