Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. J'avais posté un article rapportant la nouvelle que Morningstar venait de racheter l'agence de notation DBRS. Cet article a été enlevé par un modérateur qui ne voyait sans doute pas de lien avec le présent fil de discussion. Or il y a un lien direct puisque dans mon avant dernier post sur ce fil le ministre des Finances du Québec discute justement de sa visite chez DBRS afin de les convaincre de relever la note de crédit du Québec comme les autres agences l'ont fait. L'enjeu est le suivant: Les diverses agences à travers le monde on rehaussé la note de crédit du Québec à AA et il y en a même une qui l'a relevée à AAA. Dans un même temps ces diverses agences on abaissé la cote de crédit de l'Ontario et celle-ci se trouve maintenant plus basse que celle du Québec. Par conséquent il coûte maintenant un peu plus cher à l'Ontario qu'au Québec pour emprunter sur les marchés. Parmi ces agences une seule est canadienne et c'est DBRS. Or elle se trouve à être également la seule à maintenir la cote de crédit du Québec à A. Par contre cette même agence maintient la cote de l'Ontario au dessus de celle du Québec malgré le fait que les finances du Québec soient en meilleur état que celles de l'Ontario qui accumule les déficits depuis dix ans maintenant. De plus, le ratio dette/PIB du Québec est à la baisse alors que celui de l'Ontario est la hausse. D'ailleurs le ratio du Québec est présentement quasiment au même niveau que celui de l'Ontario, sauf que le ratio de cette dernière ne s'en va pas dans la bonne direction et sera bientôt plus important que celui du Québec qui lui fond à vue d'oeil et se rapproche rapidement de celui du gouvernement fédéral. C'est donc pourquoi le ministre des Finances du Québec s'est rendu à Toronto pour essayer de comprendre les exigences de DBRS qui semble avoir des standards différents pour le Québec et l'Ontario. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201905/29/01-5228012-morningstar-rachete-dbrs-pour-669-millionsus.php
  2. L'ironie c'est que le pavillon Sanguinet "sera consacré aux programmes professionnels de cycles supérieurs et aux activités de l’École des sciences de la gestion." Il accueillera donc les étudiants à la maîtrise et au doctorat. De plus, "ce nouveau pavillon accueillera notamment des installations de pointe, des espaces de travail collaboratif, des services de coaching et de formation continue, des stages ainsi que des activités de réseautage." Les citations (entre guillemets) sont extraites de l'article suivant: https://www.actualites.uqam.ca/2018/debut--travaux-renovation-majeure-pavillon-sanguinet
  3. Pendant que l'Alberta entre en récession et que l'économie de l'Ontario ralenti, le Québec continue de bien faire.
  4. Ce qui est (ou était) prévu pour la rue Sanguinet devant le pavillon en question.
  5. Les deux images suivantes provenant de Street View nous montre le potentiel de ce bâtiment comme pavillon universitaire.
  6. I wrote on the 26th after midnight (27th) that the pictures had been taken three days ago, which indeed takes us back to the 23rd. And like you say no new pictures have been taken since. Is it because they don't want us to see how far behind they are? I watched the Monaco Grand-Prix this weekend on RDS and I noticed that they did not say a word about the new facilities and that is for me an indication that they might themselves be worried because that is where they will be working during the next Grand-Prix. And if we look at the first picture we see a bunch of desks above the garages and they look like they have just been unpacked and are most certainly still unplugged. But that is where the journalists of the world will be reporting from. 😳
  7. Il y avait plusieurs visiteurs sur le site dimanche après-midi.
  8. Ce que je vois sur les photos ci-jointes, prisent il y a trois jours environ par la caméra de chantier, n'a rien de rassurant. Ce qui laisse penser que lorsque les équipes de Formule 1 commenceront à arriver il y aura sans doute encore plusieurs travailleurs sur le chantier qui s'affaireront à apporter les dernières touches au nouveau bâtiment. Si la structure est terminée il semble rester beaucoup de travaux de peinture à faire; et possiblement aussi de l'électricité, de la plomberie et de la menuiserie. Et regardez bien juste à côté de la pelle mécanique à gauche de la première photo: je trouve inquiétant de voir tous ces rouleaux de fil électrique à une étape aussi tardive. Bref, ce sera la course avant la course!
  9. Le géant Google avait étudié 14 sites au Québec PIERRE COUTURE - Le Journal de Montréal Avant d’arrêter son choix sur Beauharnois, le géant mondial du web Google a étudié 14 sites potentiels au Québec pour accueillir ses centres de données. Des documents obtenus par Le Journal indiquent que plusieurs sites ont été « considérés » dans la grande région de Montréal et également dans la région de Trois-Rivières. Comme l’a rapporté lundi Le Journal, Google pourrait investir plus de 500 millions $ à Beauharnois au cours des prochaines années pour la construction de centres de données. Payant pour Hydro Les terrains appartenant à Hydro-Québec, à Beauharnois, apparaissent comme le meilleur choix en raison de leur proximité avec le réseau électrique de la société d’État et des délais de raccordement. La venue des centres de données de Google pourrait être payante pour Hydro-Québec. Une puissance de 185 mégawatts (MW) a été réservée sur son réseau pour répondre aux besoins de Google à Beauharnois, peut-on lire également dans le document. Un mégawatt peut alimenter jusqu’à 1500 foyers. Dézonage Le conseil municipal de Beauharnois a demandé la semaine dernière au gouvernement Legault d’adopter une loi spéciale pour permettre le dézonage des terrains d’Hydro-Québec. À Beauharnois, Hydro-Québec détient plus de 94 hectares de terrains (zonage agricole) pouvant accueillir éventuellement de gros joueurs provenant de l’industrie de stockage de données en infonuagique. https://www.journaldemontreal.com/2019/05/24/le-geant-google-avait-etudie-14-sites-au-quebec
  10. Google pourrait investir 500 millions $ à Beauharnois PIERRE COUTURE - Le Journal de Montréal Google aimerait s’installer à Beauharnois prochainement. Le géant mondial du web pourrait investir plus de 500 millions $ au cours des prochaines années pour la construction de centres de données, a appris Le Journal. Selon nos informations, les discussions entre Google, Hydro-Québec et le gouvernement du Québec seraient à un stade très avancé. Les nouveaux centres de données de Google seraient construits sur des terrains actuels d’Hydro-Québec à Beauharnois. À la Ville de Beauharnois, on marchait sur des œufs hier. « On est tenu au secret industriel. On a des clauses de confidentialité », a indiqué le directeur général de la Ville, Alain Gravel. Le conseil municipal de Beauharnois a demandé, le 13 mai dernier, au gouvernement Legault d’adopter une loi spéciale pour permettre le « dézonage » des terrains d’Hydro-Québec. Le maire de Beauharnois, Bruno Tremblay, a évoqué, le même jour, la venue d’une entreprise dans « le monde de la donnée » très « énergivore ». À Beauharnois, Hydro-Québec détient plus de 94 hectares de terrains (zonage agricole) pouvant accueillir éventuellement des gros joueurs provenant de l’industrie de stockage de données en infonuagique. Chez Hydro-Québec, personne n’a voulu commenter le dossier. « Hydro-Québec ne confirme l’identité d’aucune entreprise dans ce dossier, les informations sont confidentielles », a laissé entendre un porte-parole de la société d’État, Cendrix Bouchard. Google muette Chez Google, comme à l’habitude, c’était motus et bouche cousue hier. « On ne commente pas les rumeurs ni les spéculations », a fait savoir le porte-parole de l’entreprise, Aaron Brindle. Déjà présente à Montréal, Google entend accélérer sa croissance au cours des prochaines années en possédant ses propres centres de données. Actuellement, l’entreprise californienne héberge ses données dans différents centres situés dans la région de Montréal. L’an prochain, Google emménagera dans des nouveaux locaux deux fois plus grands dans le Quartier international, rue Viger Ouest, en face du siège social de la Caisse de dépôt. Google prévoit d’ailleurs doubler le nombre d’employés dans la métropole, passant à plus de 300 au cours des prochaines années. Des tarifs alléchants Le tarif d’électricité payé par Google pour faire rouler ses installations à Beauharnois sera très alléchant. Au Québec, le tarif d’électricité pour les centres de données est réglementé par la Régie de l’énergie. Dans le meilleur des cas, ce tarif peut atteindre 3,98 cents du kilowattheure. La venue de centres de données de Google à Beauharnois pourrait être payante pour Hydro-Québec. Une puissance de plus de 100 mégawatts (MW) aurait été réservée sur son réseau pour répondre aux besoins de Google à Beauharnois. Une quarantaine de centres Hydro-Québec dit fournir de l’électricité à une quarantaine de centres de données au Québec. Ces centres comptent sur une puissance appelée de 80 MW. La société d’État dit avoir une capacité pour fournir jusqu’à 800 MW à des centres de données au Québec. https://www.journaldemontreal.com/2019/05/21/google-souhaite-sinstaller-a-beauharnois
  11. Valérie Plante ne ferme pas la porte à un éventuel retour de la formule E Romain Schué - Radio-Canada La formule E pourrait-elle faire un jour son retour à Montréal, mais sur le circuit Gilles-Villeneuve? Après avoir décidé d'annuler les nouvelles éditions de cette compétition de véhicules électriques qui s'est déroulée en 2017 dans les rues de la métropole, la mairesse Valérie Plante ne ferme pas la porte à un éventuel retour. « Pour l’instant, on n’envisage pas nécessairement le retour de la formule électrique, mais qui sait? », a lancé mercredi Valérie Plante, au cours d’une conférence de presse menée dans les nouvelles installations du circuit Gilles-Villeneuve. Quelques semaines après son arrivée au pouvoir, à l’automne 2017, la mairesse de Montréal avait dénoncé un « fiasco financier » en décidant de mettre un terme à l’entente liant la Ville à l’organisateur de cette compétition. Deux nouvelles éditions restaient alors au programme, avec une option pour un renouvellement de trois autres courses. « Le plus gros problème, c’est que ça avait été fait de façon précipitée. On n’avait pas de plan d’affaires et on allait à l’encontre de la volonté de la population qui ne souhaitait pas avoir une formule électrique en plein milieu du centre-ville, qui venait paralyser complètement le centre-ville de Montréal », a exposé Valérie Plante. Cette dernière rappelle qu’elle a toujours soutenu l’organisation de cet événement sur le circuit Gilles-Villeneuve, qui « était adapté ». « Si c’est pertinent et si c’est bien fait », Montréal pourrait être intéressée à organiser de nouvelles éditions, a-t-elle indiqué, tout en restant prudente et en précisant que les Montréalais ont toujours « au travers de la gorge » cette « facture salée ». « En ce moment, tous les Montréalais ont été échaudés par la façon dont la formule électrique a été mise de l’avant, par le manque de montage financier, par le manque d’étude d’impact, par la non-écoute de la précédente administration envers les besoins des citoyens ». ajoute-t-elle. Une procédure judiciaire toujours en cours Au terme de cette première et unique édition dans les rues de l'arrondissement de Ville-Marie en juillet 2017, un déficit de plus de 13 millions de dollars avait été révélé par Montréal c’est électrique, l’organisme sans but lucratif mis sur pied par la précédente administration municipale pour gérer cet événement. Au total, 45 000 personnes avaient assisté à ces deux journées de course, mais seulement 15 000 billets avaient été vendus. Par la suite, le promoteur Formula E Operations (FEO), avait attaqué en justice la Ville de Montréal et Valérie Plante. Dans un premier temps, il avait réclamé 33 millions de dollars, avant de revoir ce montant à la baisse (environ 25 millions). Un accord pourrait-il être proposé par la Ville, avec l’organisation de ces courses, sur ce circuit qui accueille également la formule 1? « Étant donné que nous sommes présentement en cour, je ne vais pas m’étendre davantage sur les stratégies ou les possibles solutions. On va laisser nos avocats discuter », répond Valérie Plante. Une option déjà étudiée par l’administration Coderre Organiser la formule électrique sur le circuit Gilles-Villeneuve était déjà une option qui avait été étudiée par l’administration de Denis Coderre, selon les informations obtenues par Radio-Canada. Un tel scénario ne pouvait cependant pas voir le jour avant la rénovation des paddocks. Le circuit actuel de 4,3 km aurait néanmoins dû être raccourci pour permettre aux batteries des véhicules de se recharger. https://ici.radio-canada.ca/sports/1169990/montreal-plante-retour-formule-electrique
  12. Sun Life confirme l'achat du 1250, René-Lévesque ANDRÉ DUBUC - La Presse L'assureur-vie canadien a confirmé mercredi matin l'acquisition d'une des plus prestigieuses tours de bureaux du centre-ville de Montréal : le 1250, boulevard René-Lévesque Ouest. « Il s'agit de l'une des plus importantes acquisitions à ce jour pour la Sun Life et le Fonds Immobilier Canadien Prime et elle représente nos perspectives positives continues pour le marché immobilier commercial de Montréal. Le 1250, René-Lévesque est l'une des prestigieuses adresses commerciales et symbole architectural du Canada, situé et bien connecté à un centre-ville en plein essor », dit, dans un courriel, Paul Zemla, président de la gestion des investissements et directeur des investissements de Bentall Kennedy. L'acquisition du 1250, René-Lévesque se fait par Bentall Kennedy, au nom de son Fonds Immobilier Canadien Prime, et par la Sun Life. Le prix d'achat n'a pas été divulgué. D'après nos informations, publiées lundi dernier, le prix d'achat ne dépasse pas les 605 millions de dollars. Le rôle d'évaluation foncière de la Ville de Montréal attribue une valeur de 418 millions de dollars au 1250, boulevard René-Lévesque Ouest. Sa facture de taxes municipales s'élève à 15 millions. Construit en 1992, la tour de 47 étages compte plus d'un million de pieds carrés de bureaux et près de 30 000 pi2 de commerces. Le gratte-ciel dispose de 900 cases de stationnement intérieur et est connecté au réseau souterrain de Montréal. Les courtiers sont CBRE et RBC. Les vendeurs sont Oxford et Investissements PSP. Oxford appartient à OMERS, la caisse de retraite des employés municipaux de l'Ontario, tandis que PSP est le gestionnaire d'actifs des régimes de retraite des fonctionnaires fédéraux. Investissements PSP est également le principal locataire de la tour. Les autres locataires majeurs sont PwC, le Collège des médecins et Air Liquide Canada. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201905/15/01-5226237-sun-life-confirme-lachat-du-1250-rene-levesque.php
  13. Artificial intelligence research leading to new applications The Globe and Mail AS A SOLUTION-DRIVEN TECHNOLOGY, artificial intelligence (AI) has a wide range of real-world applications, from financial services and insurance fraud detection to developing smart wearables to government decisionmaking. It is a field where a combination of academic freedom to explore plus support from the institutions and public investments in research and advanced research computing has enabled Canada to take a leadership role, says Roseann O’Reilly Runte, president and CEO of the Canada Foundation for Innovation, an organization working to ensure Canadian researchers have the tools they need to push the frontiers of knowledge. “Twenty years of investment in state-of-the-art infrastructure has allowed us to develop massive computing capacity in Canada,” says Dr. Runte. “This was key to developing the codes and algorithms that fuelled the ambitions of researchers like Dr. Yoshua Bengio, Dr. Geoffrey Hinton and others across the country who are world leaders in many areas of AI.” At the Université de Montréal (UdeM), AI research and innovation takes place under the leadership of deep learning pioneer Yoshua Bengio within three organizations: Mila - Quebec Artificial Intelligence Insitute, Institute for Data Valorization (IVADO), and Laboratoire d’innovation. “The innovation landscape is changing – everything is happening so fast, and complex problems are being tackled and generated at the same time, because of AI,” says Dr. Marie-Josée Hébert, vice-rector of research, discovery, creation and innovation at UdeM. The innovations made possible today by AI are the stuff of science fiction. At Mila, for instance, scientists have developed computer vision-based technology to help visually impaired users get around in their homes and outside in their communities. These next-generation intelligent GPS devices can pinpoint, in real-time, sidewalks, stoplights, buildings, trees and other structures that pedestrians either need to avoid or to note as navigational markers. “This is just one example of how AI technology like computer vision can help people with disabilities by enhancing their mobility,” says Dr. Hébert. “It’s something we’re very proud of.” AI is doing more than accelerating innovation; it’s also transforming the way researchers work and reframing the conversation around how science should be advanced. In the past, says Dr. Hébert, scientists often worked in isolation in their labs, and it was only when their work was about to be turned into real life applications that other stakeholders would get involved. Today, AI researchers work with scientists and academics from other disciplines, as well as with industry, government and members of the public. “It’s an approach to innovation that works to maximize the impact of new knowledge by having all stakeholders working collaboratively from different angles and at a very early stage in the process,” says Dr. Hébert. “For example, at our university, you’ll see our computer scientists working closely with scientists in the field of neuroscience, and collectively they’ll be interacting with companies, from startups to big corporations.” UdeM’s AI scientists also work with scientists at other universities and colleges in Canada and beyond, adds Dr. Hébert. These other schools include McGill University, University of Toronto, Oxford University, Peking University and Université de Genève. “We need to join forces with other institutions and stakeholders who, like us, are working to increase the capacity of AI to improve people’s lives,” says Dr. Hébert. Dr. Runte agrees, “At its core, AI needs to bring together researchers from many disciplines to determine how these tools can be used in a way that is most beneficial to society. This includes social scientists who can examine the ethical, legal and social impacts of the technology.” Because of its transformative power and its ability to support and supplant decision-making by humans, AI needs to be developed within a carefully considered ethical and regulatory framework, says Dr. Hébert. Towards this end, UdeM held comprehensive public consultations and discussions to create the Montreal Declaration for a Responsible Development of Artificial Intelligence. Launched last December, the Montreal Declaration addresses the ethical challenges and social risks posed by autonomous systems and sets out 10 principles to guide the development of AI towards “morally and socially desirable ends.” Dr. Hébert says the declaration was entirely a group effort involving such groups as scientists, sociologists, legal experts and philosophers, working together with members of the public. So far 1,374 citizens and 41 organizations have signed the Montreal Declaration, which has also caught the attention of researchers and policy-makers outside Montreal. “The declaration has become a guide for innovation and part of the toolkit for AI,” says Dr. Hébert. “Other countries want to see the Montreal model, so we have a large number of visitors from Europe and Asia who want to see how our model is developing. We’re glad to see that people are paying attention, because AI is here, and we all need to be proactive in providing a clearer landscape for this field.” https://www.theglobeandmail.com/business/adv/article-artificial-intelligence-research-leading-to-new-applications/
  14. Un centre de préparation de commandes de 150 M$ à Montréal La métropole va accueillir l’un des plus gros centres de préparation de commandes au pays grâce à un investissement de 150 M$ réalisé par deux compagnies, Drakkar et Wiptec. Ce centre de préparation, qui générera au moins 1000 emplois, est une excellente nouvelle pour de nombreuses petites ou moyennes entreprises du Québec, car leurs commandes en ligne pourront désormais être confiées à des experts. «La beauté, c’est de rendre disponibles et accessibles, aux petites et aux moyennes entreprises, des infrastructures, des technologies, des processus et des outils qui vont leur permettre de compétitionner les plus grands joueurs du commerce en ligne», a expliqué mercredi Michel Blaquière, président et chef de l’exploitation de Drakkar, en entrevue avec TVA Nouvelles. Cet investissement de Drakkar et de Wiptec permettra à de nombreuses compagnies québécoises de développer leur plein potentiel de vente. «Vous passez de vous préparer des commandes, à gauche et à droite dans un sous-sol, à une “business world class”. Vous vous propulsez, vous pouvez ouvrir tous vos canaux de vente. Ça peut être un grand accélérateur de croissance», a ajouté Martin Ball, président de Wiptec. Le lieu de ce centre de préparation de commandes, qui sera d’une superficie d’un million de pieds carrés, n’a pas encore été dévoilé. https://www.journaldemontreal.com/un-centre-de-preparation-de-commandes-de-150-millions--a-montreal
  15. On dirait que pour la structure du plafond ils ont utilisé du bois recyclé car on voit de grosses marques sur les travers. À moins qu'il y ait un lien avec le fait qu'ils ont dû refaire le plafond cet hiver car apparemment il n'avait pas été construit selon les règles de l'art. On a même carrément changé de contracteur pour la reprise des travaux.
  16. Les paddocks complétés à « 96 ou 97 % », dit François Dumontier ALEXANDRE GEOFFRION-MCINNIS - La Presse Canadienne À l'image du printemps, la fin des travaux aux nouveaux paddocks du circuit Gilles-Villeneuve tarde à se concrétiser. Mais qu'à cela ne tienne, le promoteur du Grand Prix de Formule 1 du Canada, François Dumontier, a assuré mercredi que tout sera prêt à temps pour l'événement, qui aura lieu du 7 au 9 juin. Dumontier était accompagné pour l'occasion de nombreux dignitaires, dont la mairesse de Montréal, Valérie Plante, et le grand patron de la Formule 1, Chase Carey, pour l'inauguration des nouvelles installations. Entre les bruits de marteaux et les coups de scies rondes - sans compter la manifestation du Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal en trame de fond -, Dumontier a tout de même tenu à assurer que les travaux étaient « certainement complétés entre 96 et 97 % ». Le patron d'Octane Management a admis que la construction avait pris du retard à cause de l'hiver particulièrement rude et aussi à cause de certains travaux non conformes - notamment au toit, qui est maintenant réparé -, mais a assuré que tout est maintenant en ordre. Rappelons que les travaux devaient initialement être complétés au plus tard le 30 avril. Ces pépins n'ont pas paru préoccuper Carey, qui s'est dit impressionné par les nouvelles installations. Il les a d'ailleurs qualifiées de « tout à fait spectaculaires ». Par ailleurs, la présence de l'homme d'affaires québécois Pierre-Karl Péladeau a retenu l'attention pendant la conférence de presse. Dumontier a assuré que sa présence n'était pas attribuable à l'absence d'un commanditaire principal pour l'événement ni à l'arrivée à échéance des droits de télédiffusion des épreuves de F1 à la fin de la présente saison. https://auto.lapresse.ca/course-automobile/201905/15/01-5226208-les-paddocks-completes-a-96-ou-97-dit-francois-dumontier.php
  17. Et leur situation ira en s'améliorant car le gouvernement actuel est en train de réparer l'erreur du gouvernement précédent qui a eu la mauvaise idée de moduler les frais de garderie en fonction du revenu.
  18. Oui mais toi aussi tu gagnes un gros salaire. Les statistiques dont je t'ai déjà parlées concernent l'ensemble des familles et pas seulement les gens riches. Les études en question portents une attention particulière à l'écart des frais de garderie qui dans bien des cas est supérieur à 8,000$ par année. Et l'écart avec l'Ontario s'grandit avec le nombre d'enfants. Pour l'instant l'Ontario avantage encore les gens riches car les choix de société qui sont faits dans le ROC, tout comme aux États-Unis, sont axés sur l'individu plutôt que sur la collectivité comme au Québec.
  19. That is exactly what I was doing when I wrote the following: It's a question of balance and right now both Ontario's budget and Québec's are not balanced: in Ontario the taxes are too low and here they are too high. ⚖️
  20. Oui mais toi tu gagnes un gros salaire et tu es célibataire. Comme je lai expliqué ce sont ceux qui élèvent une famille, ainsi que les jeunes de 25-34 ans, qui ont la vie plus facile au Québec qu'en Ontario lorsque l'on considère l'ensemble de la situation et pas seulement le niveau de taxation. Pour comprendre ce que je dis il faut juste s'imaginer un instant que le niveau de taxation serait le même en Ontario et au Québec: tout le monde voudrait déménager au Québec parce qu'il leur resterait beaucoup plus d'argent dans les poches à la fin de l'année malgré le fait qu'ils payeraient le même montant d'impôt.
  21. Ils payent peut-être moins de taxes en Ontario mais cela leur coûte plus cher pour acheter une maison; pour envoyer leurs enfants en garderie et plus tard à l'université; pour assurer leur voiture et/ou acheter une auto électrique; ils payent également leur électricité deux fois plus cher. Il y a certes beaucoup de gens riches, voire très riches, en Ontario. Mais les jeunes de 25 à 34 ans ont de la difficulté à joindre les deux bouts. La situation est très difficile aussi pour les familles. Au Québec les jeunes s'en tirent beaucoup mieux et c'est la même chose pour les familles. Mais s'il y a encore certaines personnes qui croient que c'est mieux en Ontario je les invite à aller vérifier par eux-mêmes.
  22. That is indeed what they want to do, but not until the last year of their current mandate. In other words the year before the next election. 🎁 It's a no-brainer. As for Ontario, perhaps their taxes are too low and that would explain why their national debt is increasing faster than the rating agencies would like to see. 💣 To have low taxes is certainly very good for the middle class and to a certain extent it is also good for the economy because it increases consumer spending, which however is not so good for the environment. It's a question of balance and right now both Ontario's budget and Québec's are not balanced: in Ontario the taxes are too low and here they are too high. ⚖️ For what it's worth, here is what I expect: In five years from now our taxes will have been brought back to a more competitive level while Ontario will still be struggling with a huge deficit. I know that the Ontario deficit is supposed to be eliminated in five years from now if everything works according to plan, but I would not be surprised if a recession was forthcoming. 🌋 And that actually explains why Éric Girard is so prudent: our finance minister wants to lower our national debt as much as possible before a recession hits. 💸
×
×
  • Créer...