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fmfranck

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Tout ce qui a été posté par fmfranck

  1. C'est clair, la facilité, le pessimisme et les préjugés, ça enrichient un débat. C'est bien connu.
  2. Thank god. L'architecture de ce projet est vraiment peu ambitieuse pour l'impact qu'il va avoir sur ce secteur de Ste-Catherine
  3. Je ne comprend pas comment certaines personnes concoivent la démocratie. Les élus, qui représentent la volonté populaire par le truchement des élections, devraient être subordonnés à un rapport qui amalgame l'opinion d'une minorité de la population (citoyens + groupes de pression)? Je crois que la réelle fonction des instances de consultation c'est de mettre une pression sur les promoteurs pour bonifier leur offre, et de permettre aux élus de trouver un compromis entre les positions des deux partis. C'est clair que desfois on aimerait que le compromis soit plus rapproché de nos positions, mais bon c'est la vie. De là à remettre en cause la légitimité d'un organisme parce qu'il ne permet pas d'imposer ses positions absolument, je trouve ça un peu poussé.
  4. Selon l'entrevue, ce sera axé sur les litiges environementaux et en lien avec les ressources naturelles. C'est presqu'un copié collé de mon message sur facebook.
  5. La ligne verte se rend quand même déjà à Lasalle! Je ne pense pas que de désservir Lachine (qui est déjà désservie par un train de banlieue) est prioritaire. Dans une optique à "hyper" long terme, je ne suis pas contre, mais ça ne constitue pas un projet "nécessaire" comme les autres projets qu"orages lointains" à mentionné.
  6. Pour cet îlot là, c'est effectivement un gabarit intéressant. Cependant, je suis d'avis qu'on pourrait viser un style un peu moins monochrome. Comme d'habitude c'est les matériaux utilisés qui vont être un facteur déterminant dans la qualité visuelle du projet.
  7. À mon avis, ce sont les deux objectifs qu'il faut viser. Cavendish, au sud de Côte-St-Luc, n'a qu'une voie dans chaque sens. On ne peut pas espèrer créer un axe majeur en l'espèce. Le lien devrait être construit pour créer des liens entre différents quartier montréalais, et non pour soulager le traffic sur la 13 ou décarie.
  8. Bon, c'est beau le cynisme. Dans le contrat de la ville avec le gouvernement on a 6 ans max pour commencer à vendre les terrains pour construire à Blue Bonnets. Ils vont pas se mettre à construire sans routes quand même... et si tu arranges les routes, me semble que désenclaver vers VSL et CSL c'est une suite logique.
  9. C'est rare que j'ai aucune réserve sur une démolition d'édifice à Montréal, mais là vraiment on parle d'un édifice sans intérêt.
  10. Exactement. Vous voulez ressortir le mythe de la tour sur la place Bonaventure? LOL
  11. J'allais le dire. Surtout si on prend en considération le développement dans Le Triangle et Westbury et qu'on y ajoute Blue Bonnets, un peu de verdure ne ferait pas de tord dans le secteur.
  12. fmfranck

    Odea - 25 étages

    Voici un bon exemple de l'effet d'escalier Nord-Sud que j'avais mentionné. Dans le plan d'urbanisme de Montréal, on a officialiser l'importance d'assurer la protection et la mise en valeur des vues d’intérêt. Ces points de vues, au Centre-Ville sont, entre autre, de la montagne vers le fleuve, et du fleuve vers la montage. Si on trace une ligne entre ses deux points géographiques, il y a clairement une dénivellation qui s'opère du nord vers le sud. C'est d'ailleurs sur cette contrainte de hauteur que les limites de construction ont étés conçues. Du Belvédère par exemple, on peut voir le fleuve à "droite" de l'édifice "Evo". Or, sur le côté est du boulevard Robert-Bourassa, de Notre-Dame jusqu'au Canal Lachine, on a mis uniformément une hauteur de 80 m. En prenant en considération que la partie sud du boulevard Robert Bourassa est déjà développé, et que de toute façon une hausse de la limite de hauteur plus proche des berges viendrait porter atteinte aux points de vue sus mentionnés, on pourrait au moins hausser la limite de hauteur qui se rapproche de Notre-Dame puisque ces édifices auraient un moins grand impact sur les prises de vue. On pourrait limiter graduellement la hauteur vers le bas le plus qu'on se rapprocherait des constructions déjà présentes vers le sud. Il me semblait que c'était clair, mais bon voici en détail la logique derrière cette proposition. Après reconsidération, il semblerait que du 120m viennent quelques peu affecter cette prise de vue, mais que du 100m n'obstruerait pas la vue.
  13. Je suis d'accord que ça donne cette impression du sud, mais... - Du nord et de l'ouest ça cadre assez bien avec la hauteur. - Il faut considérer qu'au sud il va y avoir les deux tours d'Union sur le parc. - Overall il faut considérer qu'on est au centre-ville, et que c'est un endroit propice à la densification pour avoir un retour sur l'investissement des investisseurs. Il reste que je suis d'accord qu'il faut bonifier la valeur architecturale des édifices à condos du projet. De plus, si c'est trop haut à cet endroit en raison des habitations avoisinantes, que fait-on des tours Holiday Inn et Yul? Vous avez-vu le rapport de hauteur avec les habitations sur les rues Argyle et Overdale?
  14. La bonification du réseau est rentable sur le long terme. On ne peut pas éternellement désservir les mêmes axes sans être saturé à outrance. La ligne diagonale est plus que nécessaire pour assurer la survie (le terme est lourd, je sais) du réseau à long terme. Pour ce qui est de Bonaventure comme méga-terminal, je crois que c'est une fausse bonne idée. Selon moi, il serait bien de relier cette ligne à Lucien L'allier plutôt. De toute façon, ces deux stations devraient être reliées par lien piétonnier souterrain dans le futur.
  15. Effectivement, ce n'est pas la première fois que je la vois, et à chaque fois j'essaie de calquer la ligne sur une map de Montréal en utilisant les noms comme point de référence, et j'arrive difficilement à reproduire le trajet.
  16. La station Pie-IX initiale serait renommée "Stade Olympique".
  17. fmfranck

    Odea - 25 étages

    Sérieux. Incohérence quand tu nous tiens. Honnêtement, du 80m ou du 120m à cet endroit, ça fait pas une grosse différence. Qu'on garde la limite de 80m pour ce lot, mais qu'on la bonifie graduellement pour le flanc est du boulevard. Parce que présentement c'est du 80m jusqu'à la tour de la bourse. Pourquoi pas donner une limite de 120m au nord de William ou St-Paul?
  18. Je rêve... la ligne rose se connecte par la Gare Lucien L'allier (à la place de Bonaventure) à une nouvelle ligne REM. (je l'avoue, pour l'instant je vois pas trop vers où... Le Nord, l'Ouest? Idk) Parce que honnêtement, je vois pas comment on peut faire une troisième branche "nord" pour le REM si on maintient le lien "nord-sud" à Bonaventure. Les trains sur la rive sud vont devoir passer au 30 secondes? lol
  19. Un bâtiment oublié sous le pont pourrait reprendre vie Construit en 1930, le pavillon de l’île Sainte-Hélène abritait une immense salle de bal et un hall d’exposition BENOÎT PHILIE Dimanche, 28 mai 2017 20:57MISE à JOUR Dimanche, 28 mai 2017 20:57 Relégué aux oubliettes depuis les années 30, un ancien bâtiment public caché sous le pont Jacques-Cartier pourrait reprendre vie, a appris Le Journal. Construit en 1930, l’impressionnant pavillon de l’île Sainte-Hélène, reconnaissable à ses quatre tourelles blanches qui dépassent de chaque côté du pont, n’a servi qu’une seule fois, lors d’une exposition d’artisanat présentée en 1934. «Nous avons la volonté de redonner vie au lieu. On aimerait commencer des travaux de mise à niveau le plus tôt possible, mais il faut voir si c’est faisable avant», explique la porte-parole de Ponts Jacques-Cartier et Champlain incorporée (PJCCI), Joëlle-Ann Blanchette. Dans les plans originaux, l’endroit devait abriter un casino, une proposition rejetée par le clergé à l’époque. On a ensuite décidé d’y aménager une salle d’exposition ainsi qu’une immense salle de bal, qui n’ont jamais été achevées. Le début de la Seconde Guerre mondiale, combiné à la crise économique, a mis un frein au projet. L’endroit est devenu un lieu d’entreposage pour l'armée jusqu’au début des années 50. On y a aussi stocké divers matériaux pour l’entretien du pont. Lors du passage du Journal cette semaine, les deux salles étaient pratiquement vides. Nouvelle vocation Le gouvernement fédéral étudie actuellement la possibilité de remettre le bâtiment aux normes du jour pour lui donner une «seconde» vie. «L’un des plus gros obstacles au projet est sans doute le bruit et les vibrations causés par le trafic, car le tablier du pont passe littéralement sur le pavillon», indique Mme Blanchette. De l’intérieur, on entend très bien le bruit sourd et les tremblements causés par le passage des voitures au-dessus. Le trafic n’était pas aussi dense et les voitures roulaient beaucoup moins vite à l’époque de la construction du pavillon. «Il faudrait insonoriser l’endroit, c’est clair. Mais il faut aussi refaire la ventilation, le système électrique, et s’assurer que le bâtiment répond aux normes de sécurité actuelles», poursuit-elle. Sans compter que l’intégrité de l’ensemble du pont dépend entre autres de ce bâtiment, qui fait office de pilier. «Disons qu’un incendie pourrait être très grave», explique-t-elle. Il est encore trop tôt pour savoir quelles activités pourraient s’y dérouler, mais PJCCI entrevoit d’éventuels partenariats privés, surtout pour l’aménagement intérieur. Des travaux de réfection du pavillon sont en cours dans le cadre des grands travaux de solidification du pont Jacques-Cartier, entamés il y a deux ans. DES TRAVAUX DE RÉFECTION 45 M$ Coût des travaux de renforcement de la structure du pont Jacques-Cartier depuis 2016. 11 M$ Coût de la réfection du pavillon de l’île Sainte-Hélène au cours des deux dernières années. L’ensemble du bâtiment a été repeint, hormis les tourelles. La structure métallique au rez-de-chaussée a été remplacée. Le béton au rez-de-chaussée a été refait. Les sous-sols, qui servaient à entreposer du sel de déglaçage, ont été décontaminés. Des moustiquaires et du plexiglas ont été installés dans les fenêtres. Source: PJCCI
  20. Tsé quand tu commences par dire que des projets plus que correct sont abominables (le Brickfield), c'est certain que t'arrives assez vite dans l'hyperbole. Ce projet là EST objectivement laid. Mais c'est à Laval. Qu'ils conservent le monopole de l'affreux, peut-être que ça va favoriser la migration vers le centre-ville pour les personnes de bon goûts.
  21. Le réel problème avec la ponctualité des trains de banlieue est l'impact qu'elle a sur les utilisateurs si on compare le service de l'amt avec le métro et l'autobus par exemple. En hivers, sur la ligne Deux-Montagnes, un retard, ou un arrêt de service est hyper incomodant. Pas d'espaces pour se réchauffer, et il faut attendre environs 30 mins pour le prochain passage. Si tu t'es rendu là en bus, c'est l'enfer. Si on compare la ligne Deux-Montagne avec l'option 470 (ligne expresse vers Côte-Vertu) le retard a beaucoup moins d'impact sur les utilsateurs puisque les passages sont au 4 mins. Si on compare la ligne Deux-Montages avec le métro, les retards ont aussi un impact moindre sur les utilisateurs puisqu'on est pas dehors dans le froid glacial ou sous la pluie.
  22. Le document que Marc a partagé est très intéressant et articule certaines idées que j'avais. C'est le tronçon Albanay- Rouses qui est le plus problématique, et les améliorations progressives est probablement le scénario le plus intéressant. Des investissements de 270 mil$ (probablement plus aujourd'hui) sur ce tronçon pour réduire la durée du trajet presque de moitié (4:35 à 2:34)!!! Si on rajoute la partie Qc à améliorer et le temps sauvé aux douanes, on passe en dessous du 6 heures pour le trajet au total (contre environs 12 hrs présentement). Et bon, ça c'est sans compter des améliorations éventuelles à l'Empire line.
  23. Il est là le réel problème pour Montréal. Pour que celle-ci devienne un incontournable pour le voyage ferroviaire dans le nord-est, il faudrait qu'elle se relit à New York par TGV. Ainsi, elle deviendrait un hub entre Toronto (ou au moins Kingston et Cornwall), Ottawa et Québec et New York. Si on attend éternellement, il n'est pas impossible que Toronto soit relié par TGV à New York directement un jour, et là on sera éternellement en dehors du traffic majeur par TGV dans la région. Mais tel que déjà mentionné par d'autres membres du forum, c'est la partie au sud de la frontière qui cause problème. Surtout la partie que passe dans les Adirondaks. La vitesse dans cette zone est parfois ridicule (même si comprenable). La construction d'un TGV y serait très compliquée, et si la volonté politique était présente du temps de Pataki, je ne suis pas sûr que la construction massive d'infrastructures ferroviaires sur ce corridor soit très élevé sur l'agenda politique de l'État de New York. Je ne jetterais pas complètement l'éponge par exemple. Ils ont après tout récemment acheté des trains Avelia Liberty (TGV) de Alstom pour la ligne "Boston-D.C". La vitesse potentielle de ces trains est présentement supérieure à la vitesse maximale autorisée sur la majorité du réseau. dans la zone Nord-Est. La tendance devrait donc être sur la bonification de la vitesse possible sur les lignes existantes. Bien sûr on parle du corridor Boston-D.C. pour l'instant, mais au Amtrak on va dans la bonne direction. Mais bon, en gros, on pourrait espérer qu'une ligne Montréal-N.Y soit au moins partiellement "TGV" comme sur le corridor Boston-D.C. où certains passages permettent des vitesses de 240 kmh, mais par d'autres endroits la vitesse maximale est beaucoup moindre.
  24. DE RÉGIONS ACCUEIL ÉCONOMIE Tour des Canadiens : du rêve au cauchemar en raison de locataires d'Airbnb PUBLIÉ LE JEUDI 25 MAI 2017 À 18 H 09 | Mis à jour le 25 mai 2017 à 18 h 27 0:00 2:14 Auto Auto Le reportage de Maxime Bertrand Certains propriétaires de condos dans la Tour des Canadiens, au centre-ville de Montréal, regrettent leur achat. Le tapage nocturne, le va-et-vient incessant et les traces des fêtards de passage qui ont loué l'un des nombreux condos de l'immeuble, destinés uniquement à la location à court terme, minent leur vie. Un texte de Maxime Bertrand Lorsque Paul Ostiguy a quitté la campagne et a emménagé dans la Tour des Canadiens, il croyait vivre un rêve. Un rêve qui lui a coûté plus de 500 000 $. Mais il a vite déchanté. « Quand j'ai déménagé dans la Tour des Canadiens, c'était wow! Downtown, la vie downtown, le glamour [...] Un matin, je me lève, je viens de faire de la marche, puis j'arrive dans le couloir ici et y a un immense tas de vomissures, en plein milieu du tapis, oui [...] Les vomissures continuaient jusqu'au condo qui est seulement loué sur Airbnb. » Paul Ostiguy Photo : Radio-Canada Selon M. Ostiguy, l'édifice est presque vide pendant la semaine. Mais la fin de semaine, avec la tenue d'événements au Centre Bell, comme le hockey et les spectacles, il se remplit. Et cette affluence laisse des traces. « C'est le bruit, c'est la boisson, ça peut être des visites fréquentes de la police. » Également propriétaire d'un appartement dans la Tour des Canadiens, Brian Beauchamp déplore le fait que l'édifice s'apparente à un hôtel. Mais contrairement à un hôtel, il n'y a pas de sécurité. « Il y a des dommages qui se font, les gens brisent les serrures quand ils font le party [...] Et en bout de ligne, ce sont les proprios qui paient pour ça. » L'emplacement de la tour, la proximité des principaux centres d'intérêt de la ville, font de l'immeuble un lieu de prédilection pour les courts séjours. Plus de la moitié des appartements sont destinés à la location, selon des propriétaires résidents et des agents immobiliers. « Actuellement, c'est une vocation qu'on peut appeler condotel, donc, on peut l'occuper, on peut louer à court terme, on peut louer à long terme », soutient Frédéric Le Buis, agent immobilier chez Sotheby's International Québec. Rien dans la déclaration de copropriété remise aux acheteurs n'empêche expressément la location Airbnb. Les deux propriétaires que nous avons rencontrés affirment s'en être rendu compte, mais trop tard. « Nous, on a acheté en 2013, donc, ça fait quand même un petit bout de temps. Airbnb commençait à ce moment-là donc, ce n'est pas quelque chose qu'on a vérifié. Mais avoir su, peut-être qu'il y a moins de gens qui auraient acheté. » Les propriétaires mécontents peuvent changer la donne en convoquant une assemblée de copropriétaires et en procédant au vote. Mais ils devront l'emporter contre des investisseurs qui ont acheté de nombreux appartements pour les louer et qui pourraient tenir au statu quo. « Il y a beaucoup d'immeubles au centre-ville qui sont confrontés aux mêmes choses et il y en a qui limitent carrément la durée de location. Il y a beaucoup d'immeubles à Montréal où il y a une durée de location minimum d'un an », dit Frédéric Le Buis. Les principaux promoteurs de la Tour des Canadiens n'ont pas voulu commenter le dossier. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1035910/tour-des-canadiens-reve-cauchemer-locataires-airbnb-montreal
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