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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. If you are talking about the 11th picture it would likely be what we see on the following rendering. However it wouldn't be across the street but across the track.
  2. Voici quelques photos (surtout de l'intérieur) prises sur le site web du Campus MIL. Elles datent du mois d'avril dernier. J'ai fait une sélection (15 sur 30). Vous pourrez voir les autres en cliquant sur le lien suivant: https://campusmil.umontreal.ca/portfolio_page/nouvelles-chantier-mars-avril19/
  3. Merci de m'en informer car j'étais convaincu du contraire. Je me demandais d'ailleurs pourquoi je recevais des downvotes car ceux qui le font ne prennent pas toujours le temps d'expliquer leur geste.
  4. L’île Sainte-Hélène, un lieu militaire stratégique https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/matinale-ete/segments/chronique/125195/histoire-historienne-ile-sainte-helene-la-ronde-militaire-armee-britannique-juif-fasciste-antifasciste-musee-stewart-fort
  5. Avoir des parcs ne nous empêche pas d'avoir des toits verts. Cependant je préférerais des incitatifs plutôt que de rendre cette mesure obligatoire. Car ce qui était devenu absolument nécessaire à Toronto l'est peut-être moins à Montréal. Car si le toit blanc a une incidence directe sur la température le toit vert lui a également une incidence sur la qualité de l'air en plus de la température. Mais comme nous avons déjà plusieurs parcs à Montréal le besoin se fait moins criant. Cela dit, la Ville devrait quand même planter un maximum d'arbres et continuer de créer le plus de parcs possibles, tout en adoptant des mesures incitatives pour les toits verts avec des mesures incitatives également en ce qui concerne la couleur des toits déjà construits et l'obligation d'avoir des toits blancs ou verts pour les nouvelles constructions. Donc l'obligation serait accompagnée d'un choix.
  6. À Montréal il y a plusieurs parcs, ce qui n'est pas le cas à Toronto.
  7. Cela est une très bonne suggestion en ce qui concerne les constructions existantes mais je crois que pour les nouveaux bâtiments il existe déjà de nouvelles mesures à cet effet.
  8. Sur la première photo ci-haut on peut observer qu'il commence à y avoir de plus en plus de toits blancs à Montréal. À ce temps-ci de l'année c'est bienvenu!
  9. Québec investit plus de 23 millions pour développer l'IA Québec a annoncé lundi l'attribution d'une aide financière de 23,4 millions, répartie jusqu'en 2023, à SCALE AI, un pôle d'investissement axé sur l'application de l'intelligence artificielle. La Presse Canadienne SCALE AI (Supply Chain And Logistic Excellence Artificial Intelligence) compte soutenir des projets de formation d'une valeur totale de 46,8 millions sur une période de quatre ans, à raison de 11,7 millions par année. Ainsi, l'aide du gouvernement représente 50 % de l'investissement global, ce qui correspond à 5,58 millions pour chaque année financière de 2019-2020 à 2022-2023. Dans un premier temps, le projet visera la formation d'une cinquantaine de spécialistes, qui, par la suite, offriront un apprentissage sur mesure à des entreprises pour mettre en oeuvre des projets d'accroissement de la productivité liés à l'utilisation de l'intelligence artificielle. Ensuite, une formation standardisée sera donnée à des travailleurs provenant de divers milieux de travail. Celle-ci sera offerte par des universités, des cégeps, des OBNL et des formateurs privés à tout travailleur souhaitant développer des compétences liées à l'intelligence artificielle. Au terme du projet, plus de 20 000 professionnels et spécialistes auront suivi ces formations. Le ministre du Travail, Jean Boulet, a expliqué par voie de communiqué que « le projet de SCALE AI permettra la mise en place de solutions concrètes pour compenser la rareté de la main-d'oeuvre et offrir des formations de pointe pour tous les secteurs économiques du Québec ». SCALE AI est composé de 78 entreprises de toutes tailles et de tous les secteurs d'activité et compte 40 partenaires provenant de différents milieux. Plus de 1150 scientifiques en sciences des données, en intelligence artificielle et en recherche opérationnelle participent à ce consortium. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201907/15/01-5233985-quebec-investit-plus-de-23-millions-pour-developper-lia.php
  10. D'abord une petite mise au point: Je cite l'article en question: "C'est ainsi que [Ananda Devices] a mis au point des moules en silicone dans lesquels, grâce à des nanotechnologies, des neurones de patients sont guidés pour arriver à se connecter comme dans le cerveau humain." Cela me semble une mauvaise traduction car selon moi il s'agit plutôt de silicium (puces en silicium ou silicone chips). Je cite à nouveau l'article: « On a de nombreux éléments clés pour être au top de l'innovation, mais où vendent les start-up québécoises ? À Boston, à Los Angeles, au Mexique, en Europe. Non seulement le marché est petit au Québec, mais la culture d'adoption de l'innovation n'est pas comme à Amsterdam, à Londres et dans les grandes villes américaines. On pourrait faire mieux. » Cela revient à ce que je disais: au Canada en général, et au Québec en particulier, nous ne sommes pas portés à adopter rapidement les nouvelles technologies (comme le font nos voisins américains) afin d'améliorer notre productivité. Or ce que nous offre la jeune pousse Ananda Devices c'est une nouvelle technologie beaucoup plus productive que les techniques traditionnelles (animaux de laboratoire) qui permet d'arriver à des résultats plus rapidement et plus efficacement. C'est le principe même de la productivité et cela repose sur l'innovation. Reste à savoir pourquoi nous somme si lents à adopter les nouvelles technologies. Malheureusement je n'ai pas d'explications satisfaisantes à offrir. Cependant je rappelle que le gouvernement s'affaire à y remédier.
  11. Il pourrait s'agir d'un phénomène culturel dans la mesure où au niveau de la productivité il existe une différence énorme entre le Canada et les États-Unis. Or c'est l'innovation qui se trouve derrière les gains de productivité. Mais culturel ou non il y a certainement une conscientisation à faire au Canada, et plus particulièrement au Québec, au niveau de l'importance de l'innovation pour l'augmentation de la productivité. Les Américains sont beaucoup plus enclins que nous à adopter des méthodes et des procédés qui leur permettront d'être plus productifs. En ce qui concerne les autres conditions qui doivent être présentes (pour reprendre tes mots) il est bon de savoir que le gouvernement a pris des mesures concrètes pour assister techniquement et financièrement les entreprises du Québec à améliorer leur productivité en ayant recours à l'innovation. Je crois d'ailleurs que le gouvernement suit ce dossier à l'aide de métriques préétablies qui lui permettront de suivre presqu'en temps réel les gains en productivité des entreprises québécoises. C'est que outre l'immigration l'autre moyen de répondre aux besoins de main d'oeuvre est justement de réduire ces besoins en remplaçant certaines tâches par des machines ou des robots. C'est de cela qu'on parle lorsque l'on parle d'innovation.
  12. Explosion attendue en santé et sciences de la vie Le milieu des jeunes pousses bouillonne dans différents domaines technologiques, mais quelques-uns annoncent littéralement une explosion imminente. C'est le cas du secteur de la santé et des sciences de la vie. La Presse « Il y a un énorme potentiel à Montréal en sciences de la vie, où on voit une collision entre différents domaines, comme la micro et la nanotechnologie, la biologie de synthèse, la génomique, la chimie et la bio-informatique, qui amènent de réelles innovations », affirme Xavier-Henri Hervé, directeur de District 3, le centre d'innovation et d'entrepreneuriat de l'Université Concordia. Ce n'est pas un hasard si la métropole a pris cette place enviable dans le domaine sur l'échiquier mondial. « Le Québec et le Canada ont beaucoup investi en recherche, Montréal a autant d'étudiants au doctorat que Boston et cela crée une mine d'or en matière de savoir-faire, explique M. Hervé. Puis, il s'est construit tout un écosystème pour les start-up dans les dernières années. » La recherche derrière la jeune pousse Les start-up du domaine de la santé et des sciences de la vie sont même souvent le fruit de plusieurs années de recherche en laboratoire. C'est le cas d'Ananda Devices, une entreprise fondée par Margaret Magdesian, une pharmacologue et biochimiste qui a été professeure invitée et chercheuse associée à l'Université McGill pendant plusieurs années avant de lancer son entreprise. Son groupe de recherche a travaillé en collaboration avec l'Hôpital neurologique de Montréal pendant environ huit ans pour découvrir comment reconnecter des neurones. Cette découverte a permis de publier un article scientifique dans The Journal of Neuroscience et elle s'est taillé une place dans le palmarès des 10 découvertes de l'année 2016 du magazine Québec science. « La découverte pouvait avoir de nombreuses applications dans l'industrie et je me suis dit que si je voulais vraiment avoir de l'impact, je devais me lancer en affaires. » – Margaret Magdesian C'est ainsi qu'elle a mis au point des moules en silicone dans lesquels, grâce à des nanotechnologies, des neurones de patients sont guidés pour arriver à se connecter comme dans le cerveau humain. « Traditionnellement, les sociétés pharmaceutiques testent leurs médicaments sur des modèles animaux, mais ça ne fonctionne pas très bien pour les maladies neurologiques parce qu'ils ne répondent pas de la même façon que les humains, explique-t-elle. Avec notre technologie, les tissus neuronaux grandissent 60 fois plus rapidement que dans l'humain, donc ça accélère aussi la recherche lorsqu'on veut tester des médicaments qui agissent sur les neurones. » Adoption des nouvelles technologies De nombreux chercheurs dans différentes universités du monde ont déjà adopté les moules d'Ananda Devices. Des entreprises de l'industrie des cosmétiques, qui ont énormément de pression des consommateurs pour cesser leurs tests sur des animaux, commencent aussi à prendre le train. « Pour les grandes entreprises pharmaceutiques, la prise de décision est plus longue et c'est la même chose avec les gouvernements », précise Margaret Magdesian. Si District 3 travaille sur des projets avec plusieurs partenaires très proactifs en innovation comme Montréal InVivo, Génome Québec, la Ville de Montréal et des organisations paragouvernementales, Xavier-Henri Hervé constate que la culture d'adoption gagnerait à être bonifiée au Québec. « On a de nombreux éléments clés pour être au top de l'innovation, mais où vendent les start-up québécoises ? À Boston, à Los Angeles, au Mexique, en Europe. Non seulement le marché est petit au Québec, mais la culture d'adoption de l'innovation n'est pas comme à Amsterdam, à Londres et dans les grandes villes américaines. On pourrait faire mieux. » https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/201907/08/01-5233169-explosion-attendue-en-sante-et-sciences-de-la-vie.php
  13. Est-ce qu'on sait ce qu'il adviendra de cet espace public lorsque les travaux d'infrastructures seront complétés?
  14. Some on this thread? I had asked you for citations so that we know exactly what you are talking about. If you did not oblige it is because you couldn't. For no one ever said that. My own argument is that because of the massive exodus of anglophones from Québec to Ontario the latter benefited greatly from it while it was highly detrimental for the former. And the reason I brought this in the first place is because if most people recognize that it was detrimental for Québec's economy few appreciate how beneficial it was for the development of Toronto. Especially in view of the fact that this was happening around the same time Mirabel opened, which by itself was not very good for Montréal as an aviation hub. A lot of damage was done in the process and it took a long time to repair it. As for the révolution tranquille 2.0, I don't understand the connection you are making with the departure of the anglos. It would be more accurate to say that it happened in spite of the departure of the anglos. But I shouldn't use past tense because RT 2.0 as we understand it is a recent phenomenon that is currently unfolding in all its glory. Here is how I interpret History: RT 1.0 started when Maurice Duplessis died in 1959 and ended sometime before the PQ was first elected in 1976. As for the RT 2.0 we are discussing here I would arbitrarily say that it started when the PLQ was elected in 2003. For this long stretch that went nearly uninterrupted for 15 years allowed a new generation of Québécois to express its full potential. However, between RT 1.0 and RT 2.0 it was total chaos: manufacture closing, head offices moving, massive exodus of people and capital, political turmoil, social instability, population anger and just like in 1849 the incendiary editorials of The Gazette. But if we start RT 1.0 in 1963 like I did in a previous post, and start RT 2.0 in 2003 like I am doing now, it covers a period of 40 years, which represents two generations of Québécois. Now, for someone with a limited knowledge of History it is impossible to appreciate the progress that was made since the Grande Noirceur period. And for that person it would also not be possible to understand what RT 2.0 represents in the minds of those who are entertaining this interpretation of History. There is also the age factor. For someone below the age of 40 it means this person would have been born around the time of the first referendum or later. RT 1.0 was already behind us at that time. Providing that person understands what the révolution tranquille was in the first place. Which does not appear to be the case here.
  15. Expo 95 (sort of) qui s'est tenue sur l'île Sainte-Hélène en 1895.
  16. Terre des Hommes existe toujours, ils ont juste changé le nom. On appelle ça Espace 67 maintenant. Welcome back to the future! 😜
  17. I don't understand why you are saying this. If you can, please submit citations that we can examine so that in return we can explain to you what we are saying that obviously you misinterpreted. For I don't see anything in what was previously said that would support your statement.
  18. Effectivement cette image date du 3 juillet dernier et aucune image plus récente n'est disponible. Peut-être qu'ils considèrent que le chantier est terminé et que ce sera la dernière image provenant de la caméra de chantier. Quoiqu'il en soit cela ne nous dit pas ce qu'ils ont l'intention de faire avec ce bout de terrain stratégiquement positionné. Mais quand je regarde ce magnifique amphithéâtre naturel qui fait maintenant partie de cet extraordinaire écosystème formé de deux grandes îles au milieu du Saint-Laurent, et faisant face à l'une des plus belles villes du Canada, je me dis qu'on est chanceux en maudit à Montréal d'avoir un tel site!
  19. Même si Espace 67 est officiellement ouvert il semble rester certains travaux à exécuter comme on peut le constater en bas de l'image de la caméra de chantier du côté des piscines. Pour le reste la vue d'ensemble est vraiment formidable.
  20. Le Humaniti tel que vu par la caméra de chantier de l'Îlot Balmoral ce matin.
  21. It is very comforting and also quite reassuring to hear an Anglo speak this way. What I would like more people to understand is how beneficial for Ontario was this massive migration from Québec that arrived there highly educated and often with tons of money. But like you say it was at the same time highly detrimental for the economy of Québec and that is not even taking into account business investment which diminished drastically in the wake of the political turmoil that lasted almost 40 years (two generations). But phase 2 of the révolution tranquille is now taking us to as new level of prosperity. And like it was when it all started we once again live in a very dynamic economic environment.
  22. Effectivement et c'est pourquoi @Fortier avait raison de parler de révolution tranquille phase 2. Car en effet il s'agit bien d'une nouvelle phase de cette révolution qui est la résultante de toutes les mesures qui ont été mises en oeuvre dans la phase 1 pour sortir le Québec de la Grande Noirceur. C'est qu'à l'instar de Rome le Québec moderne ne s'est pas bâti en un jour. Je salue particulièrement la vision de Jean Lesage, René Lévesque et Robert Bourassa qui ont été les principaux acteurs de cette révolution qui n'était pas si tranquille que ça après tout. Il n'y a pas de plus beau symbole de cette révolution qu'Hydro-Québec. Lévesque a poussé son gouvernement à nationaliser l'électricité et Lesage a eu la sagesse (c'est le cas de le dire) de le laisser faire. Puis Bourassa a repris la balle au bond et a lancé le projet de la Baie James alors que le PQ croyait que l'on devait plutôt se lancer dans l'aventure du nucléaire. D'ailleurs je me souviens avoir entendu Jacques Parizeau dire que si on ne faisait rien on allait manqué le bateau du nucléaire. Eh bien heureusement qu'on l'a manqué ce bateau car il a depuis coulé à pique et a entraîné la faillite d'Ontario Hydro en 1999. Cette société d'état est aujourd'hui disparue et les restants ont été partiellement privatisés. Je vois une certaine ironie dans cette faillite car c'est ce même Jacques Parizeau, alors haut fonctionnaire du gouvernement, qui en 1963 est allé à New York pour tenter d'obtenir le financement requis pour la nationalisation de l'électricité parce que le syndicat financier de la rue Saint-Jacques (St. James comme on l'appelait à l'époque) refusait alors de le faire pour ne pas déplaire à ses amis qui ne voulaient pas se départir de leurs compagnies d'électricité. Jacques Parizeau avait alors essayé de convaincre les financiers américains qu'ils n'étaient pas des socialistes (on n'était pas bien loin à ce moment là de l'époque du maccarthysme). Mais les financiers new-yorkais ont fait comprendre à Parizeau que l'Ontario, qui n'était pourtant pas reconnue pour être une province socialiste, avait procédé à la nationalisation de son électricité dès 1906.
  23. En temps normal c'est vrai. Sauf que ce qui s'est passé au Québec depuis la révolution tranquille n'a rien de normal du point de vue des investisseurs. Il y a d'abord eu le FLQ qui a fait exploser des bombes à Montréal dans les années 60 et qui a mené au kidnaping d'un délégué commercial d'origine britannique suivi du kidnapping d'un ministre du gouvernement provincial et son assassinat en 1970. Tout cela n'avait rien de bien rassurant pour les investisseurs. Ensuite il y a eu l'élection du PQ en 1976, un gouvernement officiellement indépendantiste et qui a d'ailleurs fait deux référendum sur la souveraineté, un en 1980 et un autre en 1995. Et ce après avoir passé une loi pour protéger le français au Québec qui a fait que plusieurs anglophones se sont sentis opprimés. Je ne fais ici que rapporter des faits historiques sans porter de jugements sur ceux-ci. Tout cela a mené au départ massif, pour ne pas dire à l'exode, de dizaines de milliers, voire de centaine de milliers, d'anglophones vers l'Ontario qui ne demandait pas mieux que de les accueillir car ils arrivaient avec de l'argent en plus d'avoir été éduqués aux frais du Québec. Et plusieurs d'entre eux étaient justement des investisseurs. Toute cette saga aura durée près de 40 ans, en partant arbitrairement de 1963 (nationalisation de l'électricité) jusqu'à la prise du pouvoir par les libéraux en 2003 qui a alors ramené une certaine stabilité pendant 15 ans et qui progressivement a redonné confiance aux investisseurs et on voit le résultat aujourd'hui. François Legault, en homme d'affaires aguerri qu'il est, a très bien compris cette dynamique et c'est pourquoi après avoir été au PQ pendant plusieurs années il se dit aujourd'hui nationaliste plutôt qu'indépendantiste. D'ailleurs presque tous les premiers ministres du Québec depuis la révolution tranquille, tous partis confondus, ont été d'ardents nationalistes. Ce qu'il faut comprendre c'est que les investisseurs recherchent d'abord et avant tout la stabilité et ils l'ont retrouvée depuis plus de 15 ans maintenant. C'est d'ailleurs ce qui fait que le Québec est de plus en plus prospère. Cependant il aura fallu un certain temps pour en arriver là tout comme il a fallu un certain temps avant que l'économie du Québec se mette à ralentir à cause du long conflit politique que nous avons connu. Quant aux autres facteurs qui affectent l'économie québécoise ils sont surtout de nature conjoncturelle. Et la preuve que le Québec est sur une lancée depuis plusieurs années maintenant c'est que lors de la Grande Récession de 2009 notre province s'en est mieux tiré que le ROC. Et si la tendance se maintient, advenant une autre récession l'économie du Québec se portera sans doute mieux encore une fois que celle du ROC car elle poursuit sur sa lancée et je dirais même que celle-ci s'accélère.
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