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Quartier Sainte-Marie (Faubourgs Est): projets et nouvelles


IluvMTL

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Ce site est très bien situé car il est bien servi par le transport (Métro, bus, auto), se trouve à côté du fleuve et à pied du centre-ville.

Les promoteurs avaient décontaminé leurs terrains avant de construire les projets d'Angus, Griffintown, les bassins et abords du Canal Lachine...Quand ils décideront de partir un projet, ils vont surement entrer dans leur argent...

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  • 1 mois plus tard...

Article dans Le Devoir ce matin.

Ce parc se trouve juste à l'ouest de l'entrée au pont Jacques-Cartier

 

http://www.ledevoir.com/non-classe/260545/un-parc-les-deux-pieds-dans-l-histoire

 

Un parc les deux pieds dans l'Histoire

 

Au XIXe siècle, deux cimetière occupaient le terrain situé au croisement des rues Logan et Papineau

 

27 juillet 2009 | Guillaume Saint-Jean

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Photo :Une cérémonie, avenue Papineau, en 1915

Le Military Cemetery et le St. Mary's Burial Ground, deux cimetières protestants, l'un militaire et l'autre civil, furent respectivement inaugurés en 1814 et 1815 sur deux lots mitoyens du chemin Victoria, l'actuelle avenue Papineau.

 

Même si la dualité linguistique existait déjà au début du XIXe siècle, les cimetières de l'avenue Papineau étaient alors destinés à une population anglophone. Charles Hindelang, un patriote né en France et exécuté devant la prison du Pied-du-Courant le 15 février 1839, fut le seul francophone célèbre enterré en ces lieux.

 

En plus de cet homme, dont le corps n'aurait vraisemblablement jamais été retrouvé lors du déménagement du cimetière, on y enterra également de nombreux soldats des forces britanniques, ainsi que les dépouilles de certains membres de leurs familles décédés en Amérique du Nord.

 

Parmi les combattants qui reposaient en ces lieux, notons entre autres le lieutenant-colonel R.-P. Holmes (1789-1849), dont la main droite fut tranchée par un coup de mousquet lors de la bataille de Badajoz en 1812, et sir Benjamin D'Urban (1777-1849), un des plus imminents soldats des guerres napoléoniennes, également commandant des armées britanniques en Amérique du Nord de 1847 à 1849.

 

Ayant accueilli son dernier défunt militaire en 1869, le terrain est par la suite convoité à maintes reprises. Alors qu'on songeait déjà, en 1876, à exproprier le vieux cimetière afin d'y ériger un hôpital pour les patients atteints de maladies contagieuses, on proposa par la suite, en 1906 et en 1908, de transformer les lieux en parc, et plus d'une fois l'idée d'y faire traverser des rues fut également avancée.

 

Le terrain fut acheté par la Ville de Montréal en 1944 au coût de 35 000 $ afin d'être finalement transformé en parc, et on procéda au cours de la même année au transfert des tombes des soldats inhumés en ces lieux vers le Champ d'honneur national situé à Pointe-Claire. Même si on répertoria alors 1797 inhumations et emplacements de sépulture, le site est aujourd'hui reconnu comme ayant un fort potentiel archéologique puisque de nombreux ossements y subsistent toujours.

 

Agrémenté d'un chalet, d'une pataugeoire et d'une proéminente dalle d'asphalte, le parc, qui longe la cour de nombreux résidants de la rue Cartier, fut toutefois bien peu fréquenté au cours des dernières années. Actuellement réaménagé afin de devenir plus sécuritaire et verdoyant, le terrain, dont l'aspect historique devrait également être valorisé, offrira bientôt aux Montréalais une nouvelle aire de détente, dont l'aspect autrefois peu accueillant ne sera plus que chose du passé.

 

***

 

Collaboration spéciale

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  • 4 semaines plus tard...

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/400042/il-y-a-175-ans-aujourd-hui

 

Pendaison de Chevalier de Lorimier - Il y a 175 ans aujourd’hui…

 

15 février 2014 | Micheline Lachance - Historienne et auteure.

Dernier livre paru: La saga des Papineau (Québec/Amérique) | Québec

Les voyageurs qui empruntent le pont Jacques-Cartier savent-ils que, tout en bas, à quelques encablures du fleuve, le vieil édifice de pierre grise a été le théâtre d’exécutions publiques ?

 

Il y a 175 ans, dans la cour de la prison du Pied-du-Courant, sise rue de Lorimier, la potence avait été érigée bien en vue, juste au-dessus de la porte principale, pour marquer les esprits. Le châtiment, infligé sur ordre du gouverneur anglais John Colborne — surnommé le « Vieux brûlot » parce qu’en plus de faire tomber des têtes, il transformait les villages en monceaux de cendre —, devait servir d’exemple. Le journaliste du Montreal Herald, Adam Thom, recommanda d’ailleurs aux autorités d’accélérer l’exécution des condamnés : «Pourquoi les engraisser pour le gibet?» De fait, 12 patriotes seront pendus, sous les yeux terrifiés des prisonniers qui, derrière les fenêtres grillagées, pouvaient «jouir du spectacle».

 

Le 15 février 1839 mourraient Thomas Chevalier de Lorimier, le plus célèbre d’entre tous, et trois de ses compagnons d’armes. Un bien triste anniversaire !

 

Ce qui m’a frappé dans les récits et témoignages laissés par leurs contemporains à l’issue des rébellions ? La répression féroce exercée par les autorités coloniales : patriotes traqués comme des bêtes dans les bois, femmes et enfants chassés de leur foyer à moitié nus, jeunes filles ligotées et violées, récoltes pillées, fermes saccagées… Et, bien sûr, les arrestations arbitraires d’honorables citoyens cueillis dans leurs villages, parfois sur la simple dénonciation d’un voisin. Dans son journal, Amédée Papineau raconte notamment le cauchemar de six patriotes ramenés de Sainte-Martine attachés derrière une voiture, corde au cou, et chargés de fers : «Les soldats qui conduisaient la charrette allaient assez vite pour obliger les prisonniers de courir, afin, disaient-ils, de ne pas leur laisser attraper de froid!»

Un millier de patriotes — notaires, médecins, cultivateurs, marchands — ont connu les geôles de Colborne. Wolfred Nelson, qui y a croupi pendant six mois, a décrit les conditions de vie misérables faites aux détenus coupés de l’extérieur et réduits au pain et à l’eau. «Tous les prisonniers, une fois arrêtés et emmenés à Montréal, ont été traités de manière barbare», écrit-il, avant d’ajouter qu’au début, «ils étaient ligotés ensemble jour et nuit et ne pouvaient satisfaire leurs besoins personnels autrement qu’en s’allongeant ou en s’assoyant tous ensemble».

Les lettres des prisonniers laissent percer l’angoisse durant les jours d’attente, tandis que la Cour martiale distribue ses accusations de haute trahison. Bâclés, les procès se déroulent souvent en anglais, une langue que bon nombre d’entre eux ne comprennent pas. Plusieurs n’ont même pas droit aux services d’un avocat. Dans ses Notes d’un condamné politique de 1838, François-Xavier Prieur raconte : «Quelques-uns de nos juges mêmes ne nous épargnaient pas les sanglantes insultes: c’est ainsi que quelques-uns d’entre eux s’amusaient, durant les séances, à dessiner des bonhommes pendus à des gibets, et ces grossières caricatures, qu’ils se passaient sous nos yeux, paraissaient les amuser beaucoup.»


Le 21 décembre 1838, deux patriotes de Châteauguay, le notaire Joseph-Narcisse Cardinal, père de quatre enfants en bas âge, et le clerc-notaire Joseph Duquette, montent sur l’échafaud. Jusque-là, personne ne voulait croire que la justice de Colborne se montrerait aussi implacable. Adam Thomb jubile : «Balayons les Canadiens de la face de la terre!»

Amédée Papineau décrit l’horrible supplice infligé à son ami Duquette. «Les bourreaux l’ont martyrisé. La corde fut mal arrangée; et lorsque la trappe tomba, il demeura suspendu sans pouvoir mourir et dans d’horribles convulsions. Les bourreaux mirent une autre corde et, lorsqu’elle fut fixée, ils coupèrent la première. Le martyr fit alors une chute de quatre pieds et ne mourut qu’après plusieurs minutes de souffrances. Aucune pitié de la part des tortionnaires pour l’infortuné supplicié, malgré les cris de la foule perçant le silence: “Grâce! Grâce!” Le malheureux n’avait pas vingt et un ans.»

 

Scènes déchirantes

Avant l’exécution de Joseph-Narcisse Cardinal, son épouse enceinte s’est jetée aux pieds de lady Colborne pour l’implorer d’intervenir en faveur de son mari. Insensible, la femme du gouverneur lui a tout bêtement offert huit piastres comme consolation.

 

Le 18 janvier 1839, c’est au tour de Pierre-Théophile Decoigne, Jacques Robert, Pierre Hamelin et les frères Ambroise et Charles Sanguinet de se placer sous la trappe fatale.L’ami du peuple, journal antipatriote, raconte la scène déchirante des parents venus solliciter la permission de faire leurs adieux aux condamnés. Mgr Lartigue, l’évêque de Montréal, condamne «les crimes commis pendant l’odieuse répression de l’an passé contre le gouvernement établi dans cette province britannique».

 

À la mi-février, l’annonce d’une dernière série d’exécutions soulève la révolte. Même les adversaires sont écoeurés. D’après L’aurore des Canadas, la mort de Charles Hindelang et celle de François Nicolas furent instantanées. Chevalier de Lorimier et Amable Daunais éprouvèrent brièvement de la douleur, mais Pierre-Rémi Narbonnem endura des souffrances atroces : «Comme l’un de ses bras avait été coupé, on n’avait pu sans doute le lier aussi bien que les autres; dans les convulsions de l’agonie, il détacha sa main avec laquelle il saisissait les objets environnants et parvint à déplacer la corde de sa vraie position. Il parvint même par deux fois à atteindre une balustrade voisine et à s’y placer les pieds et deux fois il en fut repoussé.»

En apprenant la pendaison de son ami Chevalier de Lorimier, Amédée dessine des gouttes de sang dans son journal avant d’écrire : «Il est mort comme il a vécu, un patriote et un républicain. Son nom est immortel.»

Il y aurait encore beaucoup à raconter à propos des crimes sadiques qu’on dirait tirés de l’histoire d’un pays barbare. Et pourtant, c’est ici, chez nous, que la loi martiale a été décrétée et que l’armée britannique et ses volontaires ont sévi. Comme je l’ai mentionné dans La saga des Papineau, le bras vengeur de la justice coloniale, non content d’anéantir les meneurs poussés à la révolte par les abus et injustices du Colonial Office, s’abattra aussi sur les simples citoyens bannis de leurs foyers, pendant que la torche incendiaire ravage leurs villages semant partout l’épouvante.

 

Je laisse le dernier mot à Amédée Papineau : «Le gouvernement, qui ne cherchait qu’une occasion et un prétexte pour nous écraser, foula aux pieds tous nos droits, toutes nos libertés, détruisit notre constitution, nous envoya un despote nommé Durham et une armée de bourreaux pour nous égorger. Il ne connaît plus enfin de bornes à ses injustices: il veut noyer la population franco-canadienne.»

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http://www.ledevoir.com/politique/quebec/400042/il-y-a-175-ans-aujourd-hui

 

Pendaison de Chevalier de Lorimier - Il y a 175 ans aujourd’hui…

 

Section politique, svp.

 

Ce n'est pas de l'actualité, c'est un article d'une historienne au sujet de l'anniversaire (175 ans aujourd'hui) des événements qui ont lieu dans, peut-être le bâtiment historique le plus important dans le quartier Sainte-Marie, au Pied-du-Courant, c'est l'ancien Prison des patriotes (bâtiment de la SAQ).

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Voici une proposition pour les berges de la ville de Rimouski.

 

Ce projet me fait penser un peu au programme que Projet Montréal avait pour les terrains à l'est du pont Jacques-Cartier, de chaque côté du parc Bellerive, au nom de l'Entrée Maritime. On ne voit pas la densité projeté pour les bâtiments dans le projet de PM, ni le nombre de voies pour le boulevard urbain.

 

Je me demande si, après la prolongation du boulevard l'Assomption/de Souligny vers le port, et avec l'ajout de voies réservés pour des SRB sur la rue Notre-Dame, si un projet de cette nature sera plus réalisable, et ce, sans le recouvrement des voies ferroviaires (prescrit dans le projet de PM).

 

http://ici.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2014/02/25/006-centre-ville-rimouski.shtml

 

Rimouski : un projet ambitieux pour le centre-ville

 

Mise à jour le mardi 25 février 2014 à 15 h 35 HNE

 

(Visionner le vidéo dans le lien)

Projet d'aménagement du centre-ville de Rimouski

Un consensus se dégage entre gens d'affaires, politiciens, urbanistes: le centre-ville de Rimouski se porte plutôt bien. L'arrivée de la chaîne Wal-Mart et des autres commerces de la Cité des achats ont été moins dommageables pour le centre-ville que ce qui était anticipé.

Afin de poursuivre son développement, une conseillère municipale a mis sur pied un comité. et certains proposent un réaménagement assez révolutionnaire du centre-ville.

 

« Avoir un centre-ville près de la mer, c'est un joyau. »— Olivier Riopel, commerçant et membre du Comité d'action centre-ville

Un front de mer, long de deux kilomètres, fait du centre-ville de Rimouski, un endroit unique. En le longeant, on découvre cependant une série de façades arrières. C'est que la ville a tourné le dos à son fleuve et a aligné, face à lui, un nombre impressionnant de stationnements; 23 au total. Le plus imposant, d'une centaine de places, divise le centre-ville en deux.

 

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Un croquis de la Place des Anciens combattants des étudiants en architecture et en design urbain de l'Université Laval

« Dans un centre-ville comme ici, avoir un espace pavé, directement face à la mer, je pense que ça ne se fait plus », admet la conseillère municipale du district Saint-Germain/centre-ville, Jennifer Murray devant la Place des anciens combattants.

« On doit vivre avec le stationnement, mais il faut le cacher le plus possible. On aurait une dalle, et ça deviendrait une place publique, donc on ne perdrait aucun stationnement », fait valoir le professeur retraité du Département d'architecture du Cégep de Rimouski, Michel Saint-Pierre.

 

Trois étudiants en architecture et design urbain de l'Université Laval ont imaginé ce que la Place des anciens combattants pourrait devenir, si le stationnement était transformé en place publique.

 

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Croquis du centre-ville de Rimouski tel qu'imaginé par les étudiants en architecture et en design urbain de l'Université Laval

 

L'aménagement prévoit même une avancée vers la mer, un quai au bout de la rue, qui fait le lien entre le fleuve et l'Institut maritime du Québec. Le concept ne passe pas inaperçu.

 

« C'est une volonté de créer un lien entre le centre-ville et la Promenade de la Mer. Est-ce qu'il y a moyen d'aller chercher les marcheurs sur la promenade et leur faire faire une boucle? Ce sont des choses dont on discute », indique Olivier Riopel.

Dans le même esprit, les étudiants proposent d'élargir la Promenade de la Mer sur deux des quatre voies actuelles du boulevard qui longe le fleuve. Encore là, les croquis offrent une toute autre image du centre-ville de Rimouski.

 

« Les gens veulent avoir accès à la mer donc faire du centre-ville un espace d'exception et un incontournable. »— Jennifer Murray, conseillère municipale du district Saint-Germain/centre-ville

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Croquis de la Promenade de la mer de Rimouski, créés par les étudiants en architecture et design urbain de l'Université Laval

Un centre-ville toujours vivant

Le peu de locaux vacants et l'achalandage au centre-ville, même en milieu de semaine, illustrent combien les commerçants ont su résister à l'arrivée des grandes surfaces en périphérie. L'aménagement de la Promenade de la mer n'y est pas étranger, tout comme la rénovation de dizaines de façades de commerces et le désir de créer un centre-ville dynamique et vivant. « La tendance vers les plus petits commerçants, les commerces de proximité avec plus de produits au mètre carré, c'est une tendance très importante. Et le centre-ville, c'est l'endroit pour trouver ce type de commerce là », affirme Olivier Riopel.

 

Jennifer Murray abonde dans le même sens. « Le visuel, c'est plus attrayant, c'est très convivial. Les boutiques spécialisées que l'on retrouve. Puis, ce sont des gens d'ici qui ont de petits commerces et qui mettent beaucoup d'heures. Je pense que cela a une grosse valeur », fait-elle valoir.

 

Mais transformer un centre-ville peut prendre du temps. Les étudiants auteurs du rapport estiment que la Ville pourrait mettre en place les infrastructures qu'ils proposent en 15 ans.

 

D'après le reportage de Denis Leduc

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  • 2 semaines plus tard...

Semble que cette mosaic-sculpture sera installé dans le parc des Faubourgs (parc qui se trouve au nord de l'entrée du pont Jacques-Cartier, une porte d'entrée importante de la Ville

 

http://blog.wwf.ca/fr/2013/06/21/les-mosaicultures-internationales-de-montreal-une-autre-bonne-raison-de-visiter-la-metropole/

 

L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES illustre l’interaction positive possible entre l’Homme et son environnement, et le message d’espoir qui en découle pour l’avenir de notre planète. Frédéric Back a collaboré à la création de cette oeuvre qui a remporté le Grand Prix d’honneur du jury international et le Prix du public lors de la compétition à Hamamatsu au Japon en 2009. L’oeuvre est conçue comme un véritable jardin de mosaïculture où un lieu aride et désolé se transforme en un paysage symbolisant le retour de la vie.

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L’homme qui plantait des arbres aux MIM2013 © Marie-Claude Lemieux, WWF-Canada

 

20.09

DESCRIPTION

Approuver la contrat de services avec Mosaicultures Internationales de Montréal ( fournisseur no 120726 ) ) pour la location , le montage et le démontage ainsi que la vidange de l'oeuvre florale l'Homme qui plantait des arbres qui sera installée sur le territoire de Ville-Marie et autoriser une dépense de 301 809.38$

 

 

JUSTIFICATION

L'installation de cette oeuvre permettra aux citoyens et aux visiteurs de découvrir ou de revoir des sculptures florales qui ont été présentées l'année dernière jardin botanique .ut où ils sont présentés, ses films recueillent l’admiration du milieu du cinéma mais surtout celle du grand public qui y trouve des raisons d’espérer et des motivations à agir. L'Homme qui plantait des arbres suscite partout sur la planète des mouvements spontanés de citoyens qui se mettent à planter des arbres eux aussi, ou bien s’en inspirent pour des initiatives locales appropriées.

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Wow, très belle initiative. C'est de l'art public de très belle facture!

 

PS: il semble qu'on aura besoin de lui quand l'agrile du frêne aura dévasté tous les frênes de la ville....:sarcastic:

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