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  1. Le gouvernement fédéral a récemment proposé à l’ONU de quitter New York pour le Vieux-Port de Montréal, où un groupe de promoteurs des secteurs public et privé ont imaginé un ambitieux projet, a constaté La Presse dans des documents inédits. Le silo no 5 laisserait ainsi sa place au siège des Nations unies. Le siège de l’ONU prendrait place entre les quai Windmill et Bickerdike, à l’avant du complexe. La sculpture L’homme d’Alexandre Calder serait déplacée au cœur de l’îlot, dans un parc. Le prolongement de la rue McGill deviendrait l’une des quatre entrées de la « Cité globale », adossée à l’autoroute Bonaventure, en face d’Habitat 67. »» Voyez toutes les photos du projet Le concept et les plans préliminaires du projet ont été préparés par l’entreprise Solutrans, dirigée par Jean O’Keefe, l’instigateur du projet. L’organisme Montréal international a participé en finançant une étude de faisabilité technique, a appris La Presse. Le cabinet d’architectes Provencher Roy et associés a pour sa part préparé des maquettes. La Ville de Montréal a donné son accord au projet, de même que le ministre du Développement économique et responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand. Ce dernier a refusé de commenter. Le maire Tremblay trouve « exceptionnelle » et « emballante » cette idée, mais il refuse de commenter plus davantage de peur de nuire aux chances du projet. Le maire, le premier ministre Jean Charest et le premier ministre Stephen Harper en avaient d’ailleurs discuté lors du sommet de la francophonie à Bucarest, en septembre 2006. Le gouvernement fédéral a même soumis le projet de façon « informelle » aux autorités de l’ONU, a-t-on appris de sources sûres. L’ONU n’a toutefois démontré aucun intérêt. Un porte-parole de l’ONU, Alex Cerniglia, a lui aussi refusé de faire des commentaires. Pour l’instant, l’ONU prévoit plutôt rénover ses bâtiments actuels, au coût de 1,9 milliard de dollars. La firme suédoise Skanska a d’ailleurs signé un contrat de sept millions de dollars pour gérer la phase de préconstruction. M. Cerniglia soutient que les coûts pourraient être moindres selon le mode de rénovation, que l’on choisira d’ici à la fin de l’année. Les promoteurs montréalais espèrent toujours convaincre l’ONU de déménager à Montréal, où un nouveau complexe coûterait, selon eux, moins cher que la rénovation des installations new-yorkaises. Son entretien coûterait aussi 790 millions de moins par année, affirment-ils. La vente du terrain de l’ONU à New York procurerait aussi une somme considérable. Les tenants du projet pensent que les Nations unies pourraient renverser leur décision en raison des dépassements de coûts appréhendés, des retards et du manque de main-d’œuvre pour réaliser les travaux. Une ville dans la ville Ce projet propose d’accueillir au même endroit les Nations unies, les quelque 190 missions permanentes et les bureaux de plus de 4000 organisations non gouvernementales. Les composantes du complexe seraient reliées entre elles par un monorail qui se rendrait au centre-ville. Le site suggéré occuperait 65 hectares, soit plus que le parc Lafontaine. À New York, les Nations unies occupent quelque sept hectares en ce moment. Les ONG et les missions sont quant à elles éparpillées un peu partout dans la ville. L’ONU éprouve des problèmes avec ses sept immeubles situés dans l’île de Manhattan. Construit entre 1949 et 1951, le bâtiment principal comprend 39 étages. Il y a notamment des problèmes d’isolation, de sécurité et de salubrité parce qu’il contient de l’amiante. Selon les estimations financières dont La Presse a pris connaissance, il en coûterait environ 790 millions pour construire les locaux de l’ONU répartis dans cinq bâtiments de trois à 12 étages. Le coût des bâtiments des ONG, des missions et des délégations s’élèverait à un peu plus de 760 millions et celui des infrastructures à 492 millions. L’ensemble du projet atteindrait donc environ 2,2 milliards. L’étude estime les retombées économiques à plus de 2,4 milliards grâce à la construction de nombreuses habitations pour y loger les quelque 20 000 personnes employées par les Nations unies. L’étude estime que l’arrivée de l’ONU à Montréal créerait aussi environ 60 000 emplois indirects. L’effet annuel sur le PIB serait aujourd’hui de 2,4 milliards et de 8,5 milliards dans 50 ans.
  2. <header id="page-header"> 05/04/2017 Mise à jour : 5 avril 2017 | 16:56 Reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO: le soutien des Montréalais réclamé Par Marie-Eve Shaffer /journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/) </header> <figure> (http://journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/#) <figcaption> Chantal Levesque Le site du mont Royal vu de l'observatoire de la Place Ville-Marie </figcaption> </figure> L’appui des Montréalais est réclamé afin que le site du mont Royal puisse être proposé pour faire partie du patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Les Amis de la montagne ont lancé mercredi une campagne de mobilisation au cours de laquelle ils espèrent obtenir 30 000 signatures de soutien d’ici le 26 avril prochain. «On espère que ces lettres d’appui viendront ajouter plus de poids à la candidature», a dit mercredi la directrice générale des Amis de la montagne, Silvie Guilbault. À la suite de l’appel de la ministre fédérale de l’Environnement, Catherine McKenna, l’été dernier, la Ville de Montréal a soumis la candidature du mont Royal afin qu’il fasse partie de la liste des sites promus par Ottawa auprès de l’UNESCO. Seul le gouvernement du Canada peut formuler de telles propositions à cet organe des Nations unies et seulement deux sites peuvent être mis de l’avant à chaque année. Les sites retenus par Ottawa seront dévoilés en décembre prochain. Le patrimoine culturel du site du mont Royal a été vanté dans son dossier de candidature présenté par la Ville, a indiqué Mme Guilbault. «S’il y a un lieu emblématique qui reflète toute l’histoire du pays, c’est le mont Royal», a-t-elle dit. La reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO ferait en sorte que la montagne aurait un genre de protection planétaire. «Elle permettrait de dire, au niveau international, qu’on doit toucher ce site avec des gants blancs», a illustré la directrice des Amis de la montagne. Celle-ci a convenu que les mesures de protections du mont Royal devront être renforcées, tout en précisant que cette préoccupation est constante par les citoyens et les organisations qui ont pignon sur la montagne. À ce jour, 18 sites canadiens font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont l’arrondissement du Vieux-Québec, le Canal Rideau et le parc des montagnes Rocheuses. La dernière fois que le gouvernement canadien avait proposé des sites, c’était en 2004. Cinq des 11 sites faisant partie de la liste indicative du Canada ont par la suite été retenus pour faire partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont le site fossilifère de Terre-Neuve, Mistaken Point, l’an dernier.
  3. Site de la ville de Mtl: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=1576,112471570&_dad=portal&_schema=PORTAL UN Web TV: http://webtv.un.org/live-now/watch/general-assembly-thematic-debate-on-culture-and-development/1705520925001#full-text
  4. Un peu du Québec dans les Nations Unies 17 juin 2008 - 10h40 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Plusieurs entrepreneurs québécois ont pu s'entretenir avec Skanska qui gère les opérations de rénovation de l'ONU. Les chances sont «excellentes» pour que plusieurs entrepreneurs québécois participent à la réfection de la bâtisse des Nations Unies à New York. C’est ce qu’affirme l’Association de la construction du Québec (ACQ) qui a fait le point sur une mission commerciale qui s’est tenue la semaine dernière dans la Grosse Pomme. Par le biais de rencontres, des entrepreneurs du Québec ont pu s’entretenir avec la firme Skanska qui gère et s’occupe de toutes les opérations de pré-construction du siège de l'ONU situé sur l’île de Manhattan aux abords de la East River. Cette méga-rénovation évaluée à 1,87 G$ s’est amorcée en mai dernier et devrait s’échelonner sur cinq années. Le complexe de l’ONU deviendra «vert» et «écologique» alors qu’une bâtisse temporaire sera construite juste à côté afin que les opérations de l’organisation puissent se poursuivre. Click here to find out more! Pour Pierre Hamel, directeur des affaires juridiques et gouvernementales à l’ACQ, les entrepreneurs québécois ont marqué des points. «Skanska a été très impressionnée par la qualité de nos entreprises», a-t-il indiqué en entrevue avec LaPresseAffaires.com. Les dix entreprises participant à la mission ont été invitées à soumissionner afin de se joindre au projet de rénovation du siège principal des Nations Unies. «Certains ont également été sollicités par Skanska afin d’être inclus dans la majorité de leurs projets», poursuit-il sans vouloir toutefois donner le nom des entreprises en question. Selon M. Hamel, les chances de voir des entrepreneurs québécois participer à ces travaux majeurs sont vraiment «excellentes». Cela pourrait rimer avec de très lucratifs contrats pour ces entrepreneurs. «Avec ce projet de tout près de 2 G$, il risque d’en avoir pour tout le monde», lance Pierre Hamel. Une dizaine d’entreprises qui œuvrent dans ces créneaux très spécialisés (fer ornemental, structures en acier, moulures de bois haut de gamme, portes d’accès) ont participé à cette mission commerciale. Le marché new-yorkais fringant Selon les dernières données statistiques, le marché de la construction dans les États du Nord-Est est encore bien fringant malgré le ralentissement dans le secteur de la construction aux États-Unis. En 2007, ce marché représentait 84,5 G$, selon McGraw-Hill Construction, à peine moins bon qu’en 2006, et cela ne semble pas s’essouffler. «Contrairement à la baisse marquée dans cette industrie, New York a atteint une performance extraordinaire au cours des dernières années et cette tendance devrait se poursuivre», affirme M. Hamel. D’autres discussions ont été menées avec des entrepreneurs québécois en vue d’une participation dans d’autres projets immobiliers d’envergure dont la Beekman Tower – une tour à l’architecture assez «flyée» de 680 M$ - et la construction d’une autre tour, le 80 de Kalb dans le quartier de Brooklyn. D’autres opportunités se retrouvent dans le sud de Manhattan où se dressaient les tours du World Trade Center. Goldman Sachs souhaite notamment y construire son siège social - un projet de 2 G$. D’autres projets sont en vue: celui du Mémorial aux victimes de 11-septembre et la revitalisation des abords de la rivière Hudson. Seule ombre au tableau : le dollar canadien continue et toujours de faire mal aux fabricants canadiens. Pierre Hamel le concède, malgré les retombées positives de la dernière mission, la perspective fait en sorte que la promotion québécoise est moins porteuse. «C’était notre quatrième mission à New York et cette fois-ci, il y avait moins de participants. Beaucoup de ces entrepreneurs se tournent en ce moment vers l’ouest canadien», dit-il. Mais selon l’ACQ, la présence québécoise a New York doit être constante, dans «les bons moments comme les moins bons». http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/80617083/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  5. 09/11/2007 Montréal devient la première ville francophone à recevoir la reconnaissance officielle de l’Université des Nations Unies en matière de développement durable. Dans le cadre du 8e colloque de Montréal en éducation relative à l’environnement, Alan DeSousa, membre du comité exécutif, responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025, a tenu à remercier la trentaine de partenaires qui ont permis à Montréal de recevoir cette reconnaissance. Plan stratégique« Montréal est maintenant reconnue au niveau international comme un Centre régional d’expertise sur l’éducation en vue du développement durable. Cela démontre la qualité de nos institutions, notre expertise et nos priorités au niveau du développement durable », explique-t-il. M. DeSousa a aussi applaudi la mise en place du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise qui a été adopté en avril 2005. M. DeSousa explique que l’urgence d’un plan était venue lors d’une rencontre internationale en 2002. « Le moral était bas. Nous nous rendions compte que depuis déjà dix ans, nous avions de beaux projets, mais que rien de concret n’avait été fait. C’est à ce moment que j’ai décidé de remédier à la situation », affirme-t-il. Depuis, un plan comprenant deux volets a été structuré. En tout, 36 actions précises faisaient partie des objectifs. « Toutes ces actions ont été détaillées, mesurées. Nous avions un échéancier. D’ailleurs, la plupart des actions se sont concrétisées », affirme Alan DeSousa, visiblement fier. C’est justement ce plan qui a été présenté à l’Université des Nations Unies et qui a été reconnu comme le meilleur plan stratégique en matière de développement durable. Selon M. DeSousa, Montréal est désormais sur la carte mondiale : « Nous avons maintenant un rôle de leader au niveau international. J’ai averti le maire Gérald Tremblay que nos standards étaient très élevés et qu’il faudra travailler très fort ». Éducation Les prochains objectifs du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise sont principalement d’éduquer la population à faire des gestes qui vont dans le sens du développement durable. « Nous misons sur l’effet domino. Chaque geste compte », dit-il. Ce nouveau cheval de bataille s’appuie sur plusieurs réussites en matière de développement durable. La marche au ralenti inutile des véhicules qui fait maintenant l’objet de nouvelles réglementations et de sensibilisation et l’accroissement du nombre d’infrastructures pour l’utilisation des vélos sont deux exemples concrets. Cette « opportunité en or », comme aime bien dire M. DeSousa, devient un tremplin vers encore plus d’actions concrètes. « Nous allons certainement en surprendre plus d’un », lance-t-il en riant, ajoutant qu’ils en ont sûrement déjà surpris plusieurs. « La Ville de Québec nous félicite pour ce plan. Nous sommes au moins cinq ans en avance sur eux en matière de développement durable », conclut-il.
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