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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Un chiffre très impressionnant mais qui ne devrait pas trop surprendre les habitués de MTLRB car cela se reflète dans le secteur de la construction à Montréal qui connaît une croissance comme on n'avait pas vu depuis Expo 67. Je me demande souvent à quand remonte le boom actuel. Or, si l'emploi a effectivement commencé à remonter en 2014 on peut penser que cela correspond à une accélération de la reprise économique qui s'était amorcée un peu avant, certains diraient bien avant. Pour ma part je dirais que depuis le début des années 2000 le Québec en général, et Montréal en particulier, vont de mieux en mieux sur le plan économique. Mais de manière plus tangible c'est vers 2015 que les grues sont apparues en grands nombres dans la région de Montréal. Cela est sans doute attribuable au secteur des technologies qui est particulièrement fort à Montréal, et pas seulement en intelligence artificielle mais dans l'ensemble des secteurs.
  2. C'est vrai que dans les reportages que j'ai vus à Radio-Canada elle avait l'air d'être encore en assez bonne condition.
  3. Moi ce qui me frappe c'est la première phrase du texte: « Elle est fermée depuis bientôt 15 ans. » Comment peut-on laisser à lui-même un tel joyau pendant aussi longtemps?!!!
  4. Ce n'est pas tellement que la baisse soit temporaire. C'est qu'elle arrive à un très mauvais moment alors que l'économie du Québec roule à fond et qu'il y a pénurie de main-d'oeuvre. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1182392/le-quebec-champion-de-la-penurie-de-main-doeuvre-au-canada
  5. Je crois que oui mais en même temps je pense qu'il existe des incitatifs similaires pour les entreprises québécoises qui désireraient investir au Québec. Il s'agit de programmes différents qui partagent le même but, soit celui de favoriser les investissements. Il existe donc une multitude de programmes différents qui on tous en commun le même mot d'ordre: subvention.
  6. On a beau payer beaucoup d'impôts il n'en demeure pas moins que le Québec est perçu par les étrangers comme un paradis fiscal! 😜
  7. OneSpan fait de Montréal son plus important centre KARIM BENESSAIEH - La Presse La firme de cybersécurité OneSpan, qui compte quelque 1700 institutions financières parmi ses clients, fera de Montréal son plus important centre d’opération. L’annonce en a été faite ce mardi matin, en présence notamment du ministre des Finances du Québec Éric Girard et du PDG de l’entreprise basée à Chicago, Scott Clements. Les bureaux de OneSpan, dans l’ancienne Gare Windsor au centre-ville de Montréal, accueilleront d’ici deux ans une centaine de nouveaux employés, en plus des 250 qui y travaillent déjà, un investissement de neuf millions de dollars. La majorité des embauches seront liées à la recherche et développement, a précisé M. Clements, faisant également de la métropole québécoise le plus important laboratoire de l’entreprise. Outre Montréal, OneSpan compte des centres d’opération à Bruxelles et Bordeaux, en plus de nombreux bureaux régionaux. L’entreprise fondée en 1991, qui compte 750 employés, a rapporté des revenus de 212,3 millions US en 2018 pour un bénéfice net de 21,6 millions US, selon son rapport annuel. Le ministre Girard estime que cette annonce confirme le statut de Montréal comme « pôle d’expertise de renommée mondiale en cybersécurité ». C’est d’ailleurs le bassin de travailleurs qualifiés de la métropole, qu’on évalue à 17 000 personnes, qui aurait convaincu OneSpan d’aller de l’avant avec cette expansion de ses activités. Il a par ailleurs évoqué la fuite de données chez Desjardins pour rappeler le défi de la cybersécurité dans les institutions financières. « Toute ma carrière professionnelle, j’ai eu la cybersécurité à l’esprit », a déclaré le ministre, qui a notamment fait sa marque dans le domaine bancaire. Selon M. Clements, les diverses plateformes d’authentification des transactions d’OpenSpan auraient permis d’éviter plus de 15 milliards de dollars en fraudes. L’entreprise américaine, a précisé le ministre Girard en réponse à un journaliste, aura accès au crédit d’impôt de 30 % pour le développement des affaires électroniques, pour un montant maximal annuel de 25 000 $ par employé. Le montant global n’a pas été dévoilé. « Le crédit d’impôt est disponible pour tous, a expliqué M. Girard. Dans un écosystème, il y a des joueurs locaux et des joueurs étrangers. » https://www.lapresse.ca/affaires/techno/201911/26/01-5251255-onespan-fait-de-montreal-son-plus-important-centre.php
  8. Des milliardaires français cacheraient leur fortune ici De grandes fortunes sont soupçonnées par les autorités fiscales de la France d’avoir dissimulé au Québec des milliards de dollars qui étaient auparavant placés dans les paradis fiscaux. JEAN-FRANÇOIS CLOUTIER - Le Journal de Montréal Des milliardaires français auraient dissimulé leur argent au Québec lorsque leurs fiducies localisées aux Bermudes seraient devenues trop risquées. En effet, la France a signé avec l’archipel britannique un accord d’échange d’informations visant à lui permettre de mieux combattre l’évasion fiscale internationale, en 2009. Résultat: le fisc français et l’Agence du revenu du Canada (ARC) sont maintenant engagés dans un bras de fer pour obtenir des renseignements sur des clients d’une mystérieuse firme de gestion de fortunes de Montréal, révèlent des documents de cour. Cette firme s’appelle Blue Bridge. Elle a ses bureaux au centre-ville de Montréal depuis le début des années 2000. Des documents démontrent que la plupart des fiducies (ou trusts) hébergées chez Blue Bridge étaient auparavant localisées dans des paradis fiscaux. La France soupçonne que certaines d’entre elles ont servi à cacher de l’argent pour éviter de payer des impôts. L’Hexagone cherche depuis 2015 à obtenir des informations précises sur des fiducies administrées chez Blue Bridge dans la province. Les déplacements de trusts des Bermudes vers le Québec ont commencé à s’enclencher peu de temps après la conclusion de l’accord de 2009, selon les documents. Chalets et centre commercial Ces fiducies sont une « structure qui a déjà été utilisée pour dissimuler avoirs et revenus à la connaissance des services fiscaux français », souligne un attaché fiscal, Olivier Decoopman, dans une demande de renseignements à l’ARC en 2015. Notre Bureau d’enquête a mis la main sur des documents confidentiels qui permettent d’identifier des noms reliés aux quelque 400 fiducies administrées par Blue Bridge à Montréal. On y trouve quelques-unes des plus grandes fortunes de France (voir plus bas). Les riches clients de Blue Bridge ont investi dans une panoplie de projets, une fois arrivés dans la province, notamment : Des chalets à Mont-Tremblant ; Un centre commercial à Sherbrooke abritant un bureau de Radio-Canada. Panama Papers au Québec Blue Bridge était brièvement apparue dans l’actualité lors du scandale des Panama Papers, une vaste fuite de documents qui a embarrassé des personnalités politiques, des gens d’affaires et des vedettes sportives partout dans le monde, en 2016. Radio-Canada et le quotidien Toronto Star avaient identifié le président de Blue Bridge, Alain E. Roch, un ex-banquier suisse, et un des ses associés, un avocat du cabinet De Grandpré Chait, Jules Brossard. Ceux-ci étaient parmi les principaux intermédiaires canadiens avec le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca. « Si certains investissements de nos clients sont détenus par des sociétés étrangères, dans des juridictions dites offshore, nous exigeons que ces sociétés soient liquidées ou régies par les lois canadiennes », avait toutefois assuré Blue Bridge pour justifier son apparition dans les Panama Papers. La puce à l’oreille Plusieurs de ces fiducies ont été administrées par la Banque HSBC aux Bermudes. À l’appui de sa requête, le fisc français dit avoir détecté un mouvement de fonds suspect de près de 1 million d’euros (1,47 million CAD) d’un trust hébergé chez Blue Bridge à Montréal, du nom de Laurentian Trust. Le bénéficiaire de cette fiducie, que le fisc français a pu identifier, mais dont le nom est caviardé dans les documents, « possède un trust qu’il aurait dû déclarer à l’administration française, ce qui n’a pas été fait à ce jour », écrit l’attaché fiscal Decoopman. Selon une procédure judiciaire de 2016, le fisc français prévoyait d’imposer des pénalités salées de l’ordre de 5 % par année à des trusts chez Blue Bridge pour non-production de renseignements. LE QUÉBEC, UN PARADIS FISCAL ? Le Québec est-il devenu un paradis fiscal pour les milliardaires français ? Plusieurs documents consultés par notre Bureau d’enquête pourraient le laisser croire. Flou réglementaire Blue Bridge a opéré au Québec sans avoir le bon permis pendant des années. Pourtant, l’Autorité des marchés financiers (AMF) s’est limitée à lui imposer une amende de 180 000 $. Blue Bridge « reconnaît [...] avoir agi comme société de fiducie sans détenir les autorisations requises », indique une entente signée en 2017. « Tout le monde ici me dit qu’on aurait pu contester [l’amende] et on aurait gagné », a minimisé le patron de Blue Bridge en entrevue, Alain E. Roch, précisant qu’il s’était plutôt fait dérouler le « tapis rouge » pour enregistrer sa « trust company » au Québec. Un cabinet spécialisé Un avocat du cabinet montréalais De Grandpré Chait, Jules Brossard, a agi comme co-fiduciaire de trusts hébergés chez Blue Bridge pendant des années. La Royale s'inquiète La Banque Royale a eu des doutes assez sérieux sur ce qui se passait chez Blue Bridge pour fermer tous ses comptes en 2014. Selon des allégations du grand patron de Blue Bridge, Alain E. Roch, dans une poursuite contre la Royale, la banque aurait disséminé des informations diffamatoires sur lui à des clients. Il était question de transferts de fonds entre des comptes de Blue Bridge et le compte personnel de Roch. L’affaire s’est réglée hors cour en 2018. Un ancien banquier suisse Alain E. Roch est un ancien banquier suisse installé au Québec. Il a travaillé dans le passé pour les banques UBS et Julius Baer, deux institutions qui ont dû payer de fortes amendes dans des scandales d’évasion fiscale. La banque suisse Mirabaud abrite une part des actifs gérés par la firme Blue Bridge au Québec. La Suisse n’a été rayée que cet automne d’une liste grise de paradis fiscaux de l’Union européenne. Des lois favorables Les avocats de Blue Bridge multiplient les démarches devant les tribunaux, plaidant que les lois canadiennes les obligent au secret. « Il est impossible de transmettre l’information demandée par Bercy [le fisc français] [...] sans enfreindre les dispositions des lois d’ordre public régissant la protection des renseignements personnels », argumente Blue Bridge en 2016 dans un litige en Cour supérieure. La firme plaide aussi qu’il n’y a pas d’impôt sur la fortune au Canada, contrairement à la France (jusqu’à récemment). Selon des documents internes, la plupart des clients de Blue Bridge auraient été amenés au Québec par un avocat français du nom de Jacques Le Blevennec. Lire la suite ici: https://www.journaldemontreal.com/2019/11/26/des-milliardaires-francais-cacheraient-leur-fortune-ici
  9. Midway Though the production was permitted to shoot on location at Joint Base Pearl Harbor-Hickham as well as on board the USS Bowfin—a World War II attack submarine docked at Pearl Harbor that has been open to the public as a museum since 1981—much of its photography was completed on soundstages in Montreal. There, the production used greenscreens to simulate the deck of the USS Enterprise (CV-6), the decorated carrier that was scrapped in the 1950s, along with many other environments. It also made use of what Midway production designer Kirk M. Petruccelli called “museum-quality” recreations of SBD Dauntless and TBD Devastator bombers built for the movie. https://www.airspacemag.com/daily-planet/emmidwayem-versus-emmidwayem-versus-emmidwayem-how-latest-movie-about-battle-different-and-how-its-still-same-180973493/?spMailingID=41159225&spUserID=NDIwMjAzODM3MzAyS0&spJobID=1641876004&spReportId=MTY0MTg3NjAwNAS2
  10. Crazy times or the new normal? 😃
  11. Voici un extrait d'un article de La Presse d'aujourd'hui qui suggère que cela pourrait bien être le cas car une bonne part de la forte augmentation des salaires des deux dernières années vient certainement du secteur des technologies: "Le ministère des Finances note d’ailleurs dans son mini-budget que l’ensemble des salaires et autres traitements s’est accru de 5,2 % en 2018 et grimpera probablement de 5,4 % en 2019. Ces deux années consécutives de croissance supérieure à 5 % seraient une première depuis l’an 2000, il y a près de 20 ans." https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201911/14/01-5249625-le-taux-depargne-des-quebecois-a-un-sommet.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_cinemaStandard__4249193_section_POS4
  12. La Chine choisit Montréal pour concurrencer Google dans le jeu vidéo Un milliardaire vedette chinois mise sur le Québec pour battre Google en ouvrant à grands frais à Montréal cette semaine son premier studio de jeux vidéos NetEase au pays. FRANCIS HALIN - Le Journal de Montréal « C’est notre premier bureau au Canada. On en a plusieurs hors de la Chine, au Japon, à San Francisco, mais c’est le premier ici », a partagé au Journal son directeur général, Yu Sun, à ses bureaux flambant neuf surplombant le centre-ville ouverts jeudi. En Chine, des centaines de millions de personnes jouent chaque jour en ligne avec les jeux vidéo de NetEase. Derrière le succès du «Ubisoft chinois», il y a William Ding, le huitième homme le plus riche du pays avec une fortune de plus de 23 G$, selon Forbes. L’homme d’affaires est une véritable vedette là-bas. Après avoir amené en Chine des superhéros de Marvel comme Captain America, le pionnier de l’Internet chinois s’est imposé avec son site de jeu www.163.com, l’un des plus fréquentés en Chine. Pour battre les Google Stadia ou les Ubisoft, EA, Eidos, Epic, Gameloft, NetEase a choisi d’ouvrir ses premiers bureaux canadiens à deux pas de l’Université McGill pour attirer comme un aimant la précieuse main-d’œuvre en pleine guerre mondiale de talents. Pour NetEase, Montréal est stratégique. En juillet dernier, son PDG, William Ding, est allé jusqu’à dire que son studio québécois sera un « jalon important de nos ambitions sur le marché mondial ». Au même moment, NetEase Games a posé ses pions en prenant une participation minoritaire stratégique dans la québécoise Behaviour Interactif. «Pas de limite» En marge de l’ouverture officielle du studio, son directeur,Yu Sun, n’a pas voulu chiffrer le montant de l’investissement, mais il n’a pas caché son désir d’embaucher autant de travailleurs qu’il le faudra pour mener à bien ses projets. « On pense en recruter des centaines ces deux prochaines années, mais nous n’avons pas de limite», a avancé son patron québécois Yu Sun, qui recrute en ce moment une vingtaine de talents pour former le noyau expérimenté de son équipe de développeurs. Quand on lui demande si les tensions politiques et l’Affaire Huawei ont pu jeter un froid dans les relations entre l’entreprise et le Canada, Yu Sun préfère éviter de parler de politique. « Le plus important pour nous, c’est de travailler pour les produits », se limite-t-il à dire. Argent public Comme d’autres, NetEase pourrait demander le crédit d'impôt pour la production de titres multimédias, qui varie de 26,25 % à 37,5 %, mais Investissement Québec (IQ) a confirmé que le géant chinois n’a pas eu d’aide financière pour venir ici. « IQ n’est pas intervenu financièrement dans l’entreprise», a indiqué au Journal sa porte-parole Isabelle Fontaine. https://www.journaldemontreal.com/2019/11/14/la-chine-choisit-montreal-pour-concurrencer-google-dans-le-jeu-video
  13. Jeux vidéo: le géant chinois NetEase s’installe à Montréal Le géant chinois NetEase, dont les différentes plateformes en ligne comptent plus d’un milliard d’usagers, installe ses pénates à Montréal. Sa filiale jeux vidéo a officiellement inauguré ce jeudi son studio au 20e étage de la Tour Intact, boulevard Robert-Bourassa. KARIM BENESSAIEH - La Presse Il est dirigé par un ancien directeur du design chez Ubisoft Montréal, Yu Sun, qui a notamment contribué aux franchises Splinter Cell et Rainbow Six. Dans un premier temps, on souhaite embaucher une douzaine de personnes « pour avoir de solides fondations, explique en entrevue M. Sun. Nous voulons grossir assez vite par la suite. » Géant peu connu Le nombre d’utilisateurs des plateformes de NetEase en Chine donne le tournis. Son service de courrier électronique est fréquenté par 900 millions de personnes et son service de streaming NetEase Cloud Music compte 600 millions d’usagers enregistrés. L’entreprise a mis sur pied en 2009 un service de paiement, NetEase Pay, et son site de commerce électronique Koala détenait plus de 27,5 % de parts de marché début 2019. Étonnamment, ce géant chinois est peu connu à l’extérieur de son pays d’origine, mais il a annoncé depuis quelques années son intention d’explorer des marchés à l’international, notamment grâce à sa filiale NetEase Games. L’essentiel de ses jeux, on en compte une centaine, dont les plus connus sont Fantasy Westward Journey, Onmyoji et Identity V (dont la bande-annonce se retrouve au haut de cet article) sont destinés aux appareils mobiles. NetEase a déjà ouvert des studios au Japon, en Corée du Sud et aux États-Unis. Celui de Montréal est le premier au Canada. Montréal multiculturel Ce n’est pas le premier contact de l’entreprise avec la métropole québécoise : en juillet dernier, on a annoncé une « participation minoritaire stratégique » dans le studio montréalais indépendant Behaviour Interactif. Le directeur du studio montréalais de NetEase, quant à lui, a œuvré chez Ubisoft Montréal entre 2008 et 2017. « Nous aimons de toute évidence beaucoup Montréal, dit M. Sun. C’est un carrefour international du jeu vidéo et de la production multimédia. » Il ne doute pas que les jeux de NetEase qui font fureur en Chine pourraient avoir le même succès en Amérique du Nord. Chose certaine, on compte sur Montréal pour développer, en collaboration avec le siège social de Pékin, de nouveaux projets qui pourraient séduire le monde entier. « Un des facteurs qui nous a fait choisir Montréal, c’est son aspect multiculturel, dit le directeur de studio. Nous pensons qu’avoir des gens de différentes cultures augmente la créativité et ça se reflète dans les jeux. » Il ne donne pas de détails sur les jeux qui sont en cours d’élaboration et sur lesquels le studio de Montréal sera appelé à travailler. « Nous avons plusieurs projets très excitants en cours qui n’ont pas encore été annoncés. L’équipe de Montréal sera appelée à travailler en collaboration avec des développeurs en Chine pour les réaliser. » https://www.lapresse.ca/affaires/techno/201911/14/01-5249704-jeux-video-le-geant-chinois-netease-sinstalle-a-montreal.php
  14. C'est d'ailleurs l'une des priorités de François Legault de réduire la dépendance du Québec à la péréquation.
  15. Le taux d’épargne des Québécois à un sommet Saviez-vous que les Québécois n’ont jamais autant épargné depuis un quart de siècle ? Que les recettes d’impôts des particuliers versées au gouvernement atteignent un sommet ? Et que notre péréquation commence à diminuer, en termes relatifs ? FRANCIS VAILLES - La Presse Voilà trois bonnes nouvelles qui se retrouvent dans Le point sur la situation économique et financière du Québec, présenté jeudi dernier par le ministre des Finances, Eric Girard. Dans le feu roulant de l’actualité, elles sont passées plutôt inaperçues. Premier point, qui en surprendra plusieurs : le taux d’épargne des Québécois atteint maintenant 6,2 %, un niveau qui ne s’était pas vu depuis 1996, il y a près d’un quart de siècle. Après un recul, la remontée du Québec s’est graduellement faite à partir de 2005, comme dans bien d’autres provinces. Sauf qu’au Québec, elle s’est poursuivie après 2013, ce qui n’est pas le cas en Ontario, en Alberta, en Colombie-Britannique et dans les Maritimes. En 2005, le taux d’épargne des Québécois était de 2,6 %. Pour être plus précis, le taux d’épargne de 6,2 % est pour l’année 2018 et, pure coïncidence, il a été révisé à la hausse par Statistique Canada le même jour que le dépôt du mini-budget (Statistique Canada l’estimait à 5,4 % dans les données précédentes). Dans sa mise à jour budgétaire, Québec estimait que ce taux serait de 5,9 % en 2019 et de 6,1 % en 2020, mais les données révisées montrent que ce cap a déjà été franchi. « La volonté des ménages de faire preuve de prudence se traduira par la remontée de leur taux d’épargne [en 2020] », estime le ministère des Finances. Le taux d’épargne, précisons-le, n’est pas mesuré par un sondage auprès des ménages. Il s’agit plutôt d’une donnée agrégée qu’utilise Statistique Canada dans le système de comptabilité nationale. Le taux correspond plus spécifiquement à l’épargne de l’ensemble des ménages québécois (15,6 milliards en 2018) divisé par leurs revenus personnels disponibles (251 milliards). Malgré ses limites, c’est le meilleur indicateur sur le sujet, utilisé depuis très longtemps. Certains feront remarquer que paradoxalement, le taux d’endettement augmente. Trois choses à ce sujet. D’abord, le phénomène est moins important au Québec que dans le reste du Canada. Ensuite, cette dette, principalement hypothécaire, a certes augmenté, mais la valeur de l’actif également. Enfin, les taux d’intérêt ont été en baisse ces dernières années, diminuant la part relative que les ménages consacrent au remboursement de leurs dettes, laissant ainsi un espace pour l’épargne. Hausse des recettes d’impôts La remontée du taux d’épargne s’explique notamment par la forte création d’emplois, qui permet à un nombre plus grand de ménages de mettre des sous de côté. Le ministère des Finances note d’ailleurs dans son mini-budget que l’ensemble des salaires et autres traitements s’est accru de 5,2 % en 2018 et grimpera probablement de 5,4 % en 2019. Ces deux années consécutives de croissance supérieure à 5 % seraient une première depuis l’an 2000, il y a près de 20 ans. De telles hausses de la masse salariale des Québécois font l’affaire du gouvernement. Ainsi, malgré les baisses d’impôt des dernières années, Québec empoche davantage de recettes tirées de l’impôt des particuliers. Cette année, il en empochera 33,2 milliards, soit 4,6 % de plus que l’an dernier. L’an prochain, en 2020-2021, la somme devrait grimper à 35,1 milliards, en hausse de 5,6 % sur cette année, prévoit le ministère des Finances. Baisse relative de la péréquation Ces paramètres favorables au Québec ont pour effet de faire baisser la part du total de la péréquation canadienne que reçoit le gouvernement Québec du fédéral. La péréquation, faut-il le rappeler, est un programme de rehaussement de la richesse fiscale des provinces pauvres vers la moyenne canadienne. Comme le Québec s’enrichit, sa part baisse. Cette année, le Québec reçoit 13,1 milliards, ce qui représente 66,2 % de l’enveloppe totale de péréquation de 19,8 milliards. Cette part reculera progressivement jusqu’à 59,6 % d’ici quatre ans. Malgré cette baisse relative, la somme que recevra le Québec restera autour de 13,1 à 13,6 milliards. Cette apparente contradiction s’explique par le fait que l’enveloppe globale que consacre le fédéral au programme grimpe au rythme de la croissance économique, mesuré par le produit intérieur brut (PIB). Bref, la somme globale grossit, mais celle du Québec reste à peu près stable, ce qui fait baisser la part relative du Québec. DBRS, de Toronto, s’ajuste enfin Lundi, l’agence de notation DBRS Morningstar, de Toronto, a finalement remonté la cote de crédit du Québec, la faisant passer de A (élevée) à AA (faible). Ce faisant, l’agence remonte la cote à un niveau semblable à celui des quatre autres principales agences mondiales de crédit. Auparavant, la dernière à avoir ajusté sa cote pour refléter la santé financière du Québec était l’agence new-yorkaise Standard & Poors. La remontée de sa cote du Québec date de juin 2017, il y a déjà deux ans et demi. Question : comment expliquer que l’agence de Toronto ait autant tardé à attribuer une cote très solide au Québec, alors que les agences de New York, de Londres et de Tokyo l’avaient fait depuis longtemps ? Est-ce un biais défavorable de l’autre solitude envers le Québec ? Nul n’est prophète en son pays, il faut croire. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201911/14/01-5249625-le-taux-depargne-des-quebecois-a-un-sommet.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_cinemaStandard__4249193_section_POS4
  16. Normalement on aurait dû en effet nommer l'espace en question l'esplanade Henri-Tranquille. Mais je crois que ce petit anicroche était voulu et ce dans le but de faire allusion à la place des Festivals qui se veut beaucoup moins tranquille... Je cite le communiqué de la Ville: "En plus du clin d’œil à la Révolution « tranquille », la nouvelle appellation reflète bien la vocation du site, plus « tranquille » que la place des Festivals."
  17. Une grande quantité de nouveaux édifices c'est bien car on n'avait pas vu ça depuis longtemps. Mais ce serait le temps de penser à construire davantage de bâtiments de grande qualité comme le 1250 René-Lévesque par exemple.
  18. De Hongkong à Santiago, une contestation mondialisée Malaise profond, ralentissement économique, creusement des inégalités, corruption, écrasement des classes moyennes, jeunesse sans avenir, marginalisation politique… Le monde est en proie à une flambée de mouvements contestataires. Nicolas Bourcier - Le Monde Alger, Beyrouth, Bagdad, Hongkong, Khartoum, Santiago : une flambée de protestations embrase le monde depuis plusieurs mois. Au Chili, l’étincelle est venue mi-octobre d’une mesure visant à augmenter le prix du ticket de métro dans la capitale. Au Liban, c’est une taxe sur les appels WhatsApp qui a mis le feu aux poudres le 17 octobre. Le Soudan, lui, a connu durant huit mois à partir de la fin décembre 2018 une mobilisation aussi spectaculaire qu’inédite à la suite de l’augmentation du prix du pain. Pendant la première moitié du mois d’octobre en Equateur, à l’instar des « gilets jaunes » en France, c’était l’essence. Comme si la planète était soudainement en proie à des convulsions multiples, oscillant entre les mouvements de protestation collective, l’intransigeance ou le sauve-qui-peut des dirigeants. Différentes mesures touchant directement au coût de la vie, et d’apparence souvent dérisoire, ont ainsi provoqué de véritables ondes de choc, caractéristiques de l’effet papillon, libérant une colère populaire contre des élites politiques allègrement brocardées dans les cortèges. Les rues et les places sont occupées. Les poings levés. Autant d’explosions sociales venues s’ajouter à la déferlante de manifestations aux causes plus politiques, essentiellement autour de revendications démocratiques, comme celles survenues en Bolivie, en Catalogne, en Russie, en Algérie, au Nicaragua, au Venezuela ou encore au Kazakhstan. Lire la suite derrière le paywall: https://www.lemonde.fr/international/article/2019/11/08/de-hongkong-a-santiago-une-contestation-mondialisee_6018419_3210.html
  19. Édit: SVP ne jamais citer ce site ici. Merci.
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