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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. I wound't be surprised at all. What surprised me actually was that they had abandoned such a beautiful project!
  2. Oui, mais ce montant n'est probablement pas récurent. Autrement dit il s'agit essentiellement d'un surplus conjoncturel plutôt que structurel. Mais n'empêche, le Québec est en pleine croissance économique en plus d'être entre bonnes mains. Je n'ai pas voté pour la CAQ mais je dois reconnaître qu'il s'agit d'un parti dont les priorités sont axées sur l'économie, quoi qu'ils en disent eux-mêmes. J'irai même plus loin: si l'on se base sur le profil de son caucus il s'agit surtout d'un parti d'hommes (et de femmes) d'affaires. De plus, l'objectif avoué de François Legault est de sortir le Québec de la péréquation en faisant croître son économie plus rapidement que celle du ROC.
  3. https://www.instagram.com/p/By5qZPBikuj/
  4. Surplus de près de 8 milliards à Québec Non seulement la dette du Québec est en baisse, on en parlait il y a quelques jours, mais les surplus explosent. Le bilan complet, mais toujours préliminaire, des opérations financières du gouvernement pour l’exercice 2018-2019, qui s’est terminé le 31 mars dernier, conclut à un surplus budgétaire de près de 8 milliards de dollars, avant le versement au Fonds des générations. Comment est-ce possible? Gérald Fillion - Radio-Canada Soyons précis : l’excédent est de 7,91 milliards de dollars. Une fois le versement au Fonds des générations effectué, le surplus est de 4,433 milliards, du jamais vu. C’est conforme aux projections de l’Institut du Québec, faites en début d’année et répétées récemment. Ces projections ont été rejetées du revers de la main, à plusieurs reprises, par le premier ministre et son ministre des Finances, même si l’Institut du Québec affirmait déjà, en début d’année, que le gouvernement se dirigeait vers un surplus potentiel de plus de 4 milliards de dollars. À RDI économie, le 3 décembre dernier, alors que les données mensuelles budgétaires donnaient déjà un surplus de 3 milliards de dollars, le ministre Eric Girard maintenait que le surplus attendu par son ministère était de 1,6 milliard. En février 2019, François Legault affirmait que le surplus allait se limiter à 2 milliards de dollars. En mars, on était rendu à 2,5 milliards dans le budget du ministre Girard. Et, en mai, on a révisé le tout à 3,6 milliards de dollars. Finalement, on arrive à 4,433 milliards. Un écart de 6 milliards avec la prévision initiale C’est donc un écart de 6 milliards de dollars qui apparaît par rapport au budget déposé par l'ex-ministre libéral Carlos Leitao, en mars 2018. Le ministère l’explique par cinq facteurs : les revenus autonomes provenant des impôts des entreprises et des particuliers sont 800 millions de dollars plus élevés que prévu; le froid au Québec a rapporté 600 millions de plus à Hydro-Québec; la valeur des placements en capital de risque d’Investissement Québec est plus élevée; des dépenses moins élevés de 450 millions de dollars « en lien avec la révision d’estimations de certaines provisions, dont celles pour le passif environnemental et celles pour les prêts et les garanties de prêts octroyées par le gouvernement »; des taux d’intérêt moins élevés, ce qui réduit de 100 millions le service de la dette. En conférence téléphonique, vendredi après-midi, le ministre Girard a indiqué que la moitié de cet écart n’est pas récurrent. Il y a là des revenus exceptionnels et des gains sur les dépenses qui ne reviendront pas. L’autre moitié de la somme de 6 milliards de dollars a déjà été dépensée dans la mise à jour et le budget pour l’exercice 2019-2020, a dit le ministre. Cela fait des mois que les experts affirment que les coffres débordent à Québec. Or, cela fait des mois que le gouvernement nous dit que sa marge de manoeuvre est limitée. La réalité, c’est que le gouvernement du Québec bénéficie de la situation budgétaire la plus enviable au Canada. De plus, cela fait plusieurs années que le ministère des Finances sous-estime l’ampleur des revenus et surestiment les dépenses. Est-ce volontaire? Je suis incapable de le dire. Il y a certainement, surtout en 2017, un effet économique positif et inattendu sur les finances publiques. Il y a toutefois d’autres facteurs qui devraient amener Eric Girard à exiger de son ministère une révision des pratiques en cours. En affirmant qu’il n’y a pas ou qu’il y a très peu de marge de manoeuvre, le premier ministre Legault a certainement cherché à calmer les attentes de tous ses ministères. Cela se comprend. Toutefois, quand on termine un exercice avec un surplus de 8 milliards de dollars, il est nécessaire de se demander si le gouvernement gère bien ses enveloppes, alors que les besoins demeurent réels dans le réseau hospitalier, dans les CHLSD, dans les écoles. Il est franchement difficile, il me semble, de justifier un surplus de 8 milliards de dollars et un écart de 6 milliards avec la prévision budgétaire initiale. Dans la mesure où les prévisions économiques n’ont pas beaucoup évolué depuis le budget 2018-2019, ces écarts sont totalement étonnants. On peut se demander quelle est la valeur de la projection faite par le ministre Girard pour 2019-2020, qui est celle d’atteindre l’équilibre budgétaire après le versement au Fonds des générations. À noter que le gouvernement a annoncé qu’il ne présentera plus le solde budgétaire à tous les mois, mais plutôt à tous les trimestres. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1194959/surplus-quebec-budget-finances-publiques-ministre-eric-girard
  5. L'UQAM veut ériger un nouveau pavillon à côté du métro Saint-Laurent L'Université du Québec à Montréal (UQAM) entend construire un pavillon des arts sur le terrain vacant qui jouxte - depuis 52 ans ! - la station de métro Saint-Laurent, au coeur de Montréal. Ce sera « un investissement minimum de 90 millions ». LOUISE LEDUC - La Presse C'est ce qui est précisé dans le sommaire décisionnel de la Ville de Montréal, qui relève par ailleurs que le coût du seul terrain a été fixé à 6,9 millions. Pour l'heure, l'option d'achat présentée à la Ville, qui est propriétaire du terrain, est de 200 000 $. L'UQAM a jusqu'en juin 2021 pour déposer son projet. « Les cours de nos étudiants en arts étaient en bonne partie dispensés au pavillon Judith-Jasmin, mais plusieurs étaient aussi éparpillés dans d'autres pavillons. Les locaux sont souvent désuets et insuffisants. » - Caroline Tessier, directrice du service des communications de l'UQAM L'intérêt de l'UQAM pour ce terrain tient aussi du fait qu'il pourra servir de trait d'union entre le campus central et le Complexe des sciences Pierre-Dansereau. L'endroit, qui devrait devenir le 29e pavillon de l'UQAM, se trouve au coeur du Quartier des spectacles, à proximité de la place des Festivals. Conditions et contraintes La Ville a posé quelques conditions à l'UQAM, qu'elle entend toutes respecter. L'UQAM promet qu'il n'y aura aucun stationnement relié à l'édifice. Un emplacement pour les vélos est cependant imposé. L'UQAM devra aussi s'assurer d'intégrer l'édicule du métro Saint-Laurent et garantir que l'endroit sera parfaitement adapté aux personnes à mobilité réduite. Le prix de vente du terrain de 6,9 millions a été établi « en tenant compte des contraintes de construction liées à la présence de l'édicule du métro. Ces contraintes sont entre autres en lien avec l'opération du métro, les travaux de nuit, la vibration, [etc.] ». Robert Beaudry, conseiller municipal dans Ville-Marie et responsable du développement économique, se réjouit de la disparition probable du terrain vague qui était là depuis 1967. « Un pavillon des arts, en plein coeur du Quartier des spectacles, un édifice avec une vocation publique, universitaire, c'est idéal pour nous. » Il s'explique mal pourquoi le terrain est resté vide si longtemps, mais il dit que ça a rapidement été un dossier important pour l'administration Plante. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/18/01-5230748-luqam-veut-eriger-un-nouveau-pavillon-a-cote-du-metro-saint-laurent.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_grand-montreal_4233637_section_POS1
  6. J'aime bien ces photos, surtout celles de la Place des Nations, et tout particulièrement celle du pavillon de la France! Pourrais-tu s.v.p. fournir le lien afin que je puisse voir les photos originales. Merci d'avance.
  7. Je suis totalement d'accord! D'autant plus que le noir s'agence bien avec le gris de la couronne. Même si j'aimais ce vert sur l'Ogilvy il ne me semblait pas du tout adapté au Rodier.
  8. J'ai vraiment hâte de voir le rez-de-chaussée lorsqu'il sera complété! L'édifice sera alors complètement ouvert sur la rue.
  9. Le gouvernement Legault lance sa réforme d'Investissement Québec Le ministre de l'Économie et de l'Innovation, Pierre Fitzgibbon, a déposé mercredi un projet de loi qui revoit le mandat d'Investissement Québec (IQ) afin qu'elle soutienne mieux le développement des entreprises et l'économie de la province. Radio-Canada En présence du nouveau patron d'Investissement Québec, Guy LeBlanc, dont la nomination avait soulevé la controverse, le ministre Fitzgibbibon a ainsi confirmé la modification importante du bras financier du gouvernement, dont de larges pans avaient déjà été annoncés. L'intention du gouvernement de François Legault est de faire d’IQ un « véritable moteur complet pour le développement économique du Québec », autant dans les régions qu'à l'international, a expliqué le ministre dans une conférence de presse au cours de laquelle il a exposé les grandes lignes du projet de loi. Ses objectifs sont de doubler d’ici cinq ans les investissements étrangers au Québec, qui se sont chiffrés en moyenne à 3,4 milliards depuis cinq ans; diversifier les marchés et accroître les exportations de biens et de services afin qu’elles atteignent 50 % du PIB québécois; et accélérer les investissements des entreprises dans leur transition technologique et en innovation. Pour y arriver, Québec fera passer le fonds social autorisé d'IQ à 5 milliards de dollars, mettra 1 milliard de dollars dans la création d'un fonds de croissance destiné à appuyer les entreprises québécoises stratégiques et investira 35 millions pour bonifier les exportations. Fusionner les bureaux régionaux d'IQ et du ministère La réforme prévoit notamment la fusion des bureaux régionaux du ministère de l'Économie et de l'Innovation (MEI) avec ceux d'IQ, auxquels se greffera aussi le Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ). « Imaginez un service de concierge gouvernemental pour les entreprises », a illustré le ministre, qui a précisé qu'IQ accompagnerait aussi les entreprises dans leurs demandes d'obtention de permis et d'autorisations gouvernementales. Comme il l'avait déjà indiqué, il a souligné qu'Investissement Québec devrait se montrer plus audacieuse. Elle devra combler les carences dans la chaîne des capitaux plutôt que viser uniquement le rendement financier sur le capital investi, a déclaré M. Fitzgibbon. « IQ devra être plus agile et plus agressive dans les projets qu’elle choisit », a-t-il soutenu. IQ prévoit appuyer la réalisation de projets qui représenteront jusqu'à 10 milliards de dollars d'investissements par année. Miser sur l'international Le projet de loi prévoit aussi la création d’IQ international et la mise sur pied d'un comité de coordination, formé de représentants d’IQ, du MEI, du ministère des Relations internationales et de la Francophonie ainsi que du Secrétariat du Québec aux relations canadiennes. Disant comprendre que le changement annoncé génère pour les employés « des incertitudes et des questions », le ministre Fitzgibbon a voulu se faire rassurant. « Les changements qui sont annoncés ici aujourd’hui ont été longuement planifiés chez IQ et au ministère, et se feront de façon respectueuse et organisée », a-t-il affirmé, s'adressant à eux. Le Conseil du patronat content Le Conseil du patronat du Québec a accueilli favorablement cette annonce. « Avec cette restructuration et ce rapprochement des opérations d’IQ au Ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI), et avec les investissements additionnels de 5 milliards de dollars déjà promis dans le dernier budget, on augmente la puissance de ce moteur économique du Québec pour en faire un véritable bolide », s'est réjoui son PDG, Yves-Thomas Dorval, dans un communiqué. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1182430/le-gouvernement-legault-lance-sa-reforme-dinvestissement-quebec
  10. On parle aussi de refaire l'intersection à l'entrée du parc. http://www.parcdesgorilles.net/2017/09/22/redessiner-lintersection-saint-urbainbeaubien/
  11. Je crois que la réponse se trouve dans les quelques extraits qui suivent d'un article récent du journal Métro: Cet espace, baptisé parc des Gorilles par les citoyens, aura été l’objet d’une longue saga entre les résidents, l’Arrondissement et ses précédents propriétaires. En effet, en mai 2013, la compagnie immobilière Olymbec s’était attiré les foudres des élus, car elle avait fait raser les arbres qui poussaient naturellement sur son terrain sans procéder par l’obtention d’un permis en bonne et due forme. L’administration municipale décide alors d’imposer d’une réserve foncière pour empêcher qu’un projet de construction ait lieu sur le lot. Plusieurs manifestations et actions seront organisées durant les années suivantes par les citoyens pour faire avancer l’idée du retour d’un espace en friche et en cogestion à cet endroit. « Cela fait six ans que l’on porte nos bottes de gorilles pour concrétiser le rêve du parc. Nous sommes très heureux de voir que tout cela se réalisera enfin », indique Frances Foster, membres du groupe des AmiEs du parc des Gorilles. https://journalmetro.com/local/villeray-st-michel-parc-extension/2318417/les-citoyens-pourront-bientot-redessiner-le-parc-des-gorilles/
  12. Espace Montmorency: 700 appartements locatifs et aucun condo « Enfin, on fait la pelletée, Normand », s'est exclamé, visiblement soulagé, Dario Montoni. ANDRÉ DUBUC - La Presse Le président de Groupe Montoni, l'un des grands promoteurs immobiliers de la région montréalaise, a pris la parole hier matin dans le cadre d'une cérémonie marquant le début des travaux du chantier à usage mixte Espace Montmorency, d'une valeur de 450 millions. Le Normand en question, c'est Normand Bélanger, PDG du Fonds immobilier de solidarité FTQ, qui détient le terrain. Il faut dire qu'il s'est écoulé plus de trois ans entre la première annonce du projet en novembre 2015 et le début officiel des travaux du chantier situé au métro Montmorency, à Laval. Entre les deux dates, un partenaire, Claridge, est parti - il préfère concentrer son attention sur des projets au centre-ville de Montréal, a-t-on expliqué. Un nouveau est arrivé, Groupe Sélection. Plusieurs changements Le projet a évolué. Au départ, Espace Montmorency devait être construit en quatre phases et regrouper une dizaine de bâtiments : commerces, bureaux, hôtel, lieux de divertissement et espaces de services publics. On y prévoyait aussi une résidence pour personnes âgées. Aujourd'hui, il comprend une seule phase incluant un stationnement de 1400 cases en souterrain (relié au métro), un basilaire commercial de 150 000 pieds carrés sur deux étages et quatre tours : deux locatives, une tour hôtelière de 180 chambres et une tour de bureaux pour un total de 1,3 million de pieds carrés. Groupe Sélection y déménagera son siège social, entre 400 et 500 personnes, en 2022. On prévoit terminer la construction d'Espace Montmorency à l'automne 2022. « Ici, c'est notre premier projet avec un volet résidentiel. Il va y en avoir d'autres, mais c'est notre premier. C'est une évolution de la compagnie », dit M. Montoni. Signe des temps, le volet résidentiel d'Espace Montmorency ne comprendra aucun appartement en copropriété, seulement du locatif. Groupe Sélection, qui agit comme maître d'oeuvre de la partie résidentielle, proposera trois produits : frïdom, pour les 55 ans et plus, REZ, pour les familles, Yimby, pour les milléniaux. Il n'y aura donc aucune résidence pour personnes âgées sur le site, pourtant le produit historique du Groupe Sélection. « Il manque de logements à Laval, souligne Réal Bouclin, président fondateur et chef de la direction Goupe Sélection. On est au coeur de Laval. On a un emplacement incroyable. Ça va répondre à la demande de la population qui a besoin de logements. On n'a pas d'inquiétude à créer 700 unités », ajoute l'homme à la tête de 50 complexes résidentiels en exploitation, en construction ou en développement, ici et ailleurs. Sélection travaille sur deux projets à Ottawa et est en négociation à Toronto. L'entreprise détient un terrain à Fort Lauderdale. Pour cette expansion hors Québec, Sélection est en négociation avec des partenaires financiers. Au Québec, Sélection compte sur les capitaux de PSP (Revera), de Fiera Immobilier, de Lune rouge, le conglomérat de Guy Laliberté, et de Claridge. Des partenaires tricotés serré Avec Espace Montmorency, Sélection fait équipe pour la première fois avec Montoni. Les deux sont ensemble pour acquérir et lotir les terrains de la brasserie Molson, au centre-ville. Quant au Fonds immobilier de solidarité FTQ, Normand Bélanger indique que le Fonds collabore déjà avec Sélection dans un projet de Terrebonne, mais qu'Espace Montmorency marque un premier partenariat avec Montoni. M. Bélanger n'a pas voulu dire si le Fonds allait financer la mise en valeur des terrains de la Molson. https://www.lapresse.ca/affaires/201906/11/01-5229790-espace-montmorency-700-appartements-locatifs-et-aucun-condo.php
  13. Non seulement ce ne serait pas mieux ailleurs mais ce serait en fait bien pire. Lors de la dernière récession le PIB du Québec a reculé d'un maigre 1% alors que celui du ROC a reculé de 3%. Ce serait sans doute plus ou moins la même chose aujourd'hui si une nouvelle récession majeure devait survenir, et le Québec pourrait même faire encore mieux qu'en 2009. Prenons l'Ontario comme point de référence. Non seulement le gouvernement ontarien est en déficit non-stop depuis la dernière récession (2009) mais dans la même période la population s'est considérablement endettée à cause du prix exorbitant des maisons. Pendant ce temps là au Québec le gouvernement accumule des surplus année après année tout en réduisant sa dette. Et du côté de la population les Québécois sont moins endettés que les citoyens du ROC en général. Et malgré une augmentation soutenue de la valeur des maisons il demeure encore abordable à Montréal de faire l'acquisition d'une propriété. De plus, un panier représentatif de biens et de services qui coûtait 1 000 dollars à Toronto en 2017 ne coûtait que 836 dollars à Montréal. Par ailleurs, avant la signature du traité de libre-échange avec l'Europe (merci à Jean Charest) le Québec exportait 85% de sa production vers les États-Unis alors que ce n'est plus que 70% aujourd'hui (c'est de là d'ailleurs que vient en bonne partie la croissance fulgurante du port de Montréal). Donc le Québec en général, incluant Montréal, est en excellente posture pour faire face à une éventuelle crise économique et s'en tirerait certainement beaucoup mieux que le ROC.
  14. Première pelletée de terre pour l’Espace Montmorency à Laval Les travaux de construction de l’Espace Montmorency, le plus important projet immobilier à usage multiple à Laval, ont officiellement débuté mardi près de la station de métro du même nom. Le complexe, qui sera d’ailleurs directement relié au réseau du métro, comprendra 700 unités de logement, dont 200 qui seront réservées à une clientèle âgée. Environ 200 autres appartements seront destinés aux 35 ans et moins, alors que les 300 restants visent une clientèle plus diversifiée, les familles notamment. Cet ensemble sera aussi composé de bureaux, de restaurants ainsi que d’un hôtel. Estimé au coût de 450 millions $, l’Espace Montmorency est né de l’initiative du Fonds immobilier de solidarité FTQ ainsi que du groupe immobilier Montoni. Le Groupe Sélection, l’un des leaders dans le secteur des résidences pour retraités, s’est également joint au projet. Les promoteurs cherchent entre autres à «stimuler les rencontres intergénérationnelles». L’Espace Montmorency se démarquera aussi par son design en blocs. La construction devrait être complétée pour l’automne 2022. https://www.tvanouvelles.ca/2019/06/11/premiere-pelletee-de-terre-pour-lespace-montmorency-a-laval
  15. Montréal hérite du deuxième plus gros studio Unity au monde Unity Technologies, qui a conçu la plateforme de jeu vidéo utilisée par un développeur sur deux dans le monde, mise sur Montréal. La société d'origine danoise a annoncé ce matin qu'elle triplera les effectifs de son studio de Pointe-Saint-Charles, qui passera d'ici trois ans de 200 à 650 employés. KARIM BENESSAIEH - La Presse À terme, cette expansion fera de Montréal le deuxième bureau en importance du groupe, après celui de San Francisco. Unity compte 30 studios dans le monde qui emploient quelque 3000 personnes. « Montréal possède une magnifique combinaison d'attributs : la qualité de sa main-d'oeuvre, ses salaires compétitifs et sa culture d'innovation », a déclaré ce lundi matin en point de presse André Gauthier, chef de studio. Unity est surtout connu pour son moteur de jeu, disponible gratuitement depuis 2005 et qui permet de créer un jeu vidéo sans avoir à tout encoder de zéro. Cette plateforme est un ensemble de logiciels qui gèrent par exemple les éclairages, l'audio et les effets spéciaux d'un jeu, qui peut ensuite être exporté sur 27 plateformes, notamment Android, iOS et les consoles. Labo en IA Le studio a diversifié ses activités et offre maintenant sa plateforme à des entreprises, propose des modèles de monétisation pour les développeurs et investit dans la réalité virtuelle et augmentée, « le nouvel iPhone », selon M. Gauthier. Montréal touchera à toutes ces spécialisations, et accueillera en outre le deuxième laboratoire Unity en intelligence artificielle, qui s'attèlera plus précisément à l'utilisation de l'apprentissage automatique. Cet outil sera utilisé pour faciliter la monétisation des jeux, par exemple en améliorant l'efficacité de la publicité dans les jeux gratuits. L'IA est également utilisée pour générer plus rapidement du contenu dans les jeux vidéo. Les 450 emplois annoncés seront bel et bien créés et pas simplement transférés des autres entreprises technologiques, assure le chef de studio. « Tous les bureaux [à Montréal] grandissent, note-t-il. Nous, on utilise nos réseaux pour aller chercher à l'extérieur, des fois à l'intérieur où on améliore des emplois existants, il y a les universités qui fournissent. » https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201906/10/01-5229553-montreal-herite-du-deuxieme-plus-gros-studio-unity-au-monde.php André Gauthier a MTLURB tatoué sur le coeur! 😛
  16. Unity Technologies crée 450 emplois à Montréal La techno d’origine danoise Unity Technologies créera plus de 450 emplois d'ici trois ans à Montréal, en plus d'ouvrir son laboratoire en intelligence artificielle dans la métropole, a annoncé l'entreprise lundi matin à ses bureaux du quartier Pointe-Saint-Charles. Francis Halin - Journal de Montréal «C’est un honneur que Unity soit reconnu pour ses retombées positives sur l’économie canadienne », a partagé André Gauthier, directeur du développement et chef du studio Unity à Montréal par communiqué. Unity a une trentaine de bureaux dans le monde. Elle est connue pour ses jeux vidéos mobiles comme Angry Birds, Pokemon Go ou encore Super Mario Run. De son côté, le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon, n'a pas manqué de souligner qu'il s'agissait de« création de 450 emplois bien rémunérés à Montréal» Montréal International Pour l'occasion, la ministre du Tourisme, des Langues officielles et de la Francophonie, Mélanie Joly, a réitéré son appui financier à Montréal International (MI) en ajoutant une aide de 350 000$ à l'organisation. « Avec l'expansion des programmes de financement de CanExport, le gouvernement continue d'appuyer les organismes de développement économique provinciaux et municipaux qui, comme Montréal International, jouent un rôle de premier plan pour attirer les investissements internationaux au Canada», a-t-elle souligné. https://www.tvanouvelles.ca/2019/06/10/unity-technologies-cree-450-emplois-a-montreal-1
  17. Hard racing not hard to call: Vettel’s Canadian GP win should have stood F1 connoisseurs were virtually unanimous in their views over the penalty that not only robbed Sebastian Vettel in Canada but also ruined a classic finish between the world’s best two drivers Richard Williams - The Guardian As a simmering Sebastian Vettel stalked into the room where the top three drivers in a grand prix wipe away their sweat and prepare to mount the podium, the only vacant seat was one under a large portrait of another Ferrari driver, a hero of the past. As well as being the man who gave his name to the circuit on which the Canadian Grand Prix had just been held, Gilles Villeneuve remains a symbol of motor racing at its most daring and flamboyant. Villeneuve was killed in 1982, halfway through his fifth season with the Italian team. He never won a world championship but Enzo Ferrari placed him alongside Tazio Nuvolari as the greatest of all those who had driven for him. Like Ferrari, the fans loved him for the way he allowed his emotions to show in his driving, for the way he would tear into the pits on three wheels, refusing to accept defeat, and – most of all – for the legendary duel with René Arnoux at Dijon over the last two laps of the 1979 French Grand Prix, the epitome of no-quarter wheel-to-wheel combat. “He’s off! He’s off! And he’s on again!” Murray Walker’s commentary that afternoon 40 years ago could have been transposed to Montreal on Sunday as Vettel’s mistake between turns three and four on lap 48 took him off the road, on to the grass, and back on to the asphalt in front of Lewis Hamilton, who was forced over the outside kerb as he braked to avoid hitting the Ferrari at around 120mph. Hamilton had been stalking Vettel all race, never more than a couple of seconds behind the leader, and pulling himself up to within a second – DRS range – when his adversary briefly left the track. Until then the final 20 laps had promised a classic battle for the chequered flag. But the news that the stewards had given Vettel a five-second penalty meant Hamilton just needed to stay close to secure the victory, which was how it turned out. Vettel’s subsequent tantrum was by no means the first of his career. Nor was Sunday’s mistake his first under pressure and no one would have been more aware of that than Hamilton. In motor racing, where overtaking is seldom easy, pressuring an opponent into making an error is a legitimate practice, one to which Vettel has proved himself vulnerable in the past. Nevertheless the instinctive reaction of those who have competed in the sport at the highest level or watched it for a long time was virtually unanimous. “The function of stewards is to penalise flagrantly unsafe moves, not honest mistakes as a result of hard racing,” Mario Andretti, the 1979 F1 world champion and a man of almost unequalled experience, tweeted soon afterwards. “No joy in watching this race, two champions driving brilliantly, will end in false result,” said Nigel Mansell, the champion of 1992. Damon Hill, who won the title in 1996, had a slightly more nuanced view: “My personal belief is that he could have left more room but … there was enough doubt to let them carry on.” Alex Wurz, a driver of more recent vintage, commented: “Was it sketchy? Yes. A penalty? Not in my view.” Yes, Vettel made a mistake, and Hamilton was obstructed as a result, but in regaining the track the German did nothing untoward. When his car came back off the grass , the instant bite of his 900-horsepower engine on the asphalt created a moment of oversteer which he could correct only with a touch of opposite lock on the wheel and a lot of throttle. Had he backed off to let Hamilton through, his car might have gone off in any direction, and probably into the wall. Those accusing him of premeditation may consider the words of Wurz, who noticed from the on-board footage that Vettel’s helmet did not move to look into his mirror until after the steering correction. For a champion, Vettel occasionally does stupid things, after which he tends to blame everyone else. Nine years ago in Istanbul he drove into the side of Mark Webber while trying to overtake his Red Bull teammate, costing them a one-two finish. In Baku two years ago, while Hamilton was leading the field behind the safety car, a petulant Vettel drew alongside and banged into him. Hamilton called that “a dangerous precedent for kids coming into the sport”. Sunday’s incident was not one of those. This was not an act of spontaneous aggression directed at an opponent. It was not Ayrton Senna bringing go-kart tactics into F1, taking revenge on Alain Prost by running him off the road at Suzuka in 1990. It was not Michael Schumacher first turning his crippled car into Damon Hill’s path in order to preserve his chance of winning the title in Adelaide in 1994 and then, in Jerez three years later, barging into Jacques Villeneuve with a similar intention. Among the stewards of Sunday’s race was Emanuele Pirro, a five-times Le Mans winner who started 37 F1 grands prix. He will have examined all the available evidence in the 10 minutes it took him and his colleagues to make their decision. Like VAR in football, the advent of punishment by stewards for indiscretions on the track was not universally welcomed. Given the way today’s drivers behave in cars and on tracks that insulate them from the consequences of their mistakes, it is not going to go away. But this time they got it wrong and Vettel, who is also halfway through his fifth season with Ferrari and desperate to win a title with the team, was the victim. https://www.theguardian.com/sport/blog/2019/jun/10/vettel-canadian-grand-prix-win-robbed-f1
  18. J'ai trouvé la photo suivante sur la page Wikipedia consacrée à Montréal. Elle date de septembre 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/Montréal#/media/Fichier:Montreal-2018-09-Pano-MBAM.jpg
  19. Malgré quelques petits pépins, comme par exemple la peinture sur le plancher des garages, le Grand-Prix s'est bien déroulé dans l'ensemble, même s'il s'est terminé dans la controverse. Un beau projet qui s'est concrétisé en un temps record. Je dis bravo à tous les responsables de cette formidable organisation! Voici quelques photos de la fin de semaine. Notez que les photos aériennes du circuit et de la ville de Montréal ont été vues par des millions de téléspectateurs à travers le monde. https://twitter.com/f1
  20. Normand Hamel

    Autoroute 35

    On annoncera le prolongement de l’autoroute 35, attendu depuis plus de 50 ans TVA NOUVELLES Les gouvernements du Québec et du Canada annonceront lundi un autre prolongement de l'autoroute 35 en Montérégie, a appris TVA Nouvelles. Il s’agit d’un troisième segment de 8,9 km qui reliera les municipalités de Saint-Sébastien à Saint-Armand. Ces travaux, évalués à près de 200 millions de dollars, comprennent la construction d’un pont qui enjambera la rivière aux Brochets, un pont d’étagement, un échangeur, des accotements, un terre-plein central ainsi qu’un carrefour giratoire à Saint-Armand. Deux voies par direction pourront être ainsi empruntées par les automobilistes. Une fois ce tronçon complété, il ne restera qu’un court segment de 4,5 km à construire entre Saint-Armand et la frontière américaine, au Vermont, pour compléter le lien autoroutier entre Boston et Montréal. Ce prolongement de l’autoroute 35 est attendu depuis plus de 50 ans dans la région. Il permettra notamment de réduire l’achalandage sur la route 133 et les inconvénients pour les résidents du coin, en plus d’encourager le développement économique. Selon des données du ministère québécois de l’Économie datant de 2016, «la Nouvelle-Angleterre figure parmi les régions américaines avec lesquelles le Québec effectue le plus d’échanges commerciaux». Ces échanges, dont 75 % se font par transport routier, se chiffrent à 13 milliards de dollars. https://www.journaldemontreal.com/2019/06/09/quebec-et-ottawa-annonceront-le-prolongement-de-lautoroute-35-1
  21. Effectivement, et la preuve c'est que lors de la dernière récession (2009) le Québec a continué de bien performer malgré une conjoncture défavorable. De plus, contrairement à l'Ontario le Québec a dans l'interval éliminé son déficit et a commencé à réduire son ratio dette/PIB, et a même réussi à réduire sa dette en valeur absolue. Tout cela mis ensemble confirme qu'il s'agit bien d'une amélioration structurelle de l'économie québécoise. Ce qui fait que même si une récession devait survenir on passerait sans doute au travers assez facilement.
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