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1920 Sainte-Catherine - 15 étages


IluvMTL

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2 hours ago, urbino said:

Audace? pas pour moi. Ce ne sont que des balcons après tout. Leur forme triangulaire ne les rendra pas très pratiques et les voisins du haut auront une vue superbe sur leurs voisins du bas avec l'alternance des angles.

Mais bon, ça change de l'ordinaire.

+1

Cruel le manque d'intimité. Un gros parasol et ça presse!

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If I were a Pigeon, I'd be thrilled for this project. So much fresh balcony space to ruin!

The neighbour directly across the street from this project runs some sort nasty of pigeon farm. 

https://www.google.com/maps/@45.4925139,-73.5807785,3a,47.5y,289.6h,100.96t/data=!3m6!1e1!3m4!1sGnUGoN7vDItkug6XdsgFXQ!2e0!7i16384!8i8192

 

 

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Il y a 21 heures, urbino a dit :

Audace? pas pour moi. Ce ne sont que des balcons après tout. Leur forme triangulaire ne les rendra pas très pratiques et les voisins du haut auront une vue superbe sur leurs voisins du bas avec l'alternance des angles.

Mais bon, ça change de l'ordinaire.

La totalité des projets de tours existantes avec balcons en saillie ont déjà, depuis des années, des vues superbes sur le balcon du bas... en diagonale. 

Donc dans les faits, ce projet ne change absolument rien à une réalité déjà très connue et très vécue. Et très peu problématique. 

"Ce ne sont que des balcons" ...............
 
Il y a une quantité phénoménale de bâtiments contemporains et historiques dans le monde qui se distinguent par leurs balcons. Soit par la matérialité, par le rythme, par leur forme originale... La plupart des projets de BIG ont ce genre d'identité, via le détail, par exemple. 

Le travail des balcons est un travail primordial dans la composition d'une façade intéressante, surtout à Montréal, une ville dont le tissus urbain est défini par la mitoyenneté. Cette mitoyenneté rend les façades bidimensionnelles, comme des aplats. Les balcons sont souvent les seules extensions du bâtiment vers l'espace public, agissant à la fois comme transition entre le privé et le public et comme texture de la ville. Ils donnent une profondeur au paysage urbain. Les façades seraient bien uniformes dans la ville si on éliminait les balcons et leur diversité, leurs couleurs et leurs détails uniques. Ils ont presque la même importance que nos fameux escaliers dans l'image de la ville. 

Un bâtiment montréalais avec un traitement très intéressant des balcons peut faire facilement pardonner une volumétrie et des matériaux génériques. C'est là où plusieurs tours récentes ont lamentablement échoué, malgré une recherche volumétrique plus complexe. 

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Le 2020-02-25 à 12:26, yarabundi a dit :

Faudrait voir à ne pas exagérer non plus. On est loin de l'exploit technologique que représentait la construction du stade olympique. Si on veut parler d'un exploit technologique comparable -et même là, je pèserais mes mots- on pourrait parler du nouveau pont Samuel-de-Champlain. 

Je n'ai pas dit que c'était aussi audacieux, grandiose ou complexe que le stade. J'ai dit que c'est probablement ce qu'il y a eu de plus audacieux depuis 1976. C'était un peu pour verser dans l'ironie... dans le sens qu'il s'est pas construit grand chose d'audacieux ou qui se démarque à Montréal depuis cette époque. Le siège de l'ONF peut-être?

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On 2020-02-24 at 7:41 PM, Dominic723 said:

La mouture actuelle du projet comprend l’inclusion de 27 logements abordables. M. Sergakis prévoit par ailleurs accorder 725 000$ à la Ville pour compenser l’absence de logements sociaux dans le projet. Cela représente environ 0,7% de la valeur du projet.

«Le logement abordable, c’est un concept élastique. Ce ne sera probablement pas abordable pour une grande majorité», a réagi la porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain, Véronique Laflamme.

[...]

Ce futur complexe immobilier se veut d’ailleurs «principalement destiné à une clientèle de 55 ans et plus», indiquent des documents du promoteur.

[...]

Afin que ce projet puisse aller de l’avant, la Ville devra modifier la hauteur maximale permise sur ce site pour la faire passer de 25 à 45 mètres. Selon le promoteur, cela permettrait aux bâtiment qui se trouveront sur le site de respecter le cadre architectural des bâtiments voisins.

En plus des balcons funky, le projet comportera 27 logements plus abordables, et visera les 55 ans et plus. AirBnb n'y sera fort probablement pas toléré.

Pour la hauteur, je suis surpris que le promoteur se contente de 45 m. Une bonne partie des tours résidentielles du voisinage élargi font autour de 65 m!

On 2020-02-26 at 10:54 AM, Marc90 said:

La totalité des projets de tours existantes avec balcons en saillie ont déjà, depuis des années, des vues superbes sur le balcon du bas... en diagonale. 

Donc dans les faits, ce projet ne change absolument rien à une réalité déjà très connue et très vécue. Et très peu problématique. 

"Ce ne sont que des balcons" ...............
 
Il y a une quantité phénoménale de bâtiments contemporains et historiques dans le monde qui se distinguent par leurs balcons. Soit par la matérialité, par le rythme, par leur forme originale... La plupart des projets de BIG ont ce genre d'identité, via le détail, par exemple. 

Le travail des balcons est un travail primordial dans la composition d'une façade intéressante, surtout à Montréal, une ville dont le tissus urbain est défini par la mitoyenneté. Cette mitoyenneté rend les façades bidimensionnelles, comme des aplats. Les balcons sont souvent les seules extensions du bâtiment vers l'espace public, agissant à la fois comme transition entre le privé et le public et comme texture de la ville. Ils donnent une profondeur au paysage urbain. Les façades seraient bien uniformes dans la ville si on éliminait les balcons et leur diversité, leurs couleurs et leurs détails uniques. Ils ont presque la même importance que nos fameux escaliers dans l'image de la ville. 

Un bâtiment montréalais avec un traitement très intéressant des balcons peut faire facilement pardonner une volumétrie et des matériaux génériques. C'est là où plusieurs tours récentes ont lamentablement échoué, malgré une recherche volumétrique plus complexe. 

+ 100!

Pour les balcons, j'aime bien cette ponctuation rythmique. Voici une source d'inspiration plus audacieuse, de København. :D

Kobenhavn bldg pointy balcs.jpg

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6 minutes ago, FrancSoisD said:

En plus des balcons funky, le projet comportera 27 logements plus abordables, et visera les 55 ans et plus. AirBnb n'y sera fort probablement pas toléré.

Pour la hauteur, je suis surpris que le promoteur se contente de 45 m. Une bonne partie des tours résidentielles du voisinage élargi font autour de 65 m!

+ 100!

Pour les balcons, j'aime bien cette ponctuation rythmique. Voici une source d'inspiration plus audacieuse, de København. :D

Kobenhavn bldg pointy balcs.jpg

On a déjà la même chose au Arbora et c'est vraiment laid. Dans le concept de Sergakis, les balcons ont le mérite d'être encastrés.

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12 minutes ago, Rocco said:

On a déjà la même chose au Arbora et c'est vraiment laid. Dans le concept de Sergakis, les balcons ont le mérite d'être encastrés.

Parle pour toi. Cet immeuble de Copenhague voit quotidiennement son lot de touristes venir le photographier. Arbora, non, en raison de son emplacement et du fait qu'il soit moins audacieux, mais je ne suis certainement pas le seul sur le forum à en apprécier les balcons! ;)

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https://montrealgazette.com/news/local-news/consultations-planned-for-15-storey-development-on-ste-catherine-west

Consultations planned for 15-storey development on Ste-Catherine St.

The proposal by businessman Peter Sergakis calls for the demolition of three buildings at 1920-1940 Ste-Catherine St. W., including a six-storey office building and a Dollarama store.

MARIAN SCOTT, MONTREAL GAZETTE 

Updated: March 4, 2020

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Maryse Chapdelaine, a project manager with the Peter-McGill Community Council, is seen Wednesday, March 4, 2020 in front of some buildings on Ste-Catherine St. W. that developer Peter Sergakis wants to demolish for a 15-storey residential project. JOHN MAHONEY / MONTREAL GAZETTE

 

Montreal’s public consultation bureau will hold hearings on a proposed 15-storey residential project that would occupy much of the south side of Ste-Catherine St. between St-Marc and Fort Sts.

The dates for the hearings will be announced next week, said Anik Pouliot, director of communications for the Office de consultation publique de Montréal (OCPM).

The proposal by businessman Peter Sergakis calls for the demolition of three buildings at 1920-1940 Ste-Catherine St. W., including a six-storey office building and a Dollarama store.

It would incorporate an 1870 greystone row house at 1944-46 Ste-Catherine that is best remembered as the c**k ‘n’ Bull pub, founded in 1967. Sergakis took it over in 2009.

The project calls for 205 rental units aimed at people 55 and older.

It would not include any social housing, but the developer has agreed to pay $725,000 to bypass that requirement.

0305_city_ste_catherine-w.jpg?quality=55
Architectural rendering of 15-storey residential project proposed by businessman Peter Sergakis for Ste-Catherine St. W. between St-Marc and Fort Sts. JPG

 

That does not sit well with the Peter McGill Community Council, which has been pressing for social housing in western downtown for years.

“Once again, we’re facing the same problem,” said Maryse Chapdelaine, a project manager with the Peter-McGill Community Council.

“Developers prefer to pay compensation rather than include social housing in their projects,” she said.

Because of soaring property values in the downtown core, the compensation paid is usually too little to acquire land and build social housing in western downtown, where it is sorely needed, Chapdelaine said.

In September, Mayor Valérie Plante revoked planning permission for a sixth tower on the site of the former Montreal Children’s Hospital because the developer had refused to include social housing.

Chapdelaine said that while the community council supported Plante’s move, it fears it may never see social housing on the Children’s site.

“We’re going to live through all the disadvantages of increased density without reaping any of the benefits,” she said.

Creating housing for people being squeezed out by rising rents “will continue to be a very difficult struggle,” she added.

Local resident Claire Adamson said the $725,000 the developer is offering to compensate the city for the lack of social housing would only cover the cost of building about three units, far from the 40 units the owner would have had to supply had a bylaw requiring 20 per cent of new units to be set aside as social housing applied to the project.

The Valérie Plante administration is proposing to require all new housing projects to set aside 15 to 20 per cent of units as social housing, 20 per cent as affordable housing, and between 10 and 20 per cent as family housing as of 2021.

The city plans to modify its urban plan to pave the way for the project on Ste-Catherine St., which exceeds the current limit of 25 metres (eight storeys) by 20 metres. Documents approved by Montreal city council last week say the higher building heights would encourage greater density, which is needed in the area.

Sergakis also owns the Station des Sports bar at the northwest corner of Ste-Catherine and Fort, whose expansion created controversy in 2010.

The greystone row house, known as the George Young house, is a rare example of a Victorian home on Ste-Catherine St. that retains its original appearance. It was originally part of a row of five houses designed by Alexander Cowper Hutchison, a prominent Montreal architect who designed the Redpath Museum. In 1962, the Midtown Motor Co., a Studebaker dealer, substantially altered part of the row to transform it into a car showroom.

Glenn Castanheira, a spokesperson for the Sergakis, said the developer would present a detailed project to the OCPM on March 30.

Anik de Repentigny, a spokesperson for the Ville-Marie borough, did not respond to the Montreal Gazette’s request for comment on the project.

 

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