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Le Village - Projets et nouvelles


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Messages recommendés

Tourisme: meilleure année depuis 30 ans pour Montréal

 

http://www.journaldemontreal.com/2015/04/29/meilleure-annee-depuis-30-ans-pour-montreal

 

Tourisme LGBT

 

Montréal demeure également une destination prisée pour la communauté lesbienne, gaie, bisexuelle et transgenre (LGBT).

«On a été une des premières villes à faire des actions ciblées pour attirer cette clientèle et on continue à s’adapter à leurs besoins. On a un village gai dynamique et on le met de l’avant», a déclaré M. Bellerose.

 

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http://montreal.eater.com/2015/5/4/8542601/opening-alert-le-red-tiger-vietnamese-pub-montreal

 

OPENING ALERT THE VILLAGE

 

Le Red Tiger Vietnamese Pub Soft Opens Today in the Village

by Ian Harrison May 4, 2015, 10:22a @Blumsteinboy

 

Le Red Tiger A pub with claws

 

This way for menu details.

 

After months of anticipation, Le Red Tiger, led by principals Emilie Nguyen, Phong Thach (both of Kaiji Restaurant in Villeray) and Dan Pham (late of Jack Saloon and Le Confessional), soft opens today. The Vietnamese pub has made over the old Lanterne restaurant in the Village to focus on hard-to-find street food and home-cooked classics. A far cry from your average pho shop, in other words — to wit, Le Red Tiger's beverage program involves copper barware and bespoke beer tap handles. Cocktails include the F.O.B. (gin, Thai basil syrup, lime and egg white) and the District Mot (Cognac, fresh lime juice, ginger and vanilla syrup, coconut milk and house mango soda).

 

To accompany the lineup of beers and drinks, Le Red Tiger offers the likes of beef jerky papaya salad, duck confit imperial rolls, beef brochettes with citronella, pork and shrimp dumplings, and mussels with fish sauce and peanuts. There are five-spice pork ribs, nuoc mam chicken wings, a beef carpaccio and a quartet of desserts as well. See the inaugural menus below and, for a limited time, get a free dish if you reserve online here.

 

Status: Le Red Tiger, 1201 de Maisonneuve Est, Monday to Sunday, 11 a.m. to 2:30 p.m., 5 p.m. to 10 p.m.

 

Terms of Use

Le Red Tiger

FOURSQUARE

1201 de Maisonneuve Est, Montreal, QC

 

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  • 2 semaines plus tard...

http://www.aireslibres.com/

 

 

MARCEL DZAMA

OEUVRES VARIÉES

JEAN-PIERRE GAUTHIER

UN PROCHE À VENIR

AGATHE BRAY-BOURRET

LA SERRE

 

AIRES LIBRES est une manifestation annuelle d’art public qui se déploie de mai à septembre sur le parcours piéton de la rue Sainte-Catherine, entre les rues Saint-Hubert et Papineau. Cette année, les artistes de la programmation ont été invités à réfléchir la notion d’empathie à la croisée de leurs démarches respectives : « Politiques de l’empathie » interroge les tenants et aboutissants de notre capacité à se projeter dans l’expérience émotive, et plus largement cognitive, de l’Autre. Au-delà de ... Lire la suite

 

PATRICK BÉRUBÉ

NOS BERGERS

JASON CANTORO

WISHES (COLOURED PEOPLE SERIES)

MANUELA LALIC

L'ÉDEN DU PEUPLE

FRÉDÉRIC LAVOIE

MOTUS ANIMI CONTINUUS (MOUVEMENT PERPÉTUEL)

SAYEH SARFARAZ

D POUR DÉMOCRATIE Consulter la carte

Aire banque Nationale Boules roses

Programmation du village

 

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RESTAURANT

Un resto haïtien dans le Village pour Arcade Fire

 

Publié le 14 mai 2015 à 09h10

Chantal Cyr 0 Commentaires

 

 

Dans une entrevue accordée au Globe and Mail, Win Butler et sa compagne Régine Chassagne, du groupe Arcade Fire, ont révélé qu’ils ouvriront cet été à Montréal un nouveau restaurant d’inspiration haïtienne : le Agrikol qui proposera également musique et arts visuels.

 

Régine Chassagne et Win Butler viennent de se porter acquéreurs d'une charmante petite bâtisse au 1844, rue Amherst, dans le Village gai, là où se trouvait le restaurant Coo Rouge, depuis une douzaine d’années.

 

Le célèbre couple, résidants du quartier était des clients du restaurant depuis longtemps et trouvaient la place charmante. C'est une vieille bâtisse de 150 ans. En ouvrant un restaurant sur Amherst, Win et Régine pourraient aider à redynamiser la portion nord de la rue.

 

Win et Régine ne seront pas seuls dans cette aventure, puisqu'ils se sont associés au couple de Torontois Roland Jean et Jen Agg. Ceux-ci connaissent bien la restauration puisqu'ils ont déjà Rhum Corner, The Black Hoof et le Cocktail Bar, dans la Ville Reine.

 

Le Coo Rouge, quant à lui, a déménagé sur la rue Ontario, près de Champlain.

 

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L'architect des Boules Roses

 

 

,GRANDE ENTREVUE

LE COLORISTE URBAIN

NATHALIE PETROWSKI

LA PRESSE

 

Claude Cormier n’est pas seulement un architecte paysagiste, un coloriste du paysage et un créateur à l’imagination débordante, c’est d’abord et avant tout un gars de villes.

 

Parachutez-le sur n’importe quel tronçon de béton au bord d’une autoroute, au pied d’une cheminée d’incinération ou au milieu d’un paysage post-industriel et il sera le plus heureux des hommes.

 

En revanche, invitez-le à piqueniquer sur l’herbe dans un champ à la campagne et il risque de vous faire faux bond. Et pour cause ! Claude Cormier est né et a grandi dans une ferme laitière à Princeville. Pour lui, les champs et la nature n’ont rien de romantique. Ce sont des lieux d’obligations et de responsabilités.

 

Levé avant l’aube pour aller traire les vaches avec son père et ses frères, Claude Cormier a grandi dans l’odeur du fumier et du foin sur fond de cloches à vache et de meuglements.

 

Pourtant, à 14 ans, il a pour ainsi dire posé son premier geste de futur architecte paysagiste. Plutôt que de concevoir une banale rocaille, il a imaginé une immense platebande en forme de fleur, faite… de fleurs de toutes les espèces et toutes les couleurs. Puis, pour ajouter une petite touche spéciale à l’ensemble, il a peint la tondeuse de son père en noir et blanc pour qu’elle ressemble à une vache. Meuh…

 

L’idée était audacieuse et préfigurait le style de transformation ludique auquel Claude Cormier s’adonnerait professionnellement plus tard. Il va sans dire que son père n’apprécia ni son humour ni son audace.

 

LES BOULES ROSES

Nous sommes 40 ans plus tard, et quelques jours seulement après l’inauguration de la cinquième édition des Boules roses, ce long ruban de boules roses tendu au-dessus du Village gai de Montréal, comme une folle et joyeuse bannière dédiée au printemps.

 

Pour ceux qui l’ignorent encore, l’installation, devenue une image de marque et une marque de commerce du Village, est constituée de 140 000 boules de plastique faites en Beauce et agencées par des bénévoles dans le Village où, en passant, les boules sont entreposées le reste de l’année.

 

Devant le succès de l’installation, le mot s’est passé. D’autres villes comme Toronto, Cincinnati et une ville australienne ont demandé à Claude Cormier et à ses associés de leur réaliser une installation semblable.

 

« Pour l’instant, je refuse. D’abord parce que, mine de rien, c’est très complexe comme projet à monter », m’explique Claude Cormier en m’indiquant cinq énormes cartables qui forment un mur sur la table devant nous et qui attestent de l’évolution du projet initial.

 

« Mais, plus important encore, ajoute-t-il, ce projet est tout sauf décoratif. Il a un sens, une raison d’être. »

 

« Ces boules sont roses d’abord parce que nous sommes dans le Village gai et qu’il faut l’assumer. Mais aussi parce que ce long ruban vient égayer des lieux qui en avaient bien besoin. » — Claude Cormier

 

« Au final, ces boules ont été un déclencheur important pour le tourisme, l’achalandage et le développement économique. Mais s’il fallait refaire le projet dans une autre ville, ce serait pour d’autres raisons qui auraient certainement une incidence sur la forme du projet. »

 

Notre rencontre a lieu au quartier général de Claude Cormier + associés, une sorte de blockhaus noir et élégant au pied des deux cheminées de l’incinérateur des Carrières. Dans la pièce centrale du studio, une douzaine de designers pianotent sur leur iMac. Derrière eux se déploient les maquettes colorées de leurs projets présents et futurs sur un immense mur blanc.

 

On y retrouve la maquette de l’aménagement de la très rigolote fontaine à chiens de Berczy Park, à Toronto, une fontaine où converge une meute de chiens de toutes les espèces attirés par l’os au sommet de la fontaine.

 

On voit aussi la maquette de l’aménagement des espaces entourant le Monument national de l’Holocauste à Ottawa, dessiné par le très célèbre architecte Daniel Libeskind. Celui-ci a insisté auprès de Cormier pour que ce soit lui qui mette un peu d’espoir dans cet espace triste et solennel.

 

LA FORÊT DU PALAIS DES CONGRÈS

À Montréal, ce sont les Boules roses qui ont fait la renommée de Claude Cormier. Pourtant, le designer de 55 ans qui a fait sa maîtrise en histoire et théorie du design à Harvard n’est pas né d’hier.

 

Ses premiers projets pétants de couleurs sont apparus à Montréal en 1998 dans le tout nouveau Palais des congrès de l’époque, où il a planté une forêt d’arbres en forme de tubes de rouge à lèvres en écho aux lèvres de la photographe Geneviève Cadieux sur le toit du Musée d’art contemporain.

 

L’année suivante, Cormier a pris d’assaut les Jardins de Métis, en Gaspésie. Dans ce jardin féerique, chargé de mille odeurs et de mille couleurs, Cormier a eu l’audace de créer un jardin anglais constitué de 450 bâtons de la taille d’un bâton de hockey, avec trois faces peintes en bleu et la dernière peinte en orange.

 

« C’est vrai qu’il fallait avoir un front de bœuf, concède-t-il. En même temps, on a respecté les dimensions et les principes d’un vrai jardin anglais en substituant les bâtons aux plantes. Non seulement nos fleurs à nous ne fanaient pas et duraient toute la saison, mais leurs faces de différentes couleurs compressaient le temps et les saisons. »

 

Claude Cormier a depuis toujours deux maîtres à penser : d’abord, Frederick Law Olmsted, l’architecte paysagiste qui a conçu Central Park à New York et le parc du Mont-Royal à Montréal.

 

« La nature d’Olmsted est une nature entièrement construite. Il ne faut jamais oublier que des pâtés de maisons en entier ont été détruits pour créer Central Park. Dans les faits, Olmsted réagissait à son environnement et à son époque. Il a créé Central Park en 1857 en pleine ère industrielle, pour des gens qui n’avaient pas les moyens d’aller à la campagne. C’était un geste à la fois architectural et démocratique. »

 

La deuxième inspiration de Claude Cormier, c’est l’Américaine Jane Jacob, une militante et philosophe de l’architecture du paysage et du design urbain, qui s’est installée à Toronto au début des années 70.

 

« Jane avait une pensée sociale qui n’excluait jamais la séduction. Au contraire. Ses principes de séduction m’ont inspiré autant pour les arbres rouges à lèvres du Palais des congrès que pour mes plages urbaines : celle de Sugar Beach à Toronto avec ses parasols rose Kennedy, celle de HTO avec ses parasols jaune jonquille et, à Montréal, la plage du quai de l’Horloge avec le bleu des parasols en lien avec le bleu du fleuve. »

 

FLIRTER AVEC LES ARTS VISUELS

En parcourant la multitude de projets qui portent la signature de Cormier, force est de constater que le designer flirte constamment avec l’art visuel et que ses aménagements ont plus à voir avec la peinture et la sculpture qu’avec la biologie. Il le concède, mais en ajoutant qu’il flirte aussi avec la pub, l’histoire, la sociologie et les communications.

 

Souvent, pour lui, le déclencheur d’un projet est un tableau. Ainsi, c’est Seurat et son tableau des baigneurs au bord de la Seine qui a été la source d’inspiration de Sugar Beach, aménagé au bord de l’eau à Toronto à côté de la raffinerie de sucre Redpath.

 

Le projet de 14 millions avait soulevé l’ire de Rob Ford. Pas à cause du rose, mais plutôt de son coût qu’il jugeait exorbitant. « Pourtant, maintenant, tout le monde connaît cette plage urbaine et elle attire des milliers de touristes tous les étés », plaide Claude Cormier.

 

OCCASION RATÉE AU PARC JEAN-DRAPEAU

Depuis un an et demi, Claude Cormier, de concert avec la firme Daoust Lestage, planchait sur le réaménagement du parc Jean-Drapeau en prévision du 50e anniversaire d’Expo 67 et du 375e de Montréal. C’était un vaste et magnifique projet de revitalisation de la place des Nations, de la promenade riveraine, de l’amphithéâtre naturel (où a lieu le festival Osheaga) et de l’espace Calder.

 

Mais tout cela est tombé à l’eau, gracieuseté du maire Coderre et de ses gros sabots, qui a poussé le directeur de la Société du parc Jean-Drapeau à démissionner et a forcé la résiliation de tous les contrats.

 

Claude Cormier a été très déçu de perdre non seulement le contrat, mais l’occasion de célébrer une exposition universelle qui a mis Montréal sur la « mappe » et a changé son visage à jamais.

 

Claude Cormier est déçu, mais c’est Montréal qui devrait pleurer. Car la ville vient de rater une belle occasion de mettre à profit le talent d’un grand paysagiste et créateur, reconnu un peu partout dans le monde et un peu moins chez lui.

 

Qu’à cela ne tienne : Claude Cormier ne quittera pas Montréal de sitôt. Même s’il est très demandé à Toronto, où il a réalisé près d’une vingtaine de projets, même si on retrouve de ses traces à Ottawa, Shanghai, Lyon, Sonoma et San Diego, il revient toujours à Montréal, peindre sa ville en rose, jaune et bleu.

 

Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.

 

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Très intéressant cet article de La Presse.

 

Espérons que le projet du Parc Jean-Drapeau revienne dans le décor. Il faut quelque chose de punché pour fêter le 50ème anniversaire de l'Expo 67. Surtout que cet événement extraordinaire a été jusqu'à aujourd'hui la période la plus éblouissante de Montréal.

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La malédiction des BOULES ROSES!!

 

À l’occasion du premier «Rendez-Vous LGBT Québec», organisé par la Chambre de commerce LGBT du Québec, le 8 mai dernier, Robert Laramée a fait l'état des lieux du tourisme LGBT à l'échelle nationale. S’il observe des signes encourageants, il constate à contrario l’absence de Montréal des principaux radars LGBT.

 

Le propos de son exposé consistait à détailler plusieurs recommandations à défendre auprès des responsables politiques et touristiques et de faire suivre ces questionnements aux infrastructures canadien-nes concernées. « Il est regrettable de constater l'absence du Québec au récent Expogays, le salon du tourisme LGBT de Barcelone à la mi-avril», a commenté Robert Laramée, en chœur avec Guillaume Bleau, président de la CCLGBTQ. «Or, le tourisme LGBT a changé depuis quelques années. Ainsi, par exemple, la légalisation du mariage gai dans plusieurs états américains et d’autres pays, le développement des familles homoparentales, ou des communautés culturelles plus présentes et actives, ont créé de nouveaux besoins, autres que les partys, en termes de voyage, de vacances, de nouvelles formes d’activités touristiques comme la culture, la cuisine, la nature et le plein air, les enfants, etc.»

 

Des données encourageantes…

« Il était d'abord question lors de mon intervention à Québec de rafraîchir les chiffres du rapport déposé en 2013 et de l'actualiser avec des données collectées auprès de Tourisme Montréal et de la Commission canadienne du tourisme », précise Robert Laramée.

 

«À travers ces chiffres, on observe des signes encourageants avec une courte hausse de la fréquentation touristique ces deux dernières années. Montréal a accueilli 430 000 nouveaux visiteurs étrangers de plus les deux dernières années. Si on considère que les LGBT représentent 10% de cette population selon les analyses de Tourisme Montréal, cela avoisine quand même 43 000 LGBT de plus qu’en 2012. De ce nombre, on peut évaluer qu’une partie de cette nouvelle clientèle est allée passer au moins une nuit ou a fait une excursion dans la vieille Capitale, Québec. »

 

Poursuivant cette analyse, Robert Laramée calcule une moyenne de 1000$ de dépenses par séjour, un chiffre tout à fait conservateur selon lui. « Les voyageurs gays et lesbiennes dépensent plus, c’est connu, et auraient laissé sans difficulté la rondelette somme de 43 millions de dollars de plus sur les deux dernières années… » Plusieurs conditions favorisent ces chiffres avec, entre autres, l'augmentation du tourisme étranger dont, notamment, le tourisme américain qui revient à la hausse depuis deux ans en raison, entre autres, d'un huard en baisse et de la simplification des procédures douanières. « Selon le rapport de 2013, la communauté LGBT représente un gain d'un demi-milliard de dollars dépensés par année au Québec dans la dernière décennie », détaille Robert. « Ce mouvement touristique à la hausse depuis deux ans autant chez nos voisins du sud qu’issu de destinations ciblées telles que le Brésil ou le Mexique, nous permet de croire en de meilleures années à venir.»

 

... mais aussi, troublantes !

On notera qu’André Roy, directeur général de l’Office de tourisme de la ville de Québec était présent aux côtés de Robert Laramée lors de son exposé, et donc à même de répondre aux questions de l'auditoire sur les projets de la Ville de Québec envers les visiteurs de la communauté LGBT. Robert Laramée a également profité de ce moment pour faire « le tour d'horizon de certaines données "questionnables" et inquiétantes », a-t-il avancé.

 

« Si le pouvoir d'achat des gais et lesbiennes américains connaît une hausse de 9% ces dernières années, on remarquera toutefois que dans leur choix et leurs projets de voyage dans les villes canadien-nes, Montréal est en bas de la liste, et que Toronto est mieux placée dans ce palmarès ! Pire, ajoute-t-il, dans un sondage auprès de 3000 LGBT américains, Montréal est totalement absente dans la liste des «Voyage de rêve» qu’ils envisageraient. Enfin, selon le palmarès

annuel du site outnowbusinessclass.com, Montréal n'est même plus dans la liste des 20 destinations privilégiées. Et que dire du site de Lonely Planet ? Trouvez-nous ! », défie Robert Laramée.

 

Un leadership à relancer

Selon le conférencier, il faut que Tourisme Québec et Tourisme Montréal, en tant que métropole du Québec, reprennent le leadership du tourisme LGBT et invite tous les acteurs des ressources régionales à s’asseoir autour de la table afin de réfléchir à une offre 12 mois par année dédiée à la communauté gaie et lesbienne.

 

« Une bonne nouvelle toutefois semble apparaître dans le prochain budget fédéral », complète Robert. « Ce budget 2015-2016 envisage d'alléger les procédures des visas pour les visiteurs venant du Mexi-que et du Brésil, nombreux. Ottawa débloquerait aussi des budgets pour stimuler le tourisme américain en doublant le dollar initial investi par nos entreprises et promoteurs touristiques canadiens. »

« Il s'agit donc pour notre communauté de faire les recommandations nécessaires auprès de la Commission Canadienne du Tourisme afin de s’assurer qu’elle inclue une stratégie ciblée pour nos marchés LGBT en y allouant les budgets suffisants. D’ailleurs, la CCLGBTQ est récemment intervenue en ce sens en offrant à la Commission canadienne du tourisme sa collaboration pour relancer le marché LGBT québécois… »

 

http://www.ccgq.ca

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