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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Montréal : Eldorado de l’intelligence artificielle De plus en plus d’entreprises tricolores s’implantent dans le bouillonnant écosystème québécois de l’intelligence artificielle, porté par un univers collaboratif entre universités, entreprises et investisseurs. Elles viennent y lancer leur filiale, chercher des compétences et rayonner sur le continent nord-américain. Bienvenue dans la nouvelle Silicon Valley de l’intelligence artificielle (IA). Google, Microsoft, IBM, Samsung… tous les géants mondiaux de l’informatique ont choisi de s’implanter à Montréal pour y développer leur expertise dans ce domaine. La capitale économique du Québec s’est positionnée ces dernières années comme un hub à la pointe de l’intelligence artificielle. Selon une analyse de fDi Benchmark du Financial Times, Montréal se hisse désormais à la première place des 20 plus grandes métropoles du Canada et des Etats-Unis pour la qualité de son secteur de l’IA, devant Toronto et même San Francisco. Une référence mondiale du « deep learning » Au cœur de cet environnement d’innovation florissant : Mila (Montreal Institute for Learning Algorithms), un institut fondé par Yoshua Bengio - prix Turing 2018 et père du « deep learning » (en français, apprentissage profond), une technique qui s’appuie sur les réseaux de neurones virtuels. Ce laboratoire de recherche, qui réunit environ 300 chercheurs, en collaboration avec l’Université McGill et l’Université de Montréal et en lien avec l’Ecole Polytechnique de Montréal et HEC Montréal, s’appuie sur un réseau de partenaires industriels pour chercher à faire émerger de jeunes pousses. « Ce qui rend l’écosystème montréalais aussi unique, c’est sans doute son aspect collaboratif et interconnecté. C’est le cas pour les chercheurs, les start-up et les principaux acteurs en intelligence artificielle », résume Stéphane Paquet, vice-président Investissements étrangers de Montréal International, l’agence de promotion économique du Grand Montréal. Forte de nombreux talents dans le domaine de l’IA formés dans ses universités, la métropole attire toujours plus d’étudiants internationaux. Autre point fort de cet écosystème en pleine expansion, les incubateurs et les accélérateurs de jeunes pousses technologiques tels que TechStars, Centech, NextAI et FounderFuel. Thales accélère le développement de jeunes pousses Autant d’atouts qui séduisent des entreprises innovantes du monde entier, du grand groupe à la start-up. Le spécialiste de la défense Thales a lancé dans la métropole québécoise un centre de recherche dévolu à l’intelligence artificielle, baptisé cortAIx. Le groupe s’est également associé à l’incubateur Centech dans le cadre d’un programme d’accélération de start-up dans le domaine de l’IA. Cinq jeunes pousses ont ainsi été sélectionnées l’été dernier pour faire partie de la première promotion, dont deux françaises : Delfox, à l’origine d’une solution qui permet aux véhicules de l’aéronautique, de l’espace et de la défense d’évoluer de manière autonome, et Fieldbox.ai, une plateforme déployant dans les usines des robots industriels formés à l’intelligence artificielle. Anteneo, un projet du CEA-Leti incubé au Centech L’accélérateur Centech a récemment sélectionné, dans le cadre d’un programme d’accélération de 12 semaines, Anteneo, un projet issu du laboratoire CEA-Leti porté par Lionel Rudant, qui développe des antennes pour le GNSS (géolocalisation et navigation par un système de satellites). Un élément clé pour la précision nécessaire aux solutions de mobilité intelligente du futur. Installé à Montréal depuis juillet dernier, Lionel Rudant voit dans l’écosystème de la métropole québécoise « un relais formidable pour démarcher tout le continent américain ». De fait, la solution qu’il porte avec son associé resté en France, avait déjà suscité l’intérêt de premiers clients pilotes, tant nord-américains qu’européens. Tout l’enjeu pour ce projet soutenu par le CEA-Leti sera de gérer son développement sur deux continents… https://www.bpifrance.fr/A-la-une/Actualites/Montreal-Eldorado-de-l-intelligence-artificielle-48019
  2. Montréal parmi les meilleures métropoles nord-américaines pour la croissance de l'emploi La ville de Montréal peut se targuer d'afficher l'une des plus fortes croissances de l'emploi en Amérique du Nord au cours des dernières années, montrent des données recensées par l'organisme Montréal international dévoilées jeudi. Selon ce palmarès, Montréal et sa banlieue se hissent au troisième rang des métropoles nord-américaines avec un taux de croissance de l'emploi de 5,6 % entre 2016 et 2018. Seules Phoenix, en Arizona (5,6 %), et Riverside, en Californie (6,8 %), ont affiché un meilleur résultat. La seule autre ville canadienne étudiée, Toronto, a dû se contenter d'un taux de croissance de 4,3 %. La vigueur du marché de l'emploi montréalais s'explique tout particulièrement par le secteur de la haute technologie, qui a engrangé une augmentation du taux d'emploi de 9,1 % au cours de la même période. Seule Boston, avec une croissance de 14,5 %, a fait mieux de 2016 à 2018. Pour sa part, Toronto a perdu 2,3 % de ses postes dans le milieu des hautes technologies, qui recoupe plusieurs domaines incluant l'aérospatiale, les sciences de la vie et les technologies de l'information. En 2018, pas moins de 7,9 % des emplois disponibles à Montréal et dans les environs se trouvaient dans le domaine des hautes technologies. Il s'agit du 6e plus haut taux parmi les 20 métropoles étudiées, loin derrière Seattle (13 %) et San Francisco (11,2 %), reconnues pour leurs nombreuses entreprises du secteur numérique. Les observations de Montréal international font suite à une autre, publiée au début septembre qui démontrait que la région métropolitaine se classait au premier rang au pays pour la croissance du PIB en 2019, devant Vancouver, Toronto, Ottawa-Gatineau et Calgary. La bonne tenue de l'emploi et du PIB de la métropole fait écho à la santé économique du Québec. Plus tôt cette semaine, l'Institut de la statistique a dévoilé que la province a enregistré une croissance de 2,8 % de son PIB pour les sept premiers mois de 2019, un taux deux fois plus important que pour le Canada pris dans son ensemble. https://www.tvanouvelles.ca/private/2019/10/31/montreal-parmi-les-meilleures-metropoles-nord-americaines-pour-la-croissance-de-lemploi-1
  3. C'est effectivement le même phénomène. L'un est Libéral tandis que l'autre est Péquiste. Mais je croyais que tout le monde savait ça. Ou du moins devrait le savoir et en tenir compte lorsqu'on lit ces journaux. En passant, je lis de plus en plus le Journal de Montréal. Rarement pour les éditoriaux, que je trouve pour la plupart beaucoup trop tendancieux, mais surtout pour certaines nouvelles que je ne retrouve pas ailleurs.
  4. Comme par hasard cet article est publié dans un journal qui appartient à l'ancien chef du Parti québécois. Ceci étant dit, ce n'est effectivement pas le PQ qui fait peur aux investisseurs mais plutôt l'instabilité politique. D'ailleurs Jacques Parizeau et Bernard Landry étaient d'excellents économistes.
  5. En 1832 le Québec (qui s'appelait alors le Bas-Canada) a été la première juridiction de l'Empire britannique à adopter une loi favorable aux Juifs. Il s'en est suivi vers la fin du 19e siècle une immigration massive de la diaspora juive, surtout à Montréal. Mais la communauté juive de Montréal est vieillissante. Cependant d'après ce que j'ai entendu dans la vidéo elle serait en train de se renouveler. Lorsque les Juifs de France (la plus grande communauté juive au monde en dehors d'Israël et des États-Unis) se sentent menacés ils ont tendance à se rendre en Israël le plus souvent, mais plusieurs reviennent éventuellement car la vie là-bas pose ses propres difficultés. Sembelerait qu'ils ont maintenant une autre alternative.
  6. Je vais tenter de résumer la situation de la façon la plus simple possible. En gros ce qui se produit présentement est que pour rencontrer leurs obligations quotidiennes les banques se prêtent de l'argent entre elles pour une période de 24 heures environ moyennant une garantie, le plus souvent sous la forme d'obligations ou autres titres. Ce qui s'est produit en 2008 c'est que suite à la faillite de Lehman Brothers (et même un peu avant) les banques ne se faisaient plus confiance l'une l'autre et par conséquent certaines d'entre elles (la majorité) se sont retrouvées à court de liquidités (sur une base quotidienne). D'où la nécessité de la Fed d'intervenir pour leur procurer les liquidités nécessaires et les garanties qui les accompagnent normalement. Or, ce qui se produit présentement ressemble étrangement à ce qui s'est produit en 2008 (voir le graphique ci-haut). Sauf que nous ne savons pas pourquoi exactement la Fed agit de la sorte. Dans le texte que j'ai partagé ci-haut la théorie de l'auteur veut que ce soit pour soutenir les marchés financiers (la bourse) à des niveaux le plus élevés possible. Ce qui est une évidence. Mais il pourrait aussi y avoir autre chose que la plupart des experts ignorent encore. Par exemple il été suggéré que J.P. Morgan serait en difficulté (ou une autre banque) et cela expliquerait la réticence des banques à se prêter entre elles, comme il est arrivé en 2008, par crainte d'une crise systémique. Cependant il n'y a toujours aucune preuve de cela malgré le fait que la rumeur circule depuis plusieurs semaines maintenant. En attendant la fête continue sur Wall Street et les investisseurs demeurent optimistes malgré tout ce qui se passe autour. Ce qui s'apparente à de l'aveuglement volontaire. D'ailleurs le même phénomène se produit avant chaque crise majeure: les investisseurs refusent de croire les mauvaises nouvelles jusqu'à la catastrophe.
  7. Le pire c'est que la période de troubles politiques est survenue au moment où l'économie du Québec était en transition entre l'économie traditionnelle et l'économie du savoir. De plus les troubles se sont étalés sur une période d'environ 40 ans, soit de 1963 (nationalisation de l'électricité) à 2003 (reprise du pouvoir par les Libéraux). C'est quasiment un miracle que l'économie se porte aussi bien aujourd'hui.
  8. Ta question est légitime car c'est un sujet très technique. Le plus important à comprendre est que le système financier est présentement sur le respirateur artificiel comme il l'était en 2009 après la faillite de Lehman Brothers. Certains observateurs commencent à s'alarmer mais sans toutefois comprendre ce qui se passe réellement. En attendant l'orchestre continue de jouer comme si de rien était et j'ai bien peur qu'il n'y aura pas suffisamment de canots de sauvetage pour tout le monde.
  9. The Federal Reserve is in stealth intervention mode 🌐 What the central bank passes off as ‘funding issues’ could more accurately be described as liquidity injections to keep interest rates low The Federal Reserve has gone into full intervention mode. Actually, accelerated intervention mode. Not just a “mid-cycle adjustment,” as Fed Chairman Jerome Powell said in July, but interventions to the tune of tens of billions of dollars every day. What’s the crisis, you ask? After all, we live in an age of trillion-dollar market-cap companies and unemployment at 50-year lows. Yet the Fed is acting like the doomsday clock has melted as a result of a nuclear attack. Think I’m in hyperbole mode? Far from it. Unless you think the biggest repurchase (repo) efforts ever — surpassing the 2008 financial-crisis actions — are hyperbole [voir graphique ci-joint]. What, indeed, is the Fed not telling us? Something’s off. See, it all started as a temporary fix in September when, suddenly, the overnight target rate jumped sky high and the Fed had to intervene to keep the wheels from coming off. Short-term liquidity issues, the Fed said. Those have become rather permanent. And liquidity injections are massive and accelerating. On Tuesday, the Fed injected $99.9 billion in temporary liquidity into the financial system and $7.5 billion in permanent reserves as part of a program to buy $60 billion a month in Treasury bills. The $99.9 billion comes from $64.9 billion in overnight repurchase agreements and $35 billion in repo operations. But market demand for overnight repo operations has far exceeded even the $75 billion the Fed has allocated, suggesting a lot more liquidity demand. Hence, on Wednesday the Fed suddenly announced a $45 billion increase on top of the $75 billion repo facility for a daily total of $120 billion. Here’s the Federal Reserve Bank of New York, the branch involved in such actions: “Consistent with the most recent FOMC [Federal Open Market Committee] directive, to ensure that the supply of reserves remains ample even during periods of sharp increases in non-reserve liabilities, and to mitigate the risk of money market pressures that could adversely affect policy implementation, the amount offered in overnight repo operations will increase to at least $120 billion starting Thursday, Oct. 24, 2019.” And, consequently, on Oct. 24 the Fed injected $134 billion in temporary liquidity. These actions are surprising. What stable financial system requires over $100 billion in overnight liquidity injections? The Fed did not see the need for these actions coming. It is reacting to a market that suddenly requires it. “Funding issues,” Chairman Powell called it in October. The Fed was totally caught off guard when the overnight financing rate suddenly jumped to over 5%, and it’s been reacting ever since. What started as a slow walk in policy reversion from last year’s rate-hike cycle and balance-sheet roll-off (aka quantitative tightening, or QT) on autopilot has now turned into ongoing interest-rate cuts and balance-sheet expansion. To be clear: This is not a temporary rise in the balance sheet; this is the beginning of something big. The Fed’s balance sheet looks like it will expand to record highs once again. I keep questioning the efficacy of all this, and I have to question the honesty of the Fed. After all, the central bank keeps chasing events, and its policy actions are turning ever more aggressive while it insists that everything is fine. The bank’s actions are saying things are not fine. Far from it. Otherwise, the Fed wouldn’t be forced into all these policy actions. But would the Fed cop to things not being fine? To do so would be to sap confidence — can’t have that. What would markets look like without these policy interventions? One can only wonder. For one, we know the overnight financing rate would be much higher. That is, after all, why the Fed is forced to intervene: To keep the target rate low. Many analysts now suggest there will be a year-end stock market rally, primarily driven by the Fed as earnings growth remains weak. If they print, you must buy. It may well be that our financial markets have permanently devolved into a Fed-subsidized, wealth-inequality-generating machine benefitting the few that own stocks. But one has to wonder why the rate cutting and liquidity injections haven’t been able to produce sustained market highs. Investors have been chasing the Fed into corporate multiple expansion all year. But now that the Fed is forced to intervene ever more aggressively, it has to prove something: Efficacy. Are we seeing an improvement in growth? No. Are we seeing an improvement in earnings? No. From the looks of it, the Fed is barely keeping it together and is forced to do ever more to prevent markets from falling as the principal bull rationale for buying stocks is the Fed. You don’t think the Fed is all about markets? Where have you been? After all, the Fed’s stated policy objective now is to extend the business cycle by any means necessary. And policy makers can’t do that with falling stock prices. And so they are in accelerated daily intervention mode. Because that is what it takes. The questions that investors have to ask themselves is: What if it’s not enough? And what is it policy makers aren’t telling us? Why are they forced into these historic, unexpected measures? What happens if they lose control? We may know more next week. [Il ne s'agit ici que de longs extraits d'un article très technique. Pour lire l'article au complet et voir les graphiques en lien avec le texte veillez cliquer sur le lien ci-après.] https://www.marketwatch.com/story/the-federal-reserve-is-in-stealth-intervention-mode-2019-10-25
  10. Cette recette est bien connue et elle est largement utilisée en Occident. Malheureusement elle ne fonctionne pas toujours car l'économie n'est pas une science exacte. Le fait est que la vigueur actuelle de l'économie ne peut s'expliquer entièrement par les coupures effectuées par le gouvernement précédent. D'ailleurs on voit par la réaction des économistes suite à la publication des derniers chiffres que personne ne comprend vraiment pourquoi l'économie du Québec est aussi vigoureuse présentement. Comme je l'ai dit précédemment on ne le saura sans doute pas avant plusieurs années, une fois que l'on aura analysé toutes les données sur plusieurs années et que l'on aura mené des études comparées avec le ROC et les autres économies de la planète. Cela dit, il est clair que les finances de l'État québécois sont en excellente santé présentement et cela a effectivement commencé sous le règne de Philippe Couillard. Mais premièrement ce n'est pas l'effet libéral car le PQ a été au pouvoir moins de deux ans après un très long règne libéral. Deuxièmement, l'activité économique a commencé à reprendre à Montréal aux environs de 2015. Or ces investissements ont nécessairement dû être décidés bien avant car il s'agit d'un long processus avant que les constructions commencent à lever de terre (la renaissance de Griffintown a commencée encore plus tôt). On a là une preuve que tout a commencé bien avant l'arrivée de Coderre et Couillard. En fait la reprise n'a que coïncidé avec leur arrivée au pouvoir. Ils ont cependant le mérite de l'avoir entretenue, voire même accélérée. En 2009 ni l'un ni l'autre n'était au pouvoir cependant; pourtant cette année-là l'économie du Québec n'a reculée que de 1% alors qu'elle a pris un recule de 3% dans le ROC. On disait justement à l'époque que c'était les dépenses du gouvernement Charest dans les infrastructures qui avaient maintenu le Québec à un niveau plus élevé que dans le ROC. Mais cette contradiction n'est qu'apparente. Car d'une part il est essentiel d'avoir des finances publiques sous contrôle afin de réduire le plus possible le fardeau de la dette. D'autre part en cas de récession, ou même en temps normal, les dépenses de l'État contribuent à la relance et au maintien de l'économie. En fait c'est une ensemble de facteurs qui font qu'une économie se porte bien ou non. Il n'y a pas de recette magique. Mais donnons à César ce qui appartient à César. Coderre a insufflé un surcroit de dynamisme à Montréal avec son idée de faire du 375e un évènement majeur. Pourtant plusieurs trouvaient alors qu'il en faisait beaucoup trop. Pour ce qui est de Couillard je lui serai éternellement reconnaissant d'avoir encouragé avec une grande détermination le projet du REM.
  11. Oui mes les investissements à l'échelle de la province sont aussi très élevés, comme on peut le constater dans cet autre extrait de l'article: Ce n'est pas tout à fait vrai car on en parle indirectement. Voici un autre extrait de l'article où on établit un lien entre la performance économique actuelle et les efforts déployés par le gouvernement précédemment:
  12. Oui et non. L'économie de Montréal est certes très vigoureuse présentement mais l'ensemble du Québec va bien également. Lire l'extrait suivant de l'article:
  13. C'est parce que les gens focalisent sur les pertes que ce projet engendrera inévitablement ailleurs dans la région de Montréal plutôt que d'y voir un apport économique majeur pour Montréal dont tout le monde profitera.
  14. Il est intéressant de comparer le tableau en question, repris ci-après, avec les chiffres actuels qui sont mentionnés dans l'article:
  15. Selon moi il leur faudra encore plusieurs années pour comprendre ce qui se passe vraiment au Québec au plan de l'économie car il semble s'agir d'une évolution structurelle davantage que conjoncturelle. Plus tôt cette année j'avais de la difficulté à croire les économistes qui tentaient d'expliquer la pénurie actuelle de main d'ouvre par l'évolution démographique du Québec dont la population âgée est en augmentation par rapport au reste du Canada. Or l'évolution de la démographie suit une courbe lente tandis que la vigueur actuelle de l'économie n'est rien de moins que phénoménale. Évidemment les économistes mentionnaient également la santé de l'économie mais peu d'entre eux anticipaient une telle vigueur.
  16. Une dernière: le prolongement de la rue Mayor qui longeait le Wilder en 2007.
  17. Photo 1: La Maison symphonique en 2007 Photo 2: Le 2-22 et le Carré Saint-Laurent en 2007
  18. Desjardins prend de l'expansion au Parc olympique de Montréal Le Mouvement Desjardins a décidé d'occuper de nouveaux espaces dans le mât du Stade olympique de Montréal. Alain Laforest - Le Journal de Montréal TVA Nouvelles a appris que la Régie des installations olympiques (RIO) a loué deux étages supplémentaires au Mouvement Desjardins, ce qui porte à neuf le nombre d'étages occupé par l'institution financière. «We open for business, Desjardins l’a bien entendu, très contente qu'il s'installe là-bas, affirme la ministre responsable de la RIO, Caroline Proulx. Deux étages supplémentaires donc, il va rester trois étages qui pourront être loué par d'autres corporations, d'autres entreprises.» La RIO s'est entendue pour un bail de 15 ans renouvelable avec Desjardins, ce qui porte à 1200 le nombre d'employés qui travaillent dans la Tour de Montréal. En mai dernier, le gouvernement Legault a donné des pouvoirs supplémentaires à la RIO qui est devenue la société de développement et de mise en valeur du Parc olympique. https://www.journaldemontreal.com/2019/10/17/desjardins-prend-de-lexpansion-au-parc-olympique-de-montreal-1
  19. Les personnes sur ces photos n'ont pour la plupart rien à voir avec l'Université de Montréal. Il s'agit pour la plupart de dignitaires et de journalistes invités pour l'inauguration. Les 12 photos que j'ai publiées ont été sélectionnées pour leur intérêt architectural. On peut consulter les 18 autres laissées de côté à partir du lien que j'ai fourni dans mon post précédent. D'ailleurs sur les autres photos du même ensemble ce qui m'avait justement frappé c'est l'incroyable diversité que l'on y trouve, à l'image même de ce que Montréal est devenue. Par ailleurs dans les pages précédentes j'avais déjà publié des photos du début de l'année académique où certaines personnes appartenant à diverses communautés culturelles apparaissent clairement. En voici quelques échantillons.
  20. If these two can sit there and talk it means a lot of students and teachers will likely do the same because that's what this bench was designed for. The whole place was actually designed with the same idea of creating interaction between students and faculty members.
  21. Les photos officielles de l'inauguration sont maintenant sorties. J'ai fait une sélection des pus intéressantes d'un point de vue architectural. On aperçoit d'ailleurs Anik Shooner, l'architecte en charge du projet, tout sourire sur la première photo. On peut trouver les autres photos ici: https://campusmil.umontreal.ca/2019/10/08/inauguration/?utm_source=Campus+MIL&utm_campaign=c2e53e059a-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_4d422c1070-c2e53e059a-331769601
  22. Des hôpitaux de Montréal et de Québec profitent de tournages pour engranger les revenus La Presse canadienne « Silence, on tourne! » Deux hôpitaux montréalais ont engrangé des revenus de plus de 2,8 millions en trois ans d'une manière plutôt inusitée et imaginative : en louant certains locaux comme plateaux de tournage pour des films comme La Bolduc et la série américaine Jack Ryan. Le Québec et certaines de ses villes redoublent d'efforts pour attirer ici le tournage de films et de séries. Et des hôpitaux profitent de cette manne. À lui seul, le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) a récolté 2,6 millions sur trois ans, et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) environ 250 000 $ pendant la même période, de 2016 à 2018. Les chiffres ont été demandés et obtenus pour ces trois années. Les amateurs de télé et de cinéma québécois se rappelleront certaines de ces scènes: lorsque Mary Rose Anna Travers, connue sous le nom de la Bolduc, doit subir des traitements de radiation pour un cancer, le tout est filmé dans une salle qui a peu changé au cours des décennies : le « théâtre chirurgical » de l'Hôpital Royal Victoria, qui servait à l'époque à enseigner aux futurs médecins, comportant une mezzanine de laquelle les étudiants pouvaient observer les chirurgies. Dans la série Les Simone, lorsque Laurence se rend seule dans une clinique d'avortement, c'est en réalité un local du CHUM. Et quand Marie Lamontagne, le personnage principal de la série Unité 9, incarné par Guylaine Tremblay, fut hospitalisée après une violente agression, c'est aussi au CHUM. Des scènes du film québécois Bon Cop Bad Cop 2 ont été tournées au Royal Victoria, du CUSM. Mais il y a aussi Plan B, Ruptures, Cheval-Serpent, Lâcher prise : la liste des productions d'ici qui ont choisi d'installer leurs projecteurs dans de vrais hôpitaux est longue. Ils ont aussi été le théâtre de tournages venus d'ailleurs, attirant ici le gratin d'Hollywood. Le CUSM a accueilli les acteurs et les équipes du thriller politique Jack Ryan, et celles de l'émission apocalyptique The Walking Dead. Quant au CHUM, ses corridors ont été arpentés par les comédiens de la série télévisée juridique canadienne Street Legal, et par ceux de The Bold Type, une série qui suit le quotidien de trois jeunes femmes qui travaillent pour un magazine féminin. Si le CHUM offre des salles hyper modernes, le CUSM loue surtout son ancien hôpital Royal Victoria, désormais fermé depuis le transfert des unités de soins au site Glen en 2015. Certaines salles ont gardé leurs airs d'un autre temps et elles sont parfaites pour des productions d'époque. D'autres hôpitaux ou centre de soins de la province ouvrent aussi leurs portes aux tournages : les maisons de productions ont du choix, à Montréal comme à l'extérieur de la métropole. Il y a entre autres le centre hospitalier Robert-Giffard et la Cité médicale, tous deux à Québec, ou la clinique dentaire Lemoyne à Saint-Lambert. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1333116/hopitaux-tournages-quebec-revenus
  23. La partie est s'appelle aujourd'hui Faubourg des Récollets. Mais avant Griffintown je crois que le Faubourg des Récollets s'étendait à l'ouest jusqu'à de la Montagne. C'est que les limites du Faubourg des Récollets ont évoluées avec le temps et on pourrait dire la même chose de Griffintown.
  24. Washington coupe les vivres à l'OACI Les États-Unis ont décidé de retenir leurs paiements destinés à l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) afin de mettre de la pression sur cet organisme dont le siège social est basé à Montréal, a révélé l'agence Reuters mercredi. Agence QMI Selon des sources non nommées au sein du gouvernement américain et du milieu de l'aviation qui se sont adressées à Reuters, les États-Unis veulent retenir leurs paiements afin de forcer la main à l'OACI pour qu'elle mette en place des réformes. Celles-ci sont nécessaires pour protéger les lanceurs d'alerte, améliorer la sécurité informatique et rendre plus accessible les documents de l'organisation. Ces demandes font suite à la révélation, plus tôt cette année, que l'OACI avait été victime d'une série de cyberattaques depuis 2016, qui avait été passée sous silence. La décision américaine, annoncée cette semaine lors d'une assemblée de l'OACI, porte un coup dur à l'organisation, les États-Unis fournissant près du quart de son budget annuel de 100 millions $ CAN. L'OACI peine à s'entendre avec l'administration américaine du président Donald Trump. Au printemps dernier, le représentant américain à l'OACI, Thomas Carter, s'était livré à une charge virulente contre l'organisation, dénonçant son inefficacité chronique, son manque de transparence et ses graves problèmes informatiques «À mon grand désarroi, j’ai constaté que j’avais à passer beaucoup de temps à m’occuper de problèmes institutionnels de l’OACI. J'ai découvert une bureaucratie figée qui a du mal à garder le cap sur ses priorités centrales», avait-il raconté dans un discours prononcé à Washington en mai. https://www.journaldemontreal.com/2019/10/02/washington-coupe-les-vivres-a-loaci
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