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nephersir7

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Tout ce qui a été posté par nephersir7

  1. @MtlMan @rufus96 @Blitz Je vous recommande d'écouter ce que Valérie Plante (et François Legault) avait à dire là dessus à 11m50s dans cette entrevue. https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/christiane-charette/episodes/413255/audio-fil-du-dimanche-12-aout-2018 Beaucoup plus de détails et de nuances que dans l'article de TVA.
  2. Are diesel’s days numbered? A view from a trip to BYD’s electric bus factory https://arstechnica.com/cars/2018/08/are-diesels-days-numbered-a-view-from-a-trip-to-byds-electric-bus-factory/
  3. La STM opte pour des bus électriques chinois La soumission du constructeur québécois Lion jugée non conforme aux normes La Société de transport de Montréal (STM) vient d’octroyer un contrat de 2,6 millions $ au constructeur chinois BYD (Build Your Dreams) pour l’acquisition de quatre bus électriques de 30 pieds. La Compagnie Électrique Lion de Saint-Jérôme a également déposé une soumission, mais celle-ci « a été jugée non recevable, car elle ne répondait pas à tous les critères de l’appel d’offres », a indiqué au Journal une porte-parole de la STM, Amélie Régis. Le bus LionM de l’entreprise ne mesure que 26 pieds. Nova Bus et TM4, une filiale d’Hydro-Québec, ont récemment présenté une soumission à la Société de transport de Laval pour des bus électriques à recharge rapide, mais ils se sont abstenus dans le cadre de l’appel d’offres remporté par BYD à Montréal. La STM exploite déjà trois bus électriques de 40 pieds construits par Nova Bus/TM4 sur la ligne Monk, dans Notre-Dame-de-Grâce. Violation de brevets La commande de la STM fait suite à celle placée au printemps par le Réseau de transport de Longueuil pour cinq bus électriques BYD de 30 pieds. Tout indique que les quatre bus BYD de la STM seront mis en service sur la ligne 212 (Sainte-Anne-de-Bellevue). La STM et le RTL ont fait fi du fait qu’Hydro-Québec soupçonne BYD d’avoir violé certains de ses brevets, comme l’a rapporté La Presse en mai. Appui de Warren Buffet Rappelons qu’un autre bus chinois, le Vicinity, a lui aussi percé le marché québécois. Ce véhicule au diesel de 30 pieds roule sur la Rive-Sud et dans la couronne nord de Montréal. Il arrivera bientôt à Saguenay, Lévis et Trois-Rivières. BYD bénéficie de l’appui du conglomérat Berkshire Hathaway du milliardaire américain Warren Buffet depuis 2008. L’entreprise exploite une usine dans la région de Los Angeles et prévoit en ouvrir une en Ontario cette année. Le géant chinois a remporté la quasi-totalité des contrats octroyés au Canada pour des bus urbains électriques. Toronto vient de lui en acheter dix. Un article du Los Angeles Times a toutefois révélé en mai que des bus BYD ont connu de nombreux problèmes mécaniques dans la métropole californienne. Engagement La STM s’est engagée à n’acheter que des bus électriques à compter de 2025. Au cours des prochaines années, elle entend acquérir 30 bus électriques de 40 pieds à recharge lente, quatre bus électriques de 40 pieds à recharge rapide et deux véhicules électriques pour le transport adapté. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/11/la-stm-opte-pour-des-bus-electriques-chinois
  4. Solargise met un pied à Valleyfield Craignant que son projet ne puisse pas voir le jour à Montréal, le promoteur d’une usine de panneaux solaires de 2,3 milliards $ vient de prendre une option sur un terrain de Salaberry-de-Valleyfield. La municipalité de la Montérégie a adopté vendredi une résolution établissant à un peu plus de 8 millions $ le prix de vente d’un terrain de plus de trois millions de pieds carrés situé dans un parc industriel, à proximité du port de Valleyfield. Anjou toujours préféré « C’est une étape importante », a indiqué André Bouthillier du cabinet National, porte-parole de l’entreprise indo-britannique. M. Bouthillier ne cache toutefois pas que le premier choix de Solargise demeure le Club de golf Métropolitain, dans l’arrondissement montréalais d’Anjou. Or, la Ville de Montréal convoite une partie de ce terrain pour en faire un parc. La PDG de la Chambre de commerce de l’Est de Montréal, Christine Fréchette, ne cache pas son inquiétude. « On s’explique mal la lenteur des discussions avec la Ville de Montréal », a-t-elle affirmé hier. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/14/solargise-met-un-pied-a-valleyfield
  5. Exactement. Quand Trudeau est arrivé au pouvoir et a ouvert les vannes aux investissements en TC, toutes les autres grandes et moyennes villes au pays avaient des projets "shovel-ready" qui attendaient juste un financement. Pendant ce temps ici on se retrouvait avec du financement en attente de projets.
  6. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, ne renoncera pas à la ligne rose PUBLIÉ LE DIMANCHE 12 AOÛT 2018 Le projet de ligne rose pour le métro de Montréal n'est pas une utopie, soutient la mairesse Valérie Plante. Le bureau de projet est déjà sur pied, dit-elle, et l'argent viendra de Québec. Ce n'est pourtant pas dans les plans de François Legault, qui mène dans les derniers sondages préélectoraux. « Nous, on avance », explique-t-elle à Christiane Charette. Valérie Plante promet de jouer un rôle actif dans la campagne électorale provinciale québécoise qui commence la semaine prochaine. Elle compte interpeller directement les chefs et leur parti sur les enjeux qui lui tiennent à cœur, dont la réforme de la fiscalité municipale. Les impôts fonciers sont pratiquement les seuls revenus disponibles pour les villes du Québec et c’est ce qui explique que les taxes municipales accablent autant les propriétaires, selon elle. Les villes ont besoin d’oxygène. On parle d’un point de TVQ, de l’écofiscalité, etc. Il faut qu’on réfléchisse, parce que le modèle actuel n’est pas viable. Valérie Plante, mairesse de Montréal La signature de Valérie Plante à la Ville de Montréal : espaces verts et mobilité Valérie Plante voudrait qu’on se souvienne de son mandat à la mairie comme celui qui a permis de sauvegarder les derniers grands espaces verts de la ville, dont les milieux humides. L'amélioration de la mobilité est aussi l'une de ses priorités, avec un réinvestissement dans la STM « après 20 ans de sous-financement ». Il y a 25 ans que la dernière station de métro a été construite dans la métropole québécoise. La ligne rose demeure un projet qui permettra un plus grand développement social et économique, croit-elle. « Moi, je ne lâcherai pas, explique la première femme élue à la mairie de l'histoire de Montréal. « Le nombre de voitures augmente plus vite que la population ». Valérie Plante compte jouer un rôle actif dans la campagne électorale provinciale qui s'annonce au Québec. À sa gauche, le chef de la CAQ, François Legault. Photo : Radio-Canada/Étienne Côté-Paluck https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/christiane-charette/segments/entrevue/82968/valerie-plante-mairie-mairesse-montreal-projet-montreal
  7. Je ne vois pas où est l'obstacle. Tant que le REM ne sera pas construit au centre, ils ont toute la liberté et l'espace qu'ils ont besoin pour connecter les bretelles d'entrée/sortie à l'un ou l'autre des tabliers du pont. Même chose du côté de l'île des soeurs.
  8. Ça a toujours été illégal et dangereux, même avec l'ancienne configuration.
  9. Pour ajouter aux points de @Né entre les rapides 3) Les travaux auraient dû débuter aux moins 2 ans plus tard pour ne pas entrer en conflit avec le projet en cours. Ça complexifierait sûrement aussi le projet de l'échangeur St-Pierre qui s'en vient juste après Turcot. 4) Un nouveau tunnel aurait été nécessaire au centre-ville. Les connexions avec la branche de la Rive-Sud et avec le métro auraient été plus compliquées. 5) Le corridor réservé aux autobus en construction au centre de la 20 entre Lachine et Lionel-Groulx serait devenu pas mal inutile.
  10. Visiblement, la méthode douce n'a pas fonctionné. C`est le temps de déployer les tapis à clous.
  11. https://www.cybersoleil.com/autobus-dufresne-obtient-finalement-contrat-haut-saint-laurent/ Finalement la saga n'était pas tout à fait terminée!!! ? --- Le Conseil de presse rejette une plainte déposée contre le Journal Le Conseil de presse du Québec a rejeté la plainte de la compagnie Autobus Dufresne déposée contre le journal Le Soleil de Châteauguay en mai 2017. La compagnie dénonçait «de l’information inexacte, la publication d’une photographie trompeuse, un correctif incomplet et une atteinte à la réputation» par rapport à un article sur le transport en commun. L’article mis en cause dans cette plainte traitait d’une poursuite intentée par le Conseil intermunicipal de transport du Haut-Saint-Laurent (CITHSL) contre la Ville de Mercier. Autobus Dufresne était sous-traitante du CITHSL. Une photo d’un autobus de la compagnie illustrait l’article. Le plaignant, le président d’Autobus Dufresne Bernard Roy, reprochait à l’auteure de l’article, la journaliste Marie-Josée Bétournay, d’avoir produit de l’information inexacte en employant le terme «transporteur» pour désigner le CITHSL. M. Roy était d’avis que l’utilisation de ce terme «réfère à tort à Autobus Dufresne comme était la poursuivante dans un dossier judiciarisé devant la Cour supérieure», indique-t-on dans la décision. Le Conseil de presse a rejeté ce grief. « À la lecture du texte, aucune confusion n’est possible quant à la poursuivante dans le litige contre la Ville de Mercier», écrit-on. «Autobus Dufresne n’est jamais mentionnée dans l’article», poursuit plus loin le Conseil de presse. Photo adéquate L’utilisation d’une photo d’un véhicule d’Autobus Dufresne pour illustrer l’article était aussi reprochée au Journal. La compagnie affirmait que la photo était trompeuse. Le Conseil a jugé «que la photo reflétait l’information de l’article» et que Le Soleil de Châteauguay pouvait utiliser une telle photo pour illustrer le sujet «puisqu’il s’agit d’un des véhicules assurant le service de transport en commun pour le CITHSL, le réseau de transport au cœur de l’article». Le comité des plaintes du Conseil de presse a aussi rejeté le grief au sujet d’un correctif incomplet. Quant à la plainte d’atteinte à la réputation, le Conseil de presse ne s’est pas penchée sur la question puisque ce n’est «pas du ressort de la déontologie journalistique et (cela) relève plutôt de la sphère judiciaire». https://www.cybersoleil.com/conseil-de-presse-rejette-plainte-deposee-contre-journal/
  12. C'est surtout ton choix de fil de discussion qui est ambigu. On parle de l'avenue des Canadiens ici.
  13. Elle sert aussi d'accès/issue aux stationnements des 1100 et 1250 Boulevard René-Lévesque Ouest et de poste d'attente pour les taxis. Ce sont probablement les raisons pourquoi la piétonnisation réclamée par le Centre Bell a été écartée par la Ville. Regardez le rendu, et regardez la hauteur de la bouche d'égout sur la photo de @Mondo_Grosso Ce n'est pas terminé.
  14. Connais-tu bien NYC? Plusieurs rues du coeur financier (Wall St. & cie) sont particulièrement étroites. Idem à Boston
  15. La Ville de Montréal réévaluera ses travaux de marquage des rues Alors que des élus de Côte-des-Neiges sont insatisfaits du travail des cols bleus de Rosemont, le directeur général de la Ville de Montréal, Serge Lamontagne, lancera prochainement une évaluation des travaux de marquage des rues de la métropole, a appris Métro. Entré en fonction à la fin juin, le nouveau directeur général, Serge Lamontagne, donnera un mandat très large pour revoir notamment les types de peinture utilisés, les coûts du marquage et les délais de réalisation, selon nos informations. «Les conditions entourant le marquage ont évolué, notamment en ce qui a trait à l’aménagement, à la bonification du réseau cyclable, à l’augmentation des symboles routiers ou encore aux conditions météorologiques qui peuvent prévaloir. Afin d’optimiser ses façons de faire et de générer des gains d’efficience mesurables et durables, à la demande du directeur général, un mandat sera prochainement donné en lien avec les travaux de marquage», a confirmé la relationniste à la Ville de Montréal, Audrey Gauthier, sans vouloir donner plus de détails. Métro révélait en juin que l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie (RPP), qui est responsable des travaux de marquage des rues de neuf arrondissements centraux, était en retard sur son échéancier. Dans Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce (CDN–NDG), les travaux seront vraisemblablement complétés seulement à l’automne. La neige et la machinerie de déneigement effacent souvent une bonne partie de la peinture, qui doit être refaite l’année suivante. Cette situation est décriée par de nombreux citoyens et jugée inacceptable par le conseiller de Snowdon, Marvin Rotrand. «Il y a un manque de qualité pour l’argent que les citoyens de l’arrondissement de CDN–NDG paient, a-t-il jugé. Je constate un certain rattrapage dans les dernières semaines, mais le standard qui devrait être respecté est de terminer tout le marquage au mois de mai.» M. Rotrand déposera donc lundi prochain au conseil d’arrondissement, une motion pour que la direction de CDN-NDG trouve une solution pour ne plus faire appel aux services de Rosemont–La Petite-Patrie. «Ça peut être réalisé par nos cols bleus ou une entente avec notre syndicat pour faire ça au privé», affirme-t-il. Le conseiller souhaite aussi faire pression sur le gouvernement du Québec pour qu’il revoie les types de peinture permis afin d’accepter des produits plus durables, mais qui sont parfois plus polluants. Selon Véronique Cadieux, directrice des opérations d’Indik – une entreprise montréalaise spécialisée dans le marquage –, interviewée par Métro en juillet, les produits polluants ne sont pas nécessairement plus résistants à l’hiver. Toutefois, ces peintures peuvent être utilisées plus tôt au printemps, quand la température est encore basse. Selon nos informations, des solutions technologiques seront évaluées dans le cadre du mandat donné par le directeur général. Des enduits à l’époxy ont déjà été testés par les cols bleus de Rosemont–La Petite-Patrie, mais il a été impossible de connaître les conclusions de cette expérience. Cette peinture, tout comme le thermoplastique parfois utilisé pour les voies réservées, est plus dispendieuse. «Je suis heureux d’entendre que le directeur général fera une évaluation», indique Marvin Rotrand. Par contre, il compte quand même déposer sa motion. «Si les élus lâchent, rien ne va changer», croit-il. L’évaluation faite par la direction générale concernera l’ensemble de la Ville et non uniquement les travaux faits par Rosemont–La Petite-Patrie. Une source au sein de l’arrondissement assure toutefois qu’il y aura une «pleine collaboration» de la part des services de RPP, étant donné leur rôle prépondérant dans ce domaine. Priorité vélos? Dans CDN-NDG le regroupement Piétons Montréal s’est plaint que le marquage des pistes cyclables ait été fait en priorité par rapport aux passages piétons. Dans sa motion, Marvin Rotrand souhaite que les passages piétons soient faits plutôt en priorité. «Si on croit vraiment dans une vision zéro, de protéger les piétons, le marquage est une stratégie primordiale», insiste-t-il. Dans les trois dernières années, plus de 150 km de voies cyclables ont été ajoutés au réseau montréalais, une des raisons qui expliqueraient les retards dans le marquage, selon une source de l’arrondissement de RPP. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1717570/la-ville-reevaluera-ses-travaux-de-marquage-des-rues/
  16. Plus précisément: 3. ÉVALUATION DU PATRIMOINE URBAIN - Arrondissement de Ville-Marie 3.2.2 Le cadre bâti d’intérêt patrimonial A. Les secteurs de valeur patrimoniale exceptionnelle: 24.E.25 GRIFFINTOWN Ce secteur comprend la zone située entre la rue McGill et l’autoroute Bonaventure de part et d’autre de la rue William. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, ce territoire est essentiellement agricole et on y retrouve quelques habitations de bois et boutiques d’artisans. Après la démolition des fortifications, entre 1804 et 1817, ce secteur commence à s’urbaniser, puis il devient densément peuplé par une population ouvrière. La maison Abner-Bagg ainsi que les entrepôts Buchanan et Penn sont d’excellents exemples de l’architecture de la première moitié du XIXe siècle. À partir du milieu du XIXe siècle, les habitations commencent à être remplacées par des industries, dont plusieurs fonderies et entrepôts. La fermeture du Collège de Montréal en 1859 et l’établissement d’un marché au foin entre les rues William et King témoignent de ce changement de fonction. Ensuite, le secteur s’industrialise densément en raison de la proximité du fleuve Saint-Laurent, du canal de Lachine et des chemins de fer, et il prospère jusqu’à la crise de 1929. Suivra une période difficile. Plusieurs industries ferment leurs portes et la plupart des résidants s’établissent ailleurs. La construction de la voie élevée du Canadien National en 1933 et la réalisation de l’autoroute Bonaventure en 1965 contribuent à la coupure entre ce secteur et les zones adjacentes. Cette zone bénéficie aujourd’hui d’un second souffle alors que plusieurs immeubles industriels sont recyclés et que de nouveaux édifices sont construits. La réouverture du canal de Lachine ainsi que la réalisation de la Cité du multimédia favorisent aujourd’hui la restructuration du secteur et la mixité des fonctions. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/PATRIMOINE_URBAIN_FR/MEDIA/DOCUMENTS/25_EVALUATION_PATRIMOINE_VILLE-MARIE.PDF
  17. L’ex-maire se défend sur le don d’un terrain au Musée McCord L’ex-maire de Montréal Denis Coderre estime qu’il n’avait pas besoin de la permission de la Ville avant de promettre au Musée McCord un terrain de 7,2 M$. M. Coderre avait envoyé deux lettres à la directrice du Musée, en 2014 et 2017, pour lui confirmer qu’elle pourrait construire son nouvel édifice sur la place Eugène-Lapierre, un terrain de stationnement du boulevard de Maisonneuve Ouest, en plein centre-ville. Le 1er août, notre Bureau d’enquête a révélé que, selon une note du contentieux de la Ville, aucune résolution ou aucun règlement n’avait été adopté pour autoriser le maire à faire de telles promesses. Denis Coderre Ex-maire de Montréal « C’est un terrain qui appartient à Montréal. Je n’ai pas besoin de demander l’avis », a affirmé Denis Coderre, rencontré hier par Le Journal en marge de l’assemblée annuelle des actionnaires de Stingray, la firme pour laquelle il œuvre maintenant. Selon l’ex-maire, les procédures légales pour que la Ville puisse bel et bien s’engager à donner le terrain auraient très bien pu être entreprises après que le Musée ait obtenu son financement pour la construction du nouvel édifice. « Quand toi tu crois à un projet et le terrain t’appartient, tu dis aux gens : “OK, je comprends, ç’a de l’allure, faites vos devoirs et moi je vais être là”, comme je l’ai fait dans d’autres dossiers », a-t-il dit. Manque de prudence ? Au début août, l’avocat en droit municipal Mario Paul-Hus avait estimé que l’ex-maire avait « manqué de prudence ». « On connaît son style : quand il décidait quelque chose, il décidait quelque chose ! Mais il aurait dû le faire correctement », avait-il dit. Marc-André Viau, le directeur des communications au cabinet de la nouvelle mairesse, estimait que la solidité de la promesse de l’ex-maire ne tenait « que sur une lettre écrite sur un coin de table ». Denis Coderre ne croit pas à ce genre d’« excuses ». « Gouverner, c’est choisir », a-t-il plutôt insisté, hier. Le projet d’agrandissement du Musée McCord sur la place Eugène-Lapierre a finalement avorté quand l’administration de la nouvelle mairesse Valérie Plante a plutôt décidé de construire un parc sur le site. Le Musée avait pourtant déjà dépensé 250 000 $ pour étudier son implantation sur le terrain promis par l’ex-maire de Montréal. Depuis, l’institution est en pourparlers avec la Ville pour trouver un autre site qui pourrait accueillir son nouvel édifice. Trois emplacements, gardés secrets pour le moment, ont été proposés. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/09/lex-maire-se-defend-sur-le-don-dun-terrain-au-musee-mccord
  18. Depuis au moins 2003, selon cette photo http://societeagil.org/fr/projets/quartier-international-montreal/intervention/mobilier-urbain-exclusif
  19. C'est vraiment une bonne nouvelle parce que la piste existante est souvent débordante de monde. Ça va permettre de répartir l'achalandage des deux côtés du canal.
  20. Ça fait déjà plusieurs années que le resto est en affaires. Le proprio a simplement changé de formule et gardé les prix malgré le fait que les clients voient désormais la bouffe cheap qui leur est servie.
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