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begratto

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Tout ce qui a été posté par begratto

  1. Des ouvriers perçaient des ouvertures dans le viaduc ferroviaire ce midi, là où il y en a déjà eu. Photo prise sur William, à côté du poste de police. La CDPQ n’a pas encore annoncé ses plans à propos du viaduc ferroviaire , à ce que je sache. Va-t’on avoir une belle surprise?
  2. À peu près la même vue aujourd'hui. Il y a plus d'arbres qu'à l'époque!
  3. Ce n'est pas tout le monde qui apprécie le concept : Le big bang raté de Guy Laliberté SOPHIE DUROCHER Mercredi, 12 juin 2019 05:00MISE À JOUR Mercredi, 12 juin 2019 05:00 J’ai manqué la première médiatique d’Au-delà des échos, le dernier bébé de Guy Laliberté dans la pyramide PY1 du Vieux-Port. Gentiment, les gens de Lune rouge m’ont donné des billets pour y assister en famille, par un beau dimanche ensoleillé. Ho boy ! Heureusement que je n’ai pas dépensé un sou pour cette heure passée à écouter un gourou anglophone me parler du cosmos. Si j’avais dû payer pour cette ânerie, j’aurais été furieuse. ON EN FUME DU BON ! La projection multimédia Au-delà des échos, dans une pyramide mobile haute de 25 mètres, est censée être une expérience innovatrice et immersive qui nous fait réfléchir sur l’évolution de l’humanité. Sauf qu’une fois étendue sur un sol dur, à respirer les odeurs de pied du voisin qui n’avait pas pris sa douche depuis les dernières élections municipales, je réfléchissais surtout à trouver une position confortable sur un mini coussin coincé sous mon cou. Les lumières se sont éteintes et la voix du philosophe anglo-américain Alan Watts a retenti. Qui est Watts (et pourquoi doit-on se taper ses réflexions ésotériques pendant 60 minutes) ? C’est un beatnik qui a connu son heure de gloire dans les années 60 et qui s’est rendu célèbre en comparant les drogues psychédéliques à un instrument, comme le microscope ou le téléphone. D’où sa phrase célèbre : « Si vous avez reçu le message, raccrochez le téléphone ». WTF comme dirait l’autre. Pendant la projection, on se tape donc un ramassis de ses déclarations cryptopsychédéliques : « Le futur est un concept... blablabla. Demain n’existe pas... blablabla. Chacun de nous est une manifestation de l’énergie totale de l’univers. Blablabla. Vous êtes un avec le cosmos ». Pour ceux qui ne parlent pas anglais, il faut se dévisser la tête pour suivre les sous-titres au bas de la pyramide, ce qui défait complètement l’effet recherché, l’immersion totale dans des projections à 360 degrés. Misère, si au moins j’étais passée par une succursale de la SQDC avant d’entrer dans la pyramide, j’aurais eu un bon buzz en voyant les effets des rayons laser de toutes les couleurs ! Bien gelée, j’aurais peut-être plus aimé voir la sphère s’ouvrir et se refermer au gré des pulsations de la musique techno. Mais vivre cette expérience à jeun est une épreuve. Tout ça se termine par une horrible version d’Imagine de John Lennon. Mas-sacrée. En résumé, c’est une espèce de soupe psychédélique dans laquelle on a jeté de la musique nouvel âge, des chants autochtones, des mantras, des pensées de biscuits chinois pendant que sont projetés sur les parois de la pyramide des signes ésotériques, des symboles cabalistiques et des hiéroglyphes obscurs. J’étais sûre que Richard Glenn et sa moustache allaient apparaître en hologramme. Je me pensais dans un épisode d’Ésotérisme expérimental à la télé communautaire. LaLIBERTÉ : LE NÉOBEATNIK La projection est censée nous faire revivre l’évolution de l’humanité, à partir du big bang. Ce n’était pas « big ». Et ça n’a pas fait « bang ». Quand Guy Laliberté a voulu faire son « trip » dans l’espace, il se l’est payé. Mais son « trip » beatnik-bouddhisto-ésotérico-zen-philosophico-pété-flyé-multisensoriel-spirituelo-mystique, on n’est pas obligé d’embarquer dedans. En tout cas, pas sans un joint.
  4. J'ai pris le métro avec mes 3 enfants, tour à tour, pendant 7 ans, pour les amener à la garderie près de mon travail. Ça se faisait très bien, même que c'était du temps très agréable à passer avec eux, bien plus que quand je conduis et qu'ils sont assis à l'arrière et que j'ai très peu d'interactions avec eux. Quoique je ne prenais pas la branche "est" de la ligne orange avec eux, heureusement, vu l'entassement des passagers! Mais si on reste dans la moitié ouest du réseau du métro, ça se fait très bien. Le bus, par contre, c'est mois agréable à prendre avec des enfants quand c'est plein.
  5. Il ne reste vraiment plus beaucoup de stations-service sur le Plateau. Il y a : Ultramar au coin de St-Denis et Laurier Pétro-Canada et Ultramar sur St-Denis près de l'avenue du Mont-Royal (correction : je voulais bien sûr dire Du Parc et non St-Denis) Crevier au coin de Rachel et Frontenac Esso coin St-Laurent et Sherbrooke J'en oublie? Donc 5 stations-service pour 105 000 habitants, soit moins de stations-service qu'à Ste-Julie pour ses 30 000 habitants, à titre comparatif.
  6. On voit qu'à l'époque, la Ville traçait 4 voies par direction sur Dorchester/René-Lévesque. Maintenant c'est 3 1/2 ; une configuration bizarre, d'ailleurs. Voir sur Google street view.
  7. Y'avait du traffic sur l'avenue du Dr Penfield!
  8. Question de faire une comparaison : le même endroit en 2011 :
  9. ^Ça ne semble pas très large, considérant la quantité de gens qui vont y passer.
  10. Jusqu'à l'ouverture du REM, l'accotement servira de voie réservée aux autobus
  11. Ça a été, à diverses époques, selon imtl.org: Alexandra Public School. C'est comme ça que le bâtiment est identifié sur le plan d'assurance de 1954 École Saint-Jacques élémentaire n2, CSSS Jeanne-Mance CLSC des Faubourgs École des métiers commerciaux
  12. J'ai encore de la difficulté à comprendre le concept et ce qui va attirer les foules. Ça me semble un brin... ésotérique? Jusqu'à maintenant, je ne vois rien qui m'inciterais à dépenser 41$ (ou 129$ pour une famille) pour aller assister à cette expérience multimédia immersive.
  13. Vers un plan pour unifier les tarifs du transport en commun en décembre CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER Mardi, 21 mai 2019 21:32MISE À JOUR Mardi, 21 mai 2019 21:32 MONTRÉAL | Le plan d’uniformisation des tarifs du transport en commun dans la grande région de Montréal devrait être déposé en décembre prochain, et implanté de façon progressive de 2020 à 2024. C’est ce que l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a mentionné mardi lors d’une rencontre d’information publique au centre-ville de Montréal. «On souhaite rendre publics dès cet été les scénarios les plus plausibles», a ajouté la porte-parole de l’organisation, Fanie St-Pierre. Lors de sa création, l’ARTM a reçu le mandat d’uniformiser et de simplifier la tarification des transports en commun dans la grande région métropolitaine. Actuellement, 16 systèmes distincts y cohabitent. Avant que la proposition soit déposée au conseil d’administration en décembre, l’ARTM tiendra des consultations publiques de juillet à octobre. Un sondage réalisé par une firme externe auprès de 4200 répondants permet déjà de constater certaines tendances. Par exemple, si une tarification selon la période de la journée est implantée, elle risque davantage de prendre la forme d’un rabais hors pointe que d’une surcharge à l’heure de pointe. «Ça semble être cette approche-là qui retient davantage l’attention. L’idée, ce n’est pas de donner des rabais pour des rabais, mais d’inciter les gens à voyager hors pointe», a expliqué Daniel Bergeron, directeur exécutif Planification du transport et de la mobilité. La tarification par zones semble être là pour rester, alors que celle par «distance pure» (par exemple la différence entre trois arrêts d’autobus ou quinze) est jugée trop fastidieuse. «Dans la consultation, la réaction des citoyens semblait être que c’est intéressant en théorie, mais qu’en pratique, ce serait complexe», a ajouté M. Bergeron. Tarification sociale Pour ce qui est de la tarification sociale, le sondage indique que les utilisateurs sont favorables à 74 % à la réduction des tarifs pour les étudiants et à 73 % pour les aînés. Cette proportion tombe à 63 % pour les personnes à faible revenu, à 62 % pour les familles et à 58 % pour les personnes avec des conditions particulières, par exemple en recherche d’emploi ou avec invalidité. «Tout n’est pas décidé. On fait du balisage, on est en train d’évaluer ce qui se fait ailleurs», a précisé Mme St-Pierre. Sur quatre ans L’implantation de la réforme tarifaire sur quatre ans a soulevé des murmures dans l’assistance. «Ça devra être fait de cette façon premièrement pour s’adapter à l’arrivée du REM, mais aussi parce que certaines mesures seront plus faciles à mettre en place que d’autres en termes de gestion du changement», a mentionné Mme St-Pierre. Certains irritants, comme le fait que le titre mensuel de la STM ne permette pas de prendre le métro à partir de Longueuil ou de Laval, pourraient être réglés rapidement dès la première année, a-t-elle dit. Par opposition, des changements qui modifieraient les habitudes de la clientèle devraient être mis en place progressivement. «Le système Opus a été implanté sur plusieurs années, lui aussi», a rappelé Mme St-Pierre. L’ARTM a mis en place une plateforme d’information web sur la tarification, qu’on peut consulter à l’adresse www.parlonstarification.quebec.
  14. La STM teste les sangles sur les voitures Azur ! Enfin! Tenez-vous bien! Dans le but d’améliorer le confort et de réduire les risques de chutes, la direction de l’Entretien du matériel roulant (EMR) a initié le projet d’installation de sangles sur les barres de préhension des voitures de métro AZUR. En collaboration avec l’Ingénierie du matériel roulant métro, le soutien opérationnel et le Marketing, des tests s’effectueront prochainement avec des voyageurs invités. Toutes les parties prenantes internes travaillent le projet depuis plusieurs mois déjà. Actuellement, les personnes de moyenne ou de plus petite taille ont de la difficulté à rejoindre les barres d’appui dans les voitures AZUR. En pointe, le train est souvent à pleine capacité et pour la sécurité des clients, il est important de bien se tenir car le train peut freiner brusquement à tout moment. Arancha Pedraz-Delhaes, conseillère corporative dans l’équipe Marketing, nous explique: «La méthodologie retenue consiste à tester les nouvelles sangles avec des clients invités dans un train réservé en période hors pointe. Nous pourrons ainsi recueillir les commentaires de la clientèle dans un contexte de déplacement réel du métro.» Les résultats seront déterminants pour la suite. Il s’agit d’une autre initiative visant à améliorer l’expérience client.
  15. Ça sera sûrement plus facile d'attirer d'autres commerces une fois que la station du REM sera ouverte, juste en face.
  16. La "place d'entrée" montrée dans la présentation semble donner sur le stationnement, alors que beaucoup de gens arrivent à pied à la station, soit sur le sentier situé au nord-ouest (sur l'ancienne emprise ferroviaire qui menait à la gare Cartierville) ou directement de Marcel-Laurin ou de Grenet. J'espère qu'il y aura aussi une entrée pour les piétons du côté nord, et les mêmes accès piétonniers qu'actuellement. Sinon ça ne paraît pas tant sur la carte, mais ça représenterait tout un détour pour la plupart des piétons!
  17. Mes collègues ontariens paient $10K par année, par enfant pour les services de garde. Ceux qui ont des enfants sont largement gagnants au Québec, de façon générale.
  18. Vu sur Facebook. J'ai ri!
  19. @vincethewipet puisqu'on ne peut te mettre de "j'aime" : 👏
  20. Ça ne peut pas être plus clair!
  21. Apparté hors-sujet : c'est intéressant de voir que du début mai à la mi-septembre, il fait plus chaud à Montréal qu'à Londres (on s'y attendait) et Paris.
  22. Vue la direction sud-est de la prise de vue, je crois que c'est le massif qui va du Mont Mansfield à Jay Peak que l'on voit.
  23. Les montagnes du Vermont, à l'arrière-plan, semblent immenses!
  24. C'est le collège Sainte-Marie, situé tout près, coin Bleury et René-Lévesque (Dorchester, à l'époque) (source 1, source 2, source du plan)
  25. J'étais curieux de voir depuis combien de temps ce terrain est libre de toute construction. La forme de cet îlot m'intriguait, tout comme la présence d'un grand stationnement en son centre. J'ai donc consulté les fabuleux plans d'assurance disponibles sur le site de la Bibliothèque et archives nationales du Québec (BANQ). J'ai eu quelques surprises! En 1915 , ce qui est maintenant le stationnement était alors la cour arrière du couvent du Sacré-Coeur, situé rue St-Alexandre! Voici ici sa façade arrière, donc là où se trouve maintenant le stationnement (source) : Et ici sa façade avant, rue St-Alexandre (source) En 1940, le couvent avait disparu et a été remplacé par un stationnement. Surprise! Ce qui était auparavant sa cour était devenu un terrain de baseball, le "Princess stadium, baseball ground", avec des estrades situées dans le coin nord-est du terrain. C'est étonnant de penser qu'il y a 75 ans, on y jouait au baseball! Le v'la, notre stade au centre-ville! 😂 En 1950, l'ensemble du site était occupé par un stationnement, situation qui n'a pas changée jusqu'à aujourd'hui.
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